La honte

Je me mange la rue-

C'est crade,

La honte monte petit a petit dans ma tête.

Plaquée par terre je tente d'attraper mon sac,

J'aperçois tout le monde en train de me regarder.

J'aime pas le regarde qu'ils me lance.

J'aime pas leur rire.

Ce que j'aime c'est fair comme si personne ne me voyais,bien caché la en face d'eux -

Invisible quoi!

La honte picote ma paumes,

Je ne me relève pas je fixe le sol comme une poussière dans l'œil puis je décide enfin de me relever.

Mais quand leur remarques sont tellement (vicieux) et qu'il éprouve de la pitié pour moi, je reste debout là sans rien faire à écouter leur remarque je me sens lâche et faible.

Enfin une dame décide de m'emmener chez moi j'oublie pas de la remercier,

Ça coûte rien de resté poli !

Je décide enfin d'ouvrir la porte, mon petit frère vient vers moi et me prend dans, c'est bras, et s'écrie.

- joyeux anniversaire Quiane!

J'avais complétement sapé que c'était mon anniversaire je le remercie et rentre dans le salon tout le monde me souhaites joyeux anniversaire.

Je m'en fichais un peu de la fête je suis alors monté dans ma chambre allongé sur mon lit en boule entrain de repensé à la honte que j'ai eu tout a l'heure !

Ma mère m'appela je décide alors de descendre et d'aller la rejoindre dans le jardin arrivé au jardin ma mère, me dit quelque chose qu'il m'a fait pleurer !

Elle me dit

- à ta naissance tu étais parfaite !

J'avais l'impression qu'elle me disait ça parce qu'elle était dégoûtée.

Elle reprend

-Maintenant,

 je te dévisage.

là devant moi, Seize ans !

Une pointe de tristes monte dans ma tête, j'essaie de ne pas finir en sanglots.

Elle continua ce qu'elle disait

-je te regarde, je m'émerveille

  De la forme de ta figure,

  De l'arc de tes sourcils,

  Du rebondi de tes joues

  De la joie de ton sourire

  Et de ton cœur si tendre !

Émue par, c'est paroles je finis en sanglot elle me prend dans ses bras je pensais qu'elle était dégoûtée par mes formes et par mon poids, mais j'oublier le plus important, c'était ma mère après tout elle ne sera jamais dégoûtée de son enfant.

Quelques minutes plus tard mon père vient vers moi et m'annonce que je vais faire de la boxe au début, j'étais pas trop motivée, mais ma famille m'encourage alors je décide de leur faire plaisir et j'accepte.

Le lendemain mon père me dépose là où se situe les cours de boxe,

Je vous m'en pas, mais j'ai eu le traque et l'égoïste mon père me dit

- n'es pas peur je connais l'entraîneur et tu le connais aussi, j'en suis sûre que les gens ne vont pas te dévisager

je n'ai pas compris,

-je connais l'entraîneur ?

Je lui demande un peu perdue, il hoche la tête à cet instant, j'étais curieuse de savoir qui était cet entraîneur que je "connaissais" j'ouvris la porte et je vois.....

A suivre dans le chapitre 2