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AMOUR ET PULSIONS

Épisode 01

Mes cheveux sont dans sa mains droite,  cette sensation de perte de contrôle me conquis, il tire ma tête vers l'arrière. Je peux ressentir son autre main sur mon dos, sa main si douce mais si viril en même temps qu'elle m'oblige à me cambrer d'avantage lui offrant mon jardin en pâture. Ce même jardin qu'Eve avait fait goûter à Adam nous condamnant nous les humains, mais même eux n'avaient pas pu résister à ce plaisir charnel, alors qui suis\-je pour ne pas en goûter d'avantage ?

Ses coups de reins lents et circulaires dans mon jardin ne fait qu'accentuer mon ascension vers le septième ciel. Des gémissements frêles sortent de ma bouche sans mon autorisation. Je ne peux lui dire d'arrêter. Je ressens au fond de moi ce long et épais Dagober se frayer un chemin pour atteindre mon firmament. Les coups de reins lents n'arrivent pas à l'atteindre mais mon plaisir à moi augmente de plus en plus quand, dans mon élan vers le plaisir, son Dagober se retire en gardant juste la tête de champignon à l'intérieur. Je tourne ma tête vers l'arrière pour savoir ce qu'il mijote. Je le vois se mordre la lèvre inférieure affichant un sourire qui en dit long.

Il serre encore plus son étreinte sur mes cheveux ce qui ramène ma tête encore plus en arrière et me force à cambrer encore plus. Mon jardin surplombe alors le lit. Je ne sais ce qui m'attend.

Tel une flèche qui transperce une pomme, son Dagober transperce mon jardin de plusieurs coups de reins rapides et vigoureux signe de sa virilité touchant à plusieurs reprises mon firmament. Mais ses flèches ne sont pas munis de pointe en cuivre, non, ils sont recouvertes d'un duvet qui à chaque fois que mon firmament est touché je me tord de plaisir. Je ne peux m'extasier sur le premier car aussitôt le deuxième, le suivant et ainsi de suite, mes yeux sont fermés et révulsés appréciant le plaisir charnel de mon militaire.

_Eh Momo ? Maman t'appelle.

Et merde. Je ne peux même plus fantasmer en paix. Je fais semblant de n'avoir pas compris pour continuer ce qui ce passe dans mon monde imaginaire.

_Momo ? Maman à dit de venir préparer le riz et d'aller prendre le mortier chez le voisin et...

Le mot « Voisin » me fait immédiatement sortir du lit alors que je n'avais même pas compris la fin sa phrase, j'attache mon pagne et me rend à la cuisine pour faire cuire le riz.

Le voisin, ce fameux voisin qui me fait tourner la tête comme un enfant à qui on offre sa première poupée. Je ne peux faire une minute sans penser à lui, à sa taille, son corps, ses lèvres qui me semble si douces et moelleuses qui appellent les miennes, ses yeux noirs qui m'attirent à chaque fois que nos regards se croisent.

Je fais une fixation sur mon voisin sans que moi même je n'en connaisse la cause. Je voudrais remplacer sa femme, celle qui n'a même pas de fesses, de seins ni de formes contrairement à moi, je me demande ce qu'il trouve à cette femme. C'est le premier militaire qui m'attire, d'habitude ce genre de personne ne m'attiraient guère, au contraire, quand l'un me draguait je ne lui donnait même pas l'heure, mais là c'est différent, il a quelques choses de spécial.

Moi une fille pieuse me retrouve avec ses pensées obscènes dans ma tête. C'est sûrement parce que j'en ai marre d'être vierge, de n'avoir jamais couché avec un mec de toute ma vie, c'est sûrement ça qu'Eve avait dû ressentir. C'est comme si mon corps avait choisi le militaire. Un homme marié de surcroît. Et moi qui voulais que sa femme parte pour que je la remplace, c'est donc sa le désir ? Je veux à tout prix mon voisin.

