«Cours s'en te retourner, le monde extérieur va te tuer. Tu ne connais personne dans ce monde, tu n'es qu'un étranger.» Ces paroles, je me les chantais à chaque fois que je me sentais mal à cause de quelqu'un. On dit de moi que je suis timide et introverti, même trop. Ce n'est pas que j'hésite à parler avec d'autres personnes, c'est juste... C'est juste que j'ai peur. J'ai peur du monde extérieur, des gens que je ne connais pas. Car qui sait, ils pourraient me faire du mal. Même si ce n'est pas volontaire et c'est se qui se passe à chaque fois que je sorte de chez moi.
Mais vous savez, je n'ai pas toujours été comme ça. Avant j'avais des amis, une meilleure amie et une famille. Mais tout a changé depuis ce jour là. Ce fameux jour où tout a basculé. Ce jour où mon père est mort de mes mains. Oui, je suis un meurtrier. Mais ce n'est pas par rancœur ou par plaisir que je l'ai tué. Enfaîte, je ne sais toujours pas pourquoi je l'ai tué.
C'était un jour comme les autres, je rentrais du lycée, fatigué de ma longue journée. Puis mon père m'a disputé pour avoir envoyé une de mes camarades aux urgences. Bien sûr, j'avais mes raisons. Je sais que j'étais aller trop loin ce jour-là, mais... Je n'ai pas su me contrôler. Elle avait blessé mon ami, Tobias. Cette sale Aaliyah, je ne supporte pas qu'on fasse du mal à mes proches. Alors je lui ai mis mon point dans son visage et après ça, trou noir.
Je ne me souviens plus de ce qui s'est passé. C'est comme ci quelqu'un ou quelque chose avait prit possession de moi. Tout ce que je sais, c'est ce que ma professeure, Madame Nicole m'a raconté. Le fait que j'ai battu Aaliyah de sang froid. Alors que je repensais à tout cela, mon père me gronda en me posant mille questions, j'essaie de m'expliquer. Mais il me coupa la parole à la moindre occasion. J'étais frustré et c'est là que c'est arrivé. C'est à ce moment là que j'ai instinctivement prit la paire de ciseaux et lui est envoyé dans la gorge de mon père. Il mourrait lentement devant mes yeux. Je l'ai fixé du regard, le corps tremblant. Je ne pouvais bouger, j'étais comme paralysé, horrifiée de ce que j'avais fait. En une phrase, j'avais tué mon père
Une fois que mon père ne respirait plus, ma mère entra dans la pièce. Elle me prit dans ses bras et me demanda d'un ton calme «Que c'est-il passé, Géno ?». J'aurais pu prétendre ne pas savoir, mais je savais que je ne pouvais pas lui mentir. Je l'ai prit dans mes bras en pleurant et d'un ton désespéré je lui ai dit. Je lui ai simplement dit, «Je suis désolé... pardon...».
Ma mère me dis confuse «Mon chat, je ne comprends pas. Explique-moi.». Je ne pouvais pas la regarder dans les yeux. Je n'y arrivais pas. Alors en regardant le sol, je lui ai dit «C'était moi.». Son visage se blanchit en un instant. Elle me repoussa et me traita de monstre avant de me virer de la maison. Je ne sais pas pourquoi, mais elle n'a jamais prévenu la police. Et les enquêteurs sur la mort de mon père n'ont jamais abouti.
J'ai vécu quelques mois chez ma meilleure amie, Élodie. Jusqu'au jour où j'ai décidé de me confier à elle. Je lui ai dit que j'avais tué mon père et que je regrettais. Je m'y attendais, mais j'avais l'espoir qu'elle me pardonnerait. À la place elle m'a menacé de prévenir la police si je ne partais pas de chez elle. Élodie, ma meilleure amie et amie d'enfance a brisé notre amitié. Où est-ce de ma faute ? Est-ce que ne mérite rien d'autre d'être haï et rejeté pour mon crime ?
Après en je vis dans une maison abandonnée. Il n'y avait pas d'électricité au départ. J'ai donc du arrêté les études et me mettre à trouver un boulot. Je suis devenu serveur dans un petit restaurant. Avec cet argent, j'ai pu m'acheter de quoi vivre confortablement dans cette maison abandonné. J'ai coupé tout contact avec mes amis, mes proches de peur d'être blessé en retour.
