10 ans de souffrance, je vous le prônais ma vengeance sera terrible. Mère père merci maintenant à vous de souffrir. "Toi" je te réserve le bouquet final de ma revanche. Préparer vous je ne suis plus la même qu'avant ! Je vous aime, je vous hais maintenant allé en enfer.
La revanche d'une fille
Il est bientôt 8:00 du matin... il fait froid dehors... normal, c'est l'hiver. Le temps est glacial, tout le monde est couvert pour être protégé de l'air frivale.
Tous ? Une personne se tient devant moi, ses yeux sont démarqués par des cernes, ses cheveux regroupés en queue de cheval sont salent, ses lèvres sont séchées, son corps est faible, mais reste correct. Qui est-ce ? Ses yeux me fixent et on peut y distinguer, sans aucun mal, un cri..un appel au secours, une détresse misérable.
Elle est vêtue d'un pantalon bleu clairement trop grand pour elle, d'un pull violet troué et de chaussures déparie l'une étant trop grande pour elle et de couleur noire l'autre trop petite d'une teinte blanche. Qui est-ce ?
Qui est cette jeune fille ? Pourquoi est-elle vêtue d'un tel accoutrement en un temps pareil ? À t'elle faim ? Soif ? Fatiguée ? Que fait-elle dehors ? Où sont ses parents ? Cette fille, si misérable, c'est moi. Pourquoi je suis habillée comme ça ? Ce sont les habits donnés par mes paternelles. Si j'ai faim, soif ou fatiguée ? Oui, c'est le cas de le dire 😂. Pourquoi je suis dehors ? Mes progéniteurs mis ont envoyé. Qui suis-je ? Le plus simple serait de demander qui je ne suis pas... Où sont mes parents ? ... Je ne sais pas... Si tu les vois, dit leurs que je les attends...
8:30 je dois rentrer avant 45 sinon je serai en retard au collège... encore... Mon collège est à 10 min à pied de leur maison, je suis à 20 min leur maison. Je vais être encore en retard... Pas grave...on fini pas s'y habituer.
Je marche d'un pas rapide mais fatigué jusqu'à la maison, leur maison...ma prison. Je ne sens plus mes doigts, ils sont congelé par le froid glacial de l'air. Tous semble contre moi aujourd'hui, dis-je d'une voix las entre chuchotements et muet. Plus de 5min et j'y serai.
Je toque à la porte, y frappe quatre coups pour me faire identifier. La porte s'ouvre dans un bruissement s'ourdis qui me fait grincer des dents. La pénombre laisse place à un homme, d'âge moyen avec un visage menacent. Son regard fusil le mien ce qui me fait frémir mais hors de question que je baissé les yeux. Je peux baisser les yeux face à n'importe qui mais, lui, pas question ! Je ne lui laisserai pas avoir cette satisfaction de m'avoir battu. A sa, il en n'est pas possible !
- Rentre ingrate ! M'ordonna-t-il avec son ton méprisant comme il en a l'habitude en vers moi.
Je rentre, d'un pas lent, mais assuré, la tête haute. Je me dirige vers la cave qui me sert de chambre, y prends mes affaires. J'enfile ma seule tenue respectable, mon uniforme. Composé d'une jupe mate, d'une chemise blanche et d'un pull gris.
18 h 45 j'ai fini les cours et comme je mis attendait je suis arrivé avec plus de 20 minutes de retard. C'est la troisième fois déjà... À 19 h je dois revenir au lycée pour faire mon heure de colle. Ne vous méprenez pas, j'en suis ravie 1 h de plus loin de leur maison, c'est comme un cadeau divin... enfin j'aurais un peu de répit.
21 h 55 hélas, j'ai dû les rejoindre au domicile. Mais il y a un truc qui cloche. Ils n'ont pas l'air comme d'habitude. Que ce passe t'il ? Ce n'est sûrement rien de très important ou plutôt ça ne m'intéresse pas de savoir. Je finis de nettoyer la cuisine et me prépare à partir me coucher. Je franchis la porte du salon pour descendre à la cave, mais la Blonde m'interrompue dans ma course.
La Blonde ne m'adressait la parole que pour deux raisons. La première, pour me donner des ordres. La deuxième, m'achever de ses paroles cruelles. Lorsqu'elle me regardait, ce qui était signe de mauvais présage, je savais qu'un malheur allait m'arriver.
- Toi, va prendre tes affaires et rejoins-nous ici.
Elle l'avait exigé d'un ton calme et angélique, mais son regard, d'un bleu profond, maléfique était claire "si tu ne le fais pas, tu sais ce qui t'attend".
