Chapitre 1

Yan Liang vivait une vie Normal . Cependant, il était connu pour sa méchanceté envers les autres villageois. Chaque jour, il trouvait une nouvelle façon de tourmenter ses les autres que ce soit par des moqueries ou des actes de cruauté. Malgré cela, il menait une existence ordinaire, travaillant dans un entreprise (Atelier de création de parfums )

la Déesse chen xiang

chen xiang déesse bienveillante, veillait sur les hommes depuis des temps immémoriaux. Son cœur débordait d’amour pour chaque être vivant, ignorant la noirceur de la méchanceté. Pourtant, son regard bienveillant était constamment attiré par un homme rongé par l’amertume. Chaque jour, il déversait des torrents de paroles cruelles, blessant tous ceux qui croisaient son chemin. Chen xiang, attristée par tant de haine, espérait que la lumière finirait par percer les ténèbres de son âme.

Un soir, alors que Yan liang rentrait chez lui ,il vit une lueur étrange illumina son chemin. Intrigué, il s’approcha, le cœur battant malgré lui. Au centre de la lumière, une silhouette féminine d’une beauté surnaturelle apparut. Ses yeux brillaient d’une lueur douce et chaude, et un sourire bienveillant éclairait son visage.

Il tenta de parler, mais les mots restaient bloqués dans sa gorge.

- qui êtes vous

- je n' appel chen xiang je suis la déesse de la bonté

chen xiang s’approcha de lui, son regard ne le jugeant pas, mais l’enveloppant d’une chaleur réconfortante.

“Je t’ai observé,” dit-elle d’une voix douce comme une caresse.

“Je sais que la colère et la douleur te rongent.

Mais sache que tu n’es pas seul. La lumière existe en chaque être, même si elle est parfois cachée.”

“Il n’est jamais trop tard pour choisir la lumière,” murmura-t-elle. “Laisse-la te guider et tu trouveras la paix.

que voulez vous dire par là lumière vous guidera

”chen xiang regarda Yan liang , un sourire magnifique se dansant sur ses lèvres. “Tu demandes ce que signifie la lumière, ce qu’est cette lumière qui brille en chacun de nous ?”

Yan liang hocha la tête, Il avait entendu parler de cette lumière, de cette force intérieure qui sommeillait en chaque être, mais il n’arrivait pas à la concevoir, à la saisir réellement.

Chen xiang prit une grande inspiration, comme pour mieux choisir ses mots.

“La lumière, c’est l’essence même de notre être, la flamme qui brûle au plus profond de nous. C’est notre courage, notre bonté, notre capacité d’aimer et d’espérer.”

Il marqua une pause, laissant ses paroles résonner dans le silence. “Parfois, cette lumière est faible, presque invisible, étouffée par la peur, le doute ou la souffrance. Mais elle est toujours là, attendant patiemment le moment de se rallumer.”

Yan Liang leva alors les yeux vers le ciel nocturne, constellé de milliers d’étoiles scintillantes. “Regarde, Yan liang , chaque étoile dans le ciel est comme une âme, et la lumière qu’elle émet, c’est sa force intérieure.”

Il reporta son regard sur Chen Xiang, ses yeux emplis d’une lueur intense. “Tu veux savoir ce qu’est la lumière ?

Je vais te le montrer.”

Avant même que Chen Xiang ne puisse réagir, Yan Liang lui prit la main. Une énergie chaude et vibrante parcourut son bras, le remplissant d’une sensation étrange.

Puis, comme aspirés par une force invisible, ils s’élevèrent lentement du sol. Chen Xiang retint son souffle, la peur cédant la place à l’émerveillement tandis qu’ils montaient de plus en plus haut, laissant le monde derrière eux.

Le vent sifflait à leurs oreilles, les nuages défilaient sous leurs pieds, mais Yan liang ne ressentait aucune peur, seulement une exaltation grandissante. Il regarda chen xiang, dont le visage était baigné d’une lumière douce, et comprit. La lumière n’était pas une métaphore, c’était une réalité, une force puissante qui sommeillait en lui, attendant d’être libérée.

Chapitre 2

Chen Xiang serra la main de Yan Liang avec douceur, guidant ses pas à travers la brume légère du royaume de Shuangye (霜夜). Le paysage autour d’eux était d’une beauté étrange, une mer de lumière argentée et de brumes envoûtantes, avec des arbres aux racines d'argent et des fleurs translucides qui brillaient faiblement sous la lueur d'une lune éternelle. La lumière semblait danser dans l'air, enveloppant chaque recoin d'une magie calme mais intense.

