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La Vie D'Un Tueur

Une journée comme les autres.

Un jour comme les autres, pluvieux et lourd, c'est un jour qui restera pour toujours comme le jour J pour sophia.

Sophia est une jeune femme, brune les cheuveux mi long et ondulés, de grands yeux gris mangent son visage fin et mat, elle n'est pas un top modèle mais c'est une très belle femme de 26 ans.

La jeune femme s'étira de sa chaise elle avait travaillée toute la journée et n'avait qu'une seule envie rentrée chez elle prendre une douche et se caler sur son canapé devant un bon film, mais le coup du sort aller lui jouer un mauvais tour.

Le téléphone sur sa table de travaille sonna, elle le regarda avec un dégoût, elle se dit que si elle répondait pas et que c'était son patron elle allé avoir les oreilles qui sonnent du coup elle attrapa le combiné:

- Allô....

Un son inodible lui répondit suivit d'un bruit comme un souffle.

-Allô, qui est à l'appareil?

Cette fois-ci une voix pas agréable lui repondit:

- Je ne contrôle pas mes pulsions, c'est comme si mon corps bougeait et tuait ses pauvres gens c'est devenu un besoin vitale pour moi mais vous êtes la seule à qui je vais tout raconter et si vous appelez la police ou essayez de savoir où je me trouve, je vous retrouverai vous. Ne raccrocher pas sinon vous serez responsable de la mort de ma prochaine victime à qui je dédirais votre nom, vous comprenez?

Sophia abasourdie ne savait plus quoi dire ni quoi faire.

- C'est une blague, qui est à l'appareil?

- Si pour vous c'est une blague vous n'avez qu'à raccrocher pour voir.

Sophia hésita mais ne pu s'empêcher de penser que si il disait la vérité elle serait responsable de la mort de quelqu'un, mais pourquoi un tueur l'appellerai elle et pourquoi vouloir lui raconter sa vie c'était forcément une blague d'un crétin.

- Vous savez quoi pauvre imbécile, je suis sur que vous êtes un ami de Paul mon ex et qu'il vous a demandé de me faire une sale blague allé lui dire qu'il peut aller se faire....

Et sur ce elle raccrocha. La journée avait été assez fatiguante pour se prendre la tête avec qui que se soit. Elle se leva attrapa sa veste sur le dossier de sa chaise et sortie de l'immeuble où elle travaillait presque en courant.

Sa voiture garée sur le parking juste devant la sortie l'attendait comme une invitation à rentrée chez elle, elle monta, alluma le moteur et pris le chemin de son appartement situer presque en dehors de la ville de Perpignan, avant Villeneuve.

L'appartement tout noir s'éclaira dès qu'elle ouvrit la porte, elle aimait cet appart qui lui rappelait qu'elle était libre de tout entrave, un appart qu'elle avait payé elle même, décoré avec ses goûts.

Sophia avait relégué l'histoire du téléphone loin de toute pensée, elle se dirigea droit vers la salle de bain fit coulé l'eau et se devêtie afin de se délasser de sa journée.

Une bonne demi-heure plus tard elle sortie de la salle de bain avec juste un grand tee-shirt qui lui arrivé au genoux et une culotte de dentelle blanche et douce comme du satin. Elle aimait porter de belle chose sur son corps et ses sous vêtements était souvent en satin. Elle ne prenait pas cas de la mode donc souvent elle s'habillait avec des jeans et des tee-shirts.

La faim commença à lui dérailler le ventre, le frigo fesait triste mine, deux bouts de jambon, une vieille salade et quelque pâtes de la veille lui repondirent à sa faim.

- Bon je pense que je vais commander une pizza, car là désolé mais vous m'attirez pas. Et elle referma le frigo.

Il lui arrivée souvent de parler toute seule comme ça. Elle pris son téléphone portable et composa le numéro de sa pizzeria préférée, commanda comme à son habitude une pizza mi fromage mi saumon et raccrocha, elle se dirigea vers son canapé et alluma la télé un bon film l'attendait dans ses replays, "mon voisin totoro" elle l'avait vu plusieurs fois mais été accro au manga, ghibli.....

