c'était un dimanche soir, ce jour particulier où mes parents se décidaient à me rendre visite, dans cette maison qui n'était ni là leurs ni là mienne, car oui c'était le seul jour de la semaine où ils y posaient leur pieds, pour la seule raison de venir voir leur fils "chéri "que je suis .mes parents ne s'aimer pas ,pui-je dire se haïssait au point où dès qu'ils se voyaient ,commençaient des disputes sans aucun sens. afin d'éviter a tout prix de se croiser, ils prient leur distance et vivaient chacun dans des villes séparé juste pour ne pas se voir. mais par le malheur qu'ils avaient, mon existence fut telle qu'ils devaient se rendre dans cette maison où ils m'avaient laisser y vivre jus qu'à mes 18 ans avec une gouvernent et des servantes pour me surveiller, chaque dimanche.
aujourd'hui fut le jour de mes 16 ans et aussi ce jour où mes parents me rendirent visite.
(ça tombe bien, là nous pourrons passer ton anniversaire en famille )s'exclama mon père avec
le sourire aux lèvres. je l'affirme, qu'il pourrait bien sautiller de joie s'il le pouvait avec ma mère .
car pour eux ses 16 ans signifiait qu'il ne restait que 2 ans avant mon départ, pour ne plus
pouvoir ce revoir et cela leur réjouissait en tout point.
assie chacun a sa place au tour d'une table avec 4 mètres de longueur et 3 mètres Lageur, oui cette table était gigantesque ! pour la seule raison qu'ils ne voulaient pas être proche, bon laissons mes remarques ailleurs .
nous nous asseyons donc et avant que mon père put placé un mot, parce qu'il en voulait placé une.
des servantes viennent afin de nous servir le dîner qui était fait uniquement de végétaux.
père : akahana, moi et ta mère nous avons pris une décision qui concerne ton avenir
ne me soucion pas de ces propos je continuais mon repas,sans même dernier à le fixer du regard, tout bonnement parce-qu'il ne me restait que 2 ans vivre cette enfer qu'on surnommait "famille "afin de pouvoir m'en aller, donc tout se qu'ils diront ne m'a teindra pas.
mère :et cette décision est qu'à tes 18 ans tu auras des fiançailles avec la fille du collègue de ton père.
à l'écoute du mot fiançailles tout mes sens se coupaient. je n'arrivai pas à y croire, mes propres parents voulais me fiancé a une inconnue .......après m'avoir enfermé pendant des années dans une maison aussi grand qu'un immeuble avec qu'eux des servantes et une gouvernent comme tutrices,ils veulent me fiancé dans 2 ans ? .....
bon ....je suis même plus surprise, il fallait s'attendre a tout avec eux. mais je ne veux pas, je veux pas qu'ils prennent une telle décision sur ma vie, moi seul ai le droit décidé avec qui je passerai tout ma vie ,moi seul ai le droit de décidé qui je voudrais aimé,car je suis maîtrede mes choix et envies, mais mes géniteurs ne le prenait pas de cette manière.
akahana : mais père, mère
père : il n'y a pas de père. ..
mère : ni de mère qui tiennent , nous le faisons pour ton bien
bizarrement, malgré qu'ils se déteste ils s'accordait parfaitement, surtout si c'était pour me dictée me choix.et encore cette phrase
pendant que j'étais encré dans mes pensées, j'entendis un hurlements qui m'y faire sortir en sur sautant.
mère : il est aussi mon fils!!
c'était mes parents qui s'engueulaient sur le choix de la date des fiançailles. ...perso moi je m'en ba les ....de cette fichu date !
père : le 15 février dans 2 ans date de tes fiançailles, fin de la discussion !
en gros mon annive quoi.
après avoir conclure cette "fin de la discussion " enfin leur discussion, ils se levaient tout deux pour rejoindre chacun leurs appartements. pour ma part comme je ne voulais pas rester seul au tour de cette gigantesque table,je pris mes jambes a mon cou,bien sûr avec mon assiette (j'avais fain quand même ),et fu de même.
arrivée dans ma chambre je m'assois ,finis mon repas, prends ma douche et me jette sur mon lit comme une masse de 100k tomber net au sol pour évacuer le stress obtenus en une seule soirée que dieu ma fait la bénédiction d'avoir. mais mes malheurs ne furent atteint, car le bruit de leurs engueulades vins jusqu'à ma chambre comme pour me dire que même pionser en paix met interdit.
j'vous jure. ....pire que chien et chat ses deux là hein !
bon,comme mon sommeil a été in-ter-rom-pu par eux moi j'me casse. défilant les escaliers deux à deux, je m'en fuyai de la maison passant par le trou sous la clôture,( j'étais asser petit pour mon âge ) en espérant que personne ne me vois, de toute façon ils seraient trop occupé à séparé mes parents pour ça. donc pendant ma fuite, je me tapais le sprint de ma vie trop ennivré par les sentiments de colère et tristesse que je ressentais. je me stoppais net quand je ressentir la fatigue (je suis pas flash non plus hein, déjà que 100km me tue alors plus que ça vous pouvez pas imaginer la douleur que je vie).
regardant au tour de moi ,je me suis rendu compte que je m'étais perdue. ....je me suis perdue ! la honte de ma life, pour résumer un ado de 16 ans perdue dans son propre cartier à 11h du soir, je l'imagine déjà demain dans le journal de 13h.
là il faut que je me grouille de retrouver mon chemin. pendant ma conquête, je vois deux jeunes hommes qui se dirigeaient vers moi,l'un était chauve avec une paire de lunettes et l'autre bain. ...tout simplement chauve quoi .tien, je vais les surnommés chouhause.le deuxième chouhause vient me coser
chouhause 2: alors on s'est perdu gamine ?
