- Êtes-vous sûrs qu’il serait prudent pour nous de prendre la route à cette heure ?
- N’oublie pas que nous devons travailler demain
- Il est 3h Joseph
- Plus on se mettra en route, plus on arrivera vite.
- N’oubliez pas ce qu’on nous a dit lorsque nous sommes arrivés dans ce village.
- Ce sont juste des fables pour nous endormir
- Mais qu’est ce que te rend aussi sur de toi ?
- Nous sommes des adultes, rien ne nous arrivera !
- Je pense qu’on devrait vraiment attendre le matin.
Joseph, le plus grand de notre bande s’était donc levé et a déclaré
- Ceux qui veulent rentrer me suivent !
Comptant sur son influence, il savait que de toute notre bande de sept, quatre au moins allaient le suivre. Et c’est ce qui s’était passé.
Lorsque j’étais seulement resté assis avec Denis, nous nous sommes regardés et nous avons compris qu’il était peut-être préférable de suivre tout le groupe et de rentrer tous ensemble tels que nous sommes venus.
- Allons tout de même dire au revoir avant de prendre la route.
En fait, nous étions venus assister une vieille connaissance qui venait de perdre sa grand-mère. Celle là qui l’avait élevée, celle là qui avait fait tout pour elle… Et après quelques heures passées dans ce village isolé et obscure, nous avions décidé de rentrer.
En effet, nous sommes une bande de sept amis dont Joseph le plus grand de tous, Denis, Teddy, Florent, Ricardo, Bertrand et enfin Michel, moi même qui vous raconte cette histoire.
Des personnages que vous allez apprendre à connaître au cours de l’histoire.
- Vous êtes sûrs de vouloir rentrer à cette heure ?
Avec un regard inquiet sur nos personnes avant d’ajouter…
- Le village n’est pas éclairé et il est risqué. La route principale se trouve à 45 minutes de marche puisque actuellement aucune voiture n’est disponible.
Nous avait prévenu la fille qu’on était venu assister. Mais avant que Denis ou moi ne parle, Joseph avait déjà enchaîné deux à trois phrases pour convaincre notre connaissance.
- Non! Ne t’inquiète pas! Nous sommes nombreux, rien ne va nous arriver. On ne peut pas nous agresser.
- Je ne vous parle pas forcément d’agression.
- Ça ira! Si nous n’avions pas de choses à faire ce matin très tôt, on serait resté jusqu’au matin.
- Je pense que c’est la solution.
- Ne t’inquiète pas !
- D’accord ! Alors , vous faites une bonne route
- Merci.
C’est Joseph qui prenait les devants et qui répondait à tout. N’allez pas croire que ça nous gênait, sauf que cette fois, je n’avais pas senti le coup.
Lorsque notre groupe se dirigeait vers le sentier qui menait à la sortie du village, je sentais des regards sur nous et lorsque tu essayais de coincer un regard douteux sur toi, il se déclinait aussi rapidement qu’un éclair.
- Joseph , les gens nous regardent.
- Nous sommes venus avec les gens ?
- Joseph.
- Hey Michel, tu peux toujours rester si tu veux! Cesse de me perturber.
- …
Je ne savais plus quoi dire. D’autant plus que le soutient était inexistant et aussi à cause de la fatigue , je pouvais comprendre le choix de plusieurs d’entre nous.
Nous nous mîmes donc à longer le chemin du village. Celui qui menait à la sortie afin de rejoindre la route principale.
Sandrine, notre amie et connaissance, celle qu’on était venu assister ne nous avait d’ailleurs pas menti sur l’obscurité extrême qu’abritait ce village.
Nous étions en train de marcher , tâtonnant ou mettre nos pieds car il était pratiquement impossible de savoir où l’on marchait.
Sur sept personnes, ce n’était que le bruit de nos pas qui nous accompagnait. Toutes les bouches étaient fermées. On ne pouvait que s’apercevoir un tout petit peu par l’éclat de nos vêtements.
