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MA VOISINE L'ÉTRANGÈRE

Rencontre avec l'étrangère

C'était un samedi, ce jour là le boss de la librairie où je bosse à mi-temps me laisse partir à 14h et c'était le moment idéal pour que j'aille prépayé le courant.

_ bon, je vais il y aller

_ tiens prends l'argent

Ma grande sœur me tendis sa main, qui container des billets d'argent et aussi une carte où y est inscrit le numéro de notre compteur SNEL - société qui gère le courant électrique en République démocratique du Congo.

Je pris l'argent, me dirigea vers ma chambre et prit mes baskets. Je les avaient mis puis me suis dirigé à nouveau vers le salon.

Je suis sortie dans la cour de la maison qui n'était pas assez grande, juste deux mettre de la porte d'entrée.

_ j'y vais, je reviens dans une heure

J'ai ouvert la porte pour sortir et en même temps je pouvais entendre celle de nos voisins qui eux, je penses ouvraient la porte pour entrer.

J'avais bien raison, l'agent de sécurité qui travaillé dans la maison de nos voisins ouvrait la porte mais ce qui était surprenant était qu'il y avais une personne près de lui.

Une blonde avec une peau brune se tenait à côté de l'agent de sécurité. Je l'avais jamais vu dans le quartier auparavant. Certes, je parle pas avec beaucoup de monde dans le quartier et je sors pas trop de chez moi mais je sais au moins les visages des gens du quartier et elle, je ne l'avais jamais vu avant.

_ ah, Lucky ni powa ? ( ah, Lucky comment ça va ?)

Me demanda l'agent de sécurité

_ ni powa grand ( ça va bien grand) répondis je

Nous parlions en swahili (swahili parlé à Bukavu, À NE PAS CONFONDRE AVEC LE VRAI SWAHILI). C'était la langue avec laquelle nous communiquions dans le quartier avec les quelques personnes avec les qu'elles je parlais.

_ Nani ule ? ( C'est qui elle ? )

Demandai-je à l'agent de sécurité

_ uyu ni mgeni, ni mufaransa ( elle est nouvelle dans le quartier. C'est une française)

Ah je comprends pourquoi elle est blonde. Non mais sérieusement, les française sont souvent blonde.

_ je sens que vous parlez de moi là, vous dites quoi ?

Elle a une bonne intuition. Oui nous parlions d'elle mais pas en mal alors il y avais pas de problème à pas répondre à sa question.

_ ah, c'est rien. René - l'agent de sécurité, me disais juste qui tu étais.

Répondis-je

_ je vois alors il y a pas de problème

Je savais pas pourquoi mais quand elle avait répondu je sentis que quelque chose de terrible allait bientôt arrivé en moi.

_ bon j'y vais, je dois faire quelque chose et revenir

Je devais vites y aller et revenir lire les manga que j'avais téléchargé la nuit dernière. J'suis un grand fan de manga alors ne soyez pas étonné que j'ai fait ça.

_ aller, à plus petit

Dit l'agent de sécurité quand il entré avec la fille dans l'enclos de la maison voisine à la mienne. Et moi je me suis mis en route sans dire quoi que ce soit.

Alors comme ça, dans la maison voisine il y a une nouvelle locataire. Ça promet.

Pensais je en continuant ma route vers l'endroit où je devais aller.

Mot de l'auteur : désoler pour le swahili mais sachez aussi que ce swahili apparaîtra souvent dans le novel alors efforcé vous d'apprendre la swahili parlé par les habitants de Bukavu et pas le vrai swahili.

Bon je vais vous laisser et écrire le second chapitre alors soyez un peu patients. À plus

L'étrangère sous la pluie

Je suis sortie au bureau de la SNEL où j'étais partie prépayé du courant électrique pour notre maison.

Il était déjà 19h quand tout le monde est venu dans le salon. Mes p'tits frères et sœurs mais aussi ma grande sœur et moi sommes rentrés dans le salon parce qu'il était l'heure pour nous de manger.

_ amenez vos mains, je vais vous aider à vous lavé.

Dit Christine, la petite dernière de chez en se levant en prenant le p'tit bassin versant qui se trouvait sous la table et un grand gobelet plein d'eau.

Chacun son tour, tout le monde metter ses mains dans le p'tit bassin, prenaient le savon pour le maintien et commencé à se laver pendant que Christine lui verser un peu d'eau pour enlever le savon et faire de sorte que les mains soient propre.

C'était la façon dont nous nous lavons les mains avant de manger parce que notre famille était pauvre quand on construisait la maison - mon père ne pouvait pas se permettre de faire mettre des lavabos dans la maison, il disait que c'était inutile. Même maintenant nous sommes encore pauvres même si la situation s'est un peu amélioré comparer à l'époque de la construction de la maison.

