Homme masqué : Rentrer, il y a que lui à l'intérieur.
Homme masqué : L’information à été vérifiée ?
Homme masqué : Fait moi confiance.
Je sortais du salon pour me rendre dans la terrasse, un verre de vin blanc dans la main, j’avance vers l’extérieur une main dans la poche. J’entends un énorme bruit venant du portail, ce que j’ai trouvé étrange. Car étant donné l’endroit où je me trouve, c’est plutôt inhabituel d’entendre ce genre de bruit ici.
Je m’appelle Hugo Lombardie, fils unique de la célèbre famille mexicaine, Lombardie. Aujourd'hui, j'ai eu officiellement 35 ans. Pourtant, je suis seul, dans le grand ranch familial qui se trouve dans un village qui s'appelle Huamantla, Vraiment très loin de Mexico où je vis habituellement.
Ma famille est connue pour avoir créé la plus grande entreprise de fabrication de déserts en grande distribution dans tout le pays. Lombardie Conglomeration à été créé par mon grand père, Don Rodrigo Lombardie et après sa mort, son fils Roberto Lombardie à hérité de la fortune familiale, puis, ça été mon tour, le fils unique de Roberto d’être son héritier et responsable de l’empire famille.
Je suis marié depuis 8 ans avec Rebecca, avec qui j’ai eu une jolie petite princesse, Huyana, 7 ans. Pourtant, je suis là tout seul, dans ce ranch qui appartient à ma famille, le jour de mon anniversaire.
Moi : Vous êtes qui ?
Deux hommes masqués sont arrivés derrière moi et me menacent chacun avec une arme. Je fais tombé immédiatement le verre de vin que j’avais dans la main
Homme masqué : Monsieur, vous allez me suivre sans faire de vagues. Sinon, nous n'aurons pas le choix que de vous tuer sur place.
Je commence à paniquer, car je comprends que je suis en train d’être victime d'une tentative d’enlèvement.
Moi dans ma tête : Comment une chose pareille peut arriver ici ? Cet endroit est réputé pour sa tranquillité pourtant…
Homme masqué : Dépêchez-vous ! Avancé…
Le mec masqué me pousse brusquement dans le dos pour m’inciter à avancer, j’ai les deux mains en l’air. Je me souviens que j'avais des armes dans la maison tout à coup.
Moi dans ma tête : Imbécile ! Pourquoi tu n’as pas pensé à prendre une arme avec toi ?
Je ne vois pas d'autres issues. Je commence à me faire à l’idée que je serai bel et bien kidnappé.
Ce n’est pas la première fois que ma famille subit ce genre d’attaque, ce qui en soit, n’est pas si surprenant. Étant donné que nous sommes une famille riche, très connue. Il serait même étonnant qu'on ne cherche pas à nous kidnapper pour des demandes de rançon. Mais j’ai toujours refusé de prendre de garde du corps. Je n’aime pas l’idée d’avoir tout le temps des gens autour de moi, mis à part mon chauffeur Batolo. Même si mon père à toujours insisté pour que j’en prenne.
Inconnu : Écoutez bien les gars, parce que je n’ai pas l’intention de répéter. Je vous donne cinq secondes pour le lâcher et vous en aller. Parce que sinon, je vous promets que vous allez le regretter.
J’ai entendu la voix de cette personne, alors que j’étais en pleine réflexion pour essayer de trouver un moyen de m'échapper. Malgré la menace des hommes masqués qui tiennent leur armes pointés sur moi, je n’ai pas pu résister à la curiosité de me retourner pour voir qui cela peut bien être.
Moi dans ma tête : Je crois que Dieu à envoyé un ange pour me sauver.
Ignacio : Vous attendez quoi ? Les cinq secondes sont sur le point de s'écouler là.
