♤Le jour se lève à Édimbourg, la capitale de l’Écosse au Royaume-Uni.
♤Moi je suis Érine, dernière fille du roi Conor FOX et de la reine Sophia PHILIPPE, ma sœur qui est héritière du trône Abigaïl FOX.
♤Vous découvrirez toute la suite par vous-même.
-Abigaïl ma puce, ton mariage est pour bientôt et tu n’as toujours pas de robe ?
●Avec un ton doux et un peu triste.
-Mère, le mariage est encore dans deux mois, j’ai encore du temps pour trouver une belle robe. Et je comptais faire une commande chez le meilleure couturier du pays.
-Oui ma puce mais...Tu vois tu es ma première fille et ...
-Mère dite plutôt que vous voulez être là pour l’achat de ma robe.
●en riant
-Mais oui, je dois être présente, ma très cher fille.
-Ne vous en inquiétez pas, vous serez présente.
♤J’assistais juste à leur conversation, avec ma tasse de thé à la main, j’observais et j’écoutais attentivement ma sœur aînée et ma mère parler du mariage, l’un des plus grands mariage qui sera bientôt célébré entre l’Écosse et les Pays de Galles. Le prince héritièr François Bernard à décidé d’épouser ma sœur ce à quoi elle a accepté, cette alliance sera bénéfique pour le Royaume-Uni et très favorable au roi notre père.
-Érine sera mon témoin.
●Elle se tourne et me regarde avec un sourire.
-Moi ?
●L’air perplexe.
-Oui ma sœur, je te fais assez confiance pour que tu sois mon témoin et en plus de ça, je le souhaite vivement. Alors s’il te plaît, voudrais-tu être mon témoin de mariage ma sœur ?
♤J’étais tellement heureuse qu’elle puisse me demander ça, Abigaïl et moi avons toujours été très proche, malgré nos cinq années d’écart, elle a toujours été là pour moi, même quant on me traitait de mal chance elle disait toujours qu’elle a de la chance de m’avoir comme sœur, car je suis un petit jolie et merveilleux papillon.
-Oui bien sûr, ma sœur, j’accepte avec plaisir.
●Avec un léger sourire.
-Oh ! Merci beaucoup ma sœur.
♤Ensuite, elle continuait sa discussion avec mère, Abigaïl essayait du mieux qu’elle pouvait de me m’introduire dans la discussion ,mais mère qui avait compris montrait, que cette discussion ne me concernait pas. Alors, je me lève et je sors de la salle de séjour en direction du jardin, il y’avait une petite place tranquille qui papa avait fait construire dans le jardin du château pour ses deux filles. Ses endroits sont appelés espaces personnels des princesses, chacune d’entre nous en possédait un ,dans lequel nous pouvions être seul et tranquille.
♤Je m’assis sur ma balançoire, en pensant à mon avenir. Déjà à ma naissance, père n’étais pas du tout heureux de voir qu’il aurait une autre fille lui qui voulait bien avoir un garçon, puis voir que cette enfant ne le ressemblait pas, papa a les cheveux roux et les yeux vers turquoise sans oublier les taches de rousseurs, pour faire court papa est roux et c’est la même chose pour Abigaïl, mais contrairement à moi qui a des yeux gris, les cheveux noirs qui vire vers le marron et un teint hâlé et la majorité du temps j’ai des nattes, on dirait plus que je suis métissée, je ne lâche jamais mes cheveux car je me sens souvent différente de ma famille, ma mère quant à elle a les yeux gris et les cheveux noirs avec un teint éclatant, je me demande toujours comment et pourquoi je suis venue aussi différente, peut-être que c’est la génétique peut importe, à cause de ses différents, père n’a jamais vraiment prêté attention, c’est toujours Abigaïl la préférée, et moi je suis obligé de tout supporter et de leur être obéissante malgré tout.