Un quart d'heure plus tard le livreur arriva avec sa pizza qu'elle régla et put continuer son film tout en grignotant.

Le film fini et la fatigue accumulée, Sophia se dirigea vers sa chambre et se coucha. Le sommeil vint rapidement, elle n'eu qu'à posé sa tête sur ses oreillers moelleux et se couvrir avec sa couette moltonée pour sombrer.

Une sonnerie stridente la fit sursautée de son lit qu' es ce que c'était? où était-elle? tout était embrouillés dans son esprit. Elle se leva regarda son téléphone se n'était pas ça. La sonnette de la porte retentie encore une fois plus intensément. Mais qui osé sonné à sa porte ainsi? il allait voir de qu'elle bois elle se chauffe.

- J'arrive, j'arrive deux minutes.

Elle ouvrit la porte et tomba sur deux policiers qui la regarda de bas en haut, elle prit conscience de sa semi nuditée et mit ses bras devant sa poitrine.

- Que puis-je faire pour vous? dit-elle rougissante.

- Madame Sandomas Sophia? demanda le plus grand des deux.

- Oui c'est moi.

Perplexe Sophia les regarda dans les yeux et leur redemanda se qu'elle pouvait faire pour eux.

- Pouvons- nous entrés, il faut que nous vous parlons c'est important.

La jeune femme qui n'avait rien à caché et voulant savoir de quoi il retourne leur ouvrit la porte plus grande et les laissa pénétrer.

-Si ça vous dérange pas puis-je allé me mettre quelque chose de plus adéquate?

Les policiers firent oui de la tête et l'attendirent dans le salon.

Elle ne savait pas se qu'il se passait, n'avait pas l'esprit très clair mais il se passait quelque chose de grave pour que deux policier tape à sa porte et veuillent lui parler. Elle retourna dans le salon habillé d'un jean délavé et d'un débardeur bleu, les deux policiers lui firent face.

- Qu'es ce qu'il se passe?

- Madame Sandomas, il c'est passé quelque chose, ce matin nous avons trouvez un corps sur lequel votre nom était inscrit en gros dessus et une lettre qui vous ait destiné.

Sophia eu comme un vertige ses jambes se mirent à flageller le sol se rapprochait de son visage et tout devint noir.

Un linge humide la réveilla d'un coup, elle leva les yeux et reconnu le policier, elle compris qu'elle c'était évanouie.

- Ça va mieux?

- Oui désolé.

Le policier la laissa se redresser sur le fauteuil où il l'avait allongé, le coup du téléphone lui revint comme une claque à son souvenir et des larmes se mirent à couler sur son visage.

- Madame, nous sommes désolé de vous déranger mais il va falloir nous suivre au bureau de police nous avons des questions à vous poser et des explications à avoir.

le coup du sort

Et voilà il fallait qu'il se libère et parle pour que les gens comprennent, pour que les jugements soit justifié.

Mais à qui?

le coup du sort avait voulu que le nom d'une jeune femme qu'il avait croisé il y a longtemps lui revient en mémoire c'était une jeune femme qui attendait dans une salle, dans ses yeux de la peur mais aussi une force de vie,une force de vaincre tout ce qui serait un obstacle, il avait suivi de loin ce jour là mais ne l'avait pas pris pour cible car il se sentait lié à elle, se regard qu'elle avait, lui avait transmit beaucoup de force ce jour là il y a 4 ans. Il avait appris qu'elle avait fuit un ex possessif et agressif, et qu'elle était partie pour mieux se reconstruire, elle avait réussi car il savait qu'elle avait un emploi de journaliste, dans une ville du Sud de la France, où elle se plaisait énormément.

Soit ce serait elle et personne d'autre, ce serait comme faire connaissance l'un et l'autre.

Un petit quelque chose lui traversa le cœur, comme un sentiment de joie et de crainte.

Que dois-je craidre se demanda-t-il! Le rejet, l'incompréhension. Une seule façon de le savoir après tout il allé trouver son numéro de téléphone et l'appeler.

