En un beau jour d'été,à Paris dans le quartier des Mirabelles. Une nouvelle voisine venait d'emménager,cette jeune fille s'appelait Leïla un nom marocain, elle avait 19 ans, elle venait apparemment d'arriver en France.
Notre voisin nommait Mathyss curieux alla sonner chez cette nouvelle voisine. Quand la porte s'ouvrit,Mathyss vu une belle fille voilée avec un sourire plutôt mignon, ellee était belle avec ses fines lèvres et ses yeux d'un vert pétillant. Il ne put s'empêcher de rougir un instant.
Son cœur se mit à battre à cent à l'heure
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Cette femme lui semblait si gentille et agréable, il ne put s'empêcher de lui poser des milliards de questions. Elle répondit à toutes les questions qu'il lui posa, elle était tellement belle avec ce voile sur sa tête. Il lui posa surtout énormément de questions sur sa religion avec, c'est questions, il decouvra qu'elle habitait au Maroc et qu'elle était musulmane.
Leïla proposà a Mathyss d'entrer dans la maison et de boire un café, Mathyss accepta joyeusement : << Et sinon tu fais quoi dans la vie Mathyss>> : << j'ai un diplôme d'architecture, je travaille pour une entreprise dans le 16e arrondissement. >>
Il venait juste d'être 18:00, elle lui proposait d'aller se promener à Paris pour qu'elle découvre et qu'elle puisse continuer à lui parler. Mathyss accepta de nouveau et fut même content que Leïla est proposé cette petite balade.
Il fut découvrir la ville à Leïla,elle avait les yeux qui pétillait tellement les rues était belles.
: << Est-ce que tu trouves cette ville belle ?>> dit Mathyss avec une voix joyeuse, elle répondit : <
La nuit commença à tomber donc Mathyss la ramena chez elle : << A plus tard Leïla !>> elle répondit : <> Leïla rentra dans sa maison et alla préparer à manger. Elle repensa à cette journée particulièrement agréable avec son nouveau voisin, elle se dit qu'elle n'avait pas eu de petits copains depuis longtemps, mais elle ne vit pas le rapport avec son voisin donc elle manga et alla caresser son chat nommait "Patapouf" Patapouf ne cessa de miauler toute la nuit à cause du stressé d'être dans une nouvelle maison, Leïla tenta de le rassurais et ça marcha.
Elle s'endormit dans ses drap tout propre ayant une odeur de jasmin tout frais. Elle rêva de son ancien chez elle au Maroc. Elle se dit d'arrêter de penser au passé
Leïla et Mathyss marchaient à travers les rues animées de Paris, le soleil d'été se couchait lentement, teignant le ciel de nuances orangées et roses. Le quartier des Mirabelles semblait paisible, mais au fur et à mesure qu'ils s'éloignaient vers le cœur de la ville, la dynamique de la capitale se faisait plus présente. Les bruits de la ville se mêlaient à leurs pas sur le pavé, et l'air était doux, emportant avec lui le parfum de la ville et des terrasses animées.
"Alors, Paris te plaît vraiment ?" demanda Mathyss en jetant un coup d'œil à Leïla. Elle marchait légèrement devant lui, son voile flottant légèrement derrière elle, donnant l'impression qu'elle était en parfaite harmonie avec la ville.
"Oh oui, c'est magnifique", répondit-elle en souriant. "Je n'avais jamais vu une ville comme celle-ci. Chaque coin de rue semble raconter une histoire, et j'ai l'impression que chaque bâtiment a une âme." Elle marqua une pause, ses yeux brillant d'admiration. "Et les gens… ils semblent si ouverts, si différents de ce que j'avais imaginé."
Mathyss sourit, flatté par ses paroles. "C'est vrai, Paris a ce côté magique. Mais il y a aussi des quartiers un peu plus secrets, des endroits où tu peux t'installer et trouver un peu de calme. La ville n'est pas seulement celle qu'on voit dans les films."
Leïla tourna son regard vers lui, curieuse. "Tu veux dire qu'il y a des endroits où tu peux t'échapper de tout ça ? De l'agitation, des bruits, des gens qui courent partout…"
Mathyss hocha la tête, sa voix prenant un ton un peu plus sérieux. "Oui, il y a des endroits cachés, loin des foules. Des parcs tranquilles, des bords de Seine où l'on peut rester silencieux, juste écouter l'eau s'écouler et les oiseaux chanter."
Leïla le regarda avec un sourire doux. "J'aimerais vraiment les découvrir, ces endroits. Je sens que Paris a encore tant à m'offrir."