♤Chez nous, les derniers enfants n’ont pas vraiment d’importance, surtout pour mon père, seul les trois premiers enfants qui ont le droit de choisir leurs partenaires et le dernier n’a pas se droit là. Vu que nous sommes que deux, seul Abigaïl qui a le droit de choisir sont partenaire et moi, je devrais me marier selon le choix de mes parents, ses triste mais c’est vrai, ont dit aussi que si vous avez que des filles vous êtes donc la dernière va détruire le royaume, c’est l’une des causes qui me coupe l’envie de sortir du palais de peur de causer des ennuis.
♤Je regardais la prairie tout en réfléchissant, quand soudain une main c’est posée sur mon épaules me faisant sursauter.
-Salut, je ne te dérange pas...?
●Abigaïl
-oh ! Abi, tu as terminé avec mère ?
-Non, je lui est juste dit que je revenais.
●elle me fait un clin d’œil avec un sourire .
-Mais...si elle te trouve ici, que feras-tu ?
●regarde avec inquiétude
-Peu importe, je suis venue voir si tout va bien chez toi, et merci d’avoir accepté d’être mon témoin de mariage.
-C’est normal...Et je vais bien merci, je suis déjà habitué, ce sont nos parents que faire ?
Et bien rien.
●j’essaie de faire au moins un petit sourire.
-Tu sais très bien que ça ne fonctionne pas avec moi, mais bon tu as raison, ce sont nos parents.
●L’air un peu ailleurs.
-Tu ferais mieux de rentrer avant que mère ne se mettent à ta recherche.
●en souriant
-Ouais pas tort, donc on se parle plus tard...
●juste au moment où elle voulait s’aprétait à partir, une servante est venue dans mon espace personnel.
-Princesse Abigaïl, votre mère la reine vous demande.
●Je regarde Abigaïl avec un sourire, qui elle aussi me regarde.
-Je t’avais prévenu...
●Avec une voix presque moqueuse.
●Abigaïl se met à rire, me touche la tête pour dire au revoir et s’en va avec la servante qui attendait.
♤Je continue à rêvasser, mais pour me consoler je me mets à chanter, et un petit groupe de papillon vient vers moi, comme pour me tenir compagnie.
♤Je souris, et je me mets à jouer avec les papillons comme un enfant qui les voient pour la toute première fois.
♤Les papillons et moi avons comme une connexion, ils viennent parfois par eux-mêmes où quand je les appellent. Ça fait vingt ans maintenant depuis ma naissance, que j’ai cette capacité de comme parler aux papillons et il me répondent, la seule personne au courant de cette capacité, et bien, c’est Abigaïl. Quand j’avais huit ans et Abigaïl treize, on avait souvent l’habitude de descendre en douce dans la prairie et de nous amuser avec les papillons, jusqu'à ce que mère le découvre et demande à père de nous faire construire des espaces personnels, pour nous séparer Abigaïl et moi, sous prétexte que je distrais la future reine du royaume et que nous devons être séparés pour apprendre à vivre l’une sans l’autre. Je sais que ce n’ai pas la véritable raison, mais bon, si c'est pour le bien d’Abigaïl, je préfère me taire. Contrairement à moi, l’espace personnel d’Abigaïl est plus renfermé que le mien, le mien donne directement sur la prairie, donc souvent je descend dans la prairie quand la vie au palais devient insupportable. L’histoire de ma vie n’a pas vraiment grand chose d’extraordinaire, mais au moins je suppose que j’ai le dont de communiquer avec les papillons, peut-être que pour les autres c’est nul, mais moi j’aime ça, car c’est la seule chose qui me fait sentir spécial.
♤Sa fait maintenant deux semaines, et le mariage d’Abigaïl et du prince du Pays de Galles, le prince héritièr François Bernard se rapproche de plus en plus. Aujourd'hui, on choisit la robe de mariage de ma sœur, le tailleur est déjà au palais, il discute avec ma sœur et ma mère dans le salon des invités, moi je préfère rester dans ma chambre, mon avis ne comptera probablement pas, surtout avec mère dans les parages, je prends un livre vu que je n’ai pas de téléphone, sous prétexte que nous les princesses ne sommes pas tous le monde et que malgré notre richesse nous ne devrions pas la gâcher pour des idioties éphémères. En disant ça, j’ouvre l
♤J’essayais de me concentrer sur mon livre, quand on frappe à la porte.
