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LA VIE DUN HÉROS

Chapitre 1 : Le commencement

On se trouve en ce moment en 2034. Il était une fois un scientifique, un grand chercheur. Son but était de sauver l’humanité, de lui donner la chance de vivre plus longtemps et de soigner des maladies qui ne pouvaient pas être traitées qu’on définissait d’incurable.

            Il a consacré la majeure partie de sa vie à ces recherches, délaissant sa famille et son entourage. Il ne voulait que rien ne puisse l’éloigner de son objectif. « Le fait de penser à quelque chose d’insignifiant est la base d’un échec » se disait-il. Mais à la base il s’était aventuré là où nul mortel n’avait osé pénétrer. Dans ses recherches acharnées, il ne se rendit pas compte d’une chose.

          Ce qu’il cherchait n’était plus basé sur des recherches de la science ou des remèdes de guérisons.

          Ce qu’il cherchait à accomplir n’était pas à la portée d’un être humain, mais d’une divinité, ce qui est impossible à réaliser. Mais ses recherches étaient pour un but bien précis : sauver sa femme qui était mourante.

           En effet, cet homme était toujours proche de sa famille, toujours joyeux, souriant et attentionné.

           Il se plongea dans ses recherches pour sauver sa femme qui agonisait, étant sur le point de mourir de sa maladie incurable.

          Il habitait à Rafaine une ville située très loin de l’Atlantique avec sa femme et ses quatre enfants.

         Etane qui âgé de dix-sept ans, celui-ci est doté d’une grande sagesse malgré son comportement fou, il reste calme et passif.

        Le second nommé Edelfe âgé de quinze ans, est le plus colérique des quatre, il se met parfois en colère pour des choses qui n’en valent pas la peine.

         Son troisième fils, est le plus curieux des quatre Upery ayant quatorze ans.

         Son Quatrième fils Fraso étant âgé de douze ans, celui-ci est très silencieux, il répond toujours aux questions par une autre question.

          Ceux-ci sont ses enfants étant très brillants, dotés du savoir vivre et faire, car ils sont très intelligents.

           Ce scientifique ayant pris trois ans pour se consacrer à son projet, l’avait finalement achevé. Et voilà il était maintenant temps pour lui de tester sa nouvelle découverte. Alors il se mit à chercher des personnes avec des maladies que la médecine ne pouvait traiter.

            Il en trouva d’autres du nombre de cent qui étaient distingués d’un cancer ou autre. Sa femme faisait partie de ceux qui ont voulu être comme des cobayes de cette nouvelle science pour pouvoir bénéficier d’une guérison a leurs maladies.

           Au bout d’un moment tout avait déjà été fait il ne restait plus qu’attendre les résultats ?

           Tout fut une réussite chacun avait retrouvé la santé et fut sauvé.

           Mais hélas tout ce qu’il avait entrepris comme long parcours pour sa femme était vain car son antidote était une panacée, mais pour une raison quelconque elle accéléra le processus de sa maladie vers une mort certaine.

           Allongée sur son lit et agonisant, sa conjointe lui pris la main et les deux plongea dans une grande discussion.

-         Ce n’est pas ta faute, tu as essayé et c’est le plus important.

-         Non j’ai échoué, car je n’ai fait qu’accéléré le processus de ta maladie.

-         Tu t’es battu pour moi et ça j’en suis fière.

-         Si j’avais cherché un peu plus j’aurais réussir à te sauver.

-         Je sais mais avant de partir, je voudrais que tu prennes soins des enfants cela est mon ultime requête à ton égard.

         Ayant un grand sourire éclatant et resplendissant elle partit, emportée par les filles de la mort. Son absence venait de créer la désolation dans le cœur de son époux cet homme célèbre qui avait sauvé des millions de vies auparavant n’avait pas réussi à sauver la personne qu’il aimait le plus, pensant à tout ça les remords et les angoisses lui montaient à l’esprit.

          Pour lui l’asile était devenu la meilleure solution à son échec. Il décida alors de s’en aller, le destin guidait maintenant ses pas.

           Il décida de résider aux seuils des montagnes avec ses enfants où il reprit ses expériences, deux ans plus tard.

           Nous nous trouvons maintenant en 2036, ayant retrouvé ses esprits et repris ses activités, il décida un jour de retourner en ville pour acheter des matériaux qui serviront à ses expériences. A son absence, Upery son troisième fils, entra dans son laboratoire mené par sa curiosité et s’empressa d’appeler les autres qui vinrent le retrouver.

