À Brazzaville ,un expatrié italien fait la rencontre de la belle MACHAYA RINE ZOLA . Tout juste âgé de 18 ans , Zola émet une certaine attirance pour le jeune IZARIO DACOSTA . Très vite ils entretiennent une amitiée infaillible qui n'est pas approuvé par la mère de ce dernier à l'exception de son père, jusqu'a la confession de cette dernière ; <
-- monsieur DACOSTA ! Je ne sais plus quoi faire dit elle d'une voix à peine audible.
-- chut... trésor, il est juste bouleversé...
\-- Izario ?
\-- mère...
\-- il y a un problème ? Tu es tout pâle ! Tu es malade ?
\-- non mère...... juste bouleversé
\--??
\--zola me bouleverse mère
\-- encore cette sotte sauvageonne ?! Que t'a t'elle fait ?
\-- mère je ne te permet pas !dit il d'une voix colérique.
\-- très bien.....et puis de quoi je me mêle !?
Se retrouvant à nouveau seul il prit la direction de sa chambre pour pour remédier aux événements de ce jour. Sans s'apercevoir du temps qui passe il déclare alors ;
\-- père l'as tu vu ?
\-- Sí ! mais croit moi fiston tes réponses tu ne l'obtiendras pas assis sur cette terrasse avec un verre de bourbon en main !
\-- père je peine à comprendre ce qui se passe en moi !
\-- faudrait savoir si tu la vois comme une amie où une femme.
\-- je ne sais pas père.
\-- frêle silhouette, taille fine, forme voluptueuse, magnifique lèvres pulpeuses teinté de rose rouge, teinte caramélisée, les yeux d'un marron clair avec des éclats doré, de longs cilles noir d'un courbe parfaite, une chevelure ornée de boucles, doté d'un beauté inégalable et là je t'épargne les détails fiston ! Si se n'est pas de l'idiotie !
\-- Merci pour ton aide père, dit il avec humeur
\-- ho mais de rien fiston, hironisa le père.
-- Zola ma fille que se passe t-il ?
-- papa j'éprouve des sentiments pour un homme qui me vois sans doute comme un sauvageonne...
Giflé par son père Zola se tue
-- Zola je ne te permet pas de te rabaisser ainsi ! Demain tu passes ton bac ! Si tu laisses ton humeur gâcher par un homme qui retournera dans son pays et t'oubliera, tu n'auras rien compris Zola ! Je n'ai plus que toi ma chérie ! Que vais je devenir si tu te laisse abattre ? Je sais que c'est compliqué de mettre ses sentiments de côté mais fait le, détend toi, prend un bain, mange et repose toi pour demain et à ton retour je te donnerai des conseils d'accord ma chérie ?
-- oui papa
C'est en appliquant les conseils de son père que Zola réussi à se détendre. Très vite rattraper par l'angoisse, Izario fit irruption dans sa chambre.
-- Izario ! Que fait tu ici ?
-- Zola......Mia dolce, je suis désolé d'être parti comme un lâche, je ne comprenais pas ce que je ressentais, et même maintenant je ne comprends toujours pas, mais je sais une chose je ne retournerai pas en Italie sans toi !
-- ho.... Izario.... mais je n'ai pas de passe port
-- je sais mais pour le moment tu dois savoir une chose.
-- et c'est quoi ?
-- tu m'appartiens depuis le jour où j'ai posé mes yeux sur toi.
-- ho Iza.....
Ne pouvant plus se retenir Izario posa ses lèvres sur les siennes. Surprise, elle le laissa Franchir ses lèvres et se laissa guidée dans cette danse mené par la langue exigeante de son son amant. Statufier par le melonstrom de sensations, la main de son amant se balada un peu partout sur son corps.
-- Zola tu es si jeune, je ne peux aller plus loin bien que l'idée soit tentante.
-- je sais Izario
-- cara as-tu réviser ?
-- oui !!
-- c'est vrai ça ?
-- mais oui! tu doute de moi?
-- non je ne doute pas, maintenant il est temps de se coucher !
-- d'accord mais reste avec moi, s'il te plaît !
-- très bien je reste ! Dort maintenant
-- bonne nuit Izario
-- bonne nuit Mia dolce
Et c'est dans les bras de Morphée où plutôt les bras de son amant qu'elle s'endormit.