Trouver son numéro fut un jeu d'enfant, il composa le numéro et attendit, un déclic lui apprit que quelqu'un avait décroché, puis une voix douce de femme qu'il reconnut de suite répondit :

-Allô...

Tout déballer d'un seul coup fut une erreur, car elle se braqua, il dut la menacer et cela lui déplut énormément, mais elle crut à une blague et lui raccrocha au nez. Alors il allait lui prouver que pour lui la valeur des mots comme des gestes étaient important, elle ne le croyait pas donc voilà… Peut-être que ce sentiment de rejet face à cette personne qu'il avait choisi lui dicta ses gestes, il ramassa ses affaires et sorti, comme toujours la ville était animée de ce côté là, mais il se dirigea vers un coin plus tranquille. Il avait déjà vu qui serait sa prochaine victime, c'était un homme qui vivait dans une petite maison derrière le Moulin à Vent, la première fois où il l'avait croisé il avait su que se serait lui son prochain adversaire, car il le voyait comme ça, certe oui il prenait plaisir à tuer ce genre de personne, mais il se le devait de le faire, car son corps le forçait à agir ainsi en réponse à ce qu'il voyait en eux.

L'homme du nom de George Mitchel, ne se doutait pas de ce qui allait lui arriver, professeur de chimie au collège, il préparait son cours du lendemain, sa femme était décédée 2 ans auparavant il vivait seul avec sa fille de 15 ans, la jeune adolescente a l'heure qu'il était devait sûrement dormir.

George rangea ses cours dans sa sacoche et la suspendue devant la porte d'entrée, l'heure pour lui de se reposer. À 47 ans, se sentait un peu fatigué de ces journées interminables avec des élèves qui ne pensaient qu'à leur téléphone portable. Il y avait bien la petite Camille qui suivait toujours le cours avec assiduité, mais il n'en pouvait plus de ce stress continuel, sur ses pensées moroses, il monta à l'étage où se trouver sa chambre et y pénétra tout se passa très vite il sentit un coup sur sa nuque et tout devint noir.

Le silence régnait dans la pièce où dormait la jeune fille, il allait prendre son temps il ferma doucement la porte et se tourna vers ce corps ideu, il le tira vers le centre de la pièce et commença son œuvre, il lui trancha d'abord la gorge et le laissa se vider de son sang le corps eu des soubresauts, mais pas assez bruyant pour réveillé sa fille. Une fois que le corps s'apaisa il ouvrit la chemise et grava avec un couteau le nom de Sophia, il disposa le corps de manière à se que ses mains se lient en prière, et continua ce qu'il avait l'habitude de mettre en avant quand il tuer ces monstres.

Une fois fini il prit une feuille sur le bureau du professeur et expliqua son geste, pourquoi il fallait à tout pris qu'elle comprenne ce qu'il faisait. Il lui écriva pourquoi il avait choisi que ce soit elle et personne d'autre pour raconter son histoire et que maintenant il ne pourrait plus communiqué avec elle que par ces lettres et que si la police ne lui transmettait pas alors il tuerai encore plus de personne, il ne chercher qu'à faire comprendre aux autres son geste.

là où tout à commencé

Sophia était assis dans une salle depuis près d'une demi-heure, à attendre que quelqu'un lui donne plus d'explication, les larmes c'était tarient et maintenant de la peur et de l'incertitude avaient pris le dessus. La voilà qui attendait un lieutenant de la criminelle qui devait lui parler et lui posé des questions sur un mort qu'elle ne connaissait pas et un tueur qu'elle aurait dû croire, peut-être que ce mort ne l'aurait pas été.

Un homme D'une trentaine d'année entra dans la pièce avec des documentss dans les mains, brun avec des cheveux court, 1,85 m voir un peu plus jugea-t-elle, il la regarda et rentra dans le vif du sujet directement.

- Connaissez vous Mr. Mitchel

- Non pas du tout.

Il déposa une photo d'un homme d'âge mûre avec une jeune fille qui devait être la sienne, car beaucoup de ressemblance ressorter de la photo.