-Princesse Érine, votre sœur la princesse Abigaïl vous demande en bas.
●Un silence s’installe deux minutes
-J’arrive.
●En disant cela, j’ouvre la porte et je me dirige dans la salon des invités avec la servante. Arrivée dans le salon des invités, il y avait mère, le tailleur, deux servantes, ma sœur un garde et l’assistante du tailleur, je suis entré j’ai saluée tout le monde poliment et me suis assise.
-Te voilà, nous avions besoin de toi.
●Elle se rapproche de moi et me montre un magazine avec des robes de mariée.
-Nous ?
●Je lui dévisage presque.
-Oui nous...
●Elle fait mine de ne pas comprendre mon étonnement, mère prend ensuite la parole
-Érine, nous savons très bien que tu as un goût vestimentaire très développé, c’est pour cela que nous t’avons fait appel, nous avons besoin de tes conseils car on arrive pas à se décider sur laquelle de ses quatre robes nous devons prendre.
●Elle se rapproche et s’assied juste à côté de moi et me regarde en me tenant la main.
♤Je suis un peu suprise de la façon d’agir de mère, elle n’est pas aussi tendre avec moi, peut-être que c’est à cause de la présence du tailleur.
-S’il te plaît Érine, peux-tu nous aider ?
●Je lui regarde et je me tourne vers Abigail qui a le magazine, je regarde attentivement les quatre robes et je mets mon doigt sur la deuxième robe, une robe sirène qui mettra Abigail en valeur avec une longue traîne et un voile moyen.
-Cette robe te mettra en valeur, tu seras tellement magnifique dedans.
●Elle me regarde avec une lueur de joie dans les yeux.
-Merci beaucoup Érine, tu es la meilleure.
-Merci beaucoup, c’est très gentil de faire ça pour ta sœur. Et si tu restais avec nous pour prendre le thé après ici. Si je ne me trompe pas tu as du temps libre.
●Abigail réagi immédiatement
-Oui ! Dit oui s’il te plaît, allez Érine.
●Je suis resté silencieuse un moment, je n’en revenais pas, mère me demandait de prendre le thé avec eux, alors que d'habitude elle m’ignore et j’ai l’impression qu’elle m’évite.
-Oui j’accepte avec plaisir.
●Je fais un petit sourire.
♤Après avoir fini de prendre les mesures et tout, nous sommes aller dans le jardin et nous buvons un thé à trois. Mais mère me dit un truc qui a cassé mon ambiance.
-Érine, après le mariage de ta sœur nous aurons une conversation.
●Elle me regardait puis elle prend un peu de son thé
-Mère, ne croyez-vous pas que c’est trop tôt... Je veux dire, elle n’a que vingt ans et la limite fixe est vingt-six ans...
●Je ne comprenais pas de quoi elles parlaient, je les regardais l’air totalement perdu, quoi on me cache des choses dans ce palais ?
-De quoi vous parlez toutes les deux ? Vous me cachez des choses ?
●Mère m’ignore et répond directement à Abigail avec un ton sévère.
-Écoute Abigail, peu importe son âge elle le fera ! Je ne vois pas à quoi elle nous servira après ton départ, déjà qu'à sa naissance que du malheur et du malheur, elle ne nous sert à rien, donc je m’en contre fiche de ce qu’elle veut ou ce qu’elle pense, je suis sa mère et ma volonté est sa volonté !
●Mère était sérieuse dans ce qu’elle disait ? Parlait-elle de moi ?
-Mais mère...
-Cette discussion est close Abigail, j’en ai déjà parlé au roi et il est d’accord, nous avons déjà commencé à faire des propositions aux autres royaumes.
●Je les regardais et je ne pus me retenir.
-Mère, est-ce de cette façon que vous me voyez, vous et père ? Et vous ne vous souciez même pas que je sois présente ? Et quelle est cette histoire selon laquelle je partirais ?
