Marco se tenait là, haletant, les mains tremblantes alors qu'il scrutait la porte de la chambre. La nuit précédente, il avait été submergé par une vague de phéromones alpha, un parfum entêtant qui l'avait fait perdre tout sens de lui-même. Il se remémorait encore les yeux perçants de Sal, l'homme qui avait fait chavirer son monde.

#La nuit précédente

« Que, Q-que faites vous à cette fille... » avait marmonné Marco d'une voix presque inaudible, mais pas aux oreilles de l'alpha.

Sal avait ri, un son rauque et amusé. « Tu crois vraiment que tu peux me donner des ordres, ? » Ses hommes avaient commencé à s'approcher, prêts à exécuter ses ordres.

il tira les cheveux de la fille de sa main dans les cheveux de cette dernière et se redressa faisant affaissé le lit.

L'odeur d'agave sucrée c'était rependu dans toute la pièce en quelques secondes.

Sal étai curieux. l'odeur ne provenait d'aucun Omega dans cette pièce. l'odeur étai fruité mais pas assez dense juste comme un fruit immature ou...un Omega qui entre en chaleur pour sa première fois.

« Rattrapez-le ! » avait-il commandé d'un ton autoritaire, faisant signe de la main. Marco s'était alors enfui, courant comme s'il était poursuivi par une bête sauvage, le cœur battant à tout rompre.

Mais , tout comme le précédent jeune homme, les hommes avaient finalement réussi à mettre la main sur lui.

De retour dans la chambre de Sal, l'air était lourd de phéromones de l'alpha. tout avait été nettoyé comme s'il attendait son arrivé. aucun Omega n'était plus là. Marco se sentait perdu, englué dans cette atmosphère enivrante. Il avait chaud, une chaleur qui le dévorait de l'intérieur.

Salvatore "sol" Moretti :<> dit il amusé.

Le lendemain matin, il se réveilla en sursaut, le souvenir des événements de la nuit lui revenant en pleine face comme une claque. Le ventre noué par la peur, il se précipita vers la salle de bain pour vomir.

Un homme entra alors, l'air indifférent. « Tu es réveillé ? » demanda-t-il.

Marco toussa affreusement, essayant de reprendre contenance. L'homme soupira. « Prends un bain et descends. Une voiture t'attend en bas. On dirait que Sal est curieux à ton sujet. »

« Je n'ai pas envie de le voir ! » rétorqua Marco, la voix tremblante.

« Ce n'est pas une option. Fais ce que je dis. »

En bas, dans la voiture, Sal tenait une carte d'employé avec une fiche d'information à la main.

« il as un neveu. Et sa sœur est hospitalisée... » dit Sal avec un sourire presque indifférent.

#En haut

Marco se figea un instant en entendant les mot de l'homme. Il devait agir vite. Il se dirigea vers la commode et vit un chèque de 50 millions de dollars. Ses yeux s'écarquillèrent de choc.

« Qu'est-ce que c'est que ça ? » murmura-t-il pour lui-même. « Il a mis un prix sur cette nuit... »

Il se mordit la lèvre, réalisant qu'il n'aurait pas à demander d'argent à Sal. « Tant mieux... » pensa-t-il avec amertume.

Prenant une décision impulsive, Marco quitta la chambre en trombe et se dirigea vers l'hôpital. Lorsqu'il arriva à la chambre de sa sœur, il était couvert et portait des lunettes de soleil pour cacher son regard fatigué, les cernes et les suçons.

Sal l'avait irrespectueusement marqué comme sa chose alors qu'il était inconscient. quoi que dans les souvenirs de Marco, il suppliait de le faire et de faire bien pire.

Marco Rossi ( pense): <>

Mais ce qu'il vit le frappa de plein fouet : le docteur couvrait Isabella d'un drap blanc.

« Non ! Pour...pourquoi ?! comment voulez vous qu'Isabella respire avec ça! où sont tous l'équipement. pourquoi vous avez tout retiré. je...j'ai l'argent ! » s'écria Marco.

Le docteur le regarda avec compassion. « Elle nous a quittés il y a une heure... »

Le visage d'Isabella était paisible, comme si elle n'avait aucun regret. Marco fondit en larmes, criant : « Pourquoi après tout ce que j'ai fait ?! »

Soudain, un vertige le prit et il perdit connaissance.

Lorsqu'il se réveilla, il était dans une chambre d'hôpital avec une perfusion. « Qu'est-ce qui ne va pas ? » demanda-t-il au docteur qui était présent. il était fatiguée. il pouvait à peine bougé.

« Tu as eu une réaction... » répondit le médecin en consultant son dossier. « Tu viens de devenir un Omega. »

Marco était stupéfait, incapable de croire ce qu'il venait d'entendre. « Ce n'est pas possible ! Je suis bêta ! »

Le docteur hocha la tête avec sérieux. « C'est possible si tu as été exposé à un Alpha vraiment dominant. »

Marco haletait, submergé par l'angoisse et la confusion. « Je..»

« Il va falloir attendre quelques mois avant de savoir si tu es enceinte. la période de rut chez ce type d'Alpha n'est pas à prendre à la légère. le mieux pour toi c'est d'appeler ton petit ami... » conclut le docteur d'une voix apaisante mais ferme.

Marco ferma les yeux,

Marco Rossi: <>

les larmes coulent une à une puis un flot.

Marco Rossi: <>

Chapitre 5 : Retour à la Maison & Premier jour d'école

1mois était passé depuis tout ça. Marco avait déposé sa lettre de démission dans le bar où tout c'était produit.

le plus dure c'était les premières semaines. demise ne parlait à personne et ne mangeait pas. Marco étai complètement dépassé.

Avec l'argent, Marco avait acheté une petite maison hors de la ville. il avait inscrit son neveux dans une meilleure école et avait ouvert un petit café.

