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La Voleuse Du Jour

Chapitre 1

Le bateau tangue et j’entend le clapotis des vagues tout autour de moi, le ciel et dégager et je peux y apercevoir les etoile. Je suis assise sur le pont avec mon carnet. Il est très beau à sa façon avec sa vielle couverture en cuir et ses page jaunit par le temps. Je viens de le trouvé au fond d’un tiroir de notre embarquation. J’aime beaucoup écrire et généralement je ne suis jamais souffrante de se que l’on pourrai qualifié du syndrome de la page blanche mais aujourd’hui je n’ai pas d’idée. La vérité c’est que j’ai une petite idée mais que je ne sais pas si c’est une bonne idée car c’est à la fois une histoire joyeuse d’aventure mais c’est aussi une histoire terriblement triste. Bonh, je me lance. Mon frère et ma mère sont couché et j’ai a présent toute la nuit devant moi pour vous raconter mon incroyable histoire.

Mon nom est Alexine et en se temps là, j’avais 10 ans. J’avais les cheveux de la couleur des éclair coupé en mèche iregulière qui m’arrivait à la hauteur des épaules et les yeux bleu tout comme mon petit frère Jams. Je portait le même ample t-shirt bleu -décoloré avec le temps- depuis plus d’un an et j’etait SDF.

Tout commence un jour de novembre, il faisait froid, les arbres était recouvert de neige. Mon petit frère et moi étions là, tapis dans l’ombre d’une ruelles sous notre abris de fortune. Notre mère ne pouvant plus supportée notre extrême pauvreté nous avait abandonné quelques années plus tôt. Peux après notre père mourut d’une grave maladie. Pour finir il ne restait plus que mon frère et moi abandonner à notre triste sort. Je ne pouvais plus supporté de ne posséder qu’un seul sweat, de me contenter d’une chips par jour et de voir ces bourgeois faire semblant de déposer un billet dans nos main puis de le reprendre! Ma décision était prise j’allais commencer à voler!!! Oh non, pas voler la nuit en crochetant une serrure pendant que les propriétaires dorme. J’allais faire quelque chose que personne n’avait jamais essayer de faire, j’allais voler le jour! Quand je volerais je ne serais plus Alexine Baddock, je serais la voleuse du jour. Le lendemain je suis partis en laissant un mot à mon petit frère disant que j’allais mendier un peu plus loin. Le jour avant j’avais laisser une lettre dans la boîte aux lettre des Tutlle disant qu’ils avaient gagner au loto et qu’ils devaient aller à Frankefort pour recevoir l’argent. Je me suis cacher derrière un mur à les épier, attendant leur départ imminent. Madame Tutlle ouvrit la porte de la voiture et s’installa confortablement dans son siège. Quelques minutes plus tard, la voiture démarra. Soudainement je me suis rappeler que je n’avais aucun moyen d’entrer. Je fit le tour de la maison cherchant un entrer. La je la trouva, une petite fenêtre isolé entrouverte. Je glissa ma main dans la minuscule ouverture puis j’ouvrit la fenêtre de l’intérieur. C’était un vaste salon au milieu du quel trônait un canapé, un tapis et une table basse. Je remarqua une petite boîte poser sur la table, je l’ouvrit, elle contenait un copier incruster de rubis et des boucle d’oreilles en ors. J’entendis des bruits, était-ce les Tutlle qui c’étaient rendu compte de mon escroquerie? D’autre voleurs? Juste la maison qui grinçait? Je ne le sut jamais car je m’enfuit, emportant avec moi les précieux bijoux. Je les revendit sur le marché noire à deux homme un peu louche. J’étais tellement heureuse de la liasse de billet que j’avais obtenu que je ne pris même pas le temps de vérifier leur valeur. À mon grand mécontentement ce n’était que de banal billets de monopoly. Quand je rentrie je trouvi mon petit frère en train de se faire rouer de coup de pieds par le garçon le plus riche du quartier, il devait avoir quelques années de moins que moi. Sous le coup de colère j’envoya à l’assayant de mon frère un coup de poing dont il ce souviendra toute sa vie. Le garçon pris ses jambe à son coup.