Etane : Je crois qu’il serait plus judicieux de quitter cet endroit.

Edelfe : Tu te prends pour le chef en nous donnant des ordres ?

Fraso : Pour toi Edelfe c’est quoi être chef ?

Edelfe : Ta question est tellement insignifiante que je ne prendrai pas la peine d’y répondre.

          Ce chamaillèrent entre eux, plongea davantage Upery dans sa curiosité et se mit à regarder dans tout coin et recoin du laboratoire de leur père et vit un flacon bleu posé sur une étagère. Etant en admiration sur ce qui se trouvait devant ses yeux, il le prit et l’admira davantage.

Mais sans savoir comment et pourquoi le flacon l’échappa des mains et se brisa, en une fraction de seconde il était recouvert d’une fumée bleue étant recouvert de cette nuée, ils commencèrent à être étouffés et ils perdirent tous connaissance puis tombaient au sol.

Etant plongé dans un état d’inconscience, quelque chose d’inattendue se produisit. Etane vit sa mère. « Pourquoi je vois ma mère » se disait-il !

          Puis les deux commencèrent à discuter.

-         Bonjour mère

-         Bonjour Etane, tu as l’aire en pleine forme.

-         Oui mère, mais je ne comprends pas pourquoi vous m’apparaissez ?

-         Je voulais te prévenir d’un danger !

-         Un danger ?

-         Oui, mais je ne pourrais rien te dire de plus.

-         Pourquoi mère ?

-         Car tu devras trouver par toi-même.

-         Comment devrais-je m’y prendre mère ?

-         Un cœur blessé ouvre des portes à la haine. Prends soin de tes frères.

       Après avoir dit ces derniers mots elle disparut laissant une énigme à trouver.

       Puis ayant retrouvé leurs esprits et voyant les dégâts qui était autour d’eux, ils décidaient de sortir du laboratoire de peur que leur père ne puisse les trouvés et les grondés. Après l’avoir fait, leur père rentra quelques minutes plus tard. Il vit l’une de ses expériences détruites et se mit à  réfléchir. Restant perplexe il se posa des questions sur ce qui s’était passé en son absence. N’ayant trouvé aucune réponse à ces questions, il arrêta de réfléchir et reprit ses activités.

         Pendant ce temps-là Etane entra dans la cuisine, puis prit un couteau et une orange et se mit à la tailler.

         En le faisant il resta perplexe sur les mots que sa mère lui avait dits : « Un cœur blessé ouvre des portes à la haine ».

         Etant plongé dans sa réflexion, il se trancha le doigt. Mais nul ne pouvait expliquer ce qui allait se produire.

          En effet, après s’être tranché le doigt la blessure se mit à se refermé instantanément. Etant surpris de ce qui venait de se produire, il se retrancha à nouveau le doigt pour être sûr de ce qu’il venait de voir. Mais le même évènement s’était reproduit.

         A partir de ce moment la vie des quatre frères allait prendre une nouvelle tournure.

Chapitre 2 : L’entrainement

Après tout ce qui s’était passé, il était évident que quelque chose d’étrange avait fait son apparition.

          Etane alla voir son père et se mit à lui raconté ce qui s’était produit dans son laboratoire, mais ne lui disant rien de sa mère de peur que son père refasse le deuil de son échec pour la sauvé.

        Après avoir tout raconté à son père, celui-ci resta silencieux un moment, mais pas à cause de ce que Etane lui avait raconté, mais comment cela avait pu se produire.

         Plongé dans ses pensées, il regarda son fils et dit :

-         Si tu veux me prouver ce que tu avances je vais devoir faire des tests sur toi.

          Alors, il prit une arme à feu puis la pointa sur son fils. Il savait que c’était un outil de mort et de destruction, mais il voulait voir son fils flancher et avouer avoir menti. Mais à sa surprise, Etane le regardait ne disant rien attendant son action, pour l’apogée d’une aventure ou d’une quête. Alors son père tira une balle dans son bras droit et fut surpris de ce qui venait de se produire.

        En effet, après que la balle ait traversé le bras d’Etane, la blessure qui était apparue après cette action se referma sans laisser de trace.

       Son père venait de se rendre compte que son fils lui raconta la vérité et cela le rendît de plus en plus perplexe. Puis essaya de voir les capacités de son fils.