22 h 10 je suis debout face aux Blonde. Le Blonde était brun aux yeux vert émeraude. Il avait la peau bronzée et était musclé. La Blonde, elle, était blonde aux yeux bleu profond. Une peau blanche et lisse avec toujours ce sourire au bord des lèvres.
- Tu quittes notre domaine dès ce soir. Nous t'avons vendu à une famille. Sors maintenant ils t'attendent dehors.
La Blonde avait exprimé ceci d'une manière si froide et avec un sourire glacial. Je restai sans bouger un long moment, à moitié surprise par cette nouvelle.
- T'as entendu vermine, dégage de là!
Le Blonde, pour la première fois de sa vie, il venait de faire l'action la plus gentille qu'il est jamais fait. Je me dirigeai vers la porte de sortie, l'ouvris, mais avant de la franchir, me tourna vers eux.
- Merci. Dit je avec un sourire sincère.
La Blonde
23 h 45 où je suis ? Peu importe n'importe quel endroit reste mieux que la demeure des Blondes... Un homme, grand et mystérieux vêtu d'un costard noir. Depuis mon arrivée, je ressens comme un malaise. J'ai l'impression que l'on m'observe. Ça en devient oppressant.
Nous nous trouvons dans un couloir sombre, sinistre et étroit. Cette sensation ne me lâche toujours pas. Nous nous arrêterons face à une grande porte nègre au motif fleurie doré. Il était clair que le propriétaire de ce manoir était fortuné.
- Il vous attend Mademoiselle. Veuillez entrer je vous prie.
Il s'exprima d'un ton chaleureux, mais sous ce ton angélique, ses paroles n'attendais aucun merci. Je me résignai donc à pénétrer dans la salle. La porte s'ouvrit laissant place à une pièce encore plus ténébreuse que le couloir. Elle avait pour seule source de lumière, une cheminée de bois qui éclairait timidement le lieu. Sur ces murs, j'y distinguais des tableaux. J'aperçus, dans le fond, des rideaux dissimulant les fenêtres. Devant moi,se tenais des canapés noirs, une table basse où y était installé des gâteaux et du café noir.
Devant les rideaux, se dressait un bureau, grand, large, noir aux motifs rouge sang. Un frisson me traversa le corps lorsque je vis un homme dissimuler dans l'ombre. Il était grand -très grand..trop grand pour un humain. Il était là, dans la pénombre, me tournant le dos. Pour une raison que j'ignore, j'étais tendu non pas tendu, pétrifié oui, c'est ça j'étais statufié face à cette personne. Lorsqu'un humain a peur, il a tendance à s'affoler, à vouloir fuir le plus loin possible pour échapper à sa peur. Tous être humain en ferait tant... et moi, je n'y faisais pas exception. Je me retournais et me mis à courir vers la porte.
Une sueur froide me parcouru lorsque je découvris, avec stupéfaction, que la porte était fermée -verrouillé. Tétanisé, je cherchais, désespérément, une autre issu pour sortir de cette pièce. Une lueur d'espoir s'empara de moi lorsque je vis les fenêtres. Telle une fan qui aperçoit son idole, je me précipitai vers elles. Nous nous trouvions à plusieurs maitres non plusieurs kilomètres du sol. La nuit m'empêche de voir le sol, je ne peux qu'être effrayé par l'idée que quelques choses d'horribles m'attendais en bas si je saute. Mais peu importe, je préfère sauter par la fenêtre que resté 1 seconde de plus avec cette personne dont je ne connais ni le sexe ni le prénom.
Il fait chaud, bien chaud, c'est agréable. Je sens les rayons du soleil sur mon visage. Serait-ce le chant des oiseaux que j'attends ?
- Bonjour Mademoiselle. Mademoiselle a-t-elle bien dormi ?
Cette fois me réveilla aussitôt.
- Qui êtes vous?
Question bête. C'est juste l'homme qui m'a accueilli hier. Toujours avec le même costume noir, le même monocle et les mêmes chaussures.
- Je suis le majordome, Monsieur Barthe pour vous servir.
La première chose que je remarquai fut sa montre. Elle était divisée par deux parties de couleur différente. De six heures à midi, c'était vert et de minuit à six heures c'était noir.
La deuxième chose qui m'intriguait était son costume. Pour une raison que j'ignore il me captivait. Sa coupe longue le faisait paraitre encore plus grand qu'il l'est déjà. La couleur bordeaux du tissu faisait ressortir ses yeux marron proche du doré.
- Si Mademoiselle veux bien me suivre.
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