    Ah désolé, j'ai oublié cette règle de base, me présenter. Moi c'est Monica, mon petit nom c'est Momo. J'ai 20ans, toujours célibataire. Très pieuse, je suis accrochée à la religion depuis ma plus tendre enfance. Mes parents m'emmenaient toujours à l'église et on lisaient la bible ensemble. Je n'ai donc rien connu d'autre comme religion. Là je suis au bled, j'avais besoin de prendre du recul sur ma vie et mes besoins car je ne me reconnais plus. Cette attitude de fantasmer sur les hommes était devenue trop pour moi que je ne pouvais faire un  jour sans fantasmer. Mais l'idée de le faire m'effrayait. J'ignorais qu'au bled on pouvait trouver ce genre d'homme comme mon voisin, mes pulsions de la ville ont repris le contrôle et je me suis accommodé au lieu de les réprimer.

   Aussitôt je termine de mettre la marmite de riz au feu, je retourne dans ma chambre, ouvre ma penderie et choisie ce magnifique collant noir qui s'arrête au genoux. Un croc-top qui laisse entrevoir un bout de mon ventre et celui de mon dos. Maintenant mes formes sont bien mises en valeur pour montrer au voisin.

_Où tu vas comme ça ? Me dit mon petit frère avec sa voix basse à à peine 17ans.

_Ça ne te regarde pas, continue à regarder ton jeu.

_C'est un match de football wesh !

_Ça reste un jeu.

Les hommes et le football, une histoire d'amour.

Je sors de la maison, dans ma tête c'est comme si je pars rencontrer le charger d'affaires d'une très grande entreprise pour avoir des faveurs. Mon déhanché met ma silhouette d'où l'on pouvait apercevoir une chevillère en valeur. J'arrive à la porte, je toque. La porte s'ouvre. C'est son fils de 8ans Jean qui m'ouvre. Je rentre et observe autour de moi, je ne le vois pas, celui pour qui j'avais mis cette accoutrement.

_Maman est là ? Je suis venue prendre le mortier et le pilon.

_Maman dort, c'est dans la cuisine.

Je marche vers cette cuisine avec déception et amertume. La porte de la cuisine est entre ouverte je m'avance de plus en plus.

J'en reviens pas, il est là, de dos. Sa taille robuste, ses bras si viril sur lesquels je pouvais voir des veines çà et là me font chavirer, l'uniforme dans lequel il est met en valeur ses petites fesses et ses jambes. J'ai envi que d'une seule chose, me jeter sur lui et réaliser mon fantasme de tout à l'heure là dans cette cuisine en dépit de ma rivale et de mon beau fils. Mais je ne peux pas faire ça, je suis une bonne fille.

_Bonjour ! Dis-je dans une voix enivrante.

Aucune réponse de mon beau voisin. Je me rapproche dans ce cas, ce dont pourquoi je suis venu est là au coin à sa droite. Ah je comprends  mieux cette surdité, il porte des AirPods. Je continue à avancer. Je suis à sa droite, il ne m'a toujours pas remarqué. Je me baisse comme dans mon fantasme me cambrant lui montrant ce que sa femme n'avait pas, des fesses rebondis. Tout comme dans mon fantasme, je sens une main viril sur ma fesse gauche qui s'enfonce dans ce gras. Il ne fait aucun doute, c'est sa main. Mais aussitôt il l'avait mis je n'avais même pas eu le temps d'apprécier aussitôt il a enlevé.

_Désolé, j'ai cru que c'était ma femme. Je suis vraiment navré de ce geste, c'était pas mon intention !

Je m'étais déjà relevé, je suis maintenant face à lui. Je ne peux détourner mon regard, c'est comme si ses yeux sont des troues noirs qui m'aspire. Sa voix si roque et sensuel me ramène encore dans mon fantasme. Ma poitrine généreuse lui faisait face. Je peux voir son regard quitter mon visage et se diriger vers celle-ci. Sa taille m'oblige à le regarder de haut. Je peux maintenant observer longuement ses lèvres. J'attends quelque chose de lui, je veux que ça soit lui qui fasse ce premier pas, pas moi.