Après son examen ils prirent la route de la mer pour une balade quand il déclare alors ;
-- cara je m'en vais à Florence pour une affaire urgente
-- ha.... d'accord et tu pars quand ?
-- après demain
-- de si tôt !?
-- oui trésor un problème ?
-- non mais j'espérais que tu sois là pour mon anniversaire
-- je te promets de faire vite
-- ok....
Après de longues et interminable minutes à marcher sur le sable fin de la plage il reprit la parole ;
-- Vien avec moi
-- Quoi... dit elle abasourdi
-- Vien avec moi insista t'il
-- mais j'ai pas de passe port
-- c'est pas un problème
-- tu se sur..... enfin...j'veux dire...tu veux vraiment que je vienne ?
-- oui sinon pourquoi je te l'aurais demander ?
-- je sais pas.... d'accord je viens
-- aussi simple que ça
De retour chez elle trouva son père au salon entrain de regarder des photos d'elle et d'une magnifique femme. Elle s'approcha tout doucement et son père déclare ;
-- tu lui ressemble,tu as son regard....un regard froid rempli de sensualité et d'amour. Je l'aimais tellement et même encore aujourd'hui je l'aime toujours plus ons attendaient ta venue avec beaucoup d'impatience et de joie
-- papa.....dit elle sans trop savoir quoi dire
-- comment ça c'est passé ?
-- merveilleusement bien, Izario m'a attendu et on es aller marcher sur la plage
-- et je présume que vous aviez fait la paix
-- papa ont ne s'étaient pas discuté
-- alors que s'est il passé ? Pourquoi tu pleurais hier ?
-- je lui ai dit que je l'aimais, et comme il était bouleversé il est parti sans rien dire, alors j'ai pensé qu'il ne me voyais pas comme moi je le vois
-- et toi tu se sur des sentiments que tu as pour lui ou s'est juste de l'attirance ?
-- je l'aime papa, comme je n'ai jamais aimé au paravent
Dans le regard de son père elle y vit de la jalousie et de l'apaisement
-- papa rassure toi je t'aime de tout mon cœur tu es ce que j'ai de plus précieux mais l'amour que je ressens pour lui est différent, j'ai l'impression de vivre et d'être regarder différemment
-- alors je peux mourir en paix
-- papa ne dit pas ça
-- si Dieu m'appelle je sais que tu es dans de bonne main apart Léo, et Vivian
-- papa.... Sinon ta journée comment s'était ?
-- ho..passionnante, dire que y'a encore des jeunes intéressés par le métier de pilote
-- super alors, tu as mangé quelque chose ?
-- non je t'attendais, je voulais que tu me prépare un bon p'tit plat comme je les aiment
-- d'accord et n'oublie pas que demain tu as un bilans d'examen à faire et les conseils que tu as prévu de me donner
-- haaa... j'ai compris.......
-- quoi qu'es qu'il y a ?
-- à propos du bilan je dois me déplacer pour voir mon médecin
-- ok et c'est quoi le problème ?
-- le problème est que il est à Palerme et je dois partir demain
-- tu es inquiet de me laisser toute seule donc voilà pourquoi tu culpabilise
-- oui et je voudrais aller me recueillir sur la tombe de ta mère
-- ok vas-y de toute façon je voyage avec Izario après demain
-- PARDON !!!! TU QUOI ??
-- papa ne crie pas ta tentions vas monté à force et oui je vais aller dans le même pays que toi tu pourras toujours débarquer si tu es si inquiet
-- là n'est pas le problème tu comptais me le dire quand exactement ?
-- et toi comptais tu me dires que tu avais rencontrer quelqu'un humm
-- me regarde pas comme ça chérie j'allais te le dire très bientôt même
-- hanhan laisse moi en douter
-- maintenant tu sais
-- hum...ok et comment elle est ?
-- elle est adorable
-- formidable !!
-- tu n'es pas fâché ? Tu es sur ?
-- papa je vais bien j'en avais marre de te voir triste et depuis quelques jours tu es souriant j'en suis heureuse et puis qui pourrait résister à ton charme papa, tu es sacrement beau. Bon c'est pas tous ça mais le dîner est prêt
C'est les larmes aux yeux et sur une note joyeuses que la journée se termine
Au petit matin, elle vit Izario en compagnie de son père. En pleine discussion, ils ne la voient pas arrivé ;
-- Zola ma chérie tu es là
-- bonjour papa, elle se retourne vers Izario et dit : bonjour toi ça va
-- oui et toi
-- bien merci qu'es ce que vous faites ?