La nuit , à part être obscure se mit à devenir très glacial avec des courants d’air très secs qui transperçaient nos pull-over et nos blousons.
- Quelle heure est il ?
Il y’a Florent qui avait une montre à son poignée et il nous dit qu’il était 3h20mins.
- Je ne sais même pas à quelle heure exactement nous sommes quittés, mais nous n’avions pas encore fait 45 minutes de marche.
- Même pas dix !
- De toutes les façons on y arrivera.
Une fois de plus, le silence se mit à régner entre nous et la marche poursuivit son chemin…
Alors qu’on avait encore marché durant une dizaine de minutes, nous avons entendu au loin des voix et des éclats de rire… D’après notre analyse, il s’agissait sûrement de deux monsieurs qui s’exprimaient d’ailleurs en leur langue vernaculaire mais qui plus précisément étaient en train de s’avancer vers nous, c’est à dire dans le sens contraire.
Tout le monde avait eu peur mais personne ne s’était arrêté… Juste deux personnes ? Nous nous étions sept…
On marchait, la peur dans les ventres mais le courage sur nos visages…
Les voix se rapprochaient mais jusqu’ici personne n’était aperçu au moindre horizon… Pourtant les voix étaient plus proches et surtout se faisaient entendre plus fortement que avant.
Tout le monde était impatient de les voir apparaître devant nous afin qu’on puisse démasquer les identités de ces personnes mystérieuses.
Sans ignorer que le mystère allait encore devenir plus énorme…
Encore une dizaine de marche, sans apercevoir le moindre chat sur la route mais toujours en compagnie des voix mystérieuses qui semblent se raconter une histoire tellement drôle, puisque des rires il y’en a !!
Alors qu’un silence de 5 minutes s’était interposé pendant un moment, nous étions curieux de savoir où étaient passés ces étranges inconnus sur le chemin. Puisqu’on ne les entendait plus du tout et on se demandait bien où ils auraient pû passer.
Le chemin était tel qu’il n’y avait pas une autre issue où on aurait pu dire qu’ils seraient passés.
Tout le monde intérieurement se posait la question de savoir où ils étaient mais personne n’osait exprimer à voix haute , lorsque tout à coup on les entendit , encore, ces même voix.
À la seule différence qu’elles n’étaient plus devant nous, mais plutôt derrière nous. Ils nous avaient donc traversé ? À quel moment ?
Tous les sept, nous sommes retournés au même moment pour regarder mais la noirceur de la nuit ne nous permettait aucune vision explicite…
Dès cet instant précis où après s’être retournés , l’on s’est regardé les uns les autres, dans nos têtes, trottaient bien évidemment la même question
« À quel moment nous ont ils traversés ? »
Il n y avait pas eu moyen de douter un seul instant de ces voix, c’était les mêmes que celles qui étaient devant nous il y’a quelques instants.
- Retournos au lieu du deuil.
Avais je dis avant que Joseph ne rétorque…
- Donc, maintenant ça sera à nous de les suivre ?
- Joseph , on aurait pas dû être ici ! C’est de ta faute
- Regardez, le chemin du retour non seulement est risqué avec ces voix dont on ignore à qui elles appartiennent mais aussi, elle est plus longue que le fait d’arriver à la route principale.
- On aurait même pas dû être là en train de réfléchir ! On aurait dû attendre le matin.
- Nous y sommes déjà ! On ferait mieux de continuer et de quitter cet endroit car, moi même je ne le sens pas.
Au même moment, Joseph qui était en train de parler se mit à regarde autour de lui comme si il avait entendu quelque chose. Lorsque nous aussi, a notre tour nous avons prêté attention, nous étions apeurés de constater que l’atmosphère avait quasiment changer à cet endroit.
On avait l’impression de ne plus être seul mais d’être espionné par des esprits blancs.
Moi, je pourrai même jurer que j’en avais vu se camoufler derrière les gros arbres qui étaient en bordure de route comme si il nous tendait un piège.
- Soit on avance, soit on rentre!
- Avançons !
