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La Pierre De Néfertiti

Section 1

    De notre temps, c'est fou ce que les gens peuvent se laisser aller dans n'importe quoi. La richesse, la beauté, la célébrité, la jeunesse et on en passe. Différentes personnes, autant cachées que visibles, subsistent autour de nous l'esprit anéanti par l'envie d'être et de conquérir. C'est vrai que l'argent compte beaucoup, mais faut-il autant s'y consacrer. La beauté est merveilleuse sauf qu'elle a des prix. Des gens courent et courent après cela, le pouvoir.

     De ce roman, en Égypte se trouve un archéologue nommé Risus Carl Valmour. Son goût prononcé pour les antiquités lui fait honneur. Ça fait des mois qu'il a laissé son pays, famille et ami pour l'Égypte, ça fera bientôt 1 an qu'il fait part à l'Égypte. Depuis un certain temps, Carl est persuadé qu'il existe un bijou magique nommé par ceux qui y croient : « la pierre de Néfertiti » Cette pierre a le don de donner jeunesse, beauté et même guérir, enfin selon ce qu'ils ont perçu. Il trifouille partout dans le désert à l'aide de ses compagnons de travail et d'outils bien sûr. Chaque jour qui vient est plus chargé que le précédent et épuisant. Certes, mais Carl n'abandonnera pas, il est aussi très réputé pour être une vraie tête de mule, quand il croit en quelque chose ou désir une chose, le diable en personne ne peut point se dresser et lui faire barrage.

   Aujourd'hui, ils se trouvaient de nouveau dans une pyramide. On pouvait trouver Carl dans un coin de la pyramide déchiffrant des hiéroglyphes, il arrivait qu'il laissait ses compagnons bouche bée devant ses capacités.

_ Où se trouve Carl ? ce que demande le bras droit de Carl qui vient d'arriver dans la pyramide.

_ Il n'est pas loin, allez tout droit et tournez à gauche.

    La jeune femme traverse la pyramide, elle n'avait aucun problème à contrer le regard de ce qui la regarde et marchait fièrement vers la direction indiquée. Elle finit par trouver Carl assis dans un coin, des morceaux de pierre en main, en arrivant, elle ne manque pas de lui donner un coup des papiers qu'elle tenait sur la tête.

_ Depuis l'aube t'es ici, t'as mangé !? Exclame-t-elle en s'asseyant à côté de lui.

_ Pourquoi tu agis toujours par la violence (–_–"') ? Fit Carl en se touchant la tête exprimant la douleur que ça fait.

_ C'est comme cela que l'on agit avec les têtes de mule de ton genre.

_ ... Moi, une tête de mule.

_ Ne le nies pas tu l'es, qu'est-ce que t'as pris depuis ce matin ?

_ Euhhh (_ _"') café, eau.

_ Comment !? Carl, il est midi bientôt 1h ! T'es là depuis l'aube.

_ Je sais, je n'ai pas vraiment la tête à ça tout simplement.

_ Mais quand vas-tu grandir ?

_ Je suis plus âgé que toi.

_ Je n'en ai pas l'impression.

    Suzette, étant le prénom de la jeune femme, le coupe dans ses travaux et l'emmène au dehors où était rangé le matos et où se reposait certains. Elle ne lui donne pas d'autres choix que de manger s'il veut continuer ce qu'il faisait. Carl se résigne et s'assoit pour manger un bout.

_ Regarde-toi ! Exclame d'un coup Suzette.

_ Qu'ai-je ?

_ Un an à chercher une aiguille dans une botte de foin, t'es sûr qu'il existe ta pierre ? Tu n'es plus ce que t'étais.

_ Je n'aime pas quand tu dis ça et tu le sais très bien, elle est là quelque part.

_ Oui, dans le désert.

_ Oui, Néfertiti habitait dans le désert.

       Suzette lui fit un secoue de tête exprimant sa désolation pour lui, elle part ne manquant pas lui rappeler que s'il veut finir avant la nuit il vaudrait mieux pour lui de s'empiffrer habilement et d'y retourner. C'est bien ce qu'il comptait faire, Risus s'affirme qu'il a trouvé une piste il y a tantôt. Mais, pour ne pas affoler inutilement ses compagnons, il décide de se taire et de s'y mettre seul au but d'en être vraiment sûr avant d'afficher.