Je n’ai jamais été attiré par les hommes, d’ailleurs, je ne pense pas avoir déjà pensé en voyant un homme, qu’il était beau ou mignon auparavant . Mais celui-ci, dès que je l’ai vu, je l’ai tout de suite trouvé extrêmement mignon. Voilà ! C’est la première chose qui est venue dans ma tête. Qu’est-ce qu’il est mignon !
Homme masqué : Occupe toi de lui. Il nous fait perdre du temps là.
Ignacio : Dommage ! Vous l’aurez cherché.
Je regarde impressionné cet homme qui en moins de cinq secondes, à réussi à mettre Caro le mec masqué qui paraît peser le double de sa taille, en faisant des gestes que je ne saurais qualifiés pour le moment. Je ne sais pas si c’était du karaté, du taekwondo, aucune idée. Tout ce que je sais, c’était impressionnant.
Ignacio : Tu veux tenter ta chance aussi ?
Ce que je trouve encore plus incroyable, j’ai comme l'impression qu’il s’amuse. Comme s'il n'y avait aucun danger et qu’il savait que rien ne pourrait lui arriver. Je suis en admiration totale.
Homme masqué : Je vais te faire regretter de t’être mêlé de ce qui ne te regarde pas.
Après avoir dit cela, le mec masqué s’éloigne de moi pour aller s’approcher de cet inconnu. Normalement, j’aurais dû en profiter pour m’échapper ou bien appeler la police. Mais non , je ne fais rien. Je suis tout simplement captivé par cet inconnu.
Et une fois de plus, en moins de cinq secondes, il réussit à mettre Caro l’autre individu. Les deux hommes masqués finissent par prendre la fuite en boitant. Je les regarde s’éloigner et je ne peux m’empêcher de rire.
Ignacio : Vous allez bien, monsieur ?
Je me retourne pour voir que celui-ci se tenait à côté de moi et naturellement, mes yeux vont se poser sur sa main qu’il a posé sur mon épaule. J’ai pris quelques secondes pour réaliser ce qu'il se passe et pour répondre à sa question, qu’il me repose à nouveau.
Ignacio : Monsieur, vous allez bien ?
Moi : Vous voulez être mon garde du corps ?
C’est fut la première chose qui est sortie de ma bouche et je n’ai pas réfléchi, je me suis aussi rendu compte que je ne pouvais pas arrêter de sourire.
Après qu’il ait retiré sa main sur mon épaule et s’être éloigné un peu de moi, je le vois qui éclate de rire, comme si j'avais dit une bêtise.
Ignacio : Moi. Votre garde du corps ? Non, ça ne va pas être possible, monsieur. Je ne suis qu’un homme de la campagne. Comment pourrais-je être votre garde du corps ?
Absolument tout me fascine chez cet homme, je ne saurais comment l’expliquer. Je n’arrive tout simplement pas à arrêter de le regarder et de lui sourire. Mon regard parcourt ses longs cheveux qui semblent un peu mal entretenus, mais qui pourtant lui donne un côté irrésistible. Je regarde ses lèvres sèches et son beau sourire, ses habits très modestes et surtout ses yeux de noisettes.
Ignacio : Ah ! J’ai oublié de me présenter. Je m’appelle Ignacio Benitez, Natcho pour les intimes.
Il me dit cela avec un large sourire, tout en me donnant la main. Je serre sa main contre la mienne et c’était comme si de l’électricité me parcourait tout le corps. Il ne me donne même pas le temps de parler, il continue après m’avoir lâché la main.
Ignacio : J’ai entendu dire par les voisins que vous étiez à la recherche d'une personne pour entretenir le ranch et le maintenir propre, même quand vous et votre famille ne viennent pas souvent ici. C’est pour cela que je suis venu et quand j’ai vu ces hommes rentrer, je me suis caché pour mieux les prendre par surprise et…
Il est très animé dans ce qu’il dit et moi, bien que je l’écoute parler, je ne peux m'empêcher de répéter dans ma tête
Moi dans ma tête : Il s’appelle Ignacio Benitez , Natcho pour les intimes
Comme si je voulais graver ce nom dans ma tête pour toujours.