       Cela prit une demi-heure pour croire en les capacités d’Etane. Ses capacités modifiaient ses cellules, lui donnant ainsi une grande force et une régénération parfaite.

         Après cela, il se rappela qu’Etane lui avait murmuré que ses frères étaient avec lui.

         Ils entendirent un bruit étrange comme si un arbre venait de s’effondrer.

         Il trouva Edelfe sur les lieux de l’effondrement, lui aussi était surpris de ce qu’il venait de se produire, il se retourna puis vit son père avec son frère.

         Après avoir vu cela son père lui demanda ce qui s’était passé. Alors, il se mit à leur dire tout.

        Upery avait volé son déjeuner alors poussé par la colère, il décida de le chercher puis après l’avoir trouvé assis sous un arbre, il voulut lui infliger une correction de sorte à ce qu’il ne puisse plus jamais dérober son déjeuner.

         Il s’empressa de lui courir après et voulu lui mettre son point dans sa face. Upery esquiva et prit ses jambes à son coup, mais le point d’Edelfe ayant touché l’arbre avec une telle force le déracina et il fut choqué par cet évènement inattendu.

          Après leur avoir tout raconté, son père voulut lui faire des tests pour déterminer si la force qu’il détenait était plus grande que ce qu’il attendait.

         Après l’avoir fait il se rendit compte du fort potentiel de ses enfants et vît qu’ils détenaient un pouvoir inouïe et décida de mettre en place un centre d’entraînement pour évaluer leurs potentiels et leurs capacités.

          Après qu’il ait achevé, les quatre frères se lancèrent dans une lutte acharnée, ils apprirent la base d’un combat et d’une bataille. Il n’y avait plus de place pour le repos, chaque levé de soleil était un nouveau défi et chaque nuit le moment d’une endurance constante. Leur père voulut les rendre de plus en plus rapide.

Il avait une machine qui augmente les performances de l’organisme.  Quand l’organisme du sujet qui l’utilise est Habitué à un certain rythme cardiaque, il lui permet d’accéder progressivement au rythme supérieur. Il était normal que leur capacité augmente ce qui était le cas.

Cet entraînement dura sur deux mois, mais nos jeunes hommes s’étaient engagés dans une longue expérience. Leur père les envoya tous les quatre faire des achats pour leur repas du soir. Ils prirent une douche et se rendirent à la ville car ils habitaient au seuil des montagnes.

 Etant arrivé ils se reposaient pour trouver ce dont ils avaient besoin pour faire un bon repas après cet entraînement pendant longtemps sans rien avalé, alors ils prirent des ingrédients de premier choix. Ayant trouvé tout ce dont ils avaient besoin, ils décidèrent de rentrer chez eux. Mais sur le chemin du retour il y avait un braquage dans une épicerie, alors ils voulurent agir avant de rentrer à la maison.

         Arrivés sur les lieux ils criaient aux délinquants qui avaient pris possession des lieux et voulaient dérober tout ce que le propriétaire avait acquis au bout de son dur labeur. Ayant des armes à feu de pointe nue ne pouvaient pas les arrêtés. Alors Edelfe cria d’une voie forte :

Cessez vos actions où je donnerais une leçon.

           Les braqueurs se mirent à ricaner et l’un d’eux lui dit qu’il aille voir sa mère pour lui apprendre les bonnes manières et qu’il repart jouer à la dinette.

           Ces quelques mots suffisaient pour mettre Edelfe en colère qui d’une vitesse phénoménale courut et le saisit par la gorge, ses complices voulant intervenir se retrouvait au sol après avoir reçu des coups de la part d’Etane et Upery.

           Edelfe se mit à battre celui qui avait manqué de respect à leur mère, il le rua de coups encore et encore puis Etane cria en lui disant :

Etane : Arrête tu vas le tuer !

Edelfe : Tant mieux, il ne dira plus du mal de mère.

Fraso : Pourquoi tu ne voudrais pas qu’ils disent quelque chose sur mère ?

Edelfe : Ferme-la-toi qui n’a jamais eu de sentiment.

Etane : Ton comportement est négatif, on n’a pas demandé à avoir ce pouvoir.

Edelfe : où veux-tu en venir ?

Etane : Ne crois pas que parce que tu l’as que tu peux tout faire. C’est un don que nous avons reçu par conséquent te tu dois l’utiliser pour faire le bien.

