J'étais Tout stressé à l'idée de travailler dans cette grande bijouterie " the golden diamant" j'avais vraiment besoin de se travaille ma mère était malades, mon père n'était jamais là, ma sœur ne se soucié que d'elle et j'avais mon loyer à payer c'était ma cinquième tentative d'avoir un travail, je voyais d'autres candidats sortir abattue et désespérée cela me tressé je me suis fait de tas de scénario, tout ce que je voulais entendre c'est "Bienvenue dans notre bijouterie mademoiselle Rubis Willow" bref, c'était mon tour au moment où je suis entré j'ai été figé.

Cet homme aux cheveux bleu de nuit aux yeux noirs sans aucun doute c'était lui Edward Millman

- Rubis Willow c'est vraiment toi ?

- Edward, c'est toi le patron ?

- je préfère qu'on m'appelle Boss alors tu viens travail ici

- euh…je.... Oui... je

- t'es toujours là même à ce que je vois

J'étais effrayé plus que tout le supporte encore une fois ? Je n'arriverai pas, mais pour ma mère j'étais même prêt à accepter c'est posté si j'étais prisé

Après mon entretien, j'ai été accepté je commencerai demain matin dois-je, être heureuse ?...

je suis rentrer chez moi je trouve ma mère en train de faire la vaisselle

- Maman !! Combien de fois je vais te demander de te reposé hein !

- tu crois que la vaisselle va se faire toute seule

- je peux très bien le faire

- et si tu rentres tard du travail ?

- je le ferai quand-même tu es malades et tu dois te reposer ne m'ajoute pas des tâches supplémentaires je suis seule ici

- ne dit pas ça ton père

- papa ne pas là et Rita s'occupe de se followers maman s'il te plaît je n'ai pas envie à faire c'est débat avec toi

-....... tu as trouvé du travail ?

- ah oui

- super ma chérie dommage qu'on ne peut pas fêter ça

- ce n'est pas grave (de toute façon je n'ai pas l'humeur à ça)

la nuit je vais quelques recherches sur Edward, il s'avère qu'il a bien gagner ça vie non seulement il avait une bijouterie mais c'était un business man et avait une autre entreprise de plus il avait l'air d'avoir une certaine influence sur la nôtre ville à cet instant précis je ressentis de frissons c'était pas bon signe, je ne savais pas à quoi m'attendre mais je devrais le surmonter pour ma mère elle mérite au-moins que je me bats pour elle après tout ce qu'elle a fait pour moi depuis petite jusqu'à maintenant je lui dois la vie cette nuit là je n'ai pas fermé l'œil en me posant mille et une question, il a juste suffit qu'on se voit pour me tourmente alors que ce passera t-il si on travaille ensemble lui et moi.

Et me voici, devant cette grande bijouterie en me demandant ce qui m'attendait en entrant la première personne que j'ai vue c'était lui.

- tu es à l'heure ça commence bien

- bonjour patron

- bonjour à toi aussi, bien pour aujourd'hui voilà ce que tu vas nettoyer le niveau 3,4,5

- nettoyer ? Excusé moi, mais il y a dû avoir une erreur, j'ai postulé pour le poste de...

- je sais, mais je n'ai pas envie que tu sois commerçante c'est tout

- Quoi!! Mais ce n'est pas ce qui était convenu

- si tu ne veux pas de ce poste tu peux partir

- si seulement je pouvais, si ma mère n'était pas malade et si je n'avais pas mon loyer à payer, j'aurais dit non mais... Je… j'accepte

- bien aller va te changer

je n'ai rien dit je me suis changé et j'ai commencé à travail, la vue était tellement belle j'ai vu les autres parles aux clients

Ils portaient tous une sorte de faux sourire, mais il ne se débrouille pas mal

J'ai nettoyé les trois niveaux qu'on m'avait demandés il ne reste plus qu'à place le panneau "sol glissant" mais cet homme est apparu de nulle part il m'a piétiné et j'ai lâché le seau d'eau sur ses chaussures.

-ARGH !!!! Mes chaussures !!!

- désolé Mr, c'était un accident

- tu sais combien ça coûte, tu dois me payer ça

- combien ?

- 35000 $

- une telle somme pour des chaussures ?

 C'est n'est pas n'importe quel chaussures Payé moi en liquide

- j'ai n'ai pas une telle somme d'argent de plus ce un peu trop pour des chaussures

- tu oses m'accuser de menteur ?!!

- je n'ai jamais dit ça

- est-ce que tu sais qui je suis si je veux, je peux acheter cette bijouterie

À cet instant précis j'ai senti une main sur mon épaule quand je me suis retournée j'ai vu Edward

- vas-y acheté le

- pour qui vous vous prenez, vous savez qui je suis ?