Moi : Enchanté, Ignacio. Moi c’est…
Je n’ai même pas le temps de terminer ma phrase. Il me coupe la parole.
Ignacio : Hugo Lombardie. Qui dans ce pays ne vous connait pas vous, ainsi que votre famille ?
Il dit cela avec un large sourire, que j’ai l’impression fait accélérer mon rythme cardiaque à chaque fois qu'il le fait.
Ignacio : C’est pour cette raison que je veux travailler dans votre ranch, monsieur. Je vous promets que vous ne serez pas déçu si vous me donnez le job.
Moi : Je suis vraiment désolé, j’ai déjà trouvé quelqu'un pour ce poste. Mon chauffeur m’avait emmené une personne ce matin.
Je le vois très déçu après avoir dit cela, il baisse même la tête. Je décide de continuer à parler
Moi : Mais ma proposition initiale reste intacte. Je veux que vous soyez mon garde du corps.
Il se remet tout de suite à rire de nouveau, il trouve visiblement très drôle ma proposition.
Ignacio : Je vous l’ai déjà dit. Je ne peux pas faire ce genre de travail. Je ne sais même pas comment tenir une arme, comment je vais pouvoir vous protéger ? Non, merci. Ce n’est pas pour moi.
Moi : Très bien, je ne vais pas insister. Mais au moins, permettez-moi au moins de vous récompenser pour m’être venu en aide.
Avant qu’il puisse me répondre, je vois arriver mon chauffeur Batolo, il est accompagné de deux policiers. Je ne sais pas comment ils ont su ce qu’il s’était passé, car Batolo était censé être en route pour Mexico, récupérer ma femme à l’aéoport.
Policiers : Vous allez bien monsieur Lombardie ?
Moi : Comment vous avez su ce qu’il s’était passé ? Je n’ai pas appelé la police pourtant
Ignacio : C'est moi qui avait appelé la police avant de rentrer. Malheureusement, vous êtes arrivés bien trop tard.
Ignacio me semble être un homme direct, qui dit les choses comme il le pense. C’est évident qu’il n’est pas un homme de la ville, c’est quelqu'un de simple, le genre d'homme qui n’ont qu’une parole.
À vue d'œil, je dirais qu’il est un peu plus jeune que moi. Je lui donnerai 30, voire 32 ans, pas plus. Je ressens beaucoup de curiosité envers cet homme, quelque chose attire mon attention sur lui et je ne sais pas pourquoi.
Moi : Et toi, Batolo, qu’est-ce que tu fais là ? Tu ne devrais pas être en route pour Mexico en ce moment ?
Batolo : Votre père m’a appelé et m’a demandé de revenir auprès de vous. Il avait peur qu'on essaie de s'en prendre à vous et d’après ce que je vois, il n’avait pas tort
Ce vieux Roberto pense encore qu’il peut diriger ma vie, même si cela fait déjà des années que c’est moi le chef de la famille. Depuis la mort de ma mère, il est devenu encore plus insupportable. Mais je sais que je vais devoir le supporter jusqu'à sa mort.
Policier: Pouvez-vous nous accompagner au poste pour la déposition ? Peut importe ce que vous avez comme information, cela pourra nous être utile pour l’enquête
Ignacio : Bien-sûr monsieur les policiers. Si je peux être utile…
Ignacio se met à suivre tout de suite les policiers et alors que je ne m' y attendais pas, il s’est retourné pour me regarder et me faire un sourire. Le naturel de cet homme me fascine beaucoup, c'est une évidence.
Moi : Batolo, je voudrais que tu me trouves des informations sur cet homme, il s’appelle Ignacio Benitez. Je veux qu’il soit mon garde du corps.
Batolo : Très bien monsieur. Vous aurez cela dès cet après midi.