Edelfe : Je vois que tu te prends encore pour le chef.

Etane : Je ne me prends pas pour le chef, je fais juste mon devoir de grand frère.

            Après ces mots Edelfe resta silencieux et se rendit compte qu’il venait de faire un acte n’allant pas dans sa dévotion envers le bien, il s’excusa et demanda à ce qu’il rentre chez eux. Sur le chemin du retour tous les infligea un regard méprisant comme s’ils étaient des monstres, mais restant silencieux ils rentrèrent chez eux et cuisinaient leur repas, puis Etane raconta tout ce qui c est passé à leur père.

          Après avoir entendu cela il se mit à réfléchir longuement puis décida de les envoyer à Opaina qui se trouvait à mille kilomètres de Rafaine car il y avait de la famille qui y habitait et ils sont chaleureux. Alors le père et Etane se mirent d’accord sur cette décision, le lendemain nos jeunes hommes firent leurs bagages mais avant de prendre la route pour cette aventure qui s’offrait à eux, leur père leur donna des armes.

          Etane recevra une épée qui symbolise la force, le courage et la détermination.

           Edelfe reçu un Katana qui est l’arme de samouraï dévoué. Upery reçu une dague qui est l’arme du chasseur et du combattant solitaire. Fraso reçu comme arme un arc l'arme du sniper et du guetteur. Tous étaient enfin prêts ils allaient à la ville et prit le bus pour Opaina, un voyage qui aura une longue partie sur leurs vie d’aventuriers, cela était une nouvelle expérience pour eux.

           Après deux jours de voyage ils arrivèrent enfin à Opaina, une ville magnifique ou on pouvait entendre le chant des oiseaux comme une mélodie souhaitant la bienvenue à ces aventuriers. A leurs pas avancé ils tombèrent sur un lac entouré d’arbres avec un feuillage magnifique qui était d’un rose éclatante, ce lac faisait apparaître le reflet du soleil qui le rendait encore plus magnifique, mais n’ayant pas le temps d’admirer ce qui se trouvait sous leurs yeux, ils reprirent leurs marches pour se rendre chez leur oncle.

            Après quelques heures de marche ils arrivèrent enfin à sa maison, mais il était absent. Son épouse leurs souhaita la bienvenue et leur proposa du saké une boisson locale, mais ils refusèrent et la remercièrent. Leur oncle rentra plus tard à son tour, il leur souhaita la bienvenue et partagea le repas avec eux.

Quelques minutes plus tard il leurs demanda d’allumer un feu et de s’y réunir autour ce qu’ils firent, il s’assit au milieu d’eux et il commença à leur raconter une histoire.

           D’après une légende racontée par leurs ancêtres, il se trouve un sanctuaire ou nul n’osait s’aventuré. Car ceux qui y sont entrés ne sont jamais revenus, celui-ci n’était pas fait pour des prières mais tous ceux qui y pénètrent perdent la vie.

           Il se trouvait dans la forêt d’Ozar qui se situe à deux kilomètres d’Opaina. Mais c’était juste un mythe qui était raconté restant dans l’ombre. Après avoir fini de leur faire le récit de cette légende ils regagnèrent leur chambre.

Poussé par le bout de la curiosité Upery leur dit.

Upery : Je crois qu’on devrait vérifier tout ça.

Etane : Il n’est pas possible de le faire ce n’est juste qu’un mythe.

Upery : Et si ce sanctuaire existait vraiment ?

Fraso : Pourquoi vouloir le vérifier ?

Upery : Ça sera un pas dans l’histoire.

Edelfe : Je suis d’accord avec lui, ça ne nous coûte rien de le vérifier.

             Au long de cette discussion Etane se souvint des mots de sa mère : « Un cœur blessé ouvre des portes à la haine ». Après s’être rappelé de ces mots il accepta et leur dit qu’ils iront le lendemain pour vérifier si cette fameuse légende s’avérait être vrais.

            Le lendemain dès l’aube Etane ayant son épée accrochée à son dos était déjà prêt pour un nouveau voyage.

           Ses frères se réveillaient une demi-heure plus tard et ce préparèrent pour prendre la route de ce fameux sanctuaire qui devait leur montrer la route du savoir. Après s’être préparé ils prirent la route pour la forêt d’Ozar.

             Après deux heures de marche ils arrivèrent à la forêt d’Ozar, ils se mirent à chercher le temple.

