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Seule Au Monde

Déménagement...

Cela fait maintenant des heure de voiture , je commençais a m'ennuyer.

- Mélaine, tu veux que on appelle ton grand père,dit sa mère, il doit s'inquièter, on la pas appelé depuis une semaine au moins.

- Elle essayait de lui remonter le moral, pensait je,

- Oui je veux bien, fini-je par dire, on arrive dans combien de temps ? enchaînait-je,

- Dans environ une demi heure, répondais ma mère,

Mais j'écoutais déjà plus, perdu dans mes pensées, mille question tourbillonait dans mon esprit, Est-ce que pour une fois on va m'accepter au collège...

- Non je suis trop bizarre pour ça, repoussais je cette idée,

Tout un coup, je fût tirée de mes pensée par une secousse, la voiture s'était arrêtée.

Quand je fût sortie, mes jambes me lança fort, je grimaça.

- Pas étonnant, poussa ma mère visiblement amusé, cinq heures de routes sans s'arrêter une fois.

Son ton me fis grogner doucement et pas assez fort pour qu'elle l'entende.

- Bon elle est où est notre maison enfin notre nouvelle maison ?

- Aux bout de la rue, répondis-elle dans un murmure, assez pour se dégourdir les jambes !

Je la suivis sans un mot, je sortis mon téléphone, histoire de penser à autre chose que ce cauchemar .

Ma mère avait l'air heureuse, elle souriait comme si elle pensait au moment qu'elle a passé içi,

- Mais pourtant elle m'a dit qu'elle n'était jamais allé ici, pensait je,c'est bizarre.

Quand nous fûmes arrivé, je montais à l'étage par curiosité,

Ma chambre était aux murs blanc doux, le parquet était bleu pastel, mon lit en bois peint en gris clair, bref un vrai style d'adolescent.

Je m'étandis , à présent j'appréhendai plus du tout.

J'avança près de la fenêtre pour contempler le paysage urbains.

Sur le béton, poussait des immeubles, il était grand et nourris de graffitis, le noir commençais à servir de couverture au ciel, le soleil mourait pour la millième fois.

Tandis que je rêvais, je fus réveillé brusquement par un klaxon se répercutent dans la rue. Je n'étais guère habituée à la ville, je pensais que sa rimait avec bruit, pollution, boucan, lumière et danger...

Je voulais retourner chez moi dans les montagnes, où on vivait paisiblement avec papi, papa, maman et moi. Dès que j'y repense les larmes me monte.

Je me mis rapidement en pyjama et descendus à table ,ma mère étais là en train de pleurer, ce qui était rare.

- Que se passe-t-il maman, demandais-je sans hésiter,

c'est rare que je te vois pleurer.

-Cela ne te regarde pas, répondit-elle sèchement, mange vite et va te coucher !

- D'accord, fis-je un peu vexé, je suis désolée, je ne voulais pas être aussi intrusive...

- Ce n'est rien, dit elle entre deux sanglots devant mon visage sombre, je ne ne voulais pas te vexer non plus, pardon.

Je finis mon assiette rapidement, et montais me couchés.

- Vivement demain, murmurais je en route vers Orphée.

Rentré...

Mon réveil retentit, je fus réveillé brusquement,

J'attendais que mon père monte à l'étage pour lui faire peur, comme tous les matins.

Non, c'était impossible, comment j'ai pu oublier l'air de la ville, tout comme la mort de mon père.

Je faillit éclaté en sanglot.

Je choisis rapidement mes vêtements pour une première journée,

Un jean bleu moulant, un tee-shirt court(blanc avec une petite chat) c'était mon préféré et enfin un long gilet noir.

Je fonçais dans la salle de bain, je me rends compte que je ne l'avais pas visité la veille.

Elle était aux murs de carrelages blancs et aux fleurs bleu marine. La douche était petite et sale.

- Le lavabo n'a pas été lavé depuis longtemps. pensais-je,

Je me maquillais rapidement, le plus naturellement possible, je me fis un chignon bas, avec un élastique doré.

Je descendis de l'étage, ça sentais l'œuf plat avec du bacon. Ma mère avait l'air déprimé, elle me salua sans relevés la tête de sa poêle.

- Bonjour maman, répondais je, tu as bien dormi ?

- Oui merci et toi ?

- oui ,bien ,merci,

Je mange rapidement mon assiette, me brossa les dents, puis partie tout de suite, pas questions de partir en retard pour la rentrée !

Le collège n'était guère loin de ma nouvelle maison, donc je m'y rendis à pied.

Il y avait déjà des bandes et couples d'élèves qui marchait non loin de moi, j'étais gêné d'être seule, sans personne.

