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Mon Monde Cochon

Avant propos

Donc vous êtes des cochons ? Oui je le dis, des gros couchons qui aiment KOKÉ ! Dans ce cas je pense que vous n’allez pas être déçu.

Ici ce sera un recueil d’histoires de cochons. Les histoires qui donnent bien envie. Les histoires que tous le monde imagine dans sa tête, moi au moins j’ai eu le courage de l’écrire. J’écris vos fantasmes les plus sombres et les plus enivrants.

Je compte sur vous pour liké et interagir à travers les commentaires.

*N’oublie pas de partager 🙏🏽 à un ami, dans un groupe. *

J’espère que vous n’êtes pas sage.

Histoire N•01

*TITRE : ***« Je t'aime »**

Toi mon bien aimé, je suis parti sans t'avoir dit ce que je ressentais réellement au fond de moi, à chaque fois que je t'observais à travers ce petit troue dérobé de ma chambre. Ton regard me semblait beau, je voulais que tu me regardes à mon réveil pour que ma journée soit belle. A travers nos interminables jeu de regard, j'essayais de te faire passer un message, que je t'aimais, que je voulais être avec toi. Mais tu le sais, je ne pouvais te le dire de vive voix, c'est pourquoi je comptais sur un talent en toi pour venir faire le premier pas.

Je ne peux pas t'aimer devant le monde car c'est contre nature, je ne peux pas t'aimer car nous allons jamais nous marier, mais je peux t'aimer en secret. Peut-être que toi aussi tu avais peur, peur du regard des autres et surtout de cette pression familiale. Mais je te dis aujourd'hui que je t'aime, que tu me manques et que je suis désolé de ne pas te l'avoir dit.

J'espère un jour que tu tomberas sur ce message, que c'est moi qui te le ferai lire et comme ça on rira ensemble. Je suis désolé, désolé car quand je t'ai vu pour la première fois je n'ai pas eu de coup de foudre, désolé car je ne pouvais pas venir te parler à part t'observer et désolé car je ne te consolait pas dans les moments maussades de ta vie. Mais je t'aime, même après t'avoir quitté, même à des kilomètres de distance je pense toujours à toi. Est-ce qu'on se révéra un jour ? Je ne pense pas. C'est pourquoi je t'écris cette lettre laissant le destin te la faire parvenir. Actuellement il est minuit vingt-deux et je n'arrive pas à effacer ton image de ma tête malgré plusieurs années sans avoir vu ton visage à nouveau. J'espère que tu lira cette lettre pour enfin savoir que quelqu'un dans l'ombre priait pour toi. Je me demande même si une personne fait ainsi pour moi, mais bien sûr que non.

Je me rappelle encore ce jour où on avait dormi dans le même lit. Ce jour je ne n'arrivais pas à trouver le moindre sommeil. C'est comme si Morphée refusait de m'accueillir au pays des songes. Je savais que cette relation était contre nature mais je ne pouvais m'empêcher de me coller à toi. Tu étais comme un aimant, m'attirant et ne me laissant aucune chance de m'en aller. Je ne savais pas si tu dormais, mais je voulais m'en assurer d'une chose, que ce qui se trouvait dans ton pantalon était aussi gros que ta petite amie me le disais.

Je voulais savoir si tu le faisais aussi bien que je l'entendais gémir à chaque fois que tu la martelais. Je voulais tellement te sentir, tellement t'aimer. Mais hélas cela m'était interdit. Alors j'avais décidé de braver cette interdiction, celle qui stipule que c'est une abomination. Je sais que tu rappelles, j'avais juste une brassière et un boxer, toi un haut et une culotte. Mon instinct me disais de me lancer sinon j'allais à jamais le regretter. Je m'étais rapproché, très proche de toi. Je t'observais, ton visage ébène me semblait avoir été fait par les Dieux en personne. Tes lèvres me rappelais celle d'une statue de pierre, magnifique.