Oui. il avait arrêté ses études.

Marco Rossi (pense): <>

pense t'il regardant son ventre plat.

Deux semaines après la mort d'Isabella, Marco s'était laissé allé, au point où un jour alors qu'il s'était réveiller le corps lourd , il y avait du sang sur son pyjama.

Demise étai le premier à le remarquer. ça lui avait rappeler l'état de sa mère. il avait eu tellement peur qu'il avait pleuré et serrer Marco en lui demandant de ne pas mourir lui aussi.

c'est comme ça qu'ils se sont de nouveau rapprocher.

finalement, à l'hôpital, il s'est avéré que c'était un début de fausse couche et que Marco étai enceinte de deux semaines.

##

Une fois rentré à la maison, Marco se tenait dans l’entrée, le cœur lourd. La douleur de la perte d’Isabella pesait toujours sur lui , même après toutes ces semaines. Il essuya ses larmes avec le dos de sa main et prit une profonde inspiration avant d’entrer dans le salon.

il ne savait plus trop où donné de la tête. entre Demise, son neveu et cet enfant indesiré. il n'avait pas encore décidé quoi faire du bébé ni ce qu'il dirait à cet enfant au sujet de son père.

soudain il sentit les larmes coulés.

Marco Rossi(pense): <<.. Maintenant hic je comprends comment tu t'es sentie sœur. SNIF'* je suis tellement désolé!>>

Demise jouait avec des blocs de construction.

Marco s’approcha doucement et s’accroupit à côté de lui. Le petit garçon leva les yeux.

« C’est magnifique, Demise », reprit Marco avec un sourire forcé, essayant de cacher son chagrin. Il savait qu’il devait être fort pour l’enfant. « Tu veux que je t’aide ? »

Demise hocha la tête sans rien dire de plus. ils construisirent le château, empilant les blocs colorés. Marco se concentra sur les blocs essayant de chasser les pensées sombres qui l’assaillaient. Mais chaque pierre posé lui rappelait Isabella, chaque coup d'œil de Demise était un rappel cruel de ce qu’il avait perdu.

Après un moment, Demise s’arrêta et regarda Marco .« Tonton, pourquoi tu pleures encore ? Maman est au ciel maintenant, elle est avec papa. Elle doit être heureuse.>>

Marco baissa les yeux, cherchant les mots. « Je… je sais. Mais...elle me manque beaucoup, »

Demise acquiesça lentement, ses yeux s’embuant légèrement. « À moi aussi… mais je sais qu'elle aurait voulu plus que tous que nous soyons heureux aussi. »

Le cœur de Marco se serra. Comment pouvait-il être heureux sans sa sœur ? « Je ferai de mon mieux pour toi, Demise. Je te promets que je serai là pour toi, toujours. »

il l'enlace doucement. la main de l'enfant effleure son ventre et Marco ne pu plus retenir ses larmes.

Ils continuèrent à jouer jusqu’à ce que la nuit tombe. Marco prépara un dîner simple et les deux partagèrent un repas silencieux, chacun perdu dans ses pensées. Quand vint l’heure du coucher, Marco borda Demise dans son lit et lui lut une histoire.

Cette fois demise ne se plaignit pas une seule fois. il ne s'était pas plaint une seule fois depuis la mort de sa mère.

Marco Rossi: <>

Demise Rossi: <> dit il les recouvrant de la couette.

Oui. Demise avait également un peu changé. il prêtait plus attention à son oncle et prenait soin de lui.

Alors qu’il fermait les yeux, Marco se sentit plus seul que jamais. Il avait la responsabilité d’un enfant et du sien à naître sur ses épaules, mais il se demandait comment il pourrait remplir ce rôle sans sa sœur à ses côtés.

si au moins Isabella étai là. pensa t'il .

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Le lendemain matin, Marco se leva tôt pour préparer Demise pour sa première journée d’école. Le petit garçon était excité, sautillant autour de l’appartement avec son cartable flambant neuf sur le dos. Marco ne pouvait s’empêcher de sourire en voyant l’enthousiasme de son neveu.

Demise Rossi:<> dit il en attrapant sa boîte à goûter.

soudain Marco se rendit compte que Demise faisait le pitre pour lui. pour qu'il soit moins stressé.

« Prêt pour ta grande aventure ? » demanda Marco en ajustant le sac sur les épaules de Demise avec un grand sourire.

« bien-sûr.Je vais me faire plein d’amis. » s’exclama Demise en ouvrant la porte.

Ils marchèrent ensemble vers l’école, main dans la main. En chemin, Marco observa les autres enfants accompagnés de leurs parents, riant et discutant joyeusement. Une vague de tristesse l’envahit . ni demise , ni son futur bébé n'auraient ça, n'est ce pas?

Les autres enfants avaient des familles entières derrière eux, tandis que Demise était seul avec son oncle.

Arrivés devant l’école, Marco prit une profonde inspiration avant d’entrer. L’établissement était rempli d’enfants bruyants et animés, et une maîtresse accueillante se tenait à l’entrée.

« Bonjour ! Tu dois être Demise ! » dit-elle avec un grand sourire. « Bienvenue à l’école ! »

Demise sourit timidement et se tourna vers Marco. « Tonton, tu restes avec moi ? »

Marco se pencha et lui caressa doucement la tête. « Je vais rester juste un moment pour m’assurer que tout va bien, d’accord ? »

Il observa alors son neveu interagir avec les autres enfants. Certains semblaient déjà avoir formé des groupes d’amis, riant ensemble et partageant leurs jouets. Demise se tenait un peu à l’écart, regardant , près de son oncle.

il tient la main de Marco.

Demise Rossi: <>

Marco ne pu s'empêcher de laisser échapper un petit rire.