Soudain une porte c'est ouverte, je peux entendre des babouches de femmes se rapprocher. Je sais qui c'est, c'est ma rivale.

Tout comme mon fantasme c'était évaporé, je met fin à ce jeu de regard qui a duré à peine une minute. Visiblement lui n'avait pas entendu sa femme arrivée.

J'avais pris le mortier et je m'en étais allé lui laissant là debout. J'aurai aimé qu'il m'empoigne par la taille mais il restait de marbre à me regarder. Je me trouve à présent devant sa femme Sandra, ma rivale.

_Voisine bonjour, Jean m'a dit que tu dormais et je ne voulais pas te déranger.

_Bonjour Monica, je n'ai pas bien dormi cette nuit donc j'ai voulu faire la grasse matinée. Encore désolé, j'allais venir le rendre moi-même plus tard.

_Y a pas de soucis. Bon bonne journée !

Je m'en allais doucement de son salon avec mon mortier sous mon bras gauche et mon pilon à la main.

Une fois chez moi, je pose le mortier, je fais sortir du congélateur la viande que vais préparer et la met dans une petite bassine de cuisine. Je sens que mon esprit est ailleurs, il commence à divaguer, mais pourquoi ? A cause de cette scène peu orthodoxe qui a duré à peine une minute ou à cause de ce que ma rivale m'avait dit ? Je suis si confuse que je manque de faire tomber mon téléphone, ouf il est toujours dans mes mains. Je diminue l'intensité du feu et pose un couvercle sur la marmite de riz. Ce sentiment est toujours là. J'ajoute un peu d'eau dans la bassine pour accentuer la décongélation de la viande.  Il ne veut me délaisser, un sentiment bizarre, étrange. De la jalousie ? Peut-être. Je me dirige vers ma chambre pour espérer faire disparaître ce sentiment. Je me pose sur lit.

« Je n'ai pas bien dormi cette nuit donc j'ai voulu faire la grasse matinée »

Pourquoi cette phrase me faisait-elle mal ? Pourquoi une femme comme elle ne pouvait-elle pas dormir la nuit ? Qu'est-ce qu'elle a pour ne pas dormir la nuit ? Qu'à t-elle fait avec mon militaire cette nuit ?

Dieu merci mon téléphone se met à sonner ce qui me fait sortir de mes rêveries. Merde ! C'est le mec à qui j'avais remis mon numéro juste parce qu'il me saoule chaque fois qu'il me voit. J'aurai jamais dû faire cette erreur, qu'à cela ne tienne je vous épargne cette discussion assez puérile et insipide. Pourquoi m'intéresse-je a ce genre de personne alors que mon voisin est là ? Désolé mon cher mais tu n'es pas militaire et encore moins mon style.

Je me trouve à l'extérieur, je nettoie la viande qui me donne du fil à retordre. Je ne comprends pas pourquoi ma mère n'a pas demandé à la couper, ça me fatigue.

Lonely de Justin Beeber accentue encore plus mon chagrin de tout à l'heure. « I'm so lonely », je suis si seule.  Un bourdonnement attire mon attention. J'extrais mes AirPods et me tourne.

L'arrière de notre maison fait face à trois autres maisons. J'avais suggéré à ma mère de mettre une barrière mais rien n'en suis. Je vois des garçons en train de se marrer et de faire du bruit. J'ai bien envie de rentrer mais dommage que je n'ai pas encore terminé. Des garçons sans profondeur du bled, ils me regardent, comme pour me faire des signaux, mais ça va pas non ? Vous vous croyez où en fait ? C'est pas moi, je suis en couple avec un militaire donc faites attention.