●J’avais presque les larmes aux yeux, j’étais blessé du plus profond de moi, ses mots m’ont déchirés et brisés. Je regardais ma mère dans les yeux, c’était comme si elle venait de se souvenir que j’étais présente.
-Érine... Calme-toi... Je... Enfin mère ne voulait pas dire ça... Enfin si mais...
●Je regarde Abigail qui voulait me calmer, mais j’avais trop mal et c’est quoi cette histoire.
-Laisse-moi Abigail !
●Je me lève de la table et pars avec les larmes qui menaçaient de couler.
- Excusez-moi.
●Je pars en ignorant les appellent d’Abigail, les larmes coulaient sur mes joues comme une cascade, je me dirigeais vers mon espace personnel la main sur la bouche essayant de ne pas crier, je prends mon appui sur un arbre, je restais comme ça plusieurs instants, en train de pleurer, je voulais juste mourir, ne jamais naître.
♤ Donc tous les efforts que j’ai faits pour les plaire n’ont pas fonctionné, quand Abigail leur tenait tête et moi qui faisais tout, quand elle refusait de participer aux réunions pour voir comment diriger dans le futur et que je devais prendre sa place, prendre des notes et les lui rendre, et bien d’autre tout cela n’était qu’une sorte de manipulation, j’ai toujours été manipulé, ils étaient au courant de mon désir de les plaire et donc ils en ont profité pour leur propre intérêt. Pourquoi, pourquoi il fallait que je puisse naître ici bon Dieu.
●J’entends des pas se rapprocher et sans réfléchir, je cours dans la prairie, arrivée en bas de la colline, j’aperçois Abigail qui me cherchait du regard. Plus tard, elle s’en va, je m’assieds sur les herbes et j’étais entourée de fleurs, puis un instant, un papillon vient se poser sur mon genou, je sèche mes larmes et je le regarde, ensuite je me mets à chanter et plusieurs papillons viennent vers moi, cette expérience me donnais un peu de joie, en regardant les papillons, un papillon vient encore se poser sur mon genou et je me mets à parler.
-Qui suis-je pour me plaindre de ma situation, c’est vrai, il y a des gens qui ont des problèmes pires que les miens, j’ai toujours sus que mes parents me détestait et je me créais une illusion dans laquelle ils m’aiment, mais sont trop occupés. Quand j’ai pleuré tout à l’heure, c'est parce que mon illusion s’est brisé sans prévenir, là je sais maintenant que dans quelques jours, je serais seule, puis moi aussi je partirais.
♤ J’ai passé tout mon temps là-bas à chanter en compagnie des papillons. Le soir venu, je repars dans le palais, je monte les escaliers et en passant devant une porte, j’ai entendu mon nom, je recule de quelques pas et j’écoutais une conversation.
-Je crois qu’elle est au courante pour le mariage, et si elle ne l’ai pas avançant le vite.
-Oui, pendant la soirée de mariage d’Abigail, nous lui trouveront quelqu'un.
●Je mets ma main sur ma bouche, et je vais directement dans ma chambre, je prends une douche, j’enfile ma robe de nuit et je me couche, mais avant, je ferme la porte à double tour .
♤Il ne se sont même pas inquiétez pour moi, au contraire ils veulent se débarrasser de moi le plus vite possible, je comprends maintenant que je suis un fardeau pour eux, je me fiche maintenant d’eux, vu qu’ils n’ont pas besoin de moi je préfère partir alors. Je préfère vivre avec un inconnu qui m’aime comme femme que des personnes que je connais et qui n’ont aucun intérêt pour moi.
♤ Les jours passent, et je deviens de plus en plus distincte et plus invisible que d’habitude, j’évite de croiser mère et père, même dans les escaliers je préfère faire demi-tour que de croiser l’un d’eux. Quant à Abigail, je ne peux pas lui en vouloir, se n’ai pas de ça faute et en plus, imaginez-vous un peu qu’à quelques jours de votre mariage, votre sœur qui est censée être votre témoin vous évite. Je passe souvent du temps avec Abigail, mais la plupart des temps, je vais dans la prairie et je reste seul avec les papillons.
