Il est 12h22, mais le ciel est devenu sombre, comme si nous étions à minuit. Les ruelles étaient plongées dans les ténèbres, seules les torches et les éclairs puissants illuminaient la terre, accompagnés du chant des batailles.
Un homme en armure brandit son épée en disant :
« Mes amis, mes frères, mes sœurs, cette bataille ne sera pas la dernière, mais elle permettra à nos enfants et à nos futurs enfants de vivre en paix pendant un temps. Alors, nous ne pouvons pas perdre. Il faut détruire ces démons qui nous avaient tués ! »
Toute la foule présente dans la bataille lança un cri de guerre et se lança dans un combat qui restera légendaire.
Il y a 100 ans après la Première Guerre mondiale, deux scientifiques travaillaient sur une machine qui allait révolutionner le monde : une machine de téléportation. Lors de son exposition en Amérique de l'Ouest, la machine dysfonctionna et connecta plusieurs mondes entre eux, les mondes des démons, des elfes et d'autres mondes. La Terre, en raison de cette fusion, vit sa taille démultiplier, et les continents fusionnèrent pour n'en faire qu'un. Les humains s'entendirent rapidement avec les elfes, mais ce n'était pas la même chose avec les autres créatures, qui voulaient voir les hommes disparaître. Alors, elles déclarèrent la guerre aux humains, et en 1944 éclata la plus grande guerre de l'humanité : la Première Guerre Démoniaque.
Avant la guerre, les humains virent des marques apparaître sur leurs corps.
Ce furent les marques sacrées, qui leur donnaient la force et la puissance pour combattre leurs assaillants. Ils luttèrent et réussirent à repousser les démons. Après cela, les humains créèrent une seule et unique nation appelée « l'Humanité ».
Dans cette humanité, il y avait des personnes dotées de la force et des capacités nécessaires pour vaincre ces créatures : ce furent les gens nés avec la marque, les chasseurs de démons.
LE PRÉSENT
18:19
Un jeune garçon très maigre avec une grande coupe afro était assis sur un banc dans le jardin de l'université. Ses vêtements semblaient suspendus à un cintre tant ils se balançaient au gré du vent.
Il tenait dans ses mains un sandwich à peine croqué. Il se plaignit en disant :
— Aah, berk ! Pourquoi j’ai acheté un sandwich avec de la mayonnaise ? Je déteste la mayonnaise, c’est dégoûtant !
Il jeta le sandwich dans une poubelle à proximité et ajouta d’un ton frustré :
— J’aurais dû garder mon argent…
C’est alors qu’il entendit quelqu’un l’appeler sur sa gauche :
— Eh, Igris !
Lorsqu’il se retourna, il vit son meilleur ami, Sempai, qui venait vers lui en souriant. Il se leva aussitôt et répondit avec joie :
— Sempai ! Ça fait un moment que je t’attends, tu faisais quoi, hein ?
Sempai se gratta la tête et répondit :
— Bah, je discutais avec un prof de l’université.
Igris pencha légèrement la tête, étonné :
— Eh mec, c’est le premier jour d’université et tu te mets déjà les profs dans la poche ? Toi, t’es vraiment grave, tu sais ça ?!
Sempai sourit et répliqua :
— Bah, j’aime bien connaître les profs à l’avance, tu sais.
Il observa alors Igris et ajouta :
— Igris, tu devrais te mettre à la muscu, tu sais ?
Sur ces mots, il se mit à marcher pour rentrer chez eux. Igris répondit avec un sourire :
— Non mec, non. J’ai pas assez de force pour soulever ce genre de trucs, tu le sais bien.
Sempai insista :
— Mais tu fais 1m88, tu ne devrais pas être si maigre, tu sais ? Fais au moins des pompes, ça pourrait t’aider.
Igris secoua la tête :
— Non merci, c’est pas vraiment mon truc. Mais parlons de toi ! Tu as une marque d’assassin et c’est ton rêve de devenir un chasseur de démons, pas vrai, Sempai ?
Sempai, l’air optimiste, répondit :
— Ouais, c’est mon rêve ! Devenir un assassin légendaire dont tout le monde parlera, arrêter la Grande Guerre Démoniaque… J’ai toujours admiré les chasseurs de démons. Ils me donnent la volonté de réaliser mon rêve quand je les vois empêcher les apparitions de démons. Alors, quand mes parents m’ont dit que le X que j’ai sur le cou signifie que je suis un assassin, mon cœur s’est rempli de joie ! Je ferai tout pour devenir un grand guerrier assassin !
Il tourna alors son regard vers Igris et ajouta :
— Mais toi, Igris… tu n’auras jamais cette chance, vu que tu n’as pas de marque.