     Le ventre plein, il retourne dans la pyramide, les hiéroglyphes qu'il déchiffrait contenait un genre de message ou d'indice menant à la clé.

≈ Quatre pyramides, une seule reine... Dans l'une demeure ses secrets, jadis une étoile tombant du ciel, faisant office au sol... Une beauté captive nous est accordée hors norme, pour ne pas perdre l'ange aux malfaisants enterrons ses ailes. ≈

_ Enterrer ses ailes... Mais ce n'est pas ça qui les empêchera de prendre l'ange. Ils n'allaient quand-même pas l'attraper pendant qu'il volait... Si ?

     Risus revient vers le campement un peu tard, les pierres aux quatre coins, il continue de faire marcher sa cervelle déjà bien surmenée. Dans son désespoir et les conseils de son bras droit, il décide de se reposer, il pourrait y voir plus clair lorsque son esprit sera relaxé. Allongé dans sa petite demeure, Risus s'amuse à jouer avec ses cheveux de son doigt refusant nettement de fermer les yeux sans une ouverture sur ce qui pourrait lui être une indice.

_ Quatre pyramides... Une seule reine, elle habitait effectivement dans l'une d'elle pas toutes et c'est là sûrement qu'est cachée ses secrets. Mais quelles sont ces quatres pyramides, où sont-elles et surtout laquelle est la sienne... Une étoile ?... L'étoile représente Néfertiti, c'est aussi elle l'ange ?

    Dommage cérébral... Il lui faut résoudre ce qui est inscrit. Le lendemain matin, après son réveil, il s'est renseigné sur le lieu où il pourrait exister quatre pyramides dont l'une pourrait être la demeure de Néfertiti. On lui a affirmé qu'il y avait bien quatre pyramides mais Néfertiti n'habitait point dans l'une d'elle. Même sachant cela, Risus se résigne à aller observer ses pyramides parce qu'il a un pressentiment à partir de cette indication. On l'y emmène à ses quatres pyramides, arrivé là-bas, c'était la fin de l'après-midi, mais Risus persévère encore.

_ Aucune des pyramides, n'a l'air plus présomptueuse que les autres pour jubiler qu'une reine y habitait... Donc laquelle peut contenir les secrets de la reine, sans qu'elle n'y habitait, l'une devait lui servir de salle au trésor... Probablement.

.........

_ Dois-je fouiller les quatres pyramides ? (–_–') Non n'agissons pas comme des débiles... De là où je me tiens, les quatres pyramides forment un cercle autour de moi, j'ai l'impression que leurs places démarchent quelque chose. Mais.. Dans ce recoin, il manque quelque chose pour que l'encerclement soit parfait, une pyramide ? Il y a un grand aller vide.

.........

   Deux heures passent, pas l'ombre d'une lumière d'idée pour Risus. Il gémit au désespoir avant de se laisser tomber dans le sable et commence par admirer les étoiles qui se dévoilent car il vient de faire nuit.

_ Les étoiles sont petites parce qu'elles sont très loin, mais pourtant leur lumière n'est pour le moins faible, on les remarque...

    À scruter les étoiles, quelque chose lui vient.

_ Une étoile, au sol, quatre pyramides... Une étoile à cinq côtés mais il y a quatre pyramides, en se référant au sol et via l'alignement des pointes d'une étoile, on peut remarquer que chaque pyramide se retrouve comme à la pointe d'une étoile, un pyramide à l'ouest et une l'est, une au sud-est et une autre au sud-ouest... Il en manque une au nord, pourquoi ?

   En y réfléchissant, Risus se met aussitôt debout et se dirige vers l'endroit manquant une pyramide. Il y marche des minutes, regardant attentivement le sol.

_ Aucune trace de pré construction...

  Remarquant la nuit qui s'intensifie, il se résigne à prendre repos. Dans peu de temps, il construit sa tente. En installant sa tente, Risus marche à son désarroi sur un mécanisme.

_ M*rde ! Exclame-t-il, pensant déclencher un piège. Sauf que ce n'en était pas un.