             Au bout de cinq heures n’ayant rien trouvé ils s’allongèrent sous un grand arbre pour prendre un peu de repos :

Edelfe : Au bout du compte nous n’avons rien trouvé.

Etane : La forêt est vaste c’est évident.

Upery : Cherchons encore nous finirons par trouvé.

Fraso : Qu’est-ce qui brille au sol ?

           Il se trouvait du granite formant une ligne droite indiquent le chemin d’un endroit, sans prendre la peine d’y réfléchir ils suivirent l’indication sur le sol, au bout d’un long moment ils tombèrent sur bun grand rocher brun qui était marqué d’une inscription dans une autre langue.

           Upery étant toujours curieux avait appris cette langue et il était écrit : Bienvenue sur le rocher d’Amaron. Tout aventurier doit faire une offrande, vous devez donner ce dont vous avez de plus précieux.

          Etane offra sa sagesse la chose la plus précieuse à ces yeux et la terre se mis à trembler puis la roche disparue.

           Quelque chose sortie de la terre, la légende racontée n’était plus un mythe, le temple existait belle et bien. Il était gardé par deux statuts qui étaient au tour de l’entrée. Etant d’une lumière aveuglante nul ne pouvait voir ce qui se passait à l’intérieur du temple, ils y pénétrèrent et furent séparé les uns les autres.

           Chacun était maintenant confronté à lui-même avançant pas à pas dans le temple, ils se trouvèrent face à des obstacles inattendus qui se trouvaient devant eux.

          Etant chacun de son côté il fut obligé de combattre pour survivre.

          Etane était face à des monstres ayant des cornes sur la tête et le corps recouvert d’écailles, il dégaina son épée et se mit en position de combat puis ayant fait un mouvement subtil avec son épée il leur trancha la tête à vive allure.

          Pendant ce temps Edelfe combattait lui aussi de son côté des monstres mais ceux-ci étaient différents, car ils n’avaient ni tête ni d’écailles, mais avaient de grosses griffes sur leurs mains mesurant trois mètre de long, ayant fait possession de son katana les transperça le cœur à une vitesse phénoménale.

           Du côté de Upery, il y avait des chiens ayant les yeux rouges fonçait droit sur lui, il saisit sa dague dans son fourreau, la retira et la planta au sol et dit :

Commencement.

           Celle-ci généra une grosse masse d’électricité qui les électrocuta les laissant en cendre.

          Fraso était face à des chauves-souris rongeur d’homme devant lui alors il prit son arc et tira une flèche qui dès le contacte des chauves-souris explosa et les tua tous.

          Peu de temps après que tout cela ce soit produit, quelque chose apparut ressemblant à un cube. Etane vu le bleu, Edelfe le rouge, Upery le vert et Fraso le violet. Chacun prit ce qui se trouvait devant leurs yeux puis des portes s’ouvrirent indiquant la sortie. Nos quatre frères venaient de trouver ce qui devrait n'être un mythe et en son sortie vivant.

Chapitre 3 : Le chemin des divins  

Après avoir pris ce qu’avait l’apparence d’un cube, deux des monstres qu’Etane avait combattu réussis à survivre et pris la poudre d’exquampète. Il se mit à leur poursuite puis les acheva, après qu’il soit sorti du sanctuaire des rayons de lumières apparus et l’éclaira puis il retrouva toute sa sagesse.

          Après que ses frères l’ont rejoint, la terre se mit à trembler et le sanctuaire disparu laissant le rocher  qu’ils avaient trouvé au départ avant leurs difficultés dans le temple.

          Ils décidèrent de rentrer à Opaina, à leur retour leur oncle Eden demanda où ils étaient passé. Etane lui raconta tout ce qui s’était produit au bout de leurs découvertes, mais trouva plus judicieux de ne rien dire sur ce qu’ils avaient trouvé dans le temple.

           Il était époustouflé par ce qu’il venait d’entendre, car ses neveux venaient d’accomplir un exploit. Il ne fut pas assez surpris et leur dit : Vous ressemblez beaucoup à votre père Craxioce. Leur père était une personne très curieuse, voulant toujours vérifier par lui-même un mythe ou une légende.

          Il voulut leurs raconter un petit peu leurs passé.

