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Beauté Fatale

chapitre 1

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chapitre 2

PDV de Raphaël

après une dizaine de minutes, j'étais déjà chez Éloïse. J'appuyais sur le bouton de la sonnerie et attendit qu'elle vienne m'ouvrir. Après une dizaine de secondes la porte s'ouvrit sur Éloïse et elle m'invita à entrer et nous nous dirigeâmes vers le salon. Étrangement elle avait l'air stressée et étais un peu bizarres, mais je n'osais pas aborder le sujet et me contenta de la laisser parler.elle prit une grosse bouffé d'air et commença :

_ Raphaël... Euh…je suis... Enceinte. M'annonça-t-elle avec un air sérieux.

À l'entente de cette nouvelle, je restais abord muet, choqué par ce qu'elle venait de m'annoncer. J'étais totalement abasourdi et devint blanc comme un linge. C'était comme si on venait de me jeter de la merde au visage.

ouais une grosse merde.

Encore sous le choc, les seuls mots qui purent sortir de ma bouche furent :

_ quoi… C'est une blague j'espère !!!

_ attends tu crois que j'ai l'air de blaguer en ce moment-là ? S'insurge-t-elle

_ c-comment cela est-il possible... articulais-je

_ tu veux peut-être que je dise comment on fait un enfant ? dit elle sarcastique

_ bordel je sais comment on fait des gosses, joue pas avec mes nerfs là. criais-je

_ ok mais tu cris pas sur moi comme ça ce qui est fait est fait. maintenant faut assumer nos actes..

_ désolé Éloïse, mais je ne peux pas devenir père je ne suis qu'en seconde putain.

_ comment ça tu ne peux pas devenir père, je te signale que moi aussi je n'ai que seize ans. Dit-elle les larmes aux yeux.

_ je ne peux pas prendre en charge un enfant sans parler de toi adieu Éloïse. Conclus-je en me levant et en détalant aussi vite qu'un lapin et la laissa seule.

*****éclipse de quelques minutes

PDV d'Éloïse

je n'arrivais pas à y croire, l'homme que j'aimais tant m'avait rejeté. Il m'avait abandonné moi et son enfant, nous laissant à notre triste sort. Je n'en revenais toujours pas, comment avais t'il pu me faire ça à moi, avais t'il seulement pensé aux conséquences qu'aurait sa décision sur ma vie ?

Sur nos vies ?

Le choc était beaucoup trop fort,

La Nouvelle beaucoup trop dure à l'assimilation

mon cerveau venait de recevoir un gros coup et mes neurones mirent un temps infini à réaliser la situation dans laquelle je me trouvais.

Qu'allais-je bien pouvoir faire ?

Qu'est-ce que j'allais devenir, non qu'est-ce que nous allons devenir ?

Après le départ soudain de Raphaël, je restais là dans le salon planté comme un poteau à regarder un point invisible. Il me fallut une bonne demi-heure avant de me résigner complètement et d'accepter mon triste sort. Je décidai finalement d'aller me coucher dans ma chambre et pleura à chaudes larmes.

Moi qui n'étais pourtant pas du genre à m'apitoyer sur mon sort, je relevai toujours tous les défis qui se présentaient à moi avec entrain et enthousiasme, mais là c'en était de trop. Je n'acceptais tout simplement pas le fait que je sois enceinte à un si jeune âge et encore moins le fais que Raphaël m'est plaqué

Décidément, il semblerait que je sois maudite

comment réagiront mes parents lorsqu'ils apprendront que je suis enceinte ?

Eux qui étaientnt très à cheval sur le fait qu'une jeune fille ne doit pas avoir des relations sexuelles avant le mariage et tout le tralala qui va avec et encore moins de se faire engrosser à l'âge de seize ans.

Étant déboussolé et ne sachant pas quoi faire, je pris l'initiative de cacher ma grossesse à mes parents, mais aussi à mon entourage.

La raison ? Eh bien j'avais peur qu'ils me détestent et me rejettent comme l'avait fait Raphaël.

Je ne m'étais jamais retrouvé dans une situation aussi délicate. J'étais une bonne fille, j'avais de bonnes notes à l'école et la plupart de mes profs m'appréciaient plutôt bien alors qu'avais-je fait pour mériter ça ?

Allongée sur mon lit, les yeux devenus rouges à force de pleurer et terrassé par la fatigue, Morphée vint toquer à ma porte et je le lui ouvris à bras ouvert, le laissant m'emporter dans un monde où ni chagrin ni douleur existe, où je n'aurais pu à me soucier de quoi que soit et où je pourrais enfin me reposer.

ce monde, c'est celui des rêves...

.

chapitre 3

Éloïse se réveilla ce matin-là avec beaucoup de difficultés. Les horribles cauchemars qu'elle avait faits durant toute la nuit lui avaient valu d'énormes cernes sous les yeux.

Vu comme ça elle ressemblait plus à un zombie qu'à autre chose..

Mais malgré la douleur qui lui était due à ses courbatures et la journée catastrophique d'hier, elle se décida néanmoins à quitter son lit et aller au lycée. C'est avec une volonté à tout rompre qu'elle réussit finalement à se lever et traça immédiatement vers la salle de bain.

Elle retira alors ses vêtements et ouvrit le pommeau d'eau du robinet. La sensation de l'eau chaude ruisselant sur sa peau lui faisait un bien fou et pendant un court instant… Elle se dit que tout ceci était un rêve, mais revint vite à sa triste réalité en regardant son ventre qui ne tarderait pas à se faire voir.

Elle se savonna et frotta minutieusement son corps puis laissa l'eau chaude couler tout le long de son corps. C'est après une demi-heure de relaxation qu'elle sortit de la salle de bain et enroula son corps d'un simple linge. Elle se sécha-t-elle et ses cheveux et lorsqu'elle se regarda dans le miroir…

Le fait qu'un être vivant,

Une toute petite créature qui ne demandait qu'à naître... Grandissait en elle lui semblait bizarre, mais en même temps, elle était émerveillée par ce phénomène naturel.

Celui de donner la vie...

Éloïse était une fille vraiment sympa, elle n'avait rien à envier aux autres filles, elle avaient tout ce qu'il faut et là où il faut.

Fille de taille moyenne aux cheveux blonds cendrés et aux yeux bleus avec des lèvres pulpeuses sans parler de sa poitrine plutôt généreuse.

Elle avait été gâtée par madame Nature, ça… Ça ne fait aucun doute.

Elle était le fantasme et le genre de plusieurs mecs...

Après s'être séché les cheveux, elle se vêtit de l'uniforme de son lycée, à savoir une chemise blanche avec une cravate bleu, une jupe de la même couleur que la cravate avec de longues chaussettes (pour les garçons, c'est la même chose sauf qu'à la place de la jupe c"est un pantalon. ✨). Et descendit rejoindre sa mère. Elle fit les quelques pas séparant sa chambre (2e étage) et le salon (1er étage) et découvrir sa mère toujours aussi rayonnante en train de faire le petit-déjeuner. Elle se créa rapidement un visage de façade et salua poliment sa mère.

NDA ( note de l'auteur)******

Et voilà tout pour le chapitre 3.

Je sais que c'est court 😭😭😭 désolé je me rattraperai la prochaine fois.

N'hésitez pas à me faire part de vos avis et de l'impression sur l'histoire.

Sur ceux je vous dis à bientôt et on se retrouve bientôt pour un nouveau chapitre 😘

Je pense ajouter des images dans les prochains chapitres, dites moi ce que vous en penser 😝😝😝

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