Après l'attentat à la maison blanche ainsi que dans plusieurs banques de la ville, les autorités étaient de plus en plus en alertes rouges, nuls ne pouvaient sortir de la ville lorsque l'heure s'affichaient "vingt heures trente minutes" la police et les forces spéciales de la "BOJ" se déployèrent dans tout les zones du ram, personnes ne pouvaient sillonné la ville sans se faire attraper par la BOJ, la ville devenaient une prisons pendant ces couvres feux, mais malgré ces règles strictes, des voles se faisaient dans les bijouteries et même dans des banques, la sécurité devenait de plus en plus en impossible et moi "Alex" dit que après avoir terminé ma formation de police à 18 ans je n'es toujours pas eut une bonne place dans le service, j'étais juste le gamin qui se repli à chaque mission celui qui apporte à chaque fois le café et celui aussi reste surveillé les véhicules de service, si c'est ça défendre le peuple alors le monde cour à sa perte. La nuit était longue pour mon vingt troisième service en tant que argent de police de la BOJ, il était vingt trois heures et j'étais comme d'habitude entrain de surveiller les véhicules, lorsque j'aperçus une lumière émaner d'un couloir, j'avançais avec ma lampe torche tout en tenant mon arme, la lumière brillait encore plus à chaque approche.

*avec la peur*

- qui est là ?... Montrer vous sinon je vais tiré

La lumière disparu aussitôt. lorsque je guéttai un regard dans le couloir j'aperçus des signes sur les murs ainsi que du sang qui jaillissaient d'un d'un trou qui a été sans doute faite pas un pro, le sang n'en finissait jamais, elle coulait comme une cascade d'eau sans frein, je tentais de bouché ce trou immense qui n'avait pas sa place là, mais d'où devait provenir ce sang ? Me posai je la question, mes collègues étaient en alerte rouge comme chaque nuit, alors c'était là une occasion pour moi de prouver mon bravoure en tant qu'un jeune argent de police. La nuit était longue et le sang continuait toujours de jaillit, j'allumais ma lampe torche pour voir de plus près,. Lorsque je fut surpris par une entré, sa devrait sans doute être un ancien tunnel abandonné à cause de l'attentat à la maison blanche, elle était si étroit, je devais alors ramper pour atteindre le bout, l'odeur qui émanait me donnais envie de vomir, sa sentais la mort, comme si l'on avait fait passer plusieurs corps en décomposition dans ce tunnel. Après avoir atteint le bout, je me retrouvai alors dans un entrepôt tout équipé, je sorti mon arme, lorsque j'entendis un coup de feu, la lumière c'était éteinte puis c'était rallumer quelques secondes plus tard, plusieurs hommes armées m'avaient encercler, j'étais au milieu de la mort, mon arme tremblais entre mes mains, je voyais ma vie défiler juste devant mes yeux, un homme s'approcha et dit.

- tien tien un flic dans ma zone ?

* mon arme glissa et tomba

- vous allez me laissé m'en aller et je ne dirai rien à personne, promis.

Il me fixa en lâchant un sourire psychopathe. Et dit.

- Karl ne négocie pas avec les flics .. Karl tue les flics

* la peur m'envahissait encore plus

- tu tu tué ?

Si je continue de réagir comme une mauviette devant ces criminels, alors je ne suis pas digne d'un vrai héro de la nation. Il s'approcha encore plus de moi, me tapotant l'épaule et dit.

- écoute petit, nous allons joué à un jeu, si tu réponds correctement à mes trois questions je te laisserais t'en allé mais si tu échoué je te tuerai.. Compris ?

* ses paroles était d'une menace digne du joker, mais je me devais de répondre à sa question si je ne veux pas mourir avant d'être un héro national.

- OK j'accepte votre proposition monsieur

- voilà, très bien j'adore les jeunes qui sont sûre d'eux, okay la première question est, mon fils avait le même âge que toi mais il a été tué et devine qui la faite ?

*okay, voilà c'est bien aujourd'hui que Alex Smith vas perdre la vie.

- il a été tué par... Par.... Par des braqueur.

-mauvaise réponse.

-attendez s'il vous plaît....

- oui dernière chance pour la première question.

* réfléchi Alex, des criminels dans un entrepôt qui sorte la nuit pendant un couvres feu, peuvent avoir qui comme ennemis, réfléchis.

- j'ai trouvé

- oui je t'écoute

- votre fils a été tué par les flics

* mon cœur battait tellement vite que je pouvais l'entendre.

- tu es intelligent pour être juste un flic de rien du tout, bon malheureusement nos chemins ce termine là, j'aurais voulu te connaître un peu plus.

Ça été là, la dernière fois, que je vit le monde tout était flou, l'entrepôt à été recouvert de brouillard, tout était entrain de prendre feu, j'étais entrain de vivre mes derniers instants lorsque, tout s'éteigni.

J'étais comme plongé dans un rêve sans fin, cherchant à m'évader, mais à chaque fois que j'essayais de fuir ce rêve atroce et horrible, je revenais toujours dans la boucle précédente, c'était comme si l'ont m'avaient mise dans un film d'horreur, tout était que rouge, du sang et des hommes mutilés et des animaux mi carnivore mi herbivores dévorait ces corps sans vie avec une cruautés indésirables, une gazelle qui dévore un humain.

Je fini pas me réveiller de ce rêve, mais cette fois la réalité était plus pire que les rêves, couché sur un lit d'hôpital, j'étais enchaîné comme un animal, les éclairages semblaient n'avoir été changés pendant des années, une odeur infect émanait de la chambre, la mort se sentait partout dans les rêves comme dans la réalité.

Après avoir tenté à maint reprises de me déchaîné, j'étais épuisée, j'entendais des bruits de part qui se faisait entendre à chaque approche, il y'avait une ombre devant ma porte, serait-ce les malfrats ? Me posai je la question. La porte s'ouvrait lentement, avec un song digne d'un film d'horreur, je voyais ma vie défiler sous mes yeux, lorsqu'elle fit sorti un couteau avec presque tout un arsenal d'arme blanche, elle avança vers moi et je dis.

- je travaille pour la police, alors vous avez intérêt à ne pas faire quelque choses que vous allez regretter plus tard. ( avec la peur)

Elle ne voulu rien entendre et mis son plan à exécution, je fermait les yeux et quand je les réouvertes, mes mains était libre, je ne sentais comme un papillon, serai-je ça un paradis.