Leurs pas les menèrent jusqu'au Pont des Arts, un lieu emblématique de la ville. La Seine coulait paisiblement en dessous, et le crépuscule apportait une lumière dorée sur les bâtiments anciens. Leïla s'arrêta un instant, envoûtée par la vue. "C'est comme dans un rêve", murmura-t-elle, ses yeux se perdant dans l'horizon.
Mathyss s'arrêta à ses côtés, silencieux un moment. Il ne pouvait s'empêcher de se sentir bien en sa compagnie. La douceur de ses paroles, son regard si pur, tout chez elle semblait apaiser son esprit. Pourtant, il se sentit gêné par l'intensité de ses sentiments. Elle était belle, mais plus encore, il y avait une sorte de sérénité qui émanait d'elle, un calme qu'il n'arrivait pas à expliquer.
"Tu es arrivée ici seule, Leïla ?", demanda-t-il, soudainement inquiet. "Tu n'as pas de famille en France ?"
Elle tourna son regard vers lui, ses yeux pétillants de cette même douceur qu'il avait aperçue plus tôt. "Non, je n'ai pas de famille ici. Je suis venue seule, pour poursuivre mes études. Mais je ne me sens pas vraiment seule. Paris m'offre une sorte de compagnie silencieuse, presque comme si la ville elle-même était une amie." Elle sourit, comme pour se rassurer. "Et puis, les gens ici sont si gentils. Tu vois, je ne me sens pas étrangère, même si je viens du Maroc."
Mathyss sentit un élan de compréhension. "C'est vrai, Paris a une manière de faire se sentir chez soi, même quand on arrive d'un autre coin du monde."
Ils poursuivirent leur chemin, traversant le Pont des Arts, observant les couples qui s'y promenaient, les musiciens qui jouaient des mélodies légères, et les artistes qui croquaient des esquisses des bateaux-mouches sur la Seine. Le temps semblait s'étirer, comme si cette soirée allait durer éternellement.
Alors qu'ils arrivaient sur les quais, près de la rive droite, Leïla s'arrêta de nouveau, se tournant vers lui. "Tu sais, Mathyss, j'aime beaucoup discuter avec toi. C'est étrange, je me sens comme si je te connaissais depuis longtemps." Elle le regarda avec une lueur de curiosité dans ses yeux. "Est-ce que tu crois qu'on rencontre des gens pour une raison, comme si nos vies se croisaient pour une raison précise ?"
La question laissa Mathyss pensif. Il avait l'habitude de penser que les rencontres étaient des coïncidences, mais là, avec Leïla, il avait l'impression que quelque chose de plus grand se jouait. Il se sentit soudainement un peu plus vulnérable, comme si une porte avait été ouverte sur quelque chose de nouveau.
"Peut-être", répondit-il après un long moment, "peut-être qu'il y a des raisons cachées derrière chaque rencontre. Peut-être que nous devons juste être prêts à les comprendre quand elles arrivent."
Leïla sourit et haussait les épaules, comme si elle acceptait cette réponse sans chercher à en savoir plus. "Peut-être… mais peu importe la raison, je suis contente de t'avoir rencontré, Mathyss."
Les derniers rayons du soleil baignaient Paris dans une lumière douce et dorée. Et pour un moment, la ville sembla suspendue, comme si tout, dans cet instant, était exactement à sa place.
Les jours suivants, Leïla et Mathyss continuèrent à se voir régulièrement, leur complicité grandissant sans qu'aucun d'eux ne puisse vraiment l'expliquer. La ville, avec ses rues pavées, ses terrasses bondées, et sa lumière dorée, était devenue leur terrain de jeu secret. Ils se retrouvaient souvent dans des endroits improbables, entre les petites ruelles du Marais et les jardins cachés du Quartier Latin. Leïla était fascinée par la diversité de la ville, par sa capacité à offrir à la fois l'effervescence et la paix, et Mathyss se sentait de plus en plus à l’aise à ses côtés, comme si le monde extérieur avait disparu à chaque fois qu'ils se retrouvaient.
Un après-midi, alors qu'ils flânaient le long du Canal Saint-Martin, Leïla se pencha légèrement au-dessus du parapet, observant les bateaux qui glissaient doucement sur l'eau. La lumière du début de soirée donnait au lieu une atmosphère presque irréelle, comme si Paris lui-même respirait au rythme de la Seine.
"Tu sais", dit-elle, sans se tourner vers lui, "parfois, j'ai l'impression que Paris me parle. Comme si chaque ruelle, chaque pont, chaque arbre me racontait une histoire. C'est peut-être idiot, mais… je ne sais pas, je me sens tellement connectée à cette ville. C’est comme si elle m’acceptait." Elle sourit sans y penser, son regard toujours perdu dans le reflet de l’eau. "Et toi, Mathyss, tu te sens comment ici, à Paris ?"