♤ Les jours passent vite et l’heure du mariage a sonné, Abigail a enfilé sa robe, celle que je lui avais proposée, je l’assistais dans sa préparation à la fin, elle était magnifique, une heure avant l’heure du mariage, elle était déjà prête. De mon côté je me suis préparé et j’ai enfilé la magnifique robe qu’Abigail avait choisi pour moi, après je me suis fait maquiller par les maquilleuses et coiffée. Le jardin était trop bien décoré.
●Plus tard nous nous sommes retrouvé à l'église,
En tant que témoin, j’ai précédé. Les invités sont venus nombreux, je pouvais voir qu’il y avait les habitants des Pays de Galles et de L’Écosse. Tous étaient beaux, Je me mets à la place réservée pour le témoin, quelques minutes plus tard le prêtre annonce l’entré du prince après dix minutes, Abigail fait son entré dans sa jolie robe, accompagné de père, elle était tellement magnifique, tous le monde applaudit.
Elle s’approche de l’hôtel et elle me fait un sourire, je lui rend un aussi, ensuite je me rapproche aussi un peu et le prête commence son discours.
●Quand le moment de faire les vœux est arrivé, la salle fait silence pour écouter, à la fin des vœux, Abigail avait les larmes aux yeux, je me rapproche d’elle et je sèche ses larmes, ensuite le moment le plus attendu du mariage est arrivé ... le baisé. Il était tellement passionné et on pouvait sentir l’amour et la connexion entre eux, j’ai presque pleuré en les voyant, elle au moins elle est avec quelqu'un qu’elle aime, mais moi je suis obligé de me marier avec un inconnu, les larmes on couler sur mes joues, je les essuient et je me mets à applaudire pour Abigail, je m’avance et je signe, après nous avons pris tous les cinq une photo, moi le prêtre, le marié ,la mariée et le témoin du marié.
●Après cela, les mariés main dans la main, sortent de l’église accompagnés des dames et des hommes d’honneur, à leur sortie il y avait une foule de personnes qui attendait, les gardes les avaient retenus, les fleurs venaient de partout, les cris de joie et les applaudissements se faisaient entendre, le sourire d’Abigail était radieux, les photographes et les journalistes étaient aussi présent, les flash des appareils étaient partout, ensuite on a décidé de prendre une photo de nous tous, je me mis aux côtés d’Abigail, et la photo était prise.
●Au palais, dans le jardin c’était là-bas la suite de la cérémonie, il y avait pas trop beaucoup de monde comparé à l’église, tous se passait bien, je ne parlais pas trop. Le moment de prendre d’autres photos, après avoir fini, le soir arrive et c’est le moment de passer à la soirée.
●Tout le monde était magnifique, surtout Abigail, elle était divine. Pendant la soirée, j'ai fait la connaissance du marié, il était plutôt sympathique. Soudain, je vois mon père parler avec quelqu'un un homme et il montre en ma direction, je les regardais puis je détourne le regarde et me dirige vers Abigail. Je sentais beaucoup de regarde sur moi, je commençais à étouffer, donc je sors du palais et je m’en vais sur la terrasse prendre un peu d’air avec un verre de champagne à la main. Le ciel était plutôt étoilé, comme si il célébrait quelque chose aussi, je regardais le ciel attentivement presque dans mes pensées quand j’entend une voix grave parler derrière moi.
- Le ciel est beau ce soir. J’ai comme l’impression qu’il est d’accord avec cette union, ou il se prépare à célébrer quelque chose de bien plus beau.
●Je me retourne et je vois un belle homme devant moi, genre quand je dis bel homme c’est bel homme, ses yeux étaient de couleur noir, un noir très persans et intense, comme une nuit sans lune et sans étoile, il avait un physique divin qui se désignait sur son beau costume noir.
Mais c’est qui ce mec !
-Pardon ?
● Il se rapproche d'un peu plus proche, et me salut poliment et cordialement.