— "Voilà, c'est ici que je vis," dit Chen Xiang d'une voix calme, comme si elle avait toujours été ici, dans cet endroit merveilleux et mystérieux. "Ce royaume est mon chez-moi. Ici, tu découvriras cette lumière qui sommeille en chacun de nous."

Yan Liang n'en croyait pas ses yeux. Le royaume de Shuangye était plus beau qu’il ne l’avait imaginé. Il était rempli de mystères, d'une beauté surnaturelle, mais il ressentait aussi une force cachée, une énergie qu’il n'arrivait pas à expliquer. Chaque arbre, chaque pierre, semblait détenir une vérité ancienne et secrète.

Chen Xiang, voyant l'émerveillement dans les yeux de Yan Liang, continua à marcher avec lui, guidant ses pas à travers le royaume.

— "Il y a une chose que tu dois savoir…" Chen Xiang s'arrêta, son regard se durcissant légèrement. "Je suis la princesse de ce royaume. Ma famille en est la dirigeante."

Yan Liang la regarda avec étonnement. Il n’avait jamais imaginé que la jeune femme à qui il tenait la main puisse être d'une telle importance. La princesse d’un royaume aussi mystérieux… C'était difficile à croire, mais il sentit au fond de lui qu'elle disait la vérité. Il ne savait pas encore combien cet endroit et elle-même étaient liés à son propre destin.

— "Demain," poursuivit Chen Xiang, "tu passeras l'énigme des miroirs, pour connaître ta véritable lumière intérieure."

Yan Liang la regarda, interloqué.

— "Les miroirs ?" demanda-t-il, se demandant ce que cela signifiait.

Chen Xiang sourit doucement, son regard se perdant dans la lueur argentée des alentours.

— "Chaque gardienne possède un miroir. C’est un objet de pouvoir et de vérité. Mais attention, celui qui possède un miroir ne parle jamais de la même manière que les autres. Chaque miroir a sa propre langue, une langue unique, qui ne peut être comprise que par celui qui le porte."

— "Donc, c’est un test ?" demanda Yan Liang, son esprit commençant à comprendre.

— "Oui, un test pour révéler ta lumière intérieure," répondit-elle, sa voix devenant plus grave. "Seuls ceux qui acceptent cette lumière peuvent voir la vérité. Les miroirs ne mentent jamais, mais ils ne révèlent que ce que l'âme est prête à accepter."

Chen Xiang conduisit Yan Liang jusqu’à un grand hall en marbre, illuminé par des lanternes flottantes et des miroirs suspendus aux murs. Chaque miroir semblait refléter quelque chose de différent : des visions d'anciennes batailles, de paysages lointains, et même des images du passé de Yan Liang. C'était un lieu étrange, où la réalité semblait se mélanger à l'imaginaire.

Elle le conduisit au centre de la salle, où un grand miroir était posé sur un piédestal. Le cadre du miroir était orné de runes anciennes, et il semblait légèrement briller d'une lumière douce et chaude. Chen Xiang se tourna vers lui et parla avec une gravité silencieuse.

— "Ce miroir est le premier de tes épreuves, Yan Liang. Demain, il te guidera. Mais pour voir ce qu'il montre, tu devras apprendre à écouter la langue de ton propre cœur."

Yan Liang observa le miroir, ses réflexions se perdant dans la surface argentée. Il sentait quelque chose de profond en lui, quelque chose qu’il n’avait jamais compris jusqu'à maintenant.

Chen Xiang sourit une dernière fois, avant de lui donner un dernier conseil.

— "Rappelle-toi, chaque miroir parle d’une lumière cachée en toi. Mais cette lumière ne te révélera sa vraie forme que si tu es prêt à l’accepter. Sois prêt à regarder dans les profondeurs de ton âme."

Les lanternes vacillèrent autour d'eux, et le silence de la salle enveloppa Yan Liang alors qu’il fixait le miroir, son esprit tourmenté par la promesse d’une vérité à découvrir.

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Le lendemain matin, alors que la lumière argentée baignait le royaume de Shuangye dans une lueur douce et calme, Yan Liang se préparait à affronter l'énigme des miroirs. Mais au fond de lui, une question restait sans réponse : quelle lumière allait-il découvrir en lui-même ? Et quelle langue mystérieuse les miroirs lui révéleraient-ils ?