-- on discute
-- de quoi ?
-- Rien qui ne te regarde pour le moment
-- vous entretenez le mystère hein?
-- Sí cara
-- ok
Après le petit déjeuner, Zola, sous les ordres d'izario, alla se préparer.
-- ça y est je suis prête
-- on y vas
-- à tout à l'heure papa
-- à tout ma chérie
Dans la voiture elle regarde Izario
-- on vas où ?
-- c'est une surprise
Arrivé sur la plage, Izario dit ;
-- Zola , ce matin j'ai parlé avec ton père des choses très importantes il m'a dit aussi que je devrais prendre mes responsabilités vis à vis de toi donc : c'est un genou à terre qu'il déclare; veux tu m'épouser ?
Les larmes aux yeux elle murmura des mots incompréhensible et secoua vigoureusement de la tête pour réponse
-- cara dit le je veux t'entendre le dire
-- hoo Izario bien sûr que oui je le veux mais et ta famille, ta mère ne vas pas l'accepter
-- cara parfois je me demande si tu n'oublies pas que c'est moi le chef de famille, qu'elle le veuille ou non je t'épouserai. Embrasse moi maintenant.
Sous ça demande elle sauta sur lui et l'embrassa tendrement à pleine bouche
-- tu veux qu'on se marie quand ?
-- aujourd'hui je veux être ta femme maintenant, aujourd'hui et pour toujours
-- donc on va a la mairi
-- oui , dit a papa de venir s'il te plaît
-- ok
C'est dans l'après midi qu'elle sort de la mairi accompagné des deux hommes de sa vie l'un est son père l'autre son mari
-- félicitations mon bébé j'aurais voulu que ta mère soit là
-- merci papa moi aussi
-- bon courage Izario tu as du pain sur la planche et je te fais confiance
-- merci beaucoup Raphaël
Sur ces mots il s'en alla les laissant seule
-- Mme DACOSTA ma femme
-- oui mon chéri ! Ça fait bizarre d'être mariée jeune
-- tu t'y habituera
C'est dans cette enjouement qu'elle prit la décision de l'annoncer à la famille de son mari. La nouvelle fur bien accueilli par son beau père qui les félicita et par sa belle mère qui fut étrangement heureuse d'apprendre cette nouvelle
-- bienvenue dans la famille Rin
-- merci monsieur dacosta
-- non appel moi Ramon
-- bienvenue dans la famille Zola
-- merci Mme dacosta
-- plaisir partagé
Après la tradition d'entrer dans la famille et le repas de fête, vallentyna la mère d'izario convoqua Zola dans son bureau pour une discussion. N'ayant point confiance en sa mère Izario voulut l'accompagner. C'est en le rassurant qu'elle le quitta pour suivre cette dernière.
-- Zola ma chère assieds-toi
-- merci Mme vallentyna
-- je t'en prie appel moi vallentyna. Pour tous te dire je suis contre ce mariage, mais si mon fils est heureux je ne peut qu'accepté ce mariage, je ne suis pas là pour te convaincre de divorcer. C'est pour te dire que mon fils devait se marier avec quelqu'un d'autre que toi mais hélas la vie n'a pas voulu ainsi. Zola tu es encore jeune, je ne te déteste pas mais je ne peux m'empêcher de penser que tu veuilles le quitter pour un homme plus jeune rien que d'y penser me fait te détester injustement
-- merci de m'avoir fait part de votre inquiétude, mais sachiez que j'aime Izario comme je n'ai jamais aimé personne à part mon père. Depuis que j'ai rencontré votre fils je n'ai pas pû l'oublier
-- oui je sais mais qu'en est-il de demain ? Zola tu es jeune belle pleine de vie, dynamique intelligente et sage, mais si un jour tu te dis que tu as raté ta jeunesse à cause de lui, as tu pensé à ça ?
-- cela n'arrivera pas vallentyna et puis j'aime trop votre fils, de tous mon cœur pour penser ainsi. N'ayez pas d'inquiétude pour ça
-- très bien je ne peux qu'espérer que tu rendent mon fils heureux ! Tu peux y aller très chère, d'ici je sens le sang de mon fils bouillir d'impatience
-- bonne soirée vallentyna
-- bonne soirée à vous très chère
Après cette discussion pleine d'émotions qu'elle retrouva son mari dans ses appartements.
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