Sa vas Jams, ai-je demander à mon frère, cet abruti t’as pas fait mal?

Il m’a répondu:

-non non, sa va mais merci heureusement que tu étais là.

à la mort de mon père je m’étais promis de veiller sur mon frère et tombait plutôt bien car je me débrouillais assez bien avec mes poings. Une chose est sur je connaissais déjà la prochaine cible de la voleuse du jour et je crois que vous aussi si vous avez suivi. Par contre je n’avais aucune idée d’où habitait l’idiot qui c’en était pris à mon frère…

-juste comme sa il habite où?

d’accord, je sais j’aurais pu utiliser une approche plus discrète mais j’avais pas que sa à faire, j’avais une maison à cambrioler.

ils habitent la giga villa à O'Connell Street.

je reviens, lui ai-je dis. Je pars à la recherche du bonne pizzéria pour faire leurs poubelles.

okay à toute suite

Je me suis mis à courir jusque à O’Connell Street. Se que j’adore, c’est les riches qui on plein de voiture. Tu peux te cachée derrière tout en regardent quand ils vont partir. J’ai fais le mois de bruits possible au point de presque arrêter de respirer pour ne pas me faire repérer. Je les aie entendue parler:

-Hervé

L’homme -qui devait surement être son père- s’adressait au jeune garçon à qui j’avais mis une patate.

-Franchement tu t’es fais mettre au tapis par une fille!!!

Il avait prononcer ce mot comme une maladie grave et j’ai serré les dents car je déteste que les gens sois sexiste.

-Mais papa…

-Pas de mais, tu iras à se cours de karaté et plus jamais qui que ce sois ne te battra.

Il est rentrer dans la voiture (une limousine ) en grognant et en jurant des truc que je ne répèterais pas.

-surveille un peu ton language Hervé.

Ouf, ils sont enfin partit. J’ai fais le tour de la maison mais malheureusement je n’ai pas eu autant de chance que la première fois. Il ne me restais plus qu’une dernière possibilité… Je dois avouer que sa m’a énormément surprise qu’un milliardaire laisse la clef sous le paillasson. J’ai ouvert la porte et monter plusieurs cage d’escalier jusque à me retrouver devant une porte sur la quelle il était écrit en grosse lettre: Hervé. J’ai décider que je commencerais par cette pièce. Je fouilla dans les tiroir du dénommé Hervé. Et je trouva une photo sur la quelle on pouvait le voir lui, l’homme qui lui criait dessus quelques instant plus tôt, une petite fille blonde à qui il manquait des dents et une femme au cheveux châtain ébouriffé couper court que je ne connaissais que trop bien, l’ex Nathali Baddock, ma mère. Un sourire flottait à ses lèvre mais elle inspirait une certaine tristesse, la tristesse du femme qui a trahi les siens. Je m’était toujours demander se que je ferais si je me retrouvais confronter à ma mère, un seul chose me vint à l’esprit, écrire. Avant de me retrouver à la rue, j’allait à l’école et le plus beau jour de ma vie fût lorsque j’appris à écrire. J’écrivais des tonnes et des tonnes d’histoires, même que je voulait en faire mon métier plus tard. Maintenant mon rêve c’était envolé comme de la fumé. Bref, j’allais lui écrire une lettre. Je fouilla dans les affaire du garçon jusque à y dénicher du papier et un stylo, même si dans mes recherche je trouva quelques sous vêtement cacher sous des oreiller. Je commença à écrire de mon écriture serer:

Bonjour, je suis votre fille, celle que vous avez abandonner au cas où vous auriez oublier. Je vous écrit pour vous donner de mes nouvelles: papa est mort, Jams vas bien, nous vivons seul dans la rue ( la faute à qui). Je vois que vous avez réussi, vous êtes passer du statu de pauvre à femme de milliardaire.