J'ai passé ma main à travers ton haut, pour toucher ton ventre plat qui me hurlait de l'embrasser. À cet instant, je voulais que tu te réveilles, pour que tu vois mes intentions, mais dommage que tu faisais semblant, en y repensant, tu jouais très bien le rôle du dormant. J'ai posé mes lèvres contre les tiennes, essayant de sentir ta langue sur la mienne. Je souhaitais d'un tel moment depuis des lustres. Ma main ne s'arrêtait pas de fouiller à travers ton torse un interrupteur pour te sortir du pays du jeu de rôle.

Passant par tes tétons et par ton dos, je me rappelle qu'elle m'avait dit que tu ne résistais pas à une caresse sur les lombaires, mais avec moi tu as résisté. Pourquoi ?

Je me demandais si tu n'étais pas mort, je pris soudainement peur, ce qui m'a fait retirer mes lèvres des tiennes. Mais j'étais rassuré, tu dormais encore ou du moins c'est ce que tu essayais de me faire croire.

J'avais envie, envie de toi, que tu me possèdes là sur ton lit au détriment de ma tante qui est dans la chambre voisine. Je voulais le faire, j'étais prête à t'accueillir en moi. Alors j'ai décidé de passer aux choses sérieuses. Je me suis rapproché, encore, j'avais pris soins de descendre ma culotte et d'enlever ma brassière. Ma poitrine tetonière te faisait face. J'ai essayer de te stimuler en te faisant toucher mes seins mais rien, tu refusais d'ouvrir les yeux.

J'ai essayer en mettant ta main sur ma verge mais rien également. Je commençais à perdre espoir, mon cœur commençait à se serrer, la lumière au bout du tunnel disparaissait. Mais certes tu pouvais faire semblant de dormir, sauf que tu ne pouvais faire semblant de bander. Ta culotte commençait à se soulever ce qui m'a permis de déduire que tu mentais. Alors j'ai baissé ta culotte, cet immense anaconda se tenait déjà debout. Je le voulais, il était devant moi, et m'appelait de plus belle.

J'astiquais le gland de toute mes forces, je le suçais dans toute sa longueur et toute sa largeur. Mais toi tu ne réagissais toujours pas. Mes gorges profonde qui avait déjà fait jouir plusieurs ne te faisait pas passer aux aveux. Je ne savais pas quoi faire. Ce que je voulais était ton gland, alors peu importe si tu ouvrais les yeux ou pas je n'allais pas m'arrêter.

J'avais déjà mal aux mâchoires, tellement mal, c'était engourdi. Ma verge elle voulait aussi goûter. Je m'étais assise lentement sur le gland pour ne pas provoquer une déchirure. Au fur et à mesure que le gland s'enfonçait dans les entrailles je ne cessais de pousser un petit gémissement, je suis sûr que tu t'en souviens.

Lentement et sûrement j'étais arrivé au bout. Et toi qui n'ouvrait pas toujours les yeux, quel pathétique simulacre.

Je commençais à me trémousser d'avant en arrière, de haut en bas avec tes mains sur mes seins, toujours rien, tu faisais toujours semblant. J'avais décidé de me faire plaisir même si toi tu jouais ton rôle. Je montais et descendais de plus en plus rapidement, le simple fait de tenir tes mains me remplissait d'une grande émotion, enfin j'avais eu ce que j'avais tant cherché. Mes coups de reins commençaient à te faire bouger petit à petit, j'en étais fier. Je pense que toi tu ne voulais pas accepter la réalité en face, je savais que je te plaisais également.

Après je me suis allongée sur ton torse, tes mains sur mes fesses, je montais et je descendais, encore et encore. Ce qui m'étonnait c'est le fait que toi tu n'es pas encore joui. Je continuais à me trémousser là sur ton gland qui ne voulais plus devenir mou.

Au moment où je voulais me retirer et enfin vouloir dormir, dans un mouvement de rotation, tu t'es retrouvé sur moi. « Tu penses t'enfuir ? » m'avais-tu dis.

J'en était heureuse, car les choses sérieuses était sur le point de commencer. Je gémissais, mais doucement pour ne pas alerter ma tante. A chaque fois que tu faisais rentrer tout gland avec ce mouvement si descriptif de ton bassin vers l'avant, je perdais mes moyens, le gland allait dans les profondeurs de mes entrailles frapper mon firmament. Est-ce que tu te rappelles qu'à chaque fois que tu faisais ça j'appuyais tes fesses simultanément ? C'était une sensation que je n'avais jamais encore ressenti.

Je me retrouvais maintenant dans la position de prière, le front accolé au lit, mes fesses surplombant la pièce, et toi tu avec tes mains sur mon dos qui me forçait à me cambrer, ton gland en moi en train de me labourer. Cette position me donnait du plaisir et me faisait mal en même temps. Je parle bien de ta façon de baiser, d'un ton rapide, lent, et alterner. Je savais que tu étais bon mais là ça dépassait toutes mes espérances. Je comprends mieux pour cette folle de Mathilde me disait qu'elle ne voulait jamais te lâcher. Je ne te connaissais pas aussi endurant, ma verge était en feu, je te demandais d'arrêter mais c'est comme si mes supplications donnait du carburant à tes reins qui reprenaient leur vitesse. J'arrivais au bout, celle mon point de rupture. Lorsque tu t'es retiré, je me disais que c'était enfin la fin mais hélas non. « Suis moi ! » m'avais-tu dis sur un ton autoritaire. Je ne pouvais pas refuser, après tout, c'était moi qui t'avais réveillé.

Mes deux jambes étaient sur tes épaules, toi debout, quant à moi j'étais sur un meuble, mon jardin à ta merci. Tu ne t'ai pas fais prier pour me baiser comme une chienne. Je ne te savais pas aussi impassible. J'avais mal, mais j'éprouvais aussi du plaisir. Tu m'agrippais les cheveux tout en me répétant des insanités, j'ai aimé. Ton visage était stoïque, n'affichant aucunes émotion. Tu t'étais enfin lâcher sur cette position. Tu as joui en moi. Puis tu m'as dit : « Suis moi ! » encore. J'étais surprise lorsque tu ouvrais la porte qui donnait sur l'extérieur de la maison. J'avoue que c'est là que je ne me suis pas retenue.

On était dehors, il était très tard et personne ne pouvait nous voir. Je gémissais, très fort. À chaque fois que tu ramenais mes cheveux vers l'arrière, à chaque fois que tu baisais avec violence et sensualité, à chaque fois que tu m'agrippais le cou ramenant ma tête vers l'arrière pour me demander si je voulais arrêter. J'avais atteint le nirvâna tant chercher, le septième ciel. J'étais tellement aux anges que j'avais fait pipi, je ne me savais pas fontaine. Et pour terminer cette baise, tu as joui dans ma bouche. Là et seulement là j'ai pu enfin voir un sourire sur ton visage. J'étais heureuse. Mais quelques heures plus tard tu te comportais comme si rien de tout ça ne s'était passé, comme si tu ne m'avais pas baisé la veille. J'en étais profondément meurtri.

J'avais fini de passer la semaine de vacance et je m'en étais allé même si tu te réfugiais. Même si tu ne voulais pas le reconnaître.

Aujourd'hui neuf ans plus tard, je viens te dire que ton enfant se porte bien. Il te ressemble et il a ton prénom, Maximilien. Il ne sait pas que tu es son père, il pense que c'est mon mari actuel, lui même qui ne sait rien d'ailleurs. Alors pour que tu vois la réalité en face, ci joint à cette lettre une photo de ton fils et moi après cette nuit torride entre nous. Je te souhaite le meilleur dans ta relation avec Aurore, tu ne cessais jamais d'enchaîner les conquêtes, j'espère au moins que là c'est du sérieux. Quant à moi à chaque fois que je regarde notre fils, je ne cesse de penser à ce qui c'était passé. Bien de chose à toi Maximilien, je t'aime et je t'attendrais toujours.

Ta cousine...

Histoire N•02

***LES MECS DE CITÉS PARTIE I***

J'écris depuis quelques temps à un mec, ou du moins avec un compte fake. J'avais des doutes sur sa sexualité, mon radar ne m'avait pas menti, il est gay.

Je suis dans ce quartier depuis mon adolescence, lui ça fait seulement deux mois qu'il est là mais il s'est déjà mis tout le quartier dans sa poche. C'est un badboy c'est vrai mais là à baiser avec toute les meufs du quartier je ne l'accepte pas.

Je savais bien qu'il cachait son jeu. Je crois que j'ai un don pour dénicher ce genre de chose, le mensonge à l'état pur.

Il me dit que ça fait longtemps qu'il baiser un mec et qu'il ne se cache pas de sa sexualité, que ses amis les plus proches savent qu'il baise tout ce qui bouge. C'est ça que je voulais entendre, car moi aussi... je bouge.

Moi aussi je suis comme lui à la différence que personne ne sait pour mon attirance sexuel envers les hommes. J'aime me la prendre bien profond. Mon dernier remonte à un d'un locataire, il y a six mois. Un homme de la trentaine. Je ne savais pas que beaucoup d'hommes aimaient semblable à eux. C'est lui qui me faisait des signaux, des appels de phares comme on dit. J'étais muet au début mais après l'avoir vu nu j'ai succombé à la tentation. C'est fou comme les vêtements peuvent occulter ce qu'il y a de meilleur pour les yeux.

Lui c'est un badboy, j'avais toujours eu un fantasme sur ce genre de mec. Musclé mais pas trop, beau mais une beauté maléfique, corps dessiné par un Dieu, je ne vais pas vous citez tout sinon vous allez me prendre pour un taré du ciboulot. En bref, j'ai toujours fantasmer sur les hommes qu'on dit inaccessible, sûrement pour une perte de contrôle je sais guère.

Mais rien ne me dis qu'il dit vrai. Que la bite qu'il m'a envoyé est bien la sienne, bien longue comme je les aimes. Et si c'était un guet-apens ? Qu'il me dénonce dans tout le quartier ? Non je ne dois pas avoir peur de ça. Mon radar ne se trompe jamais.

On avait rendez-vous dans une maison abandonné. J'ai pris soin de me nettoyer la verge pour ne pas qu'il ait un accident. Je suis tout propre pour aller me faire défoncé le trou.

On va dire que j'ai connu cette pratique lorsque j'étais encore enfant, environ dix ans par là. Je jouais avec deux amis et là l'un a commencé à me coller par derrière. Ils étaient les brigands et moi je ne devais pas me faire attraper. Il a commencé à me faire des mouvements de va et viens, au début je trouvais ça bizarre mais comme par hasard je me suis arrêté. L'autres ayant vu, il voulait aussi essayer. C'est là que j'ai connu ma première fois, avec mes deux amis d'enfance. Mais un mois plus tard ils avaient déménagé.

On devrait se retrouver dans une vielle maison dans les bois, je l'avais devancé pour mieux le voir arriver, s'il était seul ou pas, comme ça si je m'étais fais avoir, je pouvais filer sans qu'il ne s'en rendre compte. Je suis dans un buisson et j'observe les alentours.

Et puis là je le vois arriver, magnifique, j'ai la barre rien qu'en le regardant marcher. Il est seul, je le savais, mon radar ne ment jamais.

__ C'est donc toi ? Me dit-il,

__ Ça t'étonne ?

__ C'est bien que tu ai pris les devants, je t'avais déjà dans le viseur.

__ C'est bon à savoir, qu'est-ce qu'on attend ?

__ Quelqu'un.

__ Humm...

Et là, une personne fait irruption dans la pièce, un bâton à la main. Dans quel pétrin je me suis fourré ? J'arrive pas à le croire, un piège en deux temps, et merde, comment j'ai fait pour ne pas y penser ? Il était sûrement là depuis et l'a contacté lorsqu'il m'a vu. Que faire maintenant ?

__ C'est une blague ? Dis-je apeuré,

__ Tu as peur ? Dit le badboy,

__ Comment ne pas avoir peur, tu vas me faire du mal,

__ Ouais tu n'as pas tord, tu vas souffrir.

L'autre se rapproche de moi et me ballonne la bouche, tire un foulard dans sa poche, et me le passe autour des yeux, je crois que c'est la fin pour moi. Ils me déshabillent, sûrement pour me traîner sur la place public, oui faites le je le mérite.

Je me sens plaqué contre le mur, je sens qu'on renifle mon cou, une main passe sur ma cuisse et remonte. Qu'est-ce qu'ils font ? Il m'empoigne et frotte son bangala sur mes fesses, je peux bien ressentir qu'il est bander à son maximum. Mon radar disait donc vrai. Son compagnon vient devant moi, je sens aussi qu'il a une grosse. Ne me dit pas qu'ils vont me prendre à deux ? Je sens la tête de son Dagober imprégner de salive devant mon trou. Il compte me prendre à sec ?

__ Tu n'as pas intérêt à ouvrir la bouche.

__ Compris ?

Mais comment pourrais-je ? Vous m'avez ballonné. Je vous jure, les badboy ils vous faut aller à l'école des fois. Je me suis contenté de faire ce mouvement de la tête. Puis soudain, comme un éclair, une douleur intense me traverse le corps. Il avait tout rentré d'une traite, ce long Dagober.

__ C'est bien, me dit-il.

J'ai mal, je n'étais pas préparé, ma verge n'est pas dilaté. J'ai envie de me dégager mais je suis emprisonné. Ses vas et viens son énergique. Il me claque les fesses à chaque fois qu'il rentre, il me fait un mal de chien. Il me sert davantage, j'arrive plus à respirer correctement, il me baise, de façon violente, en me regardant me tordre de douleur, je crois qu'il aime ça, me faire souffrir. Un masochiste ? Je crois bien que oui.

C'est donc ça ce qu'un badboy est prêt à faire ?

Je ne savais pas qu'un rapport sans lubrification et sans dilatation pouvait être aussi douloureux. Mes fesses claque à chaque fois qu'il frappe son bassin sur mes fesses faisant rentrer tout son long penis dans mon cul encore fermé. Je ne vous dis pas la sensation que je ressens actuellement. J'ai envie de crier, mais son ami est juste devant moi regardant chaque expression de mon visage, j'ai envie de fuir mais il me retient comme si j'étais un voleur. Je suis lié à rester là et à subir les affres de ce badboy déchaîné.

Il met ses long doigts dans ma bouche, retirant le bâillon en triturant je ne sais quoi à l'intérieur. Pendant ce temps je commençais à avoir vraiment mal, mais cette fois j'avais mal au niveau de mon pubis, mon bas ventre.  Il ne s'arrêtait pas, par moment il se met en cuillère et continue à me baiser. Ça aussi ça fait mal. Il enfonce son penis tellement loin dans mon cul. Il me répète également des gros mots, « putte », « chienne » « salle pédale » « t'aimes ça hein ? », c'est vraiment un truc d'aimer de fair prendre. Il me baise tel qu'on ne m'a jamais baiser de ma vie. Je sens chaque mouvement, c'est tellement serrer que je le sens s'insinuer et se retirer, vite et parfois lent, ou plus vite et encore une fois lent. On se croirait dans un porno hard. Je suis tel une chose, et j'aime ça. Il se retire, après un long moment de cuillère pendant lequel il ne cessait de me défoncer. Les bruits de claquage avait cessé, mon cul pouvait enfin respirer. Son étreinte se desserre, son ami qui est face à moi fais sortir son Dagober de son short. Non mais j'hallucine ? Je pense pas que ça va pouvoir rentrer.

Je peux enfin me retourner pour le voir, voir son visage. Il est tellement énorme et long, tout explique se mal que je ressentais tout à l'heure. Il me regarde, d'un air bizarre. A cet instant je sais que c'est pas la fin, au contraire c'est juste le début de mon calvaire avec ses deux badboy.

Je suis maintenant à cheval, toujours dans cet étau. Ils me regardent comme si j'allais m'enfuir, un devant et l'autre derrière. C'est maintenant au tour de son ami, je vais en prendre chair je le sens. Son Dagober est plus gros mais moins longs de quelques centimètres par rapport à son prédécesseur. Ils ne s'étaient pas dévêtu, j'étais le seul complètement nu, eux juste leurs penis et leur couilles sont dehors. Je sens cette tête de champignon juste à l'entrée de mon trou, j'ai un mauvais pressentiment. Je ne pense pas qu'il va y aller doucement.

J'entends un claquement soudain, il est entré en une fois. La douleur arrive jusqu'à mon cœur. Je ne peux même pas crier, j'ai le Dagober de l'autre dans la bouche, il étouffe les bruits avec sa grosseur qui encercle toute ma bouche. J'ai mal, un mal qui ne s'explique pas.

Pourquoi les mecs de cités baisent aussi brutalement ?

Il pose ses mains sur mon dos pour me le casser davantage, mon cul est tellement ouvert à cet instant que je demande s'il va se refermer un jour. Ses vas et viens ne sont pas comme l'autre, c'est plus fort, les claquements sont plus violent et le mal est plus fort. Ça doit être lui le plus cruel des deux. J'étais dans un étau, l'autre me baise la bouche et l'autre me baise le cul. Je ne pouvais ni crier ni m'enfuir, sauf encaisser.

Il s'enfonce tellement dans ma gorge, mon œsophage, il va aussi m'élargir les vois supérieurs. L'autre est comme posséder, ne voulant pas lâcher mon bassin. Je me sens comme une putte, comme un fille de joie. C'est à ce genre de personne qu'on fait ce genre de chose. Pourquoi me baiser aussi violemment ?

C'est limite un viol, un viol qui me donne envie de me défouler.

Moi à mon tour je suis comme posséder. Le mal fait maintenant place au plaisir, je ne veux plus que ces deux mecs de cités me laisse sans avoir joui à mon tour. Je me laisse faire, je casse encore plus mon dos et ouvre grand la bouche pour accueillir leur troisième pied. Eux aussi ont remarqué mon changement, ils accélèrent encore plus le rythme. Je profite pour descendre le pantalon de celui qui se trouve devant moi car je vais lui montrer que mon nom de putte c'est « Satana la pétasse ».

Son ami s'était retiré. A croire le liquide qui coule de mon cul, il a joui. Lui que j'avais appelé était devant moi, je m'avance vers lui, apparemment il veut, il me regarde d'un air charmeur. Je le pousse sur le vieux meuble, il s'assoit, je me met accroupi le trou en fasse de son gland et mes yeux en face des siens. J'ai envie de le voir me supplier d'arrêter de le marteler.

Mon cul s'abat sur son Dagober, paaacc, je monte et je redescend, encore et encore. Je ne lâche pas mon regard du sien, lui non plus il ne cesse de me regarder. Cette fois c'est moi qui claque mon cul sur son pubis engloutissant au passage son Dagober qui ne va pas tarder à cracher. Son visage devient maussade, je vois qu'il résiste, dans ce cas j'accélère, je donne tout, juste pour voir son visage me supplier. PaC paC paC paC paC paC paC paC paC paC .... Résonnait dans toute la pièce, son ami se masturbe en nous regardant, lui toujours ne détourne pas le regard, il n'a même pas l'air de changer.

Lorsque je m'abat pour la dernière fois, je sens juste un liquide s'insinuer dans mon trou. Merde, il a tenu bon.

Déçu pas cette attitude puérile, je me retire et le fait volte-face. Au moment même où je me retourne, son ami est face à moi. Comme si cela ne suffisait pas, je me fait soulever tel un sac de farine les pieds écartés.

__ Ce n'est pas toi la putte qui va arriver à me faire sortir un mot...

__ Contrairement à nous, tu ne cesse de gémir comme une pétasse. Comme un enfant à qui on met une sucette à la bouche...

Je crois que je vais finir par craquer aux mecs de cités, c'est plus fort que moi. Leur façon de parler, de marcher, et leur façon si brutale de baiser, je crois que je suis amoureux de ces deux badboys.

Ils introduisent leur Dagober en même temps, j'y crois pas, une double pénétration...

Seigneur, vient moi en aide...

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