   Voyant que rien ne se déclenche, le malheureux hésite toujours à lever son pied, c'est alors qu'une pyramide ouvre une porte. Le grincement lent de la porte faisait paniquer le cœur de Risus, par une nuit comme celle-ci et tout seul avoir des soucis ne serait pas joyeux.

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Section 2 : trouvaille

     La petite porte finit par s'ouvrir grandement, rien ne se passe l'ombre d'un instant, la tension s'apaise sur Risus. Serait-ce un passage ? Il soupire un coup, agilement il glisse son pied tendrement hors de l'enclencheur. Son pied libre, de plus rien ne se produit, il se faufile rapidement dans sa tente et y sort une torche. Risus observe les environs de la porte, il semblerait qu'il n'y ait pas de piège. Sa torche allumée, il scrute l'intérieur. Il n'y avait rien à part un petit puits pas fond du tout. Toujours vigilant, Risus s'en approche, il regarde à l'intérieur du puits et y voit un manivelle doré.

_ Qu'est-ce que ça peut bien faire là ?...

    Risus essaie de le faire tourner et la terre tremble. Surpris, il cesse immédiatement et opte pour s'en aller du lieu, il fait nuit et noir, ce n'est point favorable.

_Ce sera mieux demain matin, j'y verrai plus clair, il ne faudrait pas que je commette une bêtise. Sur ces mots prononcés, il sort de l'endroit.

    À peine, à 5 cm de la porte, celle-ci se referme volontairement. Risus marque l'emplacement de l'enclenchement de l'ouverture et s'en va vers sa tente en s'étirant le corps. Certes, c'est vrai qu'il est excité et impatient, mais ne précipitons pas les choses.

.........

     Lorsque Risus se lève le lendemain, quelle est sa surprise lorsqu'il constate que la terre s'est fendue en deux du côté vide. Il comprend tout de suite ce qui s'est passé et pourquoi la terre tremblait, lorsqu'il avait tourné cette manivelle. Risus s'extase de joie par sa découverte et refait de même qu'hier soir, il ouvre la porte et se rua à l'intérieur pour tourner la manivelle. Malgré les violentes secousses du sol, il continue jusqu'à ouvrir complètement ce qui paraît être un passage secret ou un lieu secret.

_ Si c'est bien ce que je crois, nous allons pouvoir maintenant rentrer chez nous. Et graver nos noms sur les tableaux dorés. Dit-il avant de se précipiter vers sa tente qu'il n'a pas pris patience à plier plus tôt.

.........

      Sac au dos, torche en main, mais avant tout, avant de pénétrer l'inconnu, il prévient ses compagnons de sa découverte et leur demande de le rejoindre dès que possible. Surpris qu'il ait pu décider de travailler seul et en faire la découverte, mais tout de même contents, ils affirment qu'ils seront bientôt là. Serrant de plus sa ceinture, Risus allume sa torche et dévale les marches qui s'étaient présentées. De nature prudente, comme le devrait tout archéologue, il suspectait toujours qu'il pourrait avoir des pièges, donc il évite le plus que possible de causer son malheur. Un long couloir sombre et humide, le bruit des pas résonne et les courants d'air frais faisaient frémir les oreilles de Risus.

_ C'est l'un parmi les plus glauques des sous-terrains que je visite. Marmonne-t-il en se passant la main dans ses cheveux.

     Il marche, il marche encore et encore puis... Les yeux écarquillés, la bouche semi ouverte, il est figé à l'idée qu'il vient de piétiner quelque chose. Aussi chanceux soit-il, rien de mauvais ne se passe de nouveau. Sauf qu'à la minute des torches accrochées le long des parois du lieu s'allument soudainement, du premier jusqu'au dernier. La pièce est complètement éclairée. Risus pousse un soupire en retirant son pied et s'en alla plus loin, il éteint alors sa torche.

_ Jusqu'à présent, tout va bien.

       Après ce qu'on pourrait dire, 40 mètres de marche, il s'arrête devant un grand mûr de pierre à l'exemple d'une porte. Au centre du mûr se trouvait un grand bouton, Risus pousse le bouton de toutes ses forces jusqu'à ce que celui-ci fasse ouvrir la porte.