Une meuf que j'aime bien fait son apparition, elle vient de derrière ses trois maisons, c'est dans cette zone que se trouve sa maison. C'est assez rare pour moi car d'emblée je ne fais pas d'amitié avec des filles, les filles sont de bonnes hypocrites. Avec les hommes c'est mieux mais ils veulent toujours plus donc je préfère être seule, mais cette fille me semble sincère. Je la vois, elle se fait accoster par un certain Junior si je ne me trompe pas.

D'après ce que je sais, ce Junior drague toute les filles du quartier. Il vient de sortir d'une relation avec une fille qui voulait être amie avec moi et lui a brisé le cœur d'après mon informateur de petit frère. Quand elle va venir ici je vais lui dire de le laisser parce que je n'aime pas le désordre. Un gars plutôt bien, bonne silhouette, bonne taille, il est même torse nu, je peux voir ses abdos et son ventre plat mais dommage qu'il ne m'intéresse pas, moi celui qui m'intéresse c'est mon voisin le militaire...

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\~ Bienvenue dans mon histoire et merci d’avoir lu jusqu’ici. N’oublie pas de laisser un commentaire et de m’encourager.

Un chapitre sera publié par jour.\~

Épisode 02

J'ai enfin fini de couper cette satanée viande, une minute de plus et je craquais. Elle venait de rentrer dans la maison de ce " Junior ", j'en reviens pas. Comment une fille peut\-elle être attirée par ce genre de mec ? Non mais sérieux ! Enfin bref, chacun sa vie et moi j'ai mes nouveaux scénarios pour mon prochain fantasme, je dois donc finir de cuire la viande et m'empresser d'aller retrouver mon lit. Oups, le riz est salé, sûrement a cause de lui. Ici chez moi on dit que lorsqu'il y a trop de sel dans le riz cela signifie que l'on est amoureux. Dans ce cas je comprends mieux. Je suis amoureuse de mon militaire.

Mais la vie d'une femme est compliquée, depuis ce matin je n'ai même pas eu une minute pour souffler , faire le ménage, faire à manger, faire la lessive, la vaisselle et j'en passe. Je n'ai pas signé pour ça désolé. Et ce garçon qui me sert de petit frère ne fait absolument rien sous prétexte que c'est un homme. Pourquoi les hommes ne le font-ils pas ?

On dit à tout va que c'est le rôle de la femme ceci cela, mais à ce temps où l'homme et la femme font désormais presque le même rôle dans la société pourquoi dire que les tâches ménagères sont celles des femmes ? Moi je prône pour une égalité totalitaire. Les tâches ménagères sont pour les gens propres.

Bon, pommes de terre, viande, tomates, oignons, curcuma, cube, poivre, poivrons, une gousse d'aille, c'est bon tout est là pour faire le ragoût.

Je vous épargne ma recette.

Une fois la marmite à feu moyen, je met un minuteur pour ne pas oublier de venir vérifier toute les vingt minutes car mon scénario s'annonce très embarquant.

Sur mon lit, je m'allonge et c'est le début de mon scénario.

" A peine je pousse la porte de la maison je le vois là étendu sur le sofa un pied sur la place assise et l'autre au dessus me laissant la vue sur son boxer Calvin Klein où je peux apercevoir une sacrée bosse. Je continue ma route vers la chambre faisant comme si je ne l'avais vu. Il bouge, en passant la main sur sa bosse. J'y crois pas, il fait semblant de dormir. Je continue ma route. Lui aussi continue, cette fois il met sa main à l'intérieur, il sait que je ne peux résister à la vue de son Dagober. Je reviens du boulot et je n'ai pas envi de me faire soulever dans tous les sens. Pour aller dans la chambre je dois passer au niveau de sa tête pour rejoindre le couloir, une fois dans cette zone je peux crier hourra. Je m'avance, la tentation est si forte que j'ai envi de me jeter sur lui, mais je me ressaisit. Je n'ai pas envi de succomber à la tentation comme Ève l'a fait. Enfin, plus que deux pas et j'y suis. Plus qu'un pas. Ouf j'ai passé le rideau, je peux souffler j'ai réussi à refuser l'appel de la chair. Je m' apprête à rejoindre la chambre quand tout à coup je sens des mains virils parcourir mon ventre en remontant sur mes seins, j'y crois pas il est si espiègle. Il me plaque contre le mur avant d'enlever doucement les boutons de ma chemise, ses yeux ne quitte pas les miens, comment puis\-je refuser ce genre de tentation ? Sa tête descend dans ma poitrine, il me fait un baiser entre les deux seins et me regarde..."