PS; au cas où vous vous demanderiez ce que je suis devenue, questionnez votre fils sur la personne qui a à jamais briser son amour propre.

cordial salutation A. Baddock

Je posa la lettre et partis sans rien avoir volé, le fait d’écrire à ma ma mère me suffisait amplement. Peut être vous dites vous que j’ai été un peu injuste dans ma lettre mais c’est tout ce qu’elle méritait après nous avoir abandonner. Peut être une phrase vous à t’elle frapper: la faute à qui?! Ma mère était au chômage et mon père n’avait pas un travaille qui payait incroyablement bien. Pourtant, elle continuait de s’acheter robes et bijoux les plus cher. Pour finire nous n’avions plus rien et vous connaissiez la suite… Bref, je suis rentrer chez moi. Depuis lors j’ai fait deux ou trois vole et quelques chapardage mais rien de bien grandiose. Habillé dans mes hayon habituel je passais sur la 22e rue lorsque j’ai vu Georges ( un autre SDF) en train de se faire racketter par trois gars super balèze et ça m’a mis en rogne, ça va peut-être vous choquer mais je n’ai pas immédiatement réagi. Mais pour ma défense, perso j’ai réfléchi à deux fois avant de faire une pichenette à un mec de 1,99 m qui a ses côtés deux copains tout aussi grand. mon cerveau marchait à 2000 à l’heure. Là, une idée m’est venue, un camion de remorquage tournait au rond-point, et si… J’ai jeté un caillou au visage de Mister baraqué un qui en a un mouvement de recule est est tombé à l’arrière du camion de remorquage, ses deux potes ont immédiatement acouru à sa rescousse, les 100 Georges seul j’ai couru vers le sans-abri et l’ai pris par la main, nous sommes partis en courant. nous nous sommes engouffré dans une boutique de mode et nous sommes cachés derrière les rayonnages sous le regard effaré de la caissière. quelques secondes plus tard les trois affreux passaient devant la boutique. Nous avons attendu de longues minutes jusqu’à ce que nous soyons sûre que la voie était libre. Georges m’a remercié et nous nous sommes séparés. Je me suis dirigé vers le manoir qui se trouvait au bout de la rue. Cela faisait plusieurs semaines que j’observais tout leur fait des gestes et je savais à présent que tous les mercredis, il se rendait au restaurant de la rue du petit théâtre. Ce jour là je portais une ceinture, et pas n’importe laquelle, une corde avec un crochet au bout. Je fis des moulinets avec puis l’ai lancée en direction de la fenêtre la plus haute. La première fois le crochet rebondit contre la façade. Mais au bout de quelques essais le crochai resta agripper au rebord de la fenêtre. Je me mis à grimper si bien que quelques secondes plus tard je me trouvais assise sur le rebord de la fenêtre. Je sorti de ma poche un trombone rouillé avec lequel je déviça la gouttière qui me gênait dans mon ascension, je pue ensuite monter sur le toit en m’édan des tuiles. je trouva une lucarne et je savais que les propriétaires la laissait toujours ouverte. je sautille et me retrouve au sol. C’était un lugubre grenier dans lequel de nombreuses choses diverses étaient entassés. Il faisait tellement sombre, je ne voyais même pas où se trouvait la porte. Après m’être cogné le gros orteil plusieurs fois j’arrivais finalement à la porte. C’était une porte assez banale en bois qui donnait sur un escalier pentu. Je savais pour avoir entendu la proprio en parler que dans l’armoire de la chambre se trouvait un coffre fort et qu’elle avait caché un post it avec le code dessus dans le bureau du premier étage. Je décida de commencer par trouver le post it. Le bureau était très vaste mais pourtant ne comportait pas énormément de mobilier. Mise à part un canapé en velours rouge, un bureau en bois foncé, un tapis tapis qui devait faire un peu plus de 5 m de longueur est… Une tête de sanglier en paillé ? Les murs étaient blancs et une petite fenêtre au volet vert donner sur la grande place. Je remarqua alors que un bout de papier jaune dépassait de Sous un des nombreux gros livres entassés sur le bureau. Je souleva le livre en question. Sur ce post-it était écrit 07/4/61/78/. Je couru dans la chambre et ouvri l’armoire puis le coffre grâce au code ! Il contenait d’énormes piles de billets de banque, j’en enfonça plusieurs dans mes poches est parti en courant.

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