Judith, ma grande sœur amena la nourriture quand tout le monde était déjà prêt et s'était déjà assis à sa place autour de la table.

" BÉNISSEZ CE REPAS SEIGNEUR ET BENISSEZ AUSSI CEUX QUI L'ONT PRÉPARER, DONNEZ-LEUR LA FORCE POUR QU'ILS PUISSENT TROUVER UNE AUTRE NOURRITURE POUR DEMAIN"

Nous commençons à manger. Sur la table de trouvait de la viande et du fufu et comme légumes, les feuilles de manioc.

***

Nous avions finis de manger, tout le monde était là au salon. Même les parents et mon oncle aussi étaient déjà rentré et eux aussi avaient déjà fini de manger eux aussi.

J'avais honte de regarder mon père à cause de ce que j'avais fait l'année dernière. Lui souriait et faisait toujours semblant d'avoir oublié. Enfin, je crois qu'il faisait semblant.

Vous voulez savoir ça que j'ai fais pour offensé toute ma famille ? Eh bah, vous allez devoir attendre un peu parce que ça va pas être pour tout de suite mais vous inquiéter pas, je comptes bien vous le dire mais pas maintenant.

***

Dimanche 8h. Chaque dimanche à 8h je suis toujours là dehors en train laver mes chaussures et un peu de mes vêtements mais ce jour là, j'étais chez moi en train de faire la même chose parce qu'il pleuvait. Il est difficile de savoir la météo chez nous, même si nous sommes dans la saison sèche, il arrive qu'il pleuve certaines journées.

J'ai pas du tout aimé ce jour là parce que je faisais ce travail dans un endroit qui n'était même pas grand mais aussi même si je finissais, rien n'allais séché à cause de la pluie.

La porte de l'enclos n'était pas fermé alors je vis une personne entré. C'était l'étrangère que j'avais vus la veille.

Peut-être qu'elle s'est trompé de chemin.

Elle était mouillé comme une poule sous la pluie. Elle s'approchait de moi à une grande vitesse.

_ salut

_ salut

Non mais t'es sous la pluie là. Je dis à l'étrangère sans qu'elle puisse entendre.

_ je peux m'abruter chez toi le temps que la pluie se calme.

_ oui si tu veux

Elle s'est approché de la place où je me trouvais et s'est mis debout là.

_ tu veux pas entré dans le salon ?

_ non

Pourquoi tu veux pas ?. Demandai-je à l'étrangère sans qu'elle puisse m'entendre encore une fois.

Je me suis levé de là où j'étais et je me suis dirigé vers le salon. Quand je suis rentrée, j'avais en main une serviette noir que j'ai jetté sur la tête de l'étrangère.

_ tiens essuie toi alors

Dans ma main j'avais pas que la serviette mais aussi un sweat noir.

Elle commença à essuyer d'abord ses cheveux puis après la suite que je peux pas voir dire parce que ne regarder pas de son côté non plus.

Elle avait terminé et me rendis la serviette et dit merci. Elle était déjà presque sec.

Je lui tendit le sweat après avoir repris la serviette : tiens, si tu le met pas tu vas attraper froid.

_ je veux pas.

Eh bah, elle avait refusé mais en même temps son corps tremblé. C'était peut-être pour autre chose mais moi je croyais que c'était parce qu'elle venait de se mouillé avec l'eau de pluie, il y avait toujours cette pluie et aussi il faisait froid. J'en ai conclu donc qu'elle avait froid.

Je m'approchai d'elle, je lui mis le sweat sur la tête et dit : " ne fait pas semblant de ne pas avoir froid "

Sans dire un mot, elle prît le sweat et le mis. C'était un peu plus grand que ce que j'imaginais. Les manches dépassaient ses mains.

_ pourquoi t'es pas chez toi ?

_ la sécurité ne m'a pas ouvert pendant que je sonné sous la pluie. Peut-être qu'eux aussi s'abritaient.

_ je vois

Puis après plus aucun mot ne sortie de ma bouche et de celle de l'étrangère jusqu'à ce que le pluie commencer à se calmer.

_ c'est quoi ton nom ?

Me demanda-t-elle

_ Lucky, et le tien ?

_ moi c'est Béatrice.

Et après, encore une fois plus aucun mot jusqu'à ce qu'elle puisse partir et rentré chez elle quand la pluie avait cessé.

_ Béatrice, hein. C'est jolie.

C'était la première fois que j'éprouve un sentiment incompréhensible. Peut-être pas la première fois parce qu'il y avait la dernière fois aussi - la veille. J'étais un peu content de connaître une nouvelle personne même si c'était pas exactement ça le sentiment que j'avais.

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