Batolo est ancien Marine, il a dû abandonner sa carrière suite à un accident qui l’a laissé avec un œil en moins et un pied boiteux. Cela fait des années qu’il est à mon service, je peux dire qu’il est aussi mon assistant. C’est quelqu'un qui parle très peu, mais il est très efficace.
Le point de vue de Ignacio
Quand je suis arrivé devant le grand portail du ranch, j’ai tout de suite vu les deux hommes masqués. Je me suis précipitée pour me cacher.
Moi dans ma tête : Heureusement j’ai eu cette panne sur la route. Sinon, je n’aurais pas pu les surprendre
J’ai décidé de prévenir la police, avant de rentrer après eux et comme je l’avais imaginé, ces bandits sont là pour essayer de kidnapper monsieur Lombardie.
Moi : Bon, Ignacio, c’est le moment de mettre en pratique les leçons de capoeira que t’a enseigné ton père toute ta vie…
Je me suis dit cela à moi-même comme pour me donner du courage, avant de m’approcher d’eux.
Moi : Écoutez bien les gars, parce que je n’ai pas l’intention de répéter. Je vous donne cinq secondes pour le lâcher et vous en aller. Parce que sinon, je vous promets que vous allez le regretter.
Je sais, c’est un peu théâtrale. Mais je n’ai pas réfléchi, c’est sorti naturellement de ma bouche.
Je remarque que monsieur Lombardie me regarde beaucoup, je ne sais pas pourquoi. Il doit sûrement se demander, c’est qui ce fou?
Après avoir mis les deux hommes hors d’état de nuir, je me suis approchée pour vérifier que monsieur Lombardie allait bien et là, il me sort
Hugo : Vous voulez être mon garde du corps ?
Je ne savais pas croire répondre d’autre, mise à part éclaté de rire. Moi, je sais juste faire de capoeira parce que mon père, qu’il repose en paix, m'avait enseigné depuis mon plus jeune âge.
Moi dans ma tête : Il est vraiment sérieux-là ?
Je ne vais pas mentir, j’ai toujours rêvé de travailler pour la famille Lombardi, comme 99 % des habitants de ce village. Normal, car c’est la famille la plus riche qui possède une propriété de dans ce coin perdu du Mexique. Mais moi, je rêvais d’entretenir leur jardin et leur maison, pas avoir la vie de l’un d’entre eux entre mes mains. Alors, je lui aie répondu
Ignacio : C’est pour cette raison que je veux travailler dans votre ranch, monsieur. Je vous promets que vous ne serez pas déçu si vous me donnez le job.
Mais il m’apprend malheureusement que le poste était déjà pris, ce qui m’attriste beaucoup car j'espérais réellement avoir ce travail. La vie n’est pas facile pour ma famille et pour moi, encore plus depuis la mort de mon père. Pour nourrir sa famille, il avait hypothéqué sa maison sans que l’on soit informé et c’est après sa mort que nous l’avons appris. Le pire, c’est que j’ai perdu mon travail entant que chauffeur de camion et maintenant, j’ai non seulement ma femme, mais aussi ma mère à prendre soin. Je me retrouve dans l’obligation de trouver un travail pour payer la banque, sinon, nous serons à la rue.
Hugo : Mais ma proposition initiale reste intacte. Je veux que vous soyez mon garde du corps.
Même si je suis à la recherche d’un emploi en urgence, je ne suis pas suicidaire pour autant. Je ne peux pas prendre le risque d’avoir la vie d’un homme aussi important que l’es Hugo Lombardi entre les mains. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai toujours eu beaucoup de curiosité à son sujet et le voir devant moi, c’est comme quelque chose d'irréaliste.
Hugo Lombard: Très bien, je ne vais pas insister. Mais au moins, permettez-moi au moins de vous récompenser pour m’être venu en aide.
Je suis un homme très orgueilleux, je n’aime pas l’idée de profiter des autres, juste parce que je suis dans le besoin. Mais, je sais que ma femme à un peu raison sur ce point, je dois apprendre à mettre un peu mon orgueil de côté et plus penser à nos difficultés.