_Drriiiinnnnnnnggggggggg...

Vingt minutes ? Déjà ? Je n'ai même pas eu le temps de passer au chose sérieuse.

Bof, la cuisson avance bien. Je m'en veux de ne pas avoir mis trente minutes. En tous cas j'y retourne.

_Momo, c'est prêt ? Moi j'ai faim !

_Ne me fatigue pas, non.

_Encore combien de temps ? Et arrête de rester dans la chambre viens on regarde la télé.

_Que je passe ma journée à regarder les matchs dont je ne comprends le sens ?

_Je peux t'expliquer, aller viens, tu as passer toute ta journée à la chambre.

_M'expliquer quoi ? Bref patiente j'ai augmenté l'intensité du feu.

_Non je peux pas.

_Tchuippsss...

Ah les petits frères, un vrai pot de colle celui-là.

Au même moment où je veux traverser le rideau,

_Eh Monica, salut, comment tu vas ? Bonjour Yann.

C'est elle, c'est maintenant qu'elle arrive. Ne me dis pas qu'ils ont fait ce que je pense.

_Salut Grâce, je vais bien et toi ?

_Ça va, ça va !

Elle rentre, et moi qui voulais aller continuer mon illusion.

_Pourquoi tu es si joyeuse ?

_Comment ça ?

_Tu es bizarre, je vois de la joie. Je t'ai vu tout à l'heure avec ce ... comment il s'appelle déjà ?

_Junior ?

_Voilà, et après je t'ai plus vu, t'étais où ? Et maintenant je te vois avec ce sourire.

Je savais bien qu'elle était entrée avec lui mais cette joie m'intrigue, je veux savoir s'il c'est passé ce que je pense.

_Allons dans ma chambre, y'a deux oreilles indiscrètes ici.

Je m'adresse à mon frère qui fait mine de ne rien entendre.

Sur le lit, je suis là impatiente d'entendre son discours.

_Qu'est-ce qui c'est passé ?

_Il s'est passé ce qui devrait se passer.

_Et qu'est-ce qui devrait se passer ? Tu n'es pas au courant de ce que le quartier dit sur lui ?

_Si mais...

_Mais quoi ? Genre c'est avec toi qu'il va changer ? Ma chérie, je n'ai pas envi de te voir pleurer comme l'autre.

_Il m'a dit qu'il a changé Monica.

_Et tu l'as cru ? Ils disent tous ça juste pour avoir ce qu'ils veulent. A moins que tu lui as déjà donné.

_Non nous ne sommes pas encore là, j'ai envi de prendre mon temps avec lui.

_Dans ce cas qu'est-ce qui c'est passé ?

_Je me suis laissé emporter, j'aurai pas du.

Mais c'était bien.

_Tu me dis ce qui se passe ? Balance !

_Il m'a dit d'entrer car il voulait me montrer quelques choses, je me suis exécutée. Une fois à l'intérieur, il m'a emmené dans sa chambre et là j'ai demandé ce qu'il voulait me monter...

_Un classique, continue

_Il s'est approché de moi et il m'a sorti qu'il veut être avec moi, que cette fois-ci il sera fidèle et tous ça...

_Et toi qui tombe dans le panneau, tu connais à combien de filles il a déjà dit ça ?

_Je lui ai même posé la question il m'a assuré du contraire...

_En tous cas c'est toi même là-bas. Ensuite ?