Mathyss, les mains dans les poches, la regarda un instant avant de répondre. La question lui fit se demander à quel point il avait changé depuis qu’il avait posé ses pieds sur cette terre parisienne, il y a des années. Paris lui avait d'abord paru froide, distante, un monstre géant et impersonnel, mais au fil du temps, quelque chose dans l'air, dans la culture, dans les gens, avait su l'apprivoiser. Et aujourd'hui, en présence de Leïla, tout semblait plus facile, plus fluide.
"Paris… c’est devenu chez moi, je suppose", dit-il lentement. "Je suis venu ici pour les études, puis le travail. Mais je crois qu’à un moment donné, la ville te choisit. Et je ne peux pas dire que je ne l’aime pas." Il sourit. "C’est comme si Paris avait ce pouvoir de te faire comprendre qui tu es, sans que tu t’en rendes vraiment compte."
Leïla tourna la tête vers lui, un sourire doux sur les lèvres. "Tu as un regard si particulier sur les choses, Mathyss. C’est fascinant."
Il se sentit un peu gêné sous son regard, mais quelque chose en elle le poussait à se dévoiler davantage. "Parfois, je me demande si j'aurais pu être quelqu'un d’autre si je n'avais pas vécu ici. Mais peut-être que ce n'est pas vraiment important. On devient la personne qu'on doit être à un moment donné, non ?"
Elle hocha la tête, réfléchissant à ses mots. "Je crois que tu as raison. On devient celui qu'on est censé être, pas celui qu’on s’imagine au départ."
Un silence s’installa entre eux, mais ce n’était pas un silence gêné. C’était celui de deux âmes qui se comprenaient, sans avoir besoin de mots. Leïla se détourna du parapet et l’observa avec une intensité nouvelle dans les yeux. Elle n’avait pas anticipé que leurs échanges se frôleraient de plus en plus la frontière entre l’amitié et quelque chose de plus… un peu plus fragile, un peu plus risqué.
"Mathyss", dit-elle soudainement, sa voix plus basse, presque timide, "tu crois qu’on peut ressentir des choses sans s’en rendre compte ? Comme… être attiré par quelqu’un sans vraiment savoir pourquoi ?"
La question laissa Mathyss pensif. Il la regarda, intrigué, avant de répondre, hésitant. "Je pense qu’on ressent toujours quelque chose, mais parfois on n’est pas prêt à l’admettre. Peut-être que l'attirance, ça ne se manifeste pas toujours de la façon dont on s'y attend."
Leïla se mordilla la lèvre, l’air pensif. "Je vois…"
Mathyss la fixa, une lueur de compréhension dans les yeux. "Et toi, tu te poses des questions sur ce genre de choses ?"
Elle détourna le regard un instant, comme si elle avait peur de trop en dire, mais ses joues se colorèrent légèrement. "Je… je ne sais pas. Peut-être."
Ils restèrent là quelques instants, les regards croisés, mais aucun d’eux n’osait briser l’instant. Mathyss sentit son cœur battre un peu plus fort. Il n'était pas habitué à se retrouver dans des situations où les émotions étaient aussi visibles, aussi proches de lui. Tout en lui criait de garder ses distances, mais quelque chose dans les yeux de Leïla, quelque chose dans sa manière d’être, le poussait à se rapprocher encore plus.
Finalement, il prit une profonde inspiration et dit : "Leïla… tu sais, j’ai l’impression qu’on se rapproche. Et je ne suis pas sûr de ce que ça signifie, mais… j’aime passer du temps avec toi. J'aime cette… cette connexion qu'on a."
Elle le regarda, son regard se faisant plus doux, plus ouvert. "Je ressens la même chose. C’est étrange, mais… je crois qu’on commence à se comprendre sans vraiment se connaître."
Un silence, cette fois-ci lourd de sens, s’installa entre eux. Leïla baissa les yeux, puis se redressa lentement, un sourire timide sur les lèvres. "On se comprend bien, Mathyss. Peut-être que… peut-être qu'on peut apprendre à mieux se connaître."
Il hocha la tête, un sourire se dessinant sur son visage. "Je serais ravi de ça."
La lumière du soir s’éteignait peu à peu, les étoiles commençant à émerger dans le ciel. Paris, comme si elle avait voulu leur donner son approbation, enveloppait leurs silhouettes dans une atmosphère à la fois douce et incertaine. Les deux jeunes gens étaient à la croisée des chemins, chacun se demandant secrètement si cette connexion naissante pourrait bien être le début de quelque chose d’encore plus grand.
Et dans ce doux murmure de la ville, leurs cœurs semblaient, eux aussi, se rapprocher, malgré les doutes et les incertitudes.
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