Bonjour, chers lecteurs j'espère que vous aimerais mon nouveau roman ! Bonne lecture !

Le tintement de la cloche retentit alors qu’Emma refermait la porte du petit café familial. Les lumières tamisées illuminaient les murs ornés de photos de sa mère, une époque où le café prospérait encore. Mais aujourd’hui, l’air était lourd, chargé de la tension qu’elle portait sur ses épaules depuis des semaines. 

— Emma, on a reçu une lettre. 

Son père\, affaibli par des années de dur labeur\, lui tendit une enveloppe beige marquée d’un logo bancaire. Les mains tremblantes\, elle arracha le cachet et lut les mots qui confirmèrent sa peur : **saisie imminente**. 

Le café, leur maison, tout ce qui leur restait, allait leur être arraché. 

— Ne t’inquiète pas, papa. Je trouverai une solution. 

Mais à peine avait-elle prononcé ces mots qu’un homme entra dans le café. Grand, vêtu d’un costume noir impeccable, il dégageait une aura intimidante. Il posa une carte de visite sur le comptoir et la fixa d’un regard perçant. 

— Miss Greene, je suis ici au nom de Liam Carter. Mon patron souhaite vous rencontrer immédiatement. 

— Liam Carter ?! Le PDG des Carter Enterprises ? Qu’est-ce qu’il me veut ? 

L’homme resta de marbre. 

— C’est une question qu’il préfère vous poser en personne. 

Hésitante, mais consciente qu’elle n’avait pas d’autre choix, Emma suivit l’inconnu. 

Liam Carter était exactement comme dans les journaux : froid, impassible, et incroyablement intimidant. Installé dans un fauteuil en cuir, il leva à peine les yeux lorsqu’Emma entra dans son bureau. 

— Mademoiselle Greene, asseyez-vous. 

Elle s’exécuta, sentant son cœur battre à tout rompre. 

— Je vais aller droit au but. Votre café est en faillite, et vous n’avez aucune solution. 

Emma serra les poings. 

— Merci pour le rappel, mais pourquoi ça vous intéresse ? 

Un léger sourire se dessina sur le visage de Liam. 

— Parce que j’ai besoin d’une épouse. 

Le choc la cloua sur place. 

— Pardon ? 

— Mon grand-père a ajouté une clause au testament familial. Si je ne suis pas marié dans les trois mois, je perds ma place à la tête de l’entreprise. Vous êtes un choix pratique. 

Elle éclata de rire, nerveusement. 

— Vous voulez dire que vous m’achetez ? 

— Si vous préférez le formuler ainsi. En échange, je règle toutes vos dettes et je vous offre une vie confortable. 

Emma bondit de sa chaise. 

— Vous êtes malade si vous pensez que je vais accepter une telle proposition ! 

Liam se leva lentement, dominant la pièce de toute sa hauteur. 

— Réfléchissez bien, Mademoiselle Greene. Vous n’avez rien à perdre... sauf tout ce qui vous reste. 

Le dilemme était cruel. Accepterait-elle de sacrifier sa liberté pour sauver sa famille ? 

Le soir même, Emma, les yeux rivés sur la carte de visite, sentit son monde s’effondrer. Avait-elle réellement le choix ? 

J'espère que ça vous a plu. N'hésitez pas à nous laissez un commentaire svp ! Merci !