Igris, toujours souriant, répondit :
— Ouais, moi, je m’en fous de ces histoires de guerre et de démons. Même si mon père est mort sur le champ de bataille… Il est mort en tant que classe C. Alors, même si je hais la violence, je ne vais pas vraiment m’en mêler.
Mais avant qu’ils ne puissent continuer leur conversation, une alarme de sécurité se déclencha soudainement, suivie d’un message d’urgence :
"À tous les habitants de GOMBE ! Un démon de niveau B a été détecté. Nous demandons à toutes les personnes présentes dans la ville de Gombe de rentrer chez elles et de ne sortir sous aucun prétexte."
Sempai, paniqué, s’écria :
— Igris ! On ne doit pas rester ici, sinon on va mourir ! Laissons les chasseurs s’en occuper !
Mais lorsqu’ils regardèrent autour d’eux, toutes les rues étaient désertes. Ils frappèrent à plusieurs portes, mais personne ne voulait ouvrir. Pris de panique, Igris dit :
— Sempai, on n’a plus qu’une chose à faire : courir jusqu’à la maison, c’est tout ! Elle est par-là, mais c’est à un kilomètre d’ici…
— D’accord ! répondit Sempai.
Ils se mirent à courir à travers les ruelles de la ville. Igris, à bout de souffle.
Il vit une ombre se déplacer rapidement sur les toits des maisons. Bien qu’il ne comprenne pas tout de suite, il sentit que c’était un démon. Sempai s’exclama alors :
— "Allez, Igris, on y va !"
Igris se lança à sa suite, mais alors qu'ils approchaient de la maison, il ressentit une pression écrasante au-dessus d’eux. La peur se saisit de lui, et il accéléra, les jambes presque incapables de suivre le rythme de son cœur qui battait la chamade.
Igris, d’une voix tendue, dit :
— "Voilà la maison, elle n’est plus qu’à quelques mètres !"
Mais alors qu’ils s’approchaient enfin, une nouvelle sensation glaciale envahit l’air. Un frisson parcourut l’échine d’Igris. Il regarde derrière mais ne fais rien et quand il tourne la tête pour regarder devant, il apersu aperçut une créature sombre comme la nuit, apparaissant devant eux.
ils s'arrêta net
La créature mesurait environ deux mètres. Elle était complètement noire, avec des mains semblables à des griffes et des yeux rouge sang.
Elle sourit et leur dit d’un air psychopathe :
— Salut les amis…
.— Non… un démon ? On n’est… mal… dit Sempai, en transpirant de peur.
Igris, terrorisé, regardait le démon avec horreur.
Sempai prit la main d'Igris et, en lui montrant une rue, s'écria :
— Viens, on s'enfuit par là !
Il commença à peine à courir que le démon apparut soudain devant eux en disant, un sourire moqueur aux lèvres :
— Déjà en train de partir, les amis ? Mais j’ai à peine eu le temps d’en tuer un parmi vous. Ce n’est pas très poli de s’en aller sans prévenir, vous savez ?
Le démon prit une position de combat et ajouta avec une voix cynique :
— Laissez-moi vous faire un câlin !
Puis, avec une vitesse fulgurante, il attaqua, ses deux mains se refermant en tenaille, cherchant à découper Igris et Sempai en morceaux.
Sempai réagit instinctivement : il attrapa Igris et recula avec une vitesse tout aussi impressionnante. En se décalant, il sentit une brûlure sur sa joue droite. Il y porta la main et remarqua qu'il avait été griffé. Il lâcha Igris et, d’un air déterminé, déclara :
— Igris, pars ! Tu peux survivre !
— Quoi ? Comment ça ? Il doit bien y avoir un chasseur quelque part, alors je ne pars pas ! répondit Igris, paniqué.
Soudain, une silhouette apparut dans la rue : un homme en armure, une épée en main. Une croix bleue ornait sa joue gauche, signe qu'il était un génie assassin de niveau B.
En le voyant, Igris reprit espoir et l’appela à l’aide :
— Monsieur ! On est là ! Venez nous aider !
Mais dès que l’homme posa les yeux sur le démon et croisa son sourire démoniaque, son visage se figea de terreur. Paniqué, il recula et balbutia :
— Non… non… pas moi… Je ne peux pas… Je ne peux pas les affronter…
Igris ne comprenait pas. Comment un homme possédant une marque sacrée pouvait-il les abandonner ? C'était inconcevable. Désemparé, il s'exclama :
— Pourquoi ? Pourquoi il est parti ?
Puis, ce qu'il vit ensuite lui donna une haine intense… Une haine propre aux Tueurs de Dieux.
Son regard se posa sur une main coupée au sol. Son cœur se serra lorsqu’il reconnut une montre attachée à ce poignet… la montre de Sempai. Il releva alors les yeux et vit son ami, au sol, le bras arraché, tentant de parler malgré la douleur.