           Retournant en arrière, le 15 novembre 2021, il se déroulait une fête à Yarone la ville qui les avait vues naître et tout appris en ce moment. Eden et Craxioce plongeaient eux aussi dans l’aventure. Etant curieux de savoir ce que serait le destin, ils se mirent à discuter :

Eden : Que voudrais-tu faire quand tu seras grand Craxioce ?

Craxioce : Je voudrais devenir un grand scientifique.

Eden : Un scientifique ?

Craxioce : Oui grand frère, pour découvrir de nouvelle chose et sauver de nombreuses vies.

Cette idée lui est apparue très jeune. Car il avait perdu leurs père très jeune alors il se mit en tête de devenir le plus grand scientifique que le monde ait connu pour sauver les personnes qu’il aimait le plus.

Son objectif n’avait pas changé. Cet objectif est resté tel qu’il est jusqu’à ce que la mort de sa femme Myra vienne  perturber ses esprits. Après leurs avoir raconté tout cela, ils étaient perplexes sur le passé de leur père qui n’avait pas renoncé à ses objectifs.

           Deux jour plus tard, nos jeunes hommes voulurent faire une randonnée pour se dégourdir les jambes et visiter Opaina, d’une marche longue et continue à pas saccadés ils admiraient les édifices de la ville qui était magnifique la visite fut de plus en plus belle, pour eux venir à cette ville n’était pas mauvais car ils y découvraient de nouvelle chose de quoi oublié quelque souci. Ce dont faisait apparaître un sourire sur leur lèvre.

          Après avoir admiré et contemplé la beauté de la ville, Etane voulut retourner dans la forêt d’Ozar mais voulut partir seul. Il invente alors une excuse et demanda à ses frères de rentrer sans lui, ses frères ne lui posèrent pas de question et suivirent ses consignes à la lettre.

Après être arrivé dans la forêt d’Ozar il fut une death marche sous un arbre et se mit à penser aux mots de sa mère « Un cœur blessé ouvre des portes à la haine ».

Ce don le fit plonger dans une grande réflexion, pour lui ces mots étaient comme une énigme et un défi à résoudre mais le fait qu’un danger pointe à l’horizon était plus qu'un  moindre avertissement mais il était toujours sur ses gardes.

          Plongé dans sa nouvelle quête qui était la réflexion, il se fit attaqué par des bandits mais ce n’était pas concevable parce qu’il n’y avait rien à dérober dans la forêt à moins que ça ne soit le cube d’une nouvelle réflexion pour lui. Mais n’ayant pas son épée avec lui pour pouvoir se défendre il fut obligé d’utiliser ses poings pour se battre.

           Mais au bout d’un moment il pouvait plus combattre car il était fatigué et recouvert de sang et ses blessures se refermaient sans laissées de cicatrices, il n’avait rien sur lui excepté le cube qu’il avait trouvé dans le sanctuaire.

         Etant dans une situation critique ce dont il prenait pour un cube s’activa fusionnant avec lui formant une amure qui recouvrait son corps. L’intensité du combat venait de changer cette amures lui permit de combattre ses ennemis et les vaincre sans les tués.

        Etant recouvert de son propre sang et fatigué, une nouvelle lumière blanche apparut derrière lui.

Etane se retourna pour voir ce qui se passait.

Etane fut surpris par ce qu’il voyait et se dit :

-         Suis-je entrain de rêver ?

Non ce n’est pas possible.

           Un personnage se tenait devant ses yeux étant d’une couleur vive et d’une blancheur incroyable, ayant des ailes sur son dos. Il venait de rencontrer une déesse le cube qui lui servait d’amure se retrouvas dans sa main et ils se mirent à discuter.

-         Comment t’appelles-tu humain ?

-         Je me nomme Etane

-         C’est un très beau nom que tu portes, moi c’est Elza, je suis la déesse de la bravoure et du courage.

-          La bravoure ? Mais si puis-je me permettre, que venez-vous faire dans le monde des humains vous qui êtes une divinité ?

-         En effet, je viens dans votre monde pour trouver l’homme de ma vie.

-         Quoi, l’homme de votre vie ?

-         Oui car nous les dieux nous aimons aussi.

-         Mais ça me paraît bizarre venant d’une divinité.

-         L’humanité est un fléau de questions, je sais que tu ne comprendras pas pour le moment.

-         Je comprends ce que vous pouvez ressentir.

            Plongé dans une discussion Elza regarda la main de Etane et vit quelque chose reconnu sur le champ le fait de le voir la surprise et dit :

-         Oh ta un cubixe

-         Un cubixe ?

