La guerre battais son plein, C’était un festival de corps jonchant le sol, de sang, de terreur, de coup de feu et de défiler de soldats.
Des bâtiments explosés par les bombes, des vies détruites, volées par la cruauté des Hommes, rien n’ai plus dangereux qu’un Homme assoiffé de pouvoir et de vengeance. Des milliers d’innocents en avait eu les effets.
Je marchais, mon lourd uniforme, ce masque couvrant mon visage. Un casque sur la tête et ce fusil massif entre mes mains. Oui j’étais, je suis et je serais l’une de ses briseuse de vies. Non sans remords. M’en prendre aux innocents. Ses visages d’enfants apeurés sachant qu’il ne leur restaient que quelque secondes, ils me hantaient sans cesse. Encore et encore, je me réveillais avec l’horreur de la guerre en tête. Des fois je remettais ma vie en question, je me demandais où étais mon commencement et où étais ma fin? Où étais ma place? Qu’elle étais mon utilité sur se champs de bataille? De toutes façons, un jour ou un autres je mourrerais sur ses champs et personne ne se souviendrais de moi, comme la plus part de mes camarades.
Je marchais à travers les corps et les débris, fatiguée, à bout de force. Je voulais juste m’assoir quelque part et pleurer. Laisser évacuer toutes ces atrocités.
Je ne me suis même pas présenter... je suis Мир (Mir) Nowakõski, originaire de Pologne de nationalitée russe, dix-neuf ans, un mètre quatre-vingt, cheveux noir, yeux bleus.
Je me demande quand est-ce que ce calvaire prendra-t-il fin, je suis fatiguée. Fatiguée de me battre, fatiguée de tuer, fatiguée de marcher sans cesse tous les jours, fatiguée de porter ces armes sur moi et dans mes mains, fatiguée des remords qui me rongent, fatiguée de porter le poids de mes responsabilités. Fatiguée de ce monde.
Peut-être que ce calvaire cesseras dans deux, trois ans, peut-être que MON calvaire prendra fin demain, au fond de moi je le souhaitais fortement.
Je n’arrive plus à vivre en me disant chaque jours que j’ai descendu tous plein d’innocents, d’homme, de femmes, des garçons, de filles, d’enfants, tous ça c’est trop je n’ai que dix-neuf ans bon sang, méritai-je vraiment tous cela ?
Je finirais par tomber un de ses jours, de fatigue, de blessures, de faim, de soif ou de balles dans le corps mes un jour je tomberais, et mon dieu quelle délivrance cela me ferais, je ne souhaitais pas tomber mais au fond de moi je savais que si personne ne me descend ou que rien ne change politiquement parlant je me ferais tomber moi même.
Une jeune adultes en détresse mentale voilà qui je suis, une jeune adultes en détresse mentale qui tue des gens pour servire son pays, bon sang, que quelqu’un me vienne en aide.
(Je vais écrire "Mir" je reste de l’histoire parce que sinon ça risque d’être... embêtant pour rester dans un language un minimum soutenu, a oui j’ai oublier de préciser mais il y’aurais du vocabulaire grossier pour que la natation reste en sois un minimum soutenu)
Permis les cries, les éclats de voix et les pleurs, les explosions, les coups de feu et le son des corps qui d’ecroulent au sol. Je courrais dans de foutu bâtiment à moitié en ruine et miteux. Pourchassée par des soldats ukrainiens à mes trousses.
Je me cacha derrière de gros bureau puis échappa à leur balle. Je me retourna et me retrouva face à un soldats une mitrailleuse pointée sur moi. Il tira mais deviat son coups à la dernière minutes vers le plafond. Il retira son masque et me tendit la main. Évites connard qui n’étais d’autre que Vlad m’avais encore confondue avec un ennemi.
_putain, Vlad, t’es vraiment le roi des cons !
_desoler, j’avais pas vu que c’était toi, est-ce que tout va bien ? Je t’ai blessé ? il semblais confus et inquiet.
_ouais ça va mais fais attention la prochaine fois. J’aurais pu crever.
Je me décida à prendre sa main et me releva. J’épousta d’un geste rapide mon uniforme et releva la tête pour le regarder... Il n’avais pas cet air froid, impassible et cruel de d’habitude. Il avais l’air... triste ?
_hey, Vlad, est-ce que ça va !
_Dmitri... Il... Est mort...
Je lâcha un "oh" de surprise et de tristesse. Beaucoup de nos camarades nous avaient été enlevés et jusque là il l’avais plutôt bien vécu, mais cette fois-ci... Dmitri étais son meilleur ami, le seul qui avais eu le courage de lui adresser la parole lors de notre formation et ils s’étaient tous les deux très bien entenduent. Il étais un très bon soldat et jamais je n’imaginerais qu’on m’annoncerais son decet...du moins pas comme ça. Comme quoi ce peux aussi arriver aux meilleurs. Je posa ma main sur son épaule, tentant tant bien que mal de le réconforter.
_J’en peux plus... fit-il au bord des larmes, on a déjà perdu tellement mais la c’est trop... Il.... Il étais tous pour moi, ma source d’inspiration, si j’avais la force de me battre c’était grave à lui... et... cette guerre... elle m’as tous enlever, tous.
_Non, pas tous, moi je suis toujours là mmmh... Et je le serais toujours, lui répondis-je en posant mon front contre le sien.
_Tu me le promet ?
Il avais l’air d’un chien battu, ces yeux habituellement impassible et glacials étaient tous vitreux et larmoyants. Je hocha la tête pour lui promettre de rester à ses côtés quoi qu’il arrive puis il finit par s’effondrer dans mes bras et laisser les sanglots qu’il retenaient secouer son corps. Je caressa doucement son dos pour le réconforter du mieux que je le pouvais. Cette guerre, personne ne l’aimait, qui se sois nous ou les ukrainiens. J’étais un peu désemparée, je ne l’avais jamais vu comme cela au paravant. Il recula doucement et de détacha de mes bras. Il essuya ses larmes du revers de la manche de son uniforme sale et immaculé de sang sécher.
_desoler, ça fais pas très viril.
_ne t’excuse pas Vlad, je posa ma mais sur sa joue et essuya l’humidité sur cette dernière, on a tous nos moment de faiblesse, moi, toi et je suis sure que même le commandant ça lui arrive.
(Je vais faire le premier chancirez un plusieurs partis parce qu’il sera trop long sinon, parce que c’est une histoire qui j’avais écrite à la main dans un livre et les chapitres son extrêmement long, donc voilà si vous voulez pas vous retrouvez avec près de 6000 mots on va s’arrêter et faire plusieurs parties plus ou moins longue, voilà, à suivre 💋)
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