Je me retourne brusquement et pour la énième fois de la journée, et comme une habitude maintenant devenue, je croise son regard à travers la foule d’élève, et comme d’habitude, je le vois rougir et détourner les yeux, cherchant un ami ou son téléphone pour faire genre d’être occupé. Et comme toutes les fois, je lève un sourcil. Ce gars est chelou, me suis-je dit. Je finis par Rejoindre ma meilleure amie près de son casier, en exécutant quelques pas de dance maîtrisés et absolument gracieux. (Cette phrase est un mensonge ).
Elle me sourit, me vole un bisous, et se remit à ranger ses multitude de cahiers. Sérieux cette fille a deux cahier pour chaque matière, et moi j’en ai que deux… pour décorer et éventuellement noter un devoir, que finalement je ferais à la dernière minute accroupi contre le mur de la classe.
_t’a vu comment Juju te regardait pendant le cours de Sport ? Dit-elle en rangeant son dernier cahier.
_ tout le monde me regarde pendant le sport, I'm practically the greatest runner in the country, princess
_ je hais quand tu fait ça, tu sais bien que je suis nulle en anglais. Soupira t’elle visiblement agacé.
Je ris, m’attendant parfaitement à cette réponse et je peux déjà anticipé le reste de la conversation.
_ ça veut dire que je suis…
_ oh je sais ce que ça veut dire, je n' suis pas non plus une bite en Anglais.
Énervée elle se mit à marcher plus vite alors que je la suis en trottinant à travers les couloirs de murs blancs, jusqu’à notre prochaine salle de cours.
Toujours boudeuse Mia est allé s’asseoir à côté d’une fille avec qui elle est devenue étonnement proche ses derniers temps, alors qu’habituellement on n’est toujours ensemble, côte à côte.
Soupire.
Je me dirige au fond de la salle où il avait deux chaises de libres.
Je m’assis côté fenêtre, pour être sûr de m’évader à travers, fuyant ce cours horrible, mais toutefois plus plaisant que les chemises à carreaux de Mme Gwendoline. J’espère qu’elle s’est cassé une jambe cette nuit.
Dommage, elle est bel et bien là, et en bonne santé, et sa chemise verte à carreaux aussi, décidément, y’a que son charisme qui est resté dans le ventre de sa mère refusant de sortir.
Elle commence son monologue soporifique habituelle, et mon esprit déjà, à quitté le chat. Les yeux dans les nuages, et l’esprit dans les délicieux draps de cet inconnu aux cheveux roux d’hier soir, je me délecte de cette sensation passé, mais encore empreint dans ma chair si j’en crois la douce chaleur dans mon bas ventre.
Merde, faut vraiment que je me calme sinon… je me fis couper dans mes réflexions par le raclement d’une chaise à côté de moi.
...
a suivre, j'espère que cela vous plaira, je ne suis qu'un fan
Je me retourne brusquement et pour la énième fois de la journée, et comme une habitude maintenant devenue, je croise son regard à travers la foule d’élève, et comme d’habitude, je le vois rougir et détourner les yeux, cherchant un ami ou son téléphone pour faire genre d’être occupé. Et comme toutes les fois, je lève un sourcil. Ce gars est chelou, me suis-je dit. Je finis par Rejoindre ma meilleure amie près de son casier, en exécutant quelques pas de dance maîtrisés et absolument gracieux. (Cette phrase est un mensonge ).
Elle me sourit, me vole un bisous, et se remit à ranger ses multitude de cahiers. Sérieux cette fille a deux cahier pour chaque matière, et moi j’en ai que deux… pour décorer et éventuellement noter un devoir, que finalement je ferais à la dernière minute accroupi contre le mur de la classe.
_t’a vu comment Juju te regardait pendant le cours de Sport ? Dit-elle en rangeant son dernier cahier.