-         Ce dont tu tiens à la main est un cubixe, une arme crée par Amaron le forgeron de Dieu.

-         Donc Cela s’appelle le cubixe ?

-         Oui si tu le détiens c’est que tu as dû pénétrer dans son sanctuaire et réussir les épreuves, car il y’a quatre de ce genre avec des couleurs différentes.

          A ce moment-là, elle prit forme humaine et décida d’accompagner Etane dans son aventure. Il venait d’éveiller sa curiosité à ses yeux, alors elle le suivit jusqu’à chez lui.

          Soudain des bruits et des cries se firent entendre et s’emblait se rapprochait, puis d’un seule coup Upery sortie des buissons, Etane était de le voir, mais Upery couru dans la direction de celui-ci pourchassé par une panthère.

-AU SECOURE ! AU SECOURE ! AHHHHHHHHHHH !

Tout à coup Etane s’élança et le cubixe s’activa seule, il attrapa Upery et frappa dans le vide, cela créa un choque dans l’air qui était tellement violent qu’elle repoussa instantanément la panthère en la propulsant dans les aires.

Upery : Ouf j’ai eu chaud.

Etane : Et c’est tout ce que tu trouves à dire ? Je ne t’avais pas demandé de rentré à la maison avec les autres?

Upery : Oui, mais sa ma rendue pensif t’a soudaine envie de connaitre la raison pour laquelle tu as décidé du reste du groupe raison pour laquelle je l’ai est semé pour te suivre.

Etane : Maintenant tu vois les retombés de t’on acte ?

Upery : Désoler. Toute en souriant.

Etane : Elza je…Je te présente mon frère Upery.

Elza : Ravie de faire t’a connaissance Upery.

Upery : Moi de même, dit frangin c’est t’à petite amie ?

Etane : Ne raconte pas de bêtise Elza est une…

Upery : Une ?

Etane : Une amie tout simplement.

             Upery remarqua l’amure sur Etane et se mis à tapé la dessus, il se mit à le scruter.

Upery : C’est quoi ce truc ?

Etane : Aucune idée, bon maintenant rentrons à la maison.

            Arrivé chez leur oncle Etane présenta Elza sans mentionné le fait qu’elle était une déesse, pour la protégée et résoudre l’énigme qui lui torturait l’esprit.

           Le lendemain, Elza lui raconta l’histoire d’un assassin qui était enfermé à Rolome, la prison des plus grandes criminelles et proposa qu’ils aillent le chercher car il pourrait être utile à leur quête.

           Son crime était démesuré car il avait exterminé des générations entières à lui seul, sans avoir un minimum de regret. Il se nommait Has, elle voulut l’accompagné mais ne pouvait y pénétrer car l’accès était interdit à la femme.  Ceux qui désobéissent à cette loi devraient recevoir la peine de mort. Encore une loi des hommes qui fait office d’interdit aux femmes.

Edelfe : Moi je pense plutôt que c’est dangereux, ont devrait le laissé là où il est, et ne pas avoir affaire à lui.

Upery : C’est nouveau sa, Edelfe qui fait preuve de raison qui l’aurait crue ? Pour ma part, je suis curieux de savoir ce qui arrivera s’il nous rejoignait.

Edelfe : T’a fichu curiosité nous perdra.

Fraso : Pourquoi ne devrait-il pas l’être ?

Edelfe : Toi on ta pas sonné.

Upery : Au moins on ne s’ennuiera pas trop s’il est là, mais ont sera toujours sur nos garde.

           Pendant qu’il discutait, Etane resta toujours silencieux sans dire le moindre mot, puis…

Etane : Fraso, toi t’en pense quoi de tout ça ?

Fraso : Pense tu que je sois la personne qualifié pour répondre à cette question ?

Etane : Je vois, on ira le chercher.

Upery : Youpi !

Edelfe : Quoi !!! Mais c’est de la folie.

Etane : Je le pense aussi, mais en ce moment je suis un peu comme Upery à la fois curieux et septique, aussi une nouvelle personne dans nos rend ne ferait pas de mal, et s’il devient incontrôlable je me chargerais de son cas.

Upery : Je pourrai venir ?

Etane : Non, tu as assez créé de soucis comme ça, j’irais avec Fraso, Edelfe et toi rester ici.