il vient de me traité de gamine ? j'avoue que en regardant mon apparence je peux rien rétorquer si on me traitait de fille manqué mais, je suis un homme et pas une gamine !
akahana : alors de un je suis pas une gamine et de deux vous avez aussi besoins de lunettes, car je suis un homme monsieur chouhause!
plaquai-je avec un peu de politesse pour faire passer le surnom que je lui ai donné. malheureusement pour moi au moment où son collègue se retenait de rire, je vue le rouge pris tout son visage et se n'était pas celui de la gêne mais plus de la colère, alors j'ai su qu'il fallait que je décompte au plus vite de là. mais en voulant me retourner je sentir une main m'agriper le poignet.
chouhause 2: où tu vas comme ça gamine ?
donc en plus d'être myope, ils sont aussi bouchers des oreilles ? umm. ....je m'en doutais un peu
akahana : je vous es dit que je suis pas une gamine !
chouhause 1: abon?...donc vérifions alors
what?...vérifier quoi ? ho bordel qui m'a envoyé des bigleux pareil. encore dans mes pensées je sentir une maine se glisser sur mon bas ventre, pris par surprise je chutai avec mon pied dans son antre jambe ,j'entendis un cri de douleur ....en tant qu'homme je compatissai mais il l'avait bien cherché
chouhause 1 : fils de pute, je vais te défoncé la gueule !
pas mon visage ! s'est la seule partie de mon corps qui pourrait attiré des filles ! (parce-qu'en thème de beauté j'avais a envier personnes ).bon je devrais me mettre à imploré le seigneur pour en sortir vivent .pendant mes prières je sentir un poing se figé vers ma face ,alors j'attends. ....une seconde, deux secondes,trois. .. attend le temps s'est figé ou c'est comment ?
j'ouvre les yeux ( parce-que'elles étaient fermé )et....bain non le temps est normal en fait
???: hé que faites-vous a cette jeune fille ?
mais putain, ils se sont tous donner le mot pour me traité de fille ou bien quoi !!!
......................
1423 mots
j'espère que vous allez aimé, donc à plus.
chouhause 2: euh. ..rien dit-il en se grattant la nuque on voulais juste aider cet gamin à retrouver son chemin. pas vrai kurasaka?
non,mais quel mito wesh . c'est vrai que la partie du je me suis perdue est véridique, mais je préférais le garder pour moi. si non ça se voit qu'il n'a pas eut son diplôme de mitoacademie lui .
chouhause 1: ou. ..oui c'est cela et maintenant nous pouvons nous en aller, cas nous sommes assez pressé.
bon,ils se sont littéralement enfuis. avant de reprendre mes esprits, je fur interrompu a la vue d'une silhouette assée imposante devant ma fasse. en relèvent la tête , plus qu'elle l'était déjà se fut un homme d'environ 1m90 que je vue. moi avec mes 1m55 j'étais un bambin à côté de lui. il avait porter un pull a capuche et un cache nez. avec cette accoutrement, s'il m'avais pas aider j'aurais pu croire que cet homme un agresseur, mais comme je dit l'habillement ne fait pas une personne .
ayant voulue le remercier j'eus comme un flash back de ma vie d'insociable accompli. ..
oui je suis plutôt le genre de personnes qui parle peu et qui n'a pas beaucoup d'expression ni d'amis,
Mon quotidien était plutôt l'école, les jeux vidéo et les romans. alors parler à cet inconnue était peu pour moi ,mais pour les deux autres j'étais en colère.
???: hé suis moi
ce fut les seuls mots qu'il dit avant de s'en aller. j'étais perdus et savais bien que je devrais pas le suivre ,mais avant de m'en rendre compte ,mon corps s'était déjà élancé et je fur à sa poursuite. le battement de mon coeur s'accélère, la seule raison pourrait être grace à ma course poursuite, mais ce
ne fut pas le cas . tout simplement parce que c'était nouveau pour moi. cette routine ,elle n'est pas comme d'habitude et ça sa me rendais heureux, cas même si je dois l'avouer on ne peut pas défini cette journée comme le meilleur de ma vie déjà si malheureuse de plus je m'étais perdue, fais agresser et entrain d'essayer de rattraper un inconnu par pur curiosité.
malgré tout, j'étais très heureux de pouvoir oublié le quotidien de tout les jours entre cette prison de maisons et cette école de pourie gâté dans la qu'elle j'ai été inscrit il y a quelques mois .
mais encore trop dans mes pensées ,je m'étais même pas rendu compte du fait que cet inconnue de plus de 35 cm que moi c'était arrêté devant une baraque luxueux.
akahana : tiens ? elle ressemble étrangement à la mienne
se n'était pas qu'elle y ressemblait ,mais c'était la mienne cette baraque !
donc en conclusion cet homme m'aurais conduire chez moi sans que je rendre compte de cela ?!
mais moi je l'avais jamais vue alors comment a t'il sût où j'habitais ? ne me dit pas qu'il me suivais ?
euh. ...sa devient flippant là .'fin bon il m'a aidé contre ses agresseurs et m'a conduit jusqu'à chez moi. donc au lieu de dramatiser je devrais peut-être oublier mon insociabilité et le remercier non?
néanmoins au moment où j'allais le remercier il n'était déjà plus présent .bon je devrais arrêté d'au temps réfléchir, si non je passerai a côté de toute ma vie là.
Hum. ..peut-être que je pourrais le recroiser un jour, puis qu'il savait où j'habitais c'est qu'il vie dans ce cartier non ?
et c'est en me prêtant a cette hypothèse que je me reconduire vert mon chez moi en repassant par le trou où je m'étais enfuis marchent comme un détective en plein enquête dans la maison pour me jeté sur mon lit.
akahana : bon ,bonne nuit à moi.
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