J'attirai même l'attention d'une fille, elle avait des cheveux noirs, des yeux d'un magnifiques verts, elle était en croque top et un mini short faussement troué.

Elle se dirigea vers moi,

- Salut, tiens une tête inconnue , dit-elle, ne sois pas timide quel est ton nom ?

-MéMélaine, bégayais-je, je m'appelle Mélaine,

-D'accord moi, c'est Hela, pouffa-t-elle, viens rejoindre notre groupe,

Je hocha la tête timidement,je m'avanca vers Hela,

dans cette bande, il y avait quatre filles habillées et maquillés grossièrement et les garçons avaient des boutons partout et sentaient mauvais...

Ma mère disait que ces sortes de personnes sont peu fréquentables

Tant pis, pensais-je, sinon je ne ne pourrais jamais avoir d'amis.

Salut c'est Mélaine, c'est bien ça, surgit une voix derrière elle,

- Heu oui, disait-je en me retournant,

C'était une fille rousse, avec des taches de rousseur et aux yeux ambrée.

- Moi, c'est Ambre, dans un sourire qu'on aurait dit forcé, apparemment tu es nouvelle.

- Oui, disais je, c'est le cas,

- Bon c'est beau tout ça mais nous devons allé en cours, remarqua Hela, à moins que vous vouliez une heures de colle,

J'hopinait de la tête, les suivis, tout comme Ambre la suivait.

Je pars du bon pied, on dirait,pensais-je, j'aurais peut-être des amis, non ne te fais de faux espoirs.

Je sentais soudain des regards moqueur m'atteindre,

c'était Hela et sa bande, je sentie une lourde trahison dans mon coeur.

trahison...

Pendant le premier cours, j'avais une boule dans le ventre qui me rappelais qui je suis en réalité :

Une personne bizarre.

Je pensais que c'était fini,

Mais ça recommence,

Ce n'est pas une vie,

C'est ma récompense,

Car je n'avais pas d'amis,

Ni aucune assurance,

J'écris avec lenteur sur mon cahier ses six vers,

cette boule dans mon ventre grandissait,

me lançait, me brûlait, me forçait a pleurer.

Quand la sonnerie retentit, je rangeai mes affaires rapidement, puis je voulu descendre, mais une voix m'appelait, c'était mon professeur.

- Oui monsieur, répondais je,

- Je trouve que tu as été distraite pendant le cours, dit-il sèchement, si tu continues comme ça ta moyenne ne va pas rester intacte.

J'en fus étourdi de ses paroles, je fus presque honteuse, je priais en silence pour que Hela et sa bande ne puisse pas entendre la morale venue du professeur.

- Je suis désolée pour ce cours, enchaînais-je, pressé d'en finir, je serais plus investie et attentive.

Je prenais soin de choisir les bon mots, ce que les professeur préféré.

Le professeur me laissait enfin partir, quand je fus descendu je sortais mon téléphone, j'affichai Snapchat, la première vidéo qui apparu,

j'étais dessus avait des fausses larme, gêné.

Je compris immédiatement, Hela l'avais posté sur Internet avec une vidéo hyper ridicule.

Je commence à manquer d'air,

Je perds tout mes bonheurs,

Que ce soit les regards de travers,

Ou bien les rumeurs,

Tout ça est un enfer,

Une succession de malheur.

Ses six autres vers fût marqué dans mon journal intime de mon portable.

Puis je vis Hela me lança un regard moqueur, c'est comme une lourde pierre qu'elle m'a jetée au coeur.

Je commençais a en avoir marre de ce rituel.

Quand je rentrais à la maison, je montai dans ma chambre pour pouvoir me défouler sur ce qui se trouve autour de moi. Ma colère était grosse et violente.

Je dus mettre mes écouteurs et méditer pour que ça aille mieux.

- Comment j'ai pu confiancer à une personne comme ça, enrageait-je, j'aurais dû écouter ma mère... finis-je d'un air triste.

- Chéri à table, dit soudain sa mère, on mange des nouilles chinoises ce soir !

- J'arrive, lançais-je,

Je me levai du lit avec difficulté, je descendis de l'étage, ma mère était en bas souriante.

- Ah te voilà, dit-elle, j'ai une très bonne nouvelle, j'ai rencontré quelqu'un au boulot il y a quelques jours, un monsieur, et il est très gentil...

- Viens au sujet maman, la coupai-je,

- Bien, dit-elle contrarier qu'on la coupe, je l'aime, il m'aime, demain il viendra vivre chez nous.

Je fus choqué, je poussai ma chaise puis partie dehors,

- Comment ma mère a-t-elle pu oublier mon père si vite, éclatais-je en sanglots, pourquoi on m'a détesté toujours détester à l'école, je n'ai jamais eu d'amis enfin de vrais amis...

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