          Ayant récupérer leurs armes de combat, Etane et Fraso prirent la route pour Rolome accompagné d’Elza.

           Edelfe et Upery devraient trouver une excuse à leur absence, car leur oncle avait toujours l’œil à tout vérifier donc il ne fallait pas qu’il le sache.

            Après cinq heures de marche, ils étaient enfin arrivés à Rolome. Elza resta dehors puis leur donna le numéro de la cellule d’Has.

             Il se trouvait dans le bâtiment trente-deux, cellule cent vingt-six. Ils suivirent à la lettre ce qu’elle leurs avaient dit.

Au bout d’un long moment ils arrivaient devant une porte isolée des autres cellules. Etane ouvrit la porte et vit un homme avec les mains trouées écrivant des mots avec son sang sur les murs de sa cellule.

Fraso : Has ?

Has : Lui-même pour vous servir.

Fraso : Pourquoi a tu commisses tout c'est meurtres ?

Has : Pour montrer ma dévotion à Zeux et Hadès.

Etane : Alors tu es l’un de ces hommes qui exerce leur folie meurtrière au nom de Dieu.

Has : Pas vraiment vois-tu ? Vois-tu, j’ai vu mes parents se faire assassiné sous mes yeux. Donc j’ai décidé de me venger.

Fraso : Mais pourrais-tu nous accompagné ?

Has : Même si je le fais, qui te dit sur le chemin je ne tenterais pas de vous tuer ?

Etane : Avant que tu n’aies eu le temps de le faire je t’aurai déjà tué.

Has : Tu me menace ?

Etane : On est plus à ce stade, c'est juste un avertissement.

         Après qu’il ait entendu ces mots, la peur vint s’installer dans le cœur de Has, mais aussi une certaine forme d’excitation, parce que jusqu’à présent personne n’avait osé lui tenir tête.

Has : Humm(Sourie) Tu me plais bien toi, c'est d'accord, je viens avec toi.

    Alors, Etane brisa les barreaux de sa cellule et le libéra.

          Has venait de trouver quelqu’un qui lui donna sourire aux lèvres, il allait maintenant commencer une nouvelle vie entouré d’un ami.

         Car depuis sa quête de vengeance, il ne trouva personne qui lui donna la trouille et qui était sûr de lui. Alors il le suivit et tous les trois sortirent de la prison de Rolome et rentrèrent chez leur oncle avec Elza.

Has : Que c'est beau de revoir la lumière du soleil.

Fraso : Ça fait combien de temps que t'es resté enfermé ?

Has : Ça fait maintenant 2 siècles si je calcule bien.

Fraso : Comment cela est-il possible ?

Has : J'ai assassiné un devin une sorte de messager de Dieu, et comme malédiction j'ai reçu l'immortalité et ces trou aux mains.

Etane : Un devin ? Avait-il un lien avec l’assassinat de t’es parents ?

Has : Non pas du tout je voulais juste me défoulé et il était sur mon chemin.

Elza : Tu la bien chercher.

Fraso : Sa dû être difficile de le supporter ?

Has : Oui, mais au bout de 50 ans ont fini par s'y faire.

Etane : Étonnant tu m'a l'air beaucoup jeune.

Has : Oui mais, n'empêche.

Fraso : Quoi donc ?

Has : J'ai passé tellement de temps enfermé dans cette cellule, et maintenant je me rends compte à quel point le monde que je connaissais à drastiquement changer, c'est bien la seule chose que l'être humain sais faire.

Fraso : Et tu trouves cela mauvais ?

Has : Le changement n'es pas mauvais en soi mais, tout dépend de  comment il se fait et pourquoi, néanmoins, j'aime ce changement.        

Un nouveau compagnon de voyage venait de les rejoindre dans leurs quêtes.

           Arrivé chez eux Has vit le cubixe bleu de Etane et fit surpris, si cet objet de grande valeur se trouvait en sa possession c’est qu’il avait réussi à rentrer dans le sanctuaire d’Amaron et pu en sortir saint et sauf il eut encore plus peur et ressentie d’avantage de plaisir, car s’il tentait quelque chose il se trouverait confronter à la mort, la faucheuse de vie, celle-ci lui servait de vocation pour ça vengeance.

            Etant confronté à une vie de solitude depuis son enfance, après que des hommes aient assassiné ses parents, son destin changea et il se mit à détester les hommes pour leurs actions néfastes envers la société.

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