Géno regarde le ciel étoilé par la fenêtre de sa chambre et se dit «Tiens, il est déjà si tard ? Je devrais aller me coucher.». Il se mit en pyjama avant d'aller dormir dans son lit. Deux heures plus tard, Géno se leva brusquement de son lit.
«Pourquoi, je n'arrive pas à m'endormir !? Ça m'énerve !» Géno soupira et se dit «Calme-toi, ça ne sert à rien de s'énerver.». Il ouvrit son armoire, prit des habits pour sortir et se changea. «Sortir un peu devrait me faire du bien.», c'est sur c'est mots que Géno sortie de chez lui et se promena dans le village. Il fit vite le tour, ce qui ne l'arrangeait pas, car il n'avait toujours pas sommeil. «Géno, Géno. Pourquoi es-tu comme ça ?». C'est alors qu'un groupe de gangster croise son regard. «Euh... un problème, les gars ?» demanda Géno aux gangsters. Un des gangsters qui se démarqua des autres, s'avança vers Géno et dit «Wouah, mais ça alors. Ne serai-ce pas notre bon vieux Géno que voilà ?». Géno ne comprenais pas ce que ce jeune homme lui disait alors il prit les choses en mains en lui demandant qui il était et s'il se connaissait. Le jeune gangster qui semblait être le chef du groupe prit Géno par le t-shirt et lui demanda «Tu ne me reconnais vraiment pas, Nono ?»
"Nono" ce surnom que seuls ses anciens amis lui donnait. Géno comprend qu'il n'était pas un étranger, regarda le jeune chef de plus près. Tout d'un coup un nom lui venu en tête. «Rudy ?» dit-il pas sûr de sois. Le jeune chef fit un large sourire en relâchant Géno qui recula d'un pas. «C'est bien moi. Rudy, ton vieil ami.», dit le jeune chef. Géno était surpris même abasourdi de constater que son ami avait t'en changer. Après tout maintenant ils avaient tous les deux 19 ans. Normale qu'il est changé physiquement. Mais il n'y avait pas que ça. Géno le voyait, Rudy avait beaucoup changé. Que ce soit au niveau vestimentaire ou au niveau du comportement. Il décida donc de posé la question suivante «Rudy, pourquoi as-tu changé ?». Rudy était fou de rage et lui répondit «Moi j'ai changé ? J'ai toujours été comme ça, Géno ! J'ai toujours eu cette force, ce pouvoir. Mais toi, tu m'as affaibli ! Tu m'as rendu faible et misérable. Après que tu sois partie sans un mot, j'ai réussi à retrouver le vrai moi. Mais maintenant que je te regarde. N'est-ce pas toi, qui est changé ?».
C'est mots... était peut-être vrai après tout. La personne qui est le plus changé entre ces deux anciens amis, c'était bien Géno. Lui qui avait toujours le sourire aux lèvres, qui était si extravertie envers ses proches. Géno le savait et pourtant il ne put lui répondre. «Quoi ? T'as perdu la langue ?», dit Rudy d'un ton insolent.
Géno ignora son vieil ami en détournant du regard. «Tu comptes vraiment m'ignorer ?» dit Rudy en allument un briquet qui était dans la poche de sa veste en cuire. Un des gangster se mit à hausser le ton, «Non mais toi ! Comment oses-tu ignorer le boss !?». Géno commençait à être mal alaise, vu la situation dans la qu'elle il est.
Rudy mit au tapis le gangster qui avait haussé le ton. «Toi, tu te la boucles, c'est compris !? Sale chien !» cria Rudy d'un air agacé. Géno compris que c'était sa chance pour sortir de cette situation. Il se mit donc à courir loin de ces gangsters. «Boss, il s'enfuit !» cria un autre gangster.
Rudy était encore plus en colère qu'il ne l'était. Il se mit donc à la poursuite de Géno avec ses larbins de gangsters. Géno entra et s'enfonça dans une forêt pour les semer. «Mais qu'est-ce que vous faites !? Dépêchez-vous de le rattrapé !», cria Rudy à ses gardes. Les gangsters déjà essoufflés font de leur mieux pour suivre Géno.