_ tout le monde me regarde pendant le sport, I'm practically the greatest runner in the country, princess
_ je hais quand tu fait ça, tu sais bien que je suis nulle en anglais. Soupira t’elle visiblement agacé.
Je ris, m’attendant parfaitement à cette réponse et je peux déjà anticipé le reste de la conversation.
_ ça veut dire que je suis…
_ oh je sais ce que ça veut dire, je n' suis pas non plus une bite en Anglais.
Énervée elle se mit à marcher plus vite alors que je la suis en trottinant à travers les couloirs de murs blancs, jusqu’à notre prochaine salle de cours.
Toujours boudeuse Mia est allé s’asseoir à côté d’une fille avec qui elle est devenue étonnement proche ses derniers temps, alors qu’habituellement on n’est toujours ensemble, côte à côte.
Soupire.
Je me dirige au fond de la salle où il avait deux chaises de libres.
Je m’assis côté fenêtre, pour être sûr de m’évader à travers, fuyant ce cours horrible, mais toutefois plus plaisant que les chemises à carreaux de Mme Gwendoline. J’espère qu’elle s’est cassé une jambe cette nuit.
Dommage, elle est bel et bien là, et en bonne santé, et sa chemise verte à carreaux aussi, décidément, y’a que son charisme qui est resté dans le ventre de sa mère refusant de sortir.
Elle commence son monologue soporifique habituelle, et mon esprit déjà, à quitté le chat. Les yeux dans les nuages, et l’esprit dans les délicieux draps de cet inconnu aux cheveux roux d’hier soir, je me délecte de cette sensation passé, mais encore empreint dans ma chair si j’en crois la douce chaleur dans mon bas ventre.
Merde, faut vraiment que je me calme sinon… je me fis couper dans mes réflexions par le raclement d’une chaise à côté de moi. Lentement j’émerge de mon rêve éveillé, et la voix rocailleuse, combo clope et café, de Mme Gwendoline m’arrache une grimace.
Maintenant faisant face à la petite tête blonde, à côté de moi, je plisse les yeux, me demandant pourquoi Diable est-il venu s’assoir à côté de moi, et me déranger par la même occasion. Du coin de l’œil, je vois cette brune au long cou qui l’accompagne tout le temps, lui faire un clin d’œil et un pouce levé avant de brusquement se retourner quand son regard rencontre le mien.
C’est quoi tout ce cinéma ? Ils ne sont pas du tout discret. Presque instantanément, « Juju »pivota vers moi, aussi rouge que son sac. Il bredouilla quelques mots incompréhensibles avant de baisser la tête sur son cahier, pris de son sac une minute avant. Cahier mis à l’envers cela dit.
Je me reconcentre sur le bleu peu attrayant d’un ciel ensoleillé à travers la fenêtre. Je préfère le bleu azuréen de la mer qui m’apaise, contredisant mon esprit hyperactif.
À peine ai-je réussi à me déconnecter pour la deuxième fois depuis le début du cours, qu’une petite pression sur ma chemise m’oblige à me confronter à cette salle de classe d’un jaune horrible mal mis sur les murs. Sérieux, qui a fait cette déco de merde ?
Agacé je lance un regard noir aux yeux émeraudes qui m’ont arraché de ma douce utopie. Je dévie mon regard sur ses doigts encore accroché à ma superbe chemise.
il les dégagea brusquement en bégayant des excuses avant de se mettre à triturer le rebords de son cahier ou est écrit en long et en large, JACQUES BREL. Est-ce le nom de son père ? Bon, moi aussi je gribouille parfois des trucs aléatoire dans mes cahiers, mais jamais le nom de mon père, donc ça ne doit pas être ça. Bref.
Je le questionne du regard, et le vois rougir en triturant le bas de son pull.
_ je…je… Humm… y’a u…une fête chez B…Bau ce soir. Commença t’il en bégayant. Il inspira un bon coup et lâche d’une traite les yeux fermés. Est-ce que t’y va parce que j’y vais, et je voulais savoir… voilà
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