- C’est un plaisir pour moi de voir enfin la princesse Érine FOX, dernière fille du roi FOX. Une personne très réservée et introuvable sur les réseaux.
● Il esquisse un sourire qui montre ses fossette.
- Pardon, mais comment me connaissez-vous ?
●Je me suis dit aussi, que c’était un homme envoyé de père pour peut-être conquérir mon cœur et m’épouser, parce que franchement où va t-il me connaître ? On ne parle jamais de moi nulle part...Enfin je crois...
- C’est plutôt étonnant de voir une princesse de notre génération, se demander d’où on peut lui connaître. Surtout pour vous, une princesse qui fait le débat de certains internauts .
●En disant cela, il se rapproche et se dresse juste devant moi, il était tellement grand. Il avait un charisme qui se ferait sentir à des kilomètres et son parfum était envoûtant, sa voix grave était douce mais forte, donnant une émotion de chaleur. Il avait une main dans sa poche et dans l’autres main se trouvait un verre de champagne.
-Et sans vouloir être indiscret. Mais pourquoi vous êtes casiment invisible sur les réseaux sociaux.
●Je ne comprenais vraiment pas. Quoi internet me connaît ? Mais je ne pouvais pas montrer mon étonnement
-Si la princesse ne veut pas être vu par le monde, est-ce un problème ?
●Il sourit encore, non mais je pouvais m’évanouir tellement c’était beau. Il lance un regard vers le jardin et me regarde à nouveau, c'était tellement grrrr !
-Je ne sais pas, mais même si la princesse n’apparaît jamais sur les photos de presse, les photo des paparazzis, mais la princesse Érine est déjà apparu plusieurs fois dans quelques publications de la princesse Abigail sans s’en rendre compte.
●Quoi ! Depuis quand et elle ne m’a jamais parler de ça !
●Je le regarde perplexe et étonné au même moment.
-La princesse n’a pas l’air d’en aire au courant.
●Bah voyons. Connaissant Abigail ça ne m’étonne pas, ce qui m’étonne c’est qu'elle a un portable ! Les parents auront de gros soucis se soir !
-C’est totalement typique de ma sœur, franchement même si je le lui interdisait, elle le ferait encore mais en plus pire, que voulez vous que je puisse faire.
Et ce qui m’étonne c’est que beaucoup de personnes s’intéresse autant à moi.
● Il me regardait avec un air interrogatif, il fait un peu la grimaces avant de dire
- Pourquoi personne ne s’intéresserait à vous, soyons véridique, vous êtes une très belle femme, charmante et rayonnante. Pour être honnête avec vous, je suis venue ici avec plus l’intention de vous voir vous que les mariés, et c’est le cas de beaucoup. Tellement vous rayonnez, pas besoin de lumière pour vous voir, je suis sûr que même la lune en ai jalouse.
● Depuis ma naissance, on ne m’avait jamais dit une telle chose, si c’est père qui lui a dit de me dire ce genre de chose pour me séduire, en tout cas c’est réussi.
● Je me détourne de lui et je regarde encore le ciel, avant de dire
- Wow ,c’est très gentil de votre part. Mais je ne suis pas sûr que la lune est apprécié ce que vous venez de dire.
● Je laisse échapper un rire, et le belle homme se met aussi à rire, c’était ma première interaction avec un homme et c’était magnifique.
- Vôtre sourire est radieux, et j’en suis honoré de l’avoir vu.
●Je le regarde dans les yeux et il y avait une lueur de sincérité. Mon cœur se mets à battre comme jamais et je sentais toute bizarre. Tout à coup, un papillon vient se poser sur mon doigt ce qui attire mon attention et celle de mon interlocuteur.
-Salut toi. Comment tu vas ? Tu te promenes à ce que je vois.
- Vous venez de parler au papillon ?
- Est qu’il y a un problème à ça ?
- Non, à voir vous aimez vraiment les papillons ?
●Je le regarde et je lui fais un sourire
-Oui, ils sont tellement beaux. Bien sûr j’aime aussi les chiens et les tigres.
●Il laisse sortir un rire amusé
-Les tigres ? Vous n’avez pas peur d’eux ? Enfin je veux dire...