— Igris… va-t’en… je vais le distraire…
— Non ! Je ne peux pas te laisser ! Et puis… ta main… balbutia Igris.
Mais avant qu’il ne puisse finir, Sempai l’interrompit :
— Vas-y, moi je reste. Tu sais bien que mon rêve, c’est de devenir un grand tueur de démons. Même si ma marque est encore noire, ça signifie que je suis de niveau E, pas vrai ? Même si… même si je n’ai pas le niveau d’un vrai classe E et que je ne pourrai jamais sauver le monde…
Il se tourna vers Igris une dernière fois et, avec un grand sourire, ajouta :
— Laisse-moi au moins sauver mon meilleur ami.
Puis, il regarda le démon et cria :
— Cours, je vais les distraire !
Il fonça alors vers le démon avec détermination.
— NON, FAIS PAS ÇA, SEMPAI ! hurla Igris, les larmes aux yeux.
Mais Sempai, utilisant toute sa vitesse d'assassin, bondit sur un mur pour prendre plus d’élan et hurla en serrant les poings :
— VA EN ENFER, SALE DÉMON !
Cependant, ce qui se produisit ensuite dépassa tout ce qu'Igris avait pu voir dans les films ou les combats opposant démons et humains…
Sous ses yeux, son meilleur ami fut empalé par le démon.
Igris regardait la scène, terrorisé. Sa voix tremblait lorsqu’il murmura dans sa tête :
— N… non… c… c’est pas possible… Sempai…
Le démon observa Sempai, toujours empalé sur sa main, et soupira, déçu :
— Tsk… encore un humain qui n’en valait pas la peine. Moi qui pensais m’amuser… J’aurais dû rester à Yggdrasil… J’ai fait tout ce chemin pour rien.
D’un geste négligent, il balança le corps sans vie de Sempai contre un mur.
— SEMPAI !! hurla Igris, horrifié.
Son ami était mort.
Le démon reporta son attention sur Igris et déclara avec un air blasé :
— Toi, tu ne vaux même pas la peine que je te tue. Je te laisse la vie sauve… mais la prochaine fois, ce sera différent.
Igris, fou de rage, se releva et fonça vers le démon en criant :
— SALAUD DE DÉMON !!!
Il tenta de le frapper, mais d’un simple revers, le démon l’envoya valser au bout de la rue. Igris revint aussitôt à la charge, hurlant :
— Tu as tué mon meilleur ami… Je ne te laisserai pas partir vivant !
Le démon soupira et, d’un autre coup, le projeta violemment au sol.
— Pourquoi tu ne m’écoutes pas ? grogna le démon en le frappant à nouveau. Va-t’en. J’ai pas envie de te tuer… Tu me fais pitié.
Igris, malgré les coups qu’il recevait, tentait encore de se relever.
— Je vais te tuer… Et après, je tuerai tous les autres démons… Je n’en laisserai AUCUN !
Le démon ricana et lui asséna un uppercut. Alors qu’Igris s’élevait dans les airs, il enchaîna avec un autre coup, l’écrasant au sol.
Se tenant au-dessus de lui, il posa son pied sur son visage et s’amusa :
— Tu vois ? C’est impossible que tu me tues. Je suis infiniment plus fort que toi.
Puis, un sourire cruel aux lèvres, il ajouta :
— D’accord… Tu veux me tuer pour venger ton pote insignifiant ?
Igris, furieux, répliqua :
— NE PARLE PAS DE LUI COMME ÇA !
Le démon le cloua au sol d’un violent coup de pied et enchaîna :
— Tsss… Arrête de jacasser.
Il leva les yeux et sentit plusieurs présences approcher. Il soupira :
— Bon, il y a trop de monde… Et moi, quand il y a trop de personnes, je perds mes moyens.
Il écrasa une dernière fois le visage d'Igris sous son pied, puis s’éloigna avec un sourire moqueur :
— On se retrouve dans trois jours, ici, à la même heure. Si tu gagnes, tu auras ta vengeance… et mon pouvoir. Mais si je gagne, et ce sera le cas… tu connaîtras une mort lente et douloureuse.
Puis, sans laisser la moindre trace, il disparut.
Il essaya de se lever mais en vain il il traînant son corps petit à petit malgré sa la douleur il continua avançait il vomit du sang il continua a avancé et il arriva au niveau de la dépouille de Sempai il c'est mit à pleurer en disant :
Je suis désolée sempai,je suis désolée j'ai pas pu t'aider désolé .