_ Avec le temps, il a déjanté le bouton ? Ou ce sont les Égyptiens qui avaient autant de force ? (\=_\=)"'

     À son imprévu et qu'il est surpris d'apercevoir dans la nouvelle pièce, un champ de d'or et de pierre précieuse, couronne, bijoux, arme antique, vase, coupe dorée et argenté et on en passe. Les lueurs des objets reflétaient dans les yeux de Risus, il eût du mal à pénétrer la pièce pensant que cela pourrait être un mirage pour l'attirer dans un piège, mais cette idée lui sort de la tête aussi qu'il voit, au fond, accroché au mûr en dessous d'un grand statut, " la pierre ".

_ Par la sainte vierge ! OUI ! Je l'ai trouvé, enfin ! Exclame Risus en ruant vers la pierre, enjambant les objets.

    Il l'ôta du mûr et commença à le contempler de chaque centimètre, elle était faite d'or, l'œil en joyaux et deux lignes de notes inscrites à l'arrière. Tant de dur labeur pour enfin la trouver, en s'extasiant de joie devant la beauté de cet art et de sa valeur, Risus entend alors ses compagnons l'appelant à grande gorge au dehors n'osant rentrer.

_ RISUS, T'ES LÀ, T'ES ENCORE EN VIE !?

_ ÉVIDEMMENT QUE SI, JE L'AI TROUVÉ ! J'ARRIVE ! Déclarent Risus encore au fond de la pièce.

      Risus pouvait entendre leur rire et leur manifestation, alors il se dépêche pour remonter en surface et il leur affirme aussi qu'il n'y a pas que ça. Leur joie ne pourrait être plus vive, Risus mis le médaillon a son cou et prend son sac laissé par terre plus tôt. Au moment où il allait faire son deuxième pas...

    Tout le sous-sol se mit à trembler et les yeux de la statue s'animèrent, se dirigeant vers Risus. La statue le regardait intensément. Soudainement l'œil au joyaux se mit à briller d'une lumière dense, aveuglant Risus. Les personnes à l'extérieur ressentent également les secousses et ne cessent d'appeler Risus, lui disant de se dépêcher de revenir. Les yeux plissés à cause de la lumière, il ne pouvait pas vraiment voir, même essayant. Comme possédé, Risus se met à flotter dans les airs.

_ Mais qu'est-ce qui se passe bon sang !!? Déclare-t-il sentant de moins en moins ses pieds sur le sol.

     Son corps se mit à briller, de même que la pierre, et en un éclair... il disparut.

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Section 3 : Où ? Quand !

     Sous un soleil chaud et sur un sable brûlant, gise un homme. Risus se réveille la peau lui brûlant et une nausée farouche. Il se lève en titubant, les yeux vides de vie et le regard amère.

_ Qu'est-ce qu'il fait chaud ! Je brûle ! Marmonne Risus de ses lèvres sèches. Mais où suis-je, j'ai pu sortir du souterrain ?

    Il regarde au tour, pas une once de vie, ni de ses compagnons, ni les quatre pyramides. Il se trouvait au beau milieu de nulle part, que du sable et du soleil. Les seuls soulagements qu'il possédait étaient son thermos d'eau et d'une écharpe de sa mère qu'il prenait toujours soin de garder près de lui.

_ Quelle misère !

     Ses longs cheveux d'un noir épais, à peine couper depuis un an, la dernière fois qu'il a pu vraiment en prendre soin ne date pas moins de 6 mois. Ils ruisselaient le long de son visage et semblaient vouloir lui servir de protection contre les rayons du soleil. Ses yeux noirs ne pouvaient que se plisser sous l'effet de cette lumière et cette chaleur si denses. Il regarde l'amulette à son cou et suppose que ça doit-être un sortilège, il l'enlève, mais cela ne s'arrête pas pour autant, il était toujours au milieu du désert inconnu, il le dépose par terre toujours rien. Alors, il le reprit.

_ Persévérons, peut-être que si je marche un peu, je trouverai quelque chose, j'ai été sans doute transporté hors du souterrain et très loin. Ça confirme, que ce médaillon est quelque chose de spécial, très spécial.

.........

     Risus marche longtemps et autant qu'il le peut, mais toujours rien, dans les vapes et fatigué, il décide de prendre une pause. Dans le trouble, des silhouettes lui apparaissent au loin, il lève à peine le bras pour qu'on l'aperçoive, qu'il tombe dans les pâmes... Son corps, bien qu'il ait passé beaucoup de temps en Égypte ne peut supporter la température et la tension.