_Il m'a embrassé très langoureusement, Monica, un homme ne m'avait jamais embrassé de la sorte. C'était tellement bon qu'on a duré plusieurs minutes...

_Tu m'étonnes, il fait ça à toutes les filles qu'il a de l'expérience...

_Après il m'a appuyer les seins, j'ai senti ses mains, elles sont si fortes, regarde Monica je n'ai jamais ressenti ça avant.

_Ah ça m'a chérie c'est avec toucher les seins que tu as jouie ?

_Non même pas, c'était pour me préparer dans un genre que moi même je ne connaissais pas comment ça allait se passer. Après il m'a soulevé et m'a plaqué contre le mur...

Merde comme dans mon fantasme, pourquoi mon voisin n'est-il pas comme ce jeune homme ?

_Il a laissé mes seins puis il est descendu du genre il a mis ses mains dans mes fesses et il l'embrassait en même temps...

_Ma chérie, tu as trouvé hein...

_Je te jure. Il a fait sortir son penis, c'est tellement long et épais que j'ai eu peur.

_Sans blague ?

Donc ce jeune homme peut rivaliser avec mon voisin ? Je doute.

_Après tu as fait quoi ? Explique !

_Je l'ai sucé !

_Non ?

_Si...

_Comment tu as fait ? Avec son truc ?

_Je l'enfonçais à plusieurs reprises dans ma gorge, mais je ne te le conseille pas hein, moi je maîtrise la felation donc c'était pas un problème.

_Et moi tu me vois comment ? Tu sais combien de mec j'ai fait crier ?

_Même toi ? En tous cas c'est un peu ça qui m'a mit de bonne humeur là.

_Je comprends mieux, tu as passé un assez bon moment.

_Mais Monica, y a un gars là qui veut de toi.

_Qui encore ? Jean ?

_Comment tu sais ?

_Il m'harcèle, que ça soit par message ou même en route. J'aime pas les mecs qui me fatiguent comme il le fait.

_Moi je te demande de lui donner une chance hein. Qu'est-ce que tu en dis ?

_J'ai pas trop envi de lui donner de faux espoirs.

_Comment ça ?

_Bah je ne pense pas faire des bails avec lui.

_Pourquoi ?

_Bah tu vois, c'est pas trop mon genre quoi !

_Donc tu es ici et tu vas même pas toucher à la marchandise avant de t'en aller ? Amuse-toi Monica ! On ne vit qu'une fois.

_Je sais bien, mais...

_Mais quoi ? Viens il est dehors il veut même te parler.

_Tu blagues ?

_Aller allons s'il-te-plaît, fait ça pour moi.

_Bon pour toi okay.

Pourquoi pas ? Je me pose la question. Le voisin me semble si inaccessible que j'ai envie de le faire pour la première fois avec ce Jean qui n'est pas mal même si moi je veux le voisin.

Pourquoi c'est toujours comme ça, tu es attiré par une personne qui ne te calcule même pas alors que de l'autre côté ceux qui te calculent toi tu ne les calcules pas ?

Je ne sais que faire, j'ai envi de refuser et de rester là à fantasmer sur mon militaire marié mais il faut que je me fasse de nouvelles connaissances, après tout c'est ma première fois ici donc pourquoi pas vivre à fond comme l'a dit Grâce ?

Avant de sortir j'avais pris soin de faire la table pour mes parents et mon petit frère, faut pas suivre, j'aime ce petit même si il me fait la galère quelques fois. A présent je suis face à Jean, je dois le dire, il n'est pas si mal c'est vrai. Mais vous connaissez qui m'attire. Grâce est là elle aussi.

_Donc si Grâce n'était pas venue t'appeler tu n'aurai pas répondue à mon invitation ?

_C'est pour ça que m'a fait venir ? Dit moi quelques choses pour que la prochaine fois elle ne viennes pas me chercher. C'est aussi simple que ça.

_Eh bah ça alors !

_Quoi Grâce j'ai mal parlé ?

_Tