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DESTIN FATAL

CHAPITRE PREMIER

Prologue

 

      Les woubies pour ceux qui ne savent pas sont les garçons qui sont devenus femmes forcés. À cet ère du verseau, l'ère de révélation, ils ne se cachent plus de tel sorte que l'un d'être vous a dans son entourage une woubie ou peut-être qu'il s'agit de vous. Les woubies au lieu de mettre ils aiment se faire mettre. Ils adorent ça. D'où viennent les woubies ? Des chercheurs disent que c'est une augmentation d'hormones in vivo. Est-ce vrai ? Peut-être oui peut-être non, personne ne sait exactement ce qui pousse un homme à en aimer un autre. Mais pourquoi beaucoup de personnes ne se demandent pas qui mougou les woubies ? D'un point de vue logique une woubie ne peut pas mougou une autre woubie mais alors qui ?

On diabolise les woubies alors que les vrais personnes de l'alphabet sont dans notre famille. C'est cette question que j'aborde ici dans cette chronique. Les gens de l'alphabet sont bien plus nombreux qu'on peut bien le penser, les woubies ne sont que la face visible de l'iceberg, je vous laisse imaginer la face cachée💔 Attacher vos ceintures pour ne pas passer à travers la vitre de votre smartphone, des révélations seront faites alors soyez prêt 😁 Pour ne pas dire plus je vous laisse apprécier. Bonne lecture…

L’auteur…

01: L’intrus dans la chambre

« Seul la tristesse nous accompagne, on ne peut compter que sur soi »       Zestu_blanc

                          

    

     Il se réveille encore avec cette impression de la veille, il passe sa main dans ses cheveux avant de la basculer sur son visage, il souffle. Comme toutes les nuits, il s'était endormi dans les environs de trois heures trente du matin à cause du travail excessif qu'il se donne à lui-même pour espérer obtenir une bourse d'étude pour l'étranger. Il se débrouillait tant bien que mal à travailler malgré son manque de matériel didactique pour l'accompagner, il se démenait pour photocopier les pages les plus importantes dans les livres de ses camarades même si cette action est passible d'une peine d'emprisonnement.

Une fois les cours terminés, il doit se rendre à la boulangerie du coin pour commencer à travailler pour financer ses dépenses scolaire pour finir au plus tard vers 22h et y retourner à 5h du matin pour la préparation des premières fournée de pains. C'est ainsi qu'il gère son temps.

Là dans sur son lit de fortune il est 4h du matin. Juste 1h de sommeil, quelle tristesse. Il peine à se mettre debout et à reprendre ses esprits, il se rallonge et fixe le plafond, puis il se souviens qu'il doit trouver de l'argent pour payer ses livres, il se lève tant bien que mal pour faire une dernière révision car aujourd'hui c'est le début des examens. Il n'a pas le droit à l'erreur, il doit avoir des bonnes notes s'il veut que son dossier soit accepté.

Malgré son manque de sommeil, il affiche un corps sculpté. Du haut de ses 1m85, un corps dignement dessiné parsemé de beaux attributs. Chose étrange il ne faisait pas de sport quotidiennement sauf en cours d'EPS. Lui-même il se demande d'où lui vient ce corps qui en faisait tomber plus d'unes.

A présent il se trouve face à son armoire tout nu laissant à la personne qui passera devant la porte l'opportunité d'observer cette beauté des Dieux à travers cette porte qui ne se ferme presque jamais. Il prend sa serviette, la passe autour de ses reins et se dirige vers la douche pour espérer que l'eau froide puisse le réveiller.

Il se retourne et là il voit une ombre qui se décale, ses yeux sont tellement dans les vapes qu'il n'a pas pu voir qui l'observait. Il s'en fout royalement de qui ça peut bien être, après tout il n'est même pas chez lui. Il se dirige vers la douche malgré que son corps lui hurle de rester dans le lit.

    Il n'a jamais vu son père. D'après sa mère, il est mort et enterré. A mainte reprises il tentait d'obtenir plus d'informations sur celui-ci mais sa mère ne répondait jamais à ses questions sans faire de détour. Il compris donc que quelques chose s'est passé durant sa grossesse, quelque chose qui a laissé des traumatismes en elle. Il n'a plus jamais demandé des informations de son père depuis, de peur qu'elle ne perde patience.

Elle se débrouillait tant bien que mal à aider son fils malgré ses boulots qui lui rapportait que de quoi payer les factures et qui la vieillissait plus vite qu'il n'en faut comparé a une banane posée sur le rebord d'une fenêtre. Avec les retards de payement de ses employeurs, ils ont dû se faire viré de la maison qu'ils louaient. Ils ont juste pris le strict nécessaire avec eux, le bayeur réclamait l'intégralité des impayés pour espérer récupérer leurs affaires.

Lui il se trouve chez son oncle et sa mère a trouvé un autre boulot loger nourrit dans une grande maison de l'autre côté de la ville. Cela ne fait pas encore un mois qu'elle y travaillait donc son salaire n'est pas encore passé.

    Pendant qu'il est sous la douche, quelqu'un s'introduit dans sa chambre et se dirige vers son tas de vêtements sale. Apparemment il sait ce qu'il est venu chercher, il fouille , il fouille encore. Bingo, il a trouvé. Un caleçon, plus précisément le caleçon qu'il portait la veille.

Il sort de la douche, l'eau froide a répondu à son attente. Il est 4h et 15 minutes. Cette personne l'avait entendu arriver et se cache. Il traverse la porte tout nu serviette à la main laissant à l'étranger observer son corps d'athlète et ce troisième pied aussi long au repos qui pendait là pendant qu'il se déplaçait dans la pièce.

Pour lui, il est seul. Il a pris le temps de fermer la porte en plaçant une chaise derrière.

Il avait besoin de se vider avant de réviser, toute la pression accumulé devrait sortir.

Il prend sa crème, fait couler une bonne partie sur sa main et commence à malaxer son Dagober qui commence à se lever au fur et à mesure des vas et viens de sa paume. L'étranger n'en rate pas une miette, il s'imagine être à la place de sa main, il imagine sa bouge faire ces vas et viens.

Le Dagober était maintenant tendu. Sa taille surdimensionnés et sa grosseur sont à son maximum. Il continue de le malaxer mais cette fois-ci plus vite, de plus en plus vite.

Après plusieurs va et viens rapide, in liquide épais blanc et gluant tombe alors sur le carrelage. Sa frustration est enfin tomber.

L'étranger quant à lui toujours dans sa cachette s'imaginait boire ce liquide.

Après avoir nettoyé le carrelage et essuyer son Dagober, il met un caleçon, ses écouteurs, prend son cahier et commence à réviser.

                   🕐4h et 50minutes. 🕐

    Il se lève prend son sac qu'il avait au préalable chargé, s'habille et se rend à la boulangerie. Il prend une pomme dans le frigo avant de passer la porte du salon. L'inconnu sort de sa cachette, l'observe par la fenêtre s'éloigner en contemplant son corps.

Quand celui-ci disparaît de son champ de vison, il sort le caleçon qu'il avait mis dans poche, le rapproche de son visage et y plonge le nez aspirant l'odeur du musc de son Dagober. Puis il prit le chiffon qu'il avait utilisé pour nettoyer son sperme, le déplie, il en a beaucoup. Il fait alors ce qu'il s'est imaginé, il avale le sperme de son cousin jusqu'à la dernière goutte qui se trouve dans ce chiffon.

A quelques kilomètres de là chez Jordan

     De l'autre côté de la ville, Jordan se réveil d'un doux sommeil de son lit médical rembourré alors qu'il n'en avait nullement besoin, il ne souffre d'aucune pathologie, juste l'envie de dormir dans ce lit. Jordan est une Woubie confirmée. Son nom de Woubie est Jordanna. Ses parents l'avait accepté et son entourage également. Depuis quelque mois déjà il se fait aborder par des hommes de son quartier et de son école. Il ne prête pas attention à eux et se contente de suivre ses cours.

C'est une Woubie qui n'a encore jamais mougou avec un mec, juste faire des fellations à des hommes de son entourage. Jordanna à déjà eu plusieurs demande de relation par des hommes marié, des étudiants, des élèves et même des hommes âgés.

Comment un homme arrive-t-il à en aimer semblable à lui ?

Lui il ne voulais pas. Même l'ami de son père l'avait déjà fait des avances. Il ne veut pas des personnes qui ne s'assume pas comme lui. Ces gens qui aiment les hommes au fond d'eux mais devant les autres ils prétendent le contraire. Jordanna avait dans son téléphone un dossier où il avait recensé tous les gays de son entourage. La plus part d'entre eux étaient en couple et avaient des enfants.

Tous les mecs du quartier ne veulent que de Jordanna la Woubie.

Il est devant son miroir, il prend sa brosse à dents, sa serviette, ses affaires de toilette et se dirige vers la salle de bain.

      Pendant ce temps à la boulangerie

    De son côté il a déjà fini avec la fournée de pain. Il est 6h et 10minutes, les pains sont chargés et prêt à être livré. Il monte dans la voiture de livraison en compagnie de son amie boulanger Marc et prennent la direction de la route.

                 Chez Jordanna

   Sa douche terminée, il s'habille et descend dans le salon pour prendre son petit déjeuner.

—Bonjour papa, bonjour maman.

—Bonjour, répondent les parents.

—Junior dort encore ?

—Oui il n'a pas cours aujourd'hui.

—D'accord.

Il prend place à table et se rend compte qu'il n'y a plus de pain,

—Mais ? Vous avez fini tout le pain ?

—Va à la boutique en chercher, y a l'argent sur la tablette à l'entrée. Dit son père.

Il se lève, prend ses babouches qui sont dans le rangement au couloir avant de ce saisir de 10.000f et de sortir.

Il redoute ça, sortir de la maison. Il n'aime pas se faire aborder. Une fois qu'il a mis les pieds dehors il se fait accoster par ses gens qui se rendent à leur lieu de travail respectif. Cette fois-ci il croise un badboy du quartier.

—Eh Jordanna ?

—Wai ?

—Tu ne me dis pas bonjour ?

—Et pourquoi devrais-je te dire bonjour ?

—Tu fais tous ça parce que je ne t'ai pas encore ba*is*er. Le jour que je vais te ba*is*er tu vas me respecter.

Jordan éclate de rire tellement cette phrase est pleine d'envie,

—Tu devrais arrêter de te mast*urber avec mon nom, ce serai mieux pour toi.

—Tu vas où de si bonne heure ?

—Prendre deux pains avant de me rendre aux cours.

—Okay, donc tu me dis quoi ?

—Quoi ?

—Tu viens quand chez moi ?

—Je viens faire quoi chez toi ?

—Faire les choses des grands.

—Regarde je dois y aller, ne me fatigue pas avec tes histoires. Tu as ta go donc ba*ise là autant que tu veux.

—Tu verras, un jour je vais te ba*is*er et tu vas me respecter.

—Rêve toujours...

C'était son quotidien. Cette fois c'était le badboy qui lui tournait autour depuis belle lurettre.

Il arrive à la boutique mais elle est fermée. Diallo n'est pas matinal, il aime dormir. Encore là il a dormi seul.

                     Les boulangers

   C'est la dernière boutique de livraison, ils arrivent et se rendent compte que comme d'habitude il est fermé à cette heure.

—Lui là il aime trop dormir, dit Marc,

—Peut-être qu'il a dormi accompagné et il refuse de quitter le lit. Dit-il

—Ça m'étonnerait hein, Diallo est un mec bizarre.

—Pourquoi, qu'est-ce qu'il a ?

—Toi même tu verras, prend le pain à l'arrière et moi je vais aller le réveiller.

Jordan est là et voit les deux jeunes descendre. Il n'en perd pas une miette, c'est la première fois qu'il les voit or il est dans le quartier depuis fort longtemps, sûrement parce que il ne sortait jamais de sa maison.

Jordan se dirige vers lui dans l'optique d'acheter le pain directement.

—Bonjour, dit Jordanna

—Bonjour, dit-il avec sa voix suave et presque roque,

Jordanna n'en cru pas ses oreilles. Il le regarde d'avantage et voit qu'il est magnifiquement beau.

—Vous vendez le pain à combien ?

—100f,

—Dans ce cas je veux 5, tenez,

—Avec 10.000f ?

—Dans ce cas gardez la monnaie.

Il regarde Jordanna l'air choqué de cette générosité de si bonne heure,

—Non désolé je ne peut pas accepter, il vaut mieux attendre Diallo. Ah il est même là.

Il soulève la barquette de pain et Jordan peut voir le corps du boulanger de plus près. Son odeur de musc arrive dans ses narines lorsque celui-ci passe devant lui, il frémit.

Sans même réfléchir Jordan place le billet de 10.000f dans sa poche arrière sans que celui-ci ne s'en aperçoit.

             Plus tard à la boulangerie

La livraison terminée, il se change à l'arrière de la boulangerie, il passe la main dans ses poches, pour récupérer les pièces en surplus et là il sent un billet, il le sort et se rend compte que c'est cet argent que son interlocuteur de tout à l'heure lui a tendu, mais il ignore comment ce billet a fait pour se retrouver dans sa poche...

\~\~\~\~\~\~\~\~\~\~\~\~\~\~\~\~\~\~\~\~\~\~\~\~\~\~\~\~\~\~\~\~\~\~

Fin du premier épisode.

Qu’avez-vous pensé ?

Il y aura deux épisodes par semaine. Le Lundi et le Vendredi 🥂

Gros bisous à vous😘

02 : Charles le proviseur

Il était arrivé à l'heure. Ses camarades étaient tous là et il prit soin de prendre les nouvelles des plus proches de lui. L'examen commence dans quelques minutes et tout le monde est avec son cahier à la main. Imen, son voisin de table vient en affichant un sourire.

—Eh l'intello ? Comment tu vas ?

—Très bien, ça va et toi ?

—Moi ça va pas. Tu sais bien que la science physique c'est pas ma matière, je ne sais pas comment je vais faire... A moins que tu sois à côté de moi. Hum ?

—Je sais pas, j'ai la tête ailleurs en ce moment. Si tu veux, mais ne me dérange pas en plein examen.

—Qu'est-ce t'as ? Encore ton problème de livre ?

—Ouais, tu sais c'est un peu compliqué pour moi en ce moment, je n'ai pas de quoi en acheter. Je dois tout faire pour l'avoir avant la fin des examens.

—Tu n'es pas au courant ?

—De quoi ?

—Le principal a dit que ceux qui n'achètent pas le manuel ne font pas l'examen.

—Comment ça ? Et il l'a dit quand ?

—Hier ?

—Et tu ne m'as même pas appelé pour m'en informé, mais t'es... en tous cas bref j'y vais.

—Où vas-tu ? Eh ? Eh ? Et zut il fait exprès de ne pas m'entendre. Merde !

Il s'en va pour ne pas fondre en larme là devant ses camarades. Celui qu'il pensait être son ami ne l'avait pas averti de ce changement soudain.

Et même s'il l'avait fait, que pouvait-il faire ?

La veille il était parti plus tôt parce qu'il devrait se rendre à son job pour espérer avoir quelque chose mais hélas il n'avait eu ce qu'il fallait.

Dans la cours du lycée public il marche, il marche encore, en posant un pied après l'autre, lentement.

Dans cette grande école au milieu de la cour inondée de monde bien avant la reprise des cours.

Il a envi d'appeler sa mère, mais il sait d'avance que si celle-ci avait de l'argent elle l'aurais appelé sans qu'il ne l'appelle. Il avance, il se demande comment faire, il se demande comment les jeunes de son âge font pour obtenir de l'argent, comment ils font pour avoir les dernières marques à la mode, comment ils font pour avoir toujours des grosses sommes sur eux. Puis, comme par enchantement, à travers ses verres non optique, il voit au loin un de ses jeunes, son obstination est décuplé, il est résigné à devenir lui aussi riche, il avance vers lui, sa cadence de pas s'accélérère.

Ce bel uniforme bleu et blanc fait bien ressortir sa taille et son corps robuste ainsi que sa démarche. Dans sa tête, il veut mettre fin à ses souffrances, peu importe les moyens.

Son téléphone vibre ce qui le pousse à s'arrêter. Il met sa main dans sa poche pour le prendre. Oups, il est tellement ailleurs qu'il s'est trompé de poche, son téléphone est dans l'autre poche. Il retire sa main droite et met sa main gauche dans son autre poche et avance.

Soudain, il s'arrête de nouveau. Il remet la main dans cette poche et là. L'argent de ce matin, il l'avait omis de sa tête.

Même s'il avait promis de ne pas l'utiliser, il ne se pose pas de question et se dirige dans le bureau du principal avant le début de la première épreuve.

Du côté de l'institut Royal's

De l'autre côté de la ville, dans l'école de Jordan, l'Institut Royal's, Mr Charles, le proviseur de l'établissement, reçoit un appel de son plus proche collaborateur. Rien qu'à la vu du nom qui était affiché il prit peur. Cet homme ne l'appelle jamais pour de la courtoisie, s'il l'appelle c'est qu'il y a quelque chose à faire. Mr Charles ne peut au grand jamais refuser les demandes de son confrère car c'est à cause de lui s'il est proviseur aujourd'hui. Il lui doit tout.

__Confrère ? J'ai trouvé une nouvelle pépite à ajouter dans le lot, je pense qu’il va l'adorer. Il se trouve dans l'institut.

__Lequel ? Il est en quel classe ?

__Je parle de Jordan, il est en terminale C.

__Ah lui ? Je me doutais aussi que ce petit aimait la b*te, je l'avais à l'œil mais j'avais des doutes.

__Il faut passer à l'action,

__Comment as-tu eu cette information ? Elle est fiable ?

__J'ai un petit que je défonce régulièrement dans sa classe, c'est lui qui m'a mit au parfum, il veut que nous le recrutions,

__Je peux savoir qui c'est ?

__C'est .......

__Ah lui ? Tu es rapide ma parole, okay je m'en charge.

__Ne fais pas tout foirer comme à ton habitude, je compte sur ce petit pour me rapprocher du ministre, n'oublie pas que tu m'en dois une.

__C'est bon j'ai pigé.

__Contacte moi quand il est opérationnel,

__Compris.

Et l'appel prend fin.

Un enfant avec un ministre ? Mais que se passe-t-il dans cet Institut ?

Chez le voyeur

Son cousin, lui, avait décidé de sécher les cours et rester à renifler ses caleçons.

Il vit avec son oncle et ses deux fils, ses deux cousins Jean et Michael. Ils sont dans une grande maison de quatre chambres. Vu qu'il était arrivé à l'improviste son oncle l'a concocté un matelas de fortune attendant la fin du mois pour l'en acheter un. Celui qui se trouve dans sa chambre c'est Jean. Son truc à lui c'est les mecs. Et il est tombé amoureux de son cousin de surcroît. En même temps, c'est pas comme si son cousin lui, aimait les mecs, lui il aime la chaleur de la femme.

Jean quant à lui a bien une petite amie qu'il fait l'amour presque tout le temps, sûrement pour masquer son attirance envers les garçons, mais personne ne peut s'imaginer qu'il fantasme sur son cousin. Il est bien tailler comme mec, il affiche un physique plutôt pas mal et est hyper viril, aucune chose, démarche , voix, gestuelle de son corps ne le trahira sauf si bien évidemment il se fait attraper avec ces caleçons en plein dans sa fosse nasale. Il est la discrétion se faisant chair.

De retour à l'institut Royal's

La récréation arriva très vite du côté de l'institut. Mais Jordanna ne peut pas se réjouir car il est attendu dans le bureau du proviseur pour une cause qu'il ne connaît.

Jordan est jeune homme très mignon et attire même des supérieurs hiérarchiques. La première fois remonte en classe de cinquième où son surveillant de secteur l'avait emmené dans le placard à balai avant de lui avouer ses sentiments. Il n'en revenait pas qu'un grand de son acabit soit attiré par lui.

Ce jour il n'avait rien fait à part une simple fellation maladroite d'ailleurs. Jordan avait expliqué qu'il n'était pas encore prêt à le faire.

Même si le surveillant n'était plus dans l'établissement, il venait attendre Jordanna à l'abri des regards et l'accompagnait jusqu'à son domicile.

Plus le temps passait et plus les demandes devenaient de plus en plus insistantes. Les hommes curieux voulaient se taper un mec pour "voir ce que ça fait" comme ils aiment bien le dire. Mais comme à son habitude il ne prêtait pas attention à ses demandes et continuait à vaquer à ses occupations.

D'un côté Jordan ne se sent pas encore prêt à faire l'amour avec un homme, il veut le bon, celui qui s'acceptera comme lui. Mais de l'autre il en a marre d'être une Woubie vierge alors même que le fait d'être Woubie est cette particularité qui te permet d'avoir le Dagober de ton ami garçon en toi dans ton anus.

Il se trouve à présent devant la porte du bureau du proviseur. Jordan appréhende mal ce qui va se passer quand il aura franchi le pas de la porte. Il tend sa main et frappe trois coups avant de basculer vers la poignée, il hésite à l'ouvrir, il a peur.

Il prend sur lui, rassemble son courage et pousse enfin la porte. Le proviseur est là et lève ses yeux vers lui.

—Jordan, c'est justement toi que j'attendais. Ferme à clé derrière toi.

—Bonjour Mr le proviseur,

—Comment vas-tu Jordan ?

—Ça va, tout roule Mr,

—Vas-y assieds-toi ne reste pas debout,

Il s'exécute encore. Mais comment refuser ?

—Alors, je t'ai fait venir pour parler de tes notes qui sont très bonnes. Que vises-tu plus tard ? Que veux-tu faire ?

—Je ne sais pas, vu que je suis dans une filière scientifique j'ai un large choix quand à mon futur et à vrai dire ça me perd un peu. J'y réfléchis encore.

—Mais tu devrais déjà te décider, l'examen final approche à grand pas et le choix de ta carrière dans quelques mois. C'est pas pour te mettre la pression mais il est temps de te décider,

—Dans ce cas que me proposez-vous ?

Il est rassuré, son intuition lui jouait des tours.

—Ah tu me demandes mon avis ? C'est gentil. Moi j'opterai pour une carrière dans le pétrole. Tu peux devenir ingénieur pétrolier vu tes notes exceptionnel. Je te recommanderai d'ailleurs,

—Mon père m'avait justement encouragé à suivre cette voix, c'est sûrement un signe que vous aussi vous me le dites.

—D'accord je vois, on se soucis juste de ton avenir.

—Mais, puis-je vous poser une question ?

—Oui vas-y,

—Pourquoi m'avoir demandé de fermer la porte Mr ?

Le proviseur se lève de sa chaise et fixe la grande fenêtre qui est derrière son bureau à côté d'une bibliothèque où on pouvait apercevoir les dossiers des élèves avant de se rapprocher de lui.

Il est maintenant assis sur le bord du bureau à côté de Jordan. Il le regarde intensément dans les yeux puis il pose sa main sur son épaule avant de descendre légèrement au niveau de sa clavicule.

—Mr qu'est-ce que...

Son intuition ne l'avait pas menti.

Il enlève sa main et pose deux doigts sur ses lèvres pour lui dire de se taire.

—Je suis au courant de tout Jordanna, et je veux ma part moi aussi. dit-il avec une voix imitée d'un film.

Il enlève ses doigts de sa bouche pour lui laisser s'exprimer car il sentait que son cœur commençait à battre la chamade, Jordan se sent mal, il a une boule au ventre.

—Mais de quoi vous parlez Mr...

—Ne m'appelle plus Mr quand nous sommes tous les deux ça me fait me sentir tout chose, moi c'est Charles. Allez dit mon nom,

—Cha...Cha...Charles,

—Voilà.

—Monsi...Charles, qu'est-ce que vous voulez dire par je sais tout ? Et pourquoi vous vous comportez de la sorte ?

—Dois-je vraiment te le dire ? Bon comme tu veux. Je te pensais perspicace pour deviner mes intentions. Bon je te laisse encore une chance,

—Même si c'est ce que je pense, vous êtes adulte et moi mineur je ne peux pas.

—Nous sommes à l'abri des regards. Et pour te récompenser je te recommanderais comme promis,

—Je n'ai pas besoin de votre recommandation, je vais me qualifier sans vous,

—Tu te trompes. Pour être admis dans ce genre d'école il te faut une recommandation. Et moi je t'offre le bonheur sur un plateau.

—Non désolé, mon père peut me recommander, je n'ai pas besoin de vous.

—Ah bon ?

Il pousse un petit rire narquois et rajoute,

—Ton père est-il au courant que tu fais des fellations à tes surveillants ?

—De quoi vous parlez ? Je ne sais pas de quoi il s'agit !

Il rit à gorge déployée,

—Oh que si tu sais très bien. Et il n y a pas que lui, tes camarades de classe, certains professeurs aussi. Je peux lui passer un coup de fil pour l'en informé qu'est-ce que tu en dis ?

—Qu'es-qui me dis qu'après ça vous n'allez pas tout balancer ?

—Si tu me donnes ce que je veux je te donne ce que toi tu veux. Hum ?

...

—C'est bon j'accepte,

—Dans ce cas j'aimerais un aperçu, que tu me montre comment tu t'y prends avec cette belle bouche.

Dans le lycée public

De son côté la première épreuve était du pain béni, il n'a pas eu de mal à en venir à bout.

Marc son "ami" l'avait importuné durant l'épreuve et ils avaient failli se faire renvoyer et écoper d'un zéro. La chance qu'ils ont eu est qu'ils se sont arrêtés juste à temps avant que le professeur ne regarde dans leur direction. Il l'avait aidé tant bien que mal à l'exercice quatre et l'exercice six.

A présent, ils se trouvent au réfectoire et prennent des forces avant d'affronter l'épreuve de mathématique redouté par toute la classe. Lui il est serein, mais comme sur un nuage. Il pense à ce qui venait de se passer. Sans l'argent de Jordan il aurait sans doute eu un zéro, dans son cœur il remercie le destin de l'avoir mis sur son chemin. Dans sa tête, ce à quoi il pense à présent est comment rembourser cette somme...

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On commence à entrer dans l’histoire.

Difficile d’imaginer ce qui va se passer par la suite😘

À vendredi.

Plein de cœurs dans vos vies🥰

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