Moi dans ma tête: Je n’avais jamais vu un homme aussi beau. He, mais qu’est-ce que tu racontes, Nacho. C’est un mec comme toi. reprends toi…
Je ne m’explique pas pourquoi je n’arrive pas à décoller mon regard de cet homme
FIN DE LA PARTIE DE IGNACIO
Après le départ de Batolo, je suis rentré à l’intérieur de la maison pour appeler tout d’abord ma femme, mais comme à son habitude, elle ne répond jamais au téléphone. J’appelle ma fille, même si je sais qu’elle ne changera pas plus de 2 mots avec moi.
Malheureusement, elle est née autiste, avec un fort retard mental. Elle n'arrive pas à parler et faire des phrases comme un enfant de son âge. J’ai vu plusieurs spécialistes avec elle mais aucun n’a pu faire quoi que ce soit et j’ai dû engager spécialement une éducatrice qui reste H24 avec elle.
Une autre chose qui me fait encore très mal, c’est le fait de savoir que ma femme à honte de notre fille. Elle m’a même déjà répété qu’elle regrette de l’avoir mis au monde. On peut dire que vu de l’extérieur, j’ai tout ce qu'il me faut pour être un homme heureux. Pourtant, j’ai l’impression d’être le plus malheureux des hommes.
Moi : Ça va ma chérie ?
Huyana : Huuuuuu
Elle fait beaucoup de bruit au bout du fil, c’est comme ça qu’elle communique, malheureusement.
Moi : Passe moi madame Ivana ma puce.
Madame Ivana : Oui monsieur
Moi : Comment ça été la journée avec elle ?
Madame Ivana : Ça été monsieur. Elle a mieux mangé qu’hier et j’ai l'impression qu’elle est particulièrement heureuse aujourd’hui. Elle n'arrêtait pas non plus de vous appeler.
Moi dans ma tête : Peut-être qu’elle s'est souvenue que c’était mon anniversaire.
J'aurais aimé croire ce que je viens de penser. Mais malheureusement, j'en doute. Après tous les spécialistes que je l'ai emmené voir, son état n'a jamais progressé. Je dois avouer que parfois je me sens découragé. Surtout quand je vois que je suis le seul à me battre, car sa mère s'en fout complètement.
Après avoir raccroché avec madame Ivana, je me permets enfin d’appeler mon père pour lui raconter ce qu'il s’était passé. Et comme je m’y attendais, il m’a carrément ordonné de retourner à Mexico sur le champ
Moi : Je viendrai demain matin. Je ne risque plus rien ici. La police va envoyer des agents pour surveiller le ranch jusqu'à ce que je parte
Roberto : Fait comme bon te semble. De toute les façons, tu n’as toujours fait qu’à ta tête. Comme quand tu as épousé cette actrice, alors que je t’avais dit non. Maintenant, regarde ce qu’il se passe. Elle est même incapable de s’occuper de son enfant, aller voir de s’occuper de son mari.
Avec mon père, cela a toujours été ainsi. J’ai droit à ses reproches à chaque fois que nous avons une discussion. Et même si cela m’embête de l’entendre répéter encore et encore les mêmes choses, je dois tout de même admettre qu'il avait complètement raison en ce qui concerne Rebecca.
Pourtant, avant que je l’épouse, c’était la plus douce, la plus attentionnée des femmes. Mais dès que nous nous sommes mariés, elle n’a pas tardé à commencer à changer. Aujourd'hui, je ne la reconnais plus. J’ai l’impression que chacun fait sa vie de son côté et même quand on se retrouve sur le même lit, nous nous comptons comme des étrangers. Mais malgré tout, je n’ai jamais ressenti le besoin, ni l’envie d’aller voir ailleurs. Car mes priorités ont toujours été mon travail et ma famille.
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