Je ne saurai jamais vous dire ce qui se serait passé si et seulement si nous étions retournés au lieu du deuil mais ce qui se passera puisque nous avions pris la décision contraire, vous le saurez!
Alors qu’on avançait vers la route principale, les cœurs battants, la broussaille autour de nous, celle qui nous entourait n’était plus du tout vide.
On était suivi par je ne sais qui ou encore quoi…
J’avais l’impression qu’on nous avait interdit de parler mais du regard, on se comprenait. Même Joseph qui avait initié tout celà, avait peur. Seul son faux courage lui permettait d’être devant comme le leader qu’il prétendait être.
- Aïe !
Il y’a Dénis qui s’exclame derrière nous, puisque c’est lui qui est le dernier sur la ligne.
- Qu’est-ce qui ne va pas ?
C’est ainsi que après la question de Henry, tout le monde se retourne vers Denis qui lui aussi nous donne le dos, pour savoir qui vient de le frapper par derrière.
Il ne se posera pas cette question assez longtemps car son agresseur se tenait devant lui.
- Qu’est-ce que c’est ça ?
Devant nous tous, plus précisément devant Dénis, se tenait une silhouette toute blanche et grande de taille dont la tête était invisible.
On avait même l’impression que ça rentrait dans le ciel lorsqu’on avait levé la tête.
La chose se tenait devant nous. Personne ne saurait dire si elle nous voyait pas, puisque nous on ne voyait pas sa tête…
Reste à savoir si cette chose en avait même… Toujoues est il qu’elle était effrayante car jamais nous n’avons vu une créature pareille.
- Ne restons pas là !
Cette fois, c’était le signal et ce que je craignais était arrivé… On se mit à courir comme des bandits pour non seulement fuir cette chose qui ne nous avait d’ailleurs pas suivi mais aussi pour vite retrouver la route principale.
Car , il se disait que la limite des sorciers de ce village était là route principale , nette au niveau où le goudron commençait.
Nous étions donc en ce moment en train de courir de toutes nos forces et ceci sans crier. Seuls les bruits de nos pas retentissant sur le sol, déchirait le silence de la nuit.
- La route !! Je pense que j’aperçois la route.
Je lève légèrement ma tête et mes yeux pour me rassurer que c’est vrai et effectivement, la noirceur du goudron qui se tient à l’horizon essaye de nous annoncer la bonne nouvelle afin de nous rassurer.
Encore quelques pas et nous voici affalés sur le goudron comme de pauvres feuilles après cinq bonne minutes de course.
- Je vous ai bien dit qu’on reste au lieu du deuil et on rentrait le matin.
- Michel, nous sommes déjà en route! Si tu n’es pas content, tu peux rentrer! C’est quoi ces plaintes à tout moment ?
- Mais je pense que Michel a raison…
Lança Dénis avant de continuer…
- Imaginez un seul instant que cette chose m’avait attrapé ?
- Nous avait attrapés…
Avais je ajouté, avant que Joseph ne dise…
- Je pense que nous avons déjà fait le plus dur! Maintenant avançons en attendant qu’une voiture passe et nous porte !
Il est clair que pour le moment, nous étions tous d’accord que faire marche arrière était la dernière des solutions mais nous étions aussi désormais abandonné à notre propre sort dans un lieu qui nous était inconnu jusque là.
Bien que nous étions sur la route principale, rien ne nous garantissait une sécurité et un retour paisible.
Nous nous mîmes donc à marcher vers le chemin de la ville où avec beaucoup de chance et un énorme pourcentage, nous espérâmes trouver un véhicule pour le quartier.
- Pourquoi j’ai l’impression qu’on va arriver à pieds au centre ?
Avait demandé Florent. Puisque ça faisait déjà un bon moment que l’on était en train d’avancer mais aucune voiture ne passait.
Alors qu’on se lamentait de la fatigue et de la rareté du véhicule, on a entendu le goudron vibrer sous nos pieds et là, on s’est tous dit qu’un Véhicule était en train d’arriver.