    Les bras liés dans le dos, assis dans un coin, Risus reprend peu à peu connaissance. « Quel mal de crâne j'ai ! Est-ce le coup de soleil la cause ? » pense-t-il, il redresse la tête et reçoit une gifle assourdissante sans crier gare. « Si c'est Suzette, je la comprends et je la mérite, mais aïh ! Je ne me souviens pas qu'elle avait autant de force » repense Risus de nouveau, mais il est complètement à côté de la plaque.

_ Es-tu un espion du camp ennemi ? Sort une voix en haut de Risus.

_ Un espion... Du camp ennemi ? C'est quoi la blague, où suis-je ?

_ T'inquiètes, pas besoin de savoir parce que tu ne risques pas de retourner là d'où tu viens.

      Relevant le regard, Risus vit enfin la personne, sauf qu'il n'avait aucune idée de qui c'est. Ces bijoux, une coupe au carré, un chendjit et une lance, Risus se met alors à rire sans source.

_ J'imagine des choses maintenant, ma tête a dû prendre de sérieux dégâts. Déclare Risus en riant devant l'homme.

_ Qu'est-ce qui te fait rire et qui t'en a donné le droit ? Lui demande l'homme en lui pointant la lance sous la gorge.

      Ressentant la pointe de la lance contre sa gorge, Risus s'effraie en croyant que tout ça est vrai. Une sueur froide lui coule le long du visage et il n'osait plus émettre un son, ni bouger.

_ Qui es-tu et qui t'envoie ?

_ Mais... Personne ne m'a envoyé, je ne sais même pas ce que je fais là. ("'_ _)

_ Ne joues pas avec ma patience, souhaites-tu passer à l'eau bouillante !?

_ Calmons-nous (ō_ō"') personne n'a envi de passer à l'eau bouillante, pourquoi moi je le souhaiterai ?

_ Alors, je te conseille de parler.

_ Mais je parle là...

_ Et ne fais pas le malin, je répète ma question, es-tu un espion ?

_ Non, j'ai l'air d'un espion ?

_ Que fais-tu donc ici ?

_ Où suis-je donc ?

_ Tu souilles les terres de notre grandiose roi Akhenaton, roi de la XVIIIe dynastie et tu ne sais pas où tu mets les pieds, est-ce une excuse pour échapper à ton châtiment l'intrus ? Réplique d'un grand air l'homme devant Risus.

_ ... Le roi Akhenaton !!?

       Risus regarde avec surprise l'homme, n'en croyant pas ses oreilles. D'un air ébahi, il se mit à réfléchir, mais l'on ne lui permit pas de réfléchir trop longtemps.

_ Tous ceux qui se rebellent, qui n'aiment pas notre roi, qui ne veulent que son malheur doivent périr.

_ Je ne veux, je ne suis rien de tout ça.

   L'homme le laissa alors et sortit, il alla s'entretenir avec ses camarades à propos de Risus.

_ Quatre réponses, 1. J'ai voyagé dans le temps 2. Je suis mort et en enfer 3. Je dors depuis tout ce temps, ce n'est qu'un rêve et 4. je suis toujours dans le souterrain, ce n'est qu'une illusion optique dégagée par la pierre pour m'empêcher de partir... (–_–')

    Pendant qu'il se faisait des idées, on décidait de son sort. Une bonne petite heure plus tard deux autres hommes, viennent le récupérer, toujours ligoté, on le faisait sortir en le tenant des deux bras.

_ Où est-ce que vous m'emmenez ?

_ T'as plus le droit de dire un mot. Réplique l'un des hommes.

_ ...

       Ils l'emmènent jusqu'à un grand donjon et le déposent dans un coin.

_ Tu restes ici, en attendant qu'on décide vraiment de ton sort.

_ Réfléchissez bien à tout autre sort à l'exception de l'exécution s'il vous plaît. Demande Risus d'un petit rire inquiet.

_ Ce n'est pas toi qui décides, si on souhaite qu'on t'exécute, on le fera en l'honneur de notre roi.

_ (_ _"') Si vous le dites. Prononce Risus maintenant point rassuré de sa survie.

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