- tu n'es personne que ce soit ici ou ailleurs

- vous me manquez du respect, j'appelle la police

Au moment où il le dit Edward sort son portable et le jette à la figure

- prend le et appel, on verra qui sera derrière les barreaux

- je n'ai pas besoin de votre portable

Il fait sortir le sien et appel la police en disant qu'il a été agressé physiquement et mentalement. Pendant que je Paniquais Edward était là en train de ricaner. Deux minutes après les polices sont venus

- bonjour Mr et Mme on peux savoir que ce qui passe ici

- cette demoiselle a osé me lancer son seau de plus elle m'insulte ainsi que son mari

MARI !!! QUI SAIT EDWARD N'IMPORTE QUOI

c'est faux il m'a...

-TAIS-TOI !!!

Tout d'un coup Edward me tiens autour de la taille il a regardé le monsieur sévèrement

- je vous prie de ne pas parler de la sorte à ma femme

Je le regarde d'un air perplexe

- que ce que tu fais Edward ?

Il m'a toujours surpris avec ses plans très originaux il devrait savoir ce qu'il fait il s'est présenté aux polices qu'il était le chef de l'établissement

- il y a des caméras de surveillance un peu partout

L'homme à paniquer et à commencer à hurler

Les polices ont suivi Edward et ils on visionner les images ont ont arrêté le monsieur, mais avant que je parte il m'a convoqué dans son bureau

- vous m'avez demandé chef ?

- tu sais déjà de quoi je vais parler

- oui

- tu sais ont n'est plus au lycée ou au collège ici ils n'aurais pas de surveillant ou des professeurs pour tes t'aider tu dois apprendre à tes défendre cette histoire serait déjà terminé si tu l'avais remis à ça place

Il n'avait pas tort,si j'avais su me défendre tout cela ne serait jamais arrivé, j'avais encore du mal à exprimer, je me sentais nulle, je pouvais très bien lui rendre la monnaie de sa pièce, j'aurais pu avoir un poste plus important tout cela parce que je n'arrive pas à m'exprime.

Plus mes journées était ennuyeuse plus elle était dure, ça amuse bien Edward de me tortures. Rubis fait ceci puis fait l'inverse de cela après fait l'opposé de ça ; un vrai cauchemar, j'essuie le sol, il venait piétiner je vide une poubelle il l'en remplisse trois il aime bien m'embête, un jour, il m'a demandé de nettoyer le sous-sol, je ne savais même pas qu'on avait un sous-sol il m'a montré l'endroit et m'a dit que tant que je n'ai pas fini je ne sortirai pas d'ici, non seulement cet endroit semble être abandonné et hyper poussiéreuse, mais en plus je devrais faire ça seul, à quoi ça allait servir personne ne vient ici brève j'ai commencé à nettoyer j'avais fini une moitié quand j'ai entendu un bruit quand je me suis tourné une canette a roulé jusqu'à arriver sur mes pieds, quand je regarde là où la canette avait roulé j'ai vu une ombre passe j'ai paniqué j'ai commencé à courir vert la sortie, puis-je me suis rappelé qu'Edward avait fermé la porte à clé j'entendais des pas s'approche je n'avais pas d'endroit où me cacher, mon cœur battait fort j'étais figé mes pieds tremblés je sentis une main et j'ai crié ensuite j'ai entendu une voix familière

- hey calme toi c'est moi

je me suis tourné et je vus Kevin le petit frère d'Edward et l'opposé son total

- Kevin !!! Tu m'as fait peur

- Désolé ça va…

- oui mais que ce que tu fais ici

- je travaille ici je suis le manager et toi

- ben je travaille ici moi aussi...

- vraiment ce génial, mais pourquoi tu n'es pas là-haut avec les clients ?

- tu connais ton frère

- oh je vois Ed ne changera jamais, mais ne t'inquiètes pas je vais lui parler

- Hein ? pourquoi

- tu ne dois pas être là tu devrais être avec les clients

- tu es sûr de toi

- Ne t'en fais pas

- merci beaucoup

j'étais si heureuse je lui ai fait un câlin. Quelque heures après que j'ai fini je m'apprête à rentrer chez moi quand j'ai entendu des criés dans le bureau d'Edward

- t'es vraiment stupide

- toi tu es pathétique

- tu sais qu'elle ne devrait pas être là

- je fais ce que je veux ce moi qui ai engagé

- ce n'est pas une machine

- bon si tu tiens tant qu'elle ait ce poste nous allons faire un parié, si elle arrive à ternir le cou pendant un mois elle l'aura le poste officiel

- okay ça marche pour moi

- si elle échouait tu perds ton travail

-....

- tu marches toujours ?

- j'ai confiance en elle, comme son nom indiqué ses une pierre précieuse je gagnerais ce parié

- .... On verra bien petit frère

- quoique tu fasses, tu vas perdre grand frère