●Le papillon s’envole et je le regarde dans les yeux comme pour marquer de l’autorité
-La princesse Jasmine, dans Aladdin avait bien un animal de compagnie et si je m’en souviens bien c’était un tigre pas vrai. Donc pourquoi je devrais avoir peur ? Ce sont mes parents qui ne me le permettent pas c’est tout.
●Il remut sont verre et lance
-Pas faux, et je m’excuse si je vous ai vexé.
Et si vos parents sont contre c’est juste pour vous sécurité, peut-être qu'ils ont peur pour vous.
●Je ne crois pas non. Je voulais juste éclater de rire, mais je me suis retenu et j’ignore simplement la dernière remarque.
-Excuse accepté.
● Nous avons passé encore dix minutes et ses dix minutes étaient comme une éternité, nous rions et bavardons et nous avons même trinqué cinq fois. Mais un homme vient et interrompre notre conversation.
●Il s’approche de l’homme et c’est excusé avant de murmurer quelque chose dans son oreille, il acquièce .
-Princesse Érine, j’ai été honoré de participer à cette discussion et j’espère qu’on se rêvera .
●Il me tend le main, je dépose ma main dans la sienne et une vague d’émotion me remplit à l’instant. Il caresse le dos de ma main avec tendresse et l’embrasse tendrement.
- Votre main est si douce.
● À ses mots, je n’ai pas pu m’empêcher de rougir. Je ne crois pas qu'il ai remarqué et il pars.
●Je le regarde partir avant de retourner à l’intérieur du palais.
♤À la fin de la soirée, tout le monde c’est amusé mais j’ai vu l’homme de tout à l’heure nul part. Là soirée se termine bien avec une bonne ambiance.
Après le départ de tous les invités, les jeunes mariés devaient rester un moment au palais avant de partir directement aux Pays de Galles. Pendant qu’Abigail discutait avec mère, j'en profite pour lui confronter, ça sera notre première interaction après plusieurs semaines.
-Mère, bonsoir.
● Elle avait l’air un peu suprise et me fait sourire.
-Bonsoir Érine, comment vas-tu ? T’es-tu bien amusé ?
●Je ne voulais pas passer par quatre chemins.
-Oui et merci de demander. Je me demandais quand allez vous me dire que je suis la seule de ce palais à ne pas avoir de portable ?
● Elles étaient toutes les deux surprises et Abigail se sentait géné et regarde mère.
-Vous croyez que je ne saurais pas au courant ? Moi qui croyais que c’était une distraction pour les princesses et surtout la future reine, chère mère.
● Mère ne savait pas quoi dire elle regarde le sol et essaie de maintenir son regard sur moi, mais mon regard était rempli de tristesse,de peine et de colère avec de la détermination.
-Bon Abigail je ne peux pas t’en vouloir pour ça, ce sont nos parents après tout. Mais bon juste pour vous prévenir et je ne demande pas votre accord, demain je m’achete un téléphone.
Et Abigail, prochainement quand tu me publiera sur tes réseaux sociaux, informe moi s’il te plaît.
●Je me rapproche d’Abigail et je lui fais la bise et un câlin.
-Félicitations ma sœur pour ton mariage, et tout mes vœux de bonheur pour la suite et tu as ma bénédiction.
●Abigail sourit et m’enlace et me relâche, puis elle met sa main sur ma joue
-Merci beaucoup rine, et promis prochainement je te préviendrai.
●Je pose ma main sur la sienne et je lui sourit
- De rien, et d’accoérd. Tu devrais te reposer, tu m’as l’air fatigué. Sur ce je te laisse, bonne nuit.
●Elle me lâche
-Merci ma sœur, à toi aussi, et oui je m’en dans quelques minutes.
●Je me dirige vers l’étage, je rencontre mon beau frère, je lui fais la bise et je le félicite en le donnant ma bénédiction. Je rentre dans ma chambre, je prends une douche et je m’endors
♤Demain pour moi sera un nouveau combat dans ce palais.
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