- Il ne me dit rien du tout qui es ce ? Sophia ne pu s'empêcher de se demander si c'était le tueur ou la victime.

Le lieutenant posa une autre photo qui fit monter la nausée aux lèvres de la jeune femme. La photo représentait un homme appuyé sur ses genoux la gorge tranchée les mains liées comme s'il était au confessionnal complètement nu des marques sur son dos, comme des dessins, lui avait été fait par le tueur, car tout autour du sang séché s'y trouver. Elle ne put détacher ses yeux de la photo comme une sensation malsaine de vouloir chercher une réponse à tout ça.

Le lieutenant la regarda et analysa chaque mouvement de son visage quand elle regarda la deuxième photo, il y vu le dégoût puis la curiosité se dessiner sur celui-ci.

- C'est la victime qui a été découvert par sa propre fille ce matin, voyez-vous Madame Sado…

- Appelé moi Sophia s'il vous plaît.

- Comme il vous plaira Sophia, voyez-vous votre nom a été gravé sur son torse. Comme une signature…

- Vous croyez que c moi qui aurais fait ça. Ne put-elle s'empêcher de crier. Mais vous êtes fou…

- Nous savons que vous n'y êtes pour rien nous cherchons à comprendre pourquoi le tueur vous a choisi, il a laissé une lettre à votre intention et à la nôtre par la même occasion, cette lettre je vais vous la donner, car elle a des consignes que nous ne pouvons pas passé à côté.

Il lui tendit un papier, qu'elle hésita à prendre elle ne voulait pas être mêlée à un tueur, mais la première fois qu'elle ne lui avait pas tendu l'oreille il avait tué quelqu'un, alors elle ne désirait plus être responsable d'un autre mort, elle prit la lettre et l'ouvrit. Le tueur avait une très belle écriture. La lettre commençait par avertir la police que le document devait lui être remis sous peine de plus de mort, qu'il savait que le document allait être inspecté par pleins de personnes et qu'il n'en avait rien à faire du moment où le document lui reviendrait dans ses mains. Après un grand espace, il commença à s'adresser à elle… .

" Ma très chère Sophia, puis-je ainsi t'appeler ne te sens pas responsable de ce que j'ai fait, malgré la menace que je t'ai faite, il fallait que je le tus, hier soir quand je t'ai appelé je voulais trouver en toi quelqu'un qui puisse comprendre mon geste qui puisse le faire comprendre aux autres, car j'ai décidé de tout te raconter et de te laissé le transmettre par ton journal aux autres. Je vais te raconter où tout a commencé et permettre ainsi au policier à suivre ma piste. Je suis se qu'ils appelle un tueur en série, je suis un homme qui n'a rien vécu de pénible dans sa vie, un jour lors de mes 16 ans j'ai commencé à voir des auras bizarre autour de certaines personnes. Je ne les comprenais pas, car elles ne signifiaient rien, puis elles ont pris plus de clarté et ressemblaient à des monstres de différentes formes.

Tu dois te dire c'est quoi ce fou, mais je te raconte la vérité. Une voix à l'intérieur de moi me disait qu'il fallait que j'agisse, que c'était mon devoir, que j'avais dû être choisi.

Tu vois Sophia je vais te raconter ma première fois, c'était une jeune femme de 25 ans appelé Maria Sanchez, elle avait cette aura rouge sang et quand je la regardais je voyais un sourire sadique sur son visage et ses yeux devenaient noirs, je l'ai suivi un soir elle se dirigeait vers une ruelle qui amener à un bar. Je l'aborda en prétextant avoir perdu mon téléphone et devant passé un coup de téléphone à ma mère pour qu'elle vienne me chercher, elle avait vu mon âge et prit sûrement pitié de moi, car elle chercha son téléphone dans son sac, c'est là que j'en profita pour lui assainé un coup sur la tête de toutes mes forces, son corps s'étala au sol, je surveilla que personne me vu mais la rue était déserte.