Effectivement, de loin, nous avons aperçu les phares et nous nous sommes dis être sauvés. Joseph se plaça au milieu de la route pour faire des signes au véhicule mais ce dernier n’avait pas eu l’intention de s’arrêter.
Joseph au milieu de la route, les bras levés , fais des signes au véhicule qui fonce vers lui
- Joseph dégage de la route !
- Joseph il ne va pas s’arrêter.
Lorsqu’on réalise que le véhicule ne va pas s’arrêter , il est trop tard, il a foncé sur Joseph. Tout le monde a enlever son regard pour ne pas assister au massacre.
Mais nos oreilles , n’ont entendu aucun bruit, aucun choc , rien d’anormal pour le moment, jusqu’à ce qu’on se retourne et qu’on voit notre ami debout au milieu de la route, lui même surpris, se tenant le corps.
- Qu’est-ce qui s’est passé ? Où est le véhicule ?
Joseph sue de peur, il respire à peine, il n’a aucune égratignure, juste apeuré. Et il dit.
- Il m’est…il m’est passé dessus comme si… comme si j’étais invisible… Je l’ai senti passer dans moi mais aucun choc.
Soit c’est la voiture qui était passée à travers Joseph , soit c’est Joseph qui était passé à travers le véhicule. Toujours est il que personne n’avait eu de choc.
- Attendez ! C’était quoi ça ?
Personne n’osait répondre… Et c’est après ça que le groupe décida de se diviser.
- Vous savez quoi ? Il n’est pas encore 6h , je préfère rentrer attendre au lieu du deuil. Je pense que ce chemin est encore plus sûr que celui ci.
Dénis après ces paroles s’est mis à faire demi tour et c’est ainsi que moi je l’ai suivi, ainsi que Florent et Bertrand. Les autres ont préféré continuer malgré la peur et sous la peur camouflée d’encouragements de Francis.
- Vous allez nous trouver au quartier.
Lança Henry.
- Bonne route. Où les voitures passent dans le corps des gens là ? Prochainement ça sera quoi l’avion ? Non désolé !
C’est ainsi que chaque groupe prit une direction contraire à l’autre… Bertrand, Florent, Dénis et moi étions en train de rentrer et devant nous, la noirceur qui se présentait devant nous était incroyable , je n’en avais jamais vu. C’est lorsqu’on traversait une zone que je me posais la question de savoir comment est ce qu’on avait même fait pour arriver à ce niveau, tellement on ne voyait rien.
- J’espère qu’on va se retrouver !
- La prochaine entrée à gauche qui sera non goudronnée, on va la prendre.
- Exactement !
Sauf que nous avions longtemps marcher et l’entrée restait introuvable. Ça faisait déjà de longues minutes que nous étions sur le chemin mais aucune entrée depuis.
- Les gars est ce que nous avons autant marché de la sorte ? Vous n’êtes pas sûrs que nous avons traversé cette entrée ?
- Si on l’avait traversée, je pense qu’on l’aurait aperçu ! Avançons encore, elle est peut-être devant.
De toutes les façons, nous n’avions pas de choix… C’était soit remonter pour rattraper les autres qui se trouvaient sûrement déjà à des kilomètres ou alors marcher afin d’arriver dans le village et attendre le matin.
Ça commençait à devenir pénible… S’il fallait totaliser le nombre de kilomètres qu’on avait déjà eu à parcourir depuis notre sortie du village, ça en faisait beaucoup.
J’avais déjà faim et je pense que je n’étais pas le seul…
- Bientôt je sens que je vais m’arrêter de marcher.
Lança Florent.
- Pareillement. Je suis épuisé et je commence à avoir faim.
Ajouta Bertrand…
- C’est la faute à Joseph ! On serait resté au lieu du deuil qu’on n’aurait pas ces problèmes.
- Moi, j’ai soif !
Alors que les trois autres se lamentaient, moi j’ai commencé à suivre des choses… Un bruit qui s’approchait de nous et la discussion semblait être tendue entre les protagonistes.