Géno ne fessant que se concentré sur sa fuite oublie de regarder devant lui et fini par tomber dans un trou qui l'emmène dans un autre monde. Le monde des monstres. Il tomba la tête la première dans un champ de fleurs doré et s'évanouie dû au choque à la tête.
Un peu plus tard, un enfant squelette accompagné de son père trouva Géno. «Papa, ça serait pas un humain ?», demanda l'enfant squelette. «Tu as raison Papyruss. C'est bien un humain.», répond le père du jeune squelette. «Il a les yeux fermés et ne bouge pas. «Est-il mort ?», demande le jeune squelette. Le père de l'enfant squelette vérifie la respiration de Géno et dis à son fils qu'il était en vie. Le petit squelette demanda donc s'il pouvait le ramener dans leur maison. Le père squelette hésita, mais fini par accepter la demande de son fils. Le petit squelette tout heureux fit un câlin à son père.
La petite famille squelette emmène Géno discrètement dans leur maison. Le lendemain matin, Géno se réveilla dans une chambre d'ami. «Où suis-je ? Que c'est-il passé ?», se demanda Géno dans sa tête. Il entend du bruit venant d'en bas, la voix de deux hommes pour être plus précis. Géno se dit que ça ne coutait rien d'allé y jeter un coup d'œil. C'est alors que le jeune squelette entra dans la chambre. «J'hallucine, c'est un squelette qu'il y a devant moi ?», pensa Géno. «Tu as l'air surpris, humain.», chuchota le petit squelette. Géno pensa qu'il était en train de rêver, mais confirma que ce n'était pas le cas en se pinçant la joue. Le jeune squelette demande en chuchotant à Géno s'il c'était fait mal en l'appelant "Humain". Géno se baissa pour être au niveau à son niveau et le rassure en lui disant que tout va bien. Le jeune squelette sourit en entendant cela. «Moi je suis le grand Papyruss Gaster, et toi humain ? Quel est ton nom ?» demande le jeune squelette en chuchotant. Géno lui répondit en lui donnant juste son prénom. «Géno, c'est vraiment cool comme nom !», chuchote Papyruss en tenant un bout du manteau bleu de Géno. «Dit moi Papyruss, où sonr tes parents ?», chuchote Géno. Papyruss lui répond en chuchotant que son père discute actuellement avec le roi de l'Undergrand dans la cuisine. En entendant les mots "roi" et "Undergrand", Géno compris qu'il était dans un autre monde même si l'existence de Papyruss lui avait déjà donné la puce à l'oreille. «Peux-tu m'emmener à eux ?», lui demande en chuchotant.
Mais Papyruss était contre car son père ne voulais pas que Le roi voit l'humain. Géno compris et demanda donc si Papyruss avait quelque chose à manger sur lui. Papyruss lui répond en lui offrant un cookie au chocolat. Géno le remercie, prit le cookie, se redresse, s'assoie au bord du lit et mangea le cookie. Papyruss demanda comment était mon cookie et Géno lui répond que le cookie était un peu dure, mais mangeable. Ce qui rend Papyruss heureux restant savoir que d'habitude les gens n'aime pas ses cookies et finissent par les jeter. «Papyruss, mon grand. N'écoute pas ce que te dise les autres. Ce qui compte est ton avis et celui de personne d'autre.», lui chuchote Géno.
Pendant ce temps là, du coté du père de Papyruss et du Roi. «Asgore, je te prit de te calmer. Mon fils dort actuellement.», dit le père de Papyruss tout en sirotant son café. «Exuse-moi Gaster, mais j'ai vraiment besoin toi.», dit le roi de l'Undergrand. «Sache que je suis très occupé, c'est temps ci.», dis Gaster, le père de Papyruss. «Je sais que tu prends ton rôle de père à cœur, je sais se que c'est étant moi même père. Mais Gaster, tu es le scientifique royal. Tu ne peut pas continuer à ignorer ton travail.», dit le roi Asgore.
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