je traina son corps dans un immeuble désinfecté, et je fini par la tuer, la voix à l'intérieur de moi m'expliqua ce que je devais faire, je l'étouffa grâce à un sac que je trouva dans une pièce et lui creuva les yeux car la noirceur que j'y avait perçu devait disparaître. Je pris dans une de mes poches un fil et une aiguille pour lui coudre se sourire malsain qu'elle avait et la laissa là, j'avais tout prévu sur ce que je devais faire, ainsi je savais que la rue n'était pas surveillé par des caméras. Tu vois Sophia mes gestes été dictés ce que je ressent je ne le métrise pas, la police pourra retrouver son dossier, je me rappel qu'ils avaient arrêté un clauchard et lui avait fait porter le chapeau à l'époque, maintenant que je t'ais raconter ce qui c'est passé je vais te dire combien j'ai tué de personnes, mais je ne te raconterai leur nom et leur mort que par lettre car la police va surveiller tes moindres gestes et donc vouloir me piéger ce que je ne veux pas tu peux le comprendre. les lettres te seront livrer dans des endroits différents, ne crois pas que je veuille jouer avec toi loin de là tu es quelqu'un que j'admire avec une âme pure, voilà j'attends de toi que tu transmette cela au plus vite et je te donnerai plus vite des indices sur mes victimes, pour te donné plus envie de le faire sache que plus je t'écrirai ces lettres, plus les flics se rapprocheront de moi et auront l'occasion de m'attraper.

Voilà il y a eu 18 victimes dont certaines qui n'ont jamais été découvertes, à très bientôt ma chère Sophia."

La jeune femme tourna son visage dévasté vers le lieutenant. Elle lui tendit la lettre et lui demanda ce qu'elle devait faire.

- Vous savez, nous croyons que le tueur vous connaît il a dans sa lettre une admiration pour vous. On se dit que si vous faites ce qu'il dit il ne tuera personne alors nous pensons qu'il faut que vous fassiez ce qu'il vous dit.

- Suis-je en danger ?

- Je ne pense pas.

- Pouvez-vous me dire plus sur cette jeune femme qu'il dit avoir tué. Es ce vraiment lui où es ce une personne folle qui veut qu'on le remarque en prenant les meurtres d'un autre.

- Je vais vous dire ce qu'il en est, oui il est bien le tueur, car il a décrit certains détails connus que par le tueur et la police. Maria Sanchez était infirmière à domicile, elle venait de finir sa journée et allé rejoindre un ami dans ce bar. Nous avons grâce à cet indice découvert que cet homme a 43 ans. Maintenant grâce à cet indice, on cherche avec les archives et les bases de donnés qui il est.

- Vous voulez que je relate quoi exectement, que j'écrive sur mon journal ce qu'il me décrit dans sa lettre, car cela va choquer beaucoup de monde. Puis je ne pense pas que mon patron sera d'accord et si je fais ça vous me lié encore plus à être personne. Je me sens perdu, appeurer, je ne c plus quoi faire. Es ce qu'il me surveille, que me veut-il?

- Je comprends que ce n'est pas facile, et que vous ayez peur, sachez que l'on va mettre une patrouille devant chez vous, en ce qui concerne votre patron on va s'en occuper. Pour ce qui est du texte il vous est permis de transmettre tout les détails sauf ce qui vous lie au tueur, car nous ne voulons pas envenimer la chose. Il y a des personnes qui vont réclamer justice et on ne voudrait pas que l'on vous prenne pour cible. Là on va vous raccompagner chez vous, afin que vous repreniez votre travail. Nous de notre côté, on va continuer les recherches.

- Encore une chose s'il vous plaît, je suis fatigué, épuisé par tout cela, mais il me semble ne pas avoir retenu votre nom, et vu que l'on va devoir travailler ensemble...

- Ce n'est pas vous, C'est moi qui ne vous l'est pas donné je suis le lieutenant Ortis Lucian, et oui on travail ensemble sur cette affaire. Courage je sais Que ce n'est pas facile, mais on va le retrouver, ne vous inquiétez pas.

Elle se fit reconduire chez elle mais ne partie pas dessuite à son travail elle avait besoin de digérer tout ce qui venait de se passé et s'assit sur son canapé, replia ses genoux sous son menton et ferma les yeux.

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