- Shuuut! Les gars! Taisez vous un moment !
Pendant ce temps, on entend des personnes venir devant nous, ils semblent être trois par là et dans leur causerie, ils disent.
« Je dis que ce n’est pas la première fois qu’il se fou de notre gueule ainsi !! Il n’a qu’à nous respecter! Lorsque les autres sacrifiaient les membres de leurs familles, il était le premier à exiger les têtes… Aujourd’hui pour sa pauvre petite poule qui n’ira même pas en mariage chez lui, il nous torture ? Depuis deux mois ? »
Alors qu’ils se rapprochaient, j’ai demandé à mes amis qu’on se cache dans la broussaille et que l’on y reste sans faire de bruits jusqu’à ce que ces inconnus qui parlaient de sorcellerie traversent.
« Aujourd’hui c’est comme je vous ai dit, si ce décembre nous ne mangeons pas, j’irai moi même attraper sa fille. Je vais m’inviter dans sa propre cours et je vais l’attraper moi même et je verrai ce qu’il va me faire »
Tassés dans la broussaille, voilà les fameux inconnus qui viennent passer près de nous… Et là, nous voyons des choses que jamais nous n’avions vu auparavant.
Je ne sais pas si je saurai dire que ce sont des hommes ou des animaux mais c’en est un mélange.
On peut le confirmer par leur corps d’hommes et leurs pieds d’antilope ou de biches. Ils sont en pleine transformation sûrement pour rejoindre le village.
Je fais signe à mes amis de ne pas parler et de ne même pas avoir peur car le moindre faux geste , qui sait ? Peut nous être fatal…
Pendant qu’ils sont en train de traverser notre zone, on aperçoit dans notre cachette deux petits yeux qui brillent, devant nous.
Ces yeux sont concentrés sur nos personnes.
Ce ne sont pas des yeux humains mais on dirait ceux d’un reptile… Alors que le serpent bougera son corps pour nous attaquer, on confirmera que effectivement nous sommes en face d’un gros mamba noir.
Que faire ?
Se lever et fuir pour se faire repérer par les sorciers ou encaisser la morsure mortelle du serpent.
On a juste quelques secondes de réflexion.
Le serpent est prêt, il s’élance et attaque sans réfléchir quand tout à coup, il est attrapé par les mains fermes de Denis.
Tout le monde est ébahi et le regarde , il nous regarde à son tour et nous fait signe de rester tranquille pendant qu’il appuie la tête du serpent entre ses mains au point d’en finir avec le reptile.
On sort de notre cachette et on lui demande comment il a fait ça, il nous répond…
- Mon grand père m’avait donné les remèdes contre les serpents! Je n’ai pas peur d’eux.
Une explication qui va tout de meme nous satisfaire pour qu’ensuite nous continuons notre chemin…
Cette fois, nous ne faisons pas plusieurs kilomètres lorsqu’on aperçoit une lumière devant nous… Pas moyen de faire marche arrière , on avance et la lumière, plus on avance prend la forme d’une personne.
A quelques mètres , on dirait une femme.
Ce qui est surprenant on retrouve nos amis et le groupe est à nouveau réuni.
Comment est ce possible ? Je n’ai aucune idée. Peut-être nous avons tourné en rond ou alors il a fallu que nos chemins se croisent à nouveau pour nous empêcher de rejoindre le village.
- Michel, Dénis ? Qu’est-ce que vous faites la ? Vous êtes revenus ?
- Nous n’avons jamais fait demi tour ?
- Comment ça ?
- C’est qui cette femme ?
- Aucune idée! Depuis, elle nous barre le chemin en disant qu’elle voudrait que nous soyons tous réunis.
Tellement de questions qui nous taraudent qu’on ne sait à laquelle répondre, avant de sortir de cette situation.
C’est la première fois que nous avons aperçu le fantôme de cette dame qui nous avait dit.
- Vous êtes à nouveau rassemblés, alors je peux m’occuper de vous !
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