Nous sommes en 1999, lors du Grand-Début, pour être plus précis le 15 juin 1999. Le cahot n'as pas encore eu lieu. J'étais au musée des arts de 1800, Je déambulais d'oeuvres en oeuvres impatient de sortir, malheureusement mes parents prenaient leur temps, temps que moi je n'avais pas. Un bruit fort retenti, suivit d'un arc-en-ciel circulaire qui entourait la Terre, de l'Est à l'Ouest et qui était parti du Sud et qui s'est arrêté au Nord. Nous l'avons appelé l'arc-sonic. Se fut un immense massacre, des morts des bâtiments et villes décimaient, des forêts ravagaient presque plus inexistantes, des espèces animaliers disparus, une vrai catastrophe ! Même aujourd'hui nous ne savons pas d'où cela venait, une onde de choc aussi grande aurait anéanti la moitié de la Terre ; peut importe où on était l'onde était toujours aussi forte. Heureusement le choque des deux bout de l'onde l'as arrêtait. Mais pendant sa propagation lorsque j'étais encore dans le musée, je vis des gens effrayaient, une foule de gens qui couraient partout comme un troupeau de beux effrayaient. J'ai vite compris la raison...Les oeuvres du musée avaient pris vie ; mais pas comme vous l'imaginez, pas comme dans c'est deux films ou le musée prend vie la nuit avec un homme qui comprends rien. Non ! Pas du tout les statuts humains avaient l'apparence humaine, les animaux eux avaient l'apparence animal avec des poils, et les personnages des peintures sorties tous. Comme vous vous en doutez je pense, une jeune fille sorti du tableau devant moi. Elle était sublime, elle avait des traits asiatiques soit des yeux en amandes et bridés, sais yeux était noire comme ses long cheuvaux. Elle portait une longue robe verte à motifs de fleurs jaunes, elle n'avait pas de chaussures ni de chaussettes, ses pieds et sais jembes était nus. Un nu pal comme sa peau qui était d'un blanc immaculé. Ses cheveux étaient attachait en chignon, à travers le qu'elle y passait une baguette doré, au bout du qu'elle il y avait une petite fleur rose.
Elle me tombat dessus l'air perplexe. Je la ratrapa dans mes bras comme une accolade, chaleureuse et agréable. Elle ne s'excusat pas avec des mots, mais lorsque que je la lâchere ; elle se courbat comme une prosternence. Sûrement que cela venait de sa culture ; mais éten-donner qu'elle avait été un tableau pendant longtemps comment connaissait elle sa culture ? Savait elle parler ? Une multitude de questions de se genre me traversa la tête. Mais j'ai vite oublié ses questions lorsque elle répondit à ma deuxième question. Elle savait donc parler, et ses mots était digne d'un compte, un compte avec une belle jeune fille de vingt-quatre ou même vingt-cinq ans ; mais ses traits de visage me disais pourtant qu'elle avait vingt ans en revanche la plaquette elle me disait vingt-cinq ans. Enfin bref pour en revenir au fait que je sache qu'elle parle ; elle dû remarquait mon aire perplexe car elle me demanda se qui m'intriguais sur sa plaquette . Suite à cela je répondi son âge et puis en y pensent plus son nom était le nom de l'oeuvre autrement dit "Une fille sage" donc j'ai ajouté et votre nom. Là devant moi une belle fille me parlait d'une douce et agréable voix, pour me répondre:"Quoi mais ils se sont trompé j'ai vingt ans." D'un thon surpris . Décidemment elle allait de bien des manières me surprendre. J'en oubliais presque mes parents, eux étaient simplement pétrifié et se n'étaient pas les seules. Je lui proposais de venir chez moi, ce à quoi à mon plus grand étonnement elle répondit qu'elle préfère rentrer chez elle et reprendre sa vie. Je fut etonnais étant donné qu'elle était sorti du tableau. J'acquisa et je l'est laissais rentrait, mais lorsque elle touchat le tableau rien ne fit la toile était dur. Elle mis ses deux mains et poussat fort sur la toile, un léger bruit se fit entendre mais rien ni fait elle continuat sous la surveillance de mon regard sceptique. Là sous nos yeux à tous...
Avait elle réussit !?
Non bien sûr ; et encore moin à rentrer chez elle, elle avait déchiré la toile en cinq parties de taille différentes. Une chose étais sur elle avait du caractère. Elle se retournat et me dit en chuchotant d'un aire gêne :" Heu finalement je veux bien que vous m'accueilliez s'il vous plaît. " Sans ésité je lui dit oui puis je suis allé voir mes parents je les ais secoué, ils m'on regarder puis ils on dit :" Si tu t'occupe d'elle c'est d'accord, de toute magnere elle est là et vraisemblablement elle ne repartirat pas. " Nous avons pris la voiture et on est allé au magasin car sa tenue ne passait vraiment pas inaperçu. Elle et son grand caractère dans un magasin de vêtements classique sa ne l'a pas fait alors on à été au Gothique-fringues ; et là sous mes yeux ébahis elle savait très bien se qu'elle voulait ; elle pris des sous-vêtement car se de sons époque sont spéciaux, puis un large pentathlon noir avec deux grosses poches sur les côtés, il possède une chaine en acier inoxydable avec des papillons de nuit et des fils barbelés. On allait payaient lorsqu'on s'est rendu compte qu'elle n'avait pas de tee-shirt, elle se fit escorte a la section femme par une des caissière, elle la laissat au rayon tee-shirt. Elle avait des étoiles plein les yeux lorsque elle à vue se tee-shirt court comme une braciere noir avec une fermeture au devant et sans menches, on est donc aussi allaient au rayon pull ; elle pris un long et large pull noir avec un squelette à son flanc gauche et un chat à son flanc droit. Mes parents sont allaient régler les cent-cinquante euros. Puis nous somme arrivé chez nous où vraisemblablement Layline était déjà.
Nous étions dans ma chambre, elle lisait un vieu live que j'avais récupérer il y a déjà un an, pendant que moi je dessinais sur mon sketchbook.(Carnet de croquis/dessins.) Layline était dans sa chambre devant la télé ; désolé j'ai oublié de préciser qui était Layline, c'est ma grand soeur, elle avait vingt-neuf ans. On à donc onze ans d'écart, elle se fichait éperdument de la présence de la fille. D'ailleurs je n'est jamais mentionné une seule fois son nom. Enfin bref, ma mère arrivat et nous demandat de sortir un tantinet soit peux et de venir manger. Une fois avoir fini de mangeait, nous sommes retourne à nos occupations. Ha et j'ai encore omis de préciser que les encien dessins que j'avais fais étaient tous partie je ne sais où. Il fallait donc que j'en refasse pour peupler mon carnet de croquis. Layline à la voir son fiancé, pendant que ma nouvelle amie fesait une sieste, puis à quatorze heures nous sommes sorti mais sans Layline ; logique. Une fois que nous étions dehors nous somme aller voire une de mes vieille connaissent, oui je n'est que dix-huit ans; enfin bref nous somme aller la voir ...
Mathilda était d'une grande gentillesse, elle nous edat à retrouver mon paradis. Une ruine de maison qui datait d'avant le Grand Début, une pièce au béton gris sans toit en forme de carré (un très grand carré); où il y a des arbres d'un vert vif et éclatent. J'y dessiné depuis longtemps, mes traits se fesaient de plus en plus précis et cette pièce les mettaient en valeurs. Lorsque nous fum arrivé Mathilda me fit remarquer que cela fesait déjà un bon moment que je ne venez plus ici et que mes dessin manquaient d'originalité. Sa nouvelle amie était d'accord, et elle ne pouvais que si connaître en tant qu'ancien tableau... Ha ha n'est-ce pas?(^^)
Nous rigolions bien à nous faire des boutades, jusqu'à ce que Mathilda d'un regarde vide, sans émotion, sans pitié regardat mon amie ; notre amie, et la pointant du doit dit:
" Toi... Toi !!! Meurt... où ce sera nous...". Elle se mis à sanglotait puis elle m'as regarder m'approcher de la fille et la mettre derrière moi, ce avant de séfondrait soudainement. Suite à sa elle était dans un comat profond. Pendant un mois elle avait des perfusions pour manger boir déféquer; puis un jour elle se mise à convulser sous mes yeux. Les médecins disaient qu'elle avait sûrement fait un rêve trop choquant et comme elle était dans le coma, comat que son cerveau ne voulais pas arrêté son coeur à pris le devant et s'est arrêté. Après sa je n'est plus jamais était pareil... Je rigole il m'aura juste fallu environ un an pour m'en remettre ( se qui est franchement rien par apport à la durée moyenne d'un deuil qui est de environ six mois ; mais selon moi c'est faux car mes proches ils en auras fallu beaucoup plus, qui suis-je pour en jugé ? Personne.) En revanche une chose me trotter dans la tête, ses derniers mots. Je suis donc allé voir mon inviter l'aire détermine et furieux, et je lui est demandé :" Qui est-tu ?!" Elle me fixa d'un aire confus pour au bout d'une courts minutes me dire :" Désolé... Mais moi même je ne sais pas...". Elle baissat les yeux aussi tot l'aire de dire ne me frappe pas c'était un accident. Je l'ai pris dans mes bras ; elle c'était mise à pleurer et peu après elle s'est endormi. Je l'est emmené à son lit, puis je me suis assis sur le mien et j'ai cogitais... Qui était elle ; comment savait elle parler ; comment elle pouvait savoir qu'il fallait sortir et pourquoi ; comment toute cette histoire est arrivé ?
Tant de questions si peut de réponses.
Plusieurs jours après cette incident Layline , **** et moi, nous sommes allés dans mon atelier, il nous aura fallu beaucoup de temps avant d'y retourner.
"Ma..Mathilda...○□○"
D'une voix sèche mais d'un regard perdu elle me dit" Co...Comment ? Comment tu as su ?" " Tu est mon amie et je te reconnaîtrais même en démon ^^ ; mais tu as l'air mal et un peut différente ;). Bon on vas se poser et tu vas tout me raconter, Ok...?"
"D'acc, donc comme tu le sais je suis morte, mais se que l'on ne sais pas c'est que l'après-vie on a un choix ; nos actions ne conte pas et la mort n'est rien, elle est égale à la vie. J'ai pris la décision de me suicider et je me suis insi réincarnais en démon. Je suppose que c'est une sorte de punition pour mon acte dit "désinvolte "; mais si les choses c'était arrêter à quatre cornes dont deux juste au dessu de mes oreilles, une peau rose pâle, des cheveux rouge, et une tenue légère ; ça aurait encore été ; mais non... Peut après être rêvenu, apens cent bornes plus loin un homme m'est tomber dessus. Son cadeau était des chênes de fer. Il ma gardé pendant quasiment onze mois ; Et il m'as inspecté dans une pièce lugubre et chaude, il croyait qui si elle était à température normal j'aller mourir (-.-)... Les autres pièces elles étaient rempli de personnes tableaux je le sais car j'ai tué l'homme et je me suis enfuie en passant devant ses pièces ; mais je ne sais pas combien il y en avait et combien d'hommes comme le mien il y avait. Je n'ai donc pas voulue prendre le risque de les aider j'suis consciente que c'est pas cool ; mais tu comprends je... j'ai... j'ai souffert."
Je lui est répondu tout naturellement :"ne t'en fait pas, je peux comprendre." En revanche je me demandais si mon amie fumeuse elle allé comprendre ? À mon grand étonnement oui ; elle était même indifférente à leurs sort ?! Cette fille me surprendra toujours.
Mathilda repris son histoire après un léger coup d'oeil ver **** .
"Je suis donc partie, et j'ai cours pendant longtemps avant de venir ici, et de vous y trouverez. "
Ce fut l'une des semaines la plus original de ma vie. Suite à cette semaine nous avons organisé une importante fête d'anniversaire pour Layline qui allait avoir trente ans et occasionnellement un enfant.
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