Pui il prie un ton déterminé et un regard de tueur :
mais j'ai te paumé une chose je vengerai ta mort et je montrerai a c'est tueur de démon qu'ils ne servent à rien je t'en fais la promesse mon amie
Pui il regarda il entendit des bruits de pas qui venait vers heure il regarda et vit plus tueur de démon parmi quand il les vit il sentit Une grande hene monter en lui il avait tous un les des marques des couleurs bleue se qui montré que c'était des classes B parmis eux femme avec Une marque en forme de croissant sur l'épaule droite se qui montré que c'était Une guérisseuse elle approchant et soigna tout les blessure de igris en quelle que seconde pui elle lui demanda jeûne homme Sava ? Igris regarda la femme avec une colère noire pui lui donna un coup de poin avec toute la colère qui avait accumulé mais le tank de équipe bloqua attaque pui il lui hurlant sur igris :
Oh petit qu'y a t'il.
Igris se leva et dit don ton énervé dit :
Bande l'incapable,dit moi au faite vous était des lâches des hypocrites qui attend que le démon parte pour appliquer, vous ne vallée rien je vue l'un de vous fuir alors que mon meilleur amie se fassent tuer
Les chefs de l'équipe d Monda a igris mais petit que se qu'il y a un problème. Nous ne pouvons rien faire pour ton ami mais si il y avais un guérir présent il aurait pû...
Igris leur dit arrêta en disant y en avait un mais tellement que vous êtes des lâches il l'a d'étaler comme un rat quand il voit un chat.
Il regarda la main de Sempai gisait sur les sol il l'a ramasa et pris la bague et la montre de Sempai en disant: je te vengerai mon frère promet pui il vit ça mère venir en courant maman tu courant en disant :
igris igris es que ça Va ?Rien ne te arrivait ?
Il regarda le sol en disant a ça mère : maman tu peux appeler la mère des mère de sempai préviens la qu'il est mort et en plus c'est 3 dernier jour je n'irai pas à l'université je prépare un truc
Et il parta vers la maison avec la hene au cœur une seule pensée en tète tué se démon
Igris rentra à la maison, jeta son sac par terre comme si tout était fini, comme si sa vie n'avait plus de sens. Il ouvrit la porte, toujours en regardant le sol. Son petit frère, qui avait 16 ans, le regarda, assis sur une chaise, et lui demanda :
— Eh, grand frère, est-ce que ça va ?
Igris, ne voulant pas déranger son frère, répondit comme à son habitude, avec un grand sourire :
— Ouais, ça va, Chris, ne t'inquiète pas.
Son frère, le regardant d'un air suspicieux, dit :
— Moi, j'étais dans la chambre, mais maman m'a dit de ne pas sortir. D'après ce que j'ai vu et entendu, il y avait un démon dehors, et il a tué un étudiant...
Puis, il regarda la porte, curieux :
— Mais où est Sempai ? Vous rentrez toujours ensemble, et d'habitude, il part vers 20h... Mais je ne le vois pas.
Le sourire d'Igris disparut, et il répondit :
— Ah... Sempai... Il s'est fait tuer par le démon.
— Quoi ? Comment ça, tué ? demanda Chris, terrorisé.
Igris, en montant les escaliers, ajouta :
— Ouais... Et je compte bien venger sa mort, quitte à mourir au combat.
Sa mère entra aussi dans la maison, attristée. Elle regarda Igris monter les escaliers. Ce dernier s'arrêta et demanda :
— Au fait, maman, est-ce que le matériel d'entraînement de papa est toujours au sous-sol ?
Sa mère répondit :
— Oui, mais...
Il ajouta :
— Les propriétaires veulent nous virer dans trois mois parce qu'on est en retard sur le loyer.
Sa mère, inquiète, répondit :
— Oui, mais pourquoi ces questions ?
Igris, d'un ton déterminé :
— Je vais devenir un tueur de démons. D'après ce que j'ai entendu, ça paie bien.
Son frère se leva et lui dit, inquiet :
— Mais tu n'as pas de marque ! C'est de la folie !
— Oui, c'est de la folie ! s'exclama aussi sa mère.
Igris répondit d'un ton calme :
— Si je deviens chasseur de démons, ça nous aidera de plusieurs façons. Premièrement, je serai payé. Deuxièmement, je pourrai venger la mort de Sempai. Et troisièmement, je pourrai enfin montrer à ces salopards de Tueurs de Démons qu'ils ne valent rien.
Son frère lui dit d'un ton sérieux :
— C'est pas pour t'insulter, mais Igris... t'as pas vraiment le physique pour ce genre d'activité. Laisse les Tueurs s'en occuper...
Igris lui sourit et répondit :
— T'inquiète, ça ira. Maman, toi aussi, ne t'inquiète pas, je vais gérer.
Il se mit à monter, puis s'arrêta net et dit :
— Chris, amène-moi tous tes livres sur la démonologie, s'il te plaît. Merci d'avance.
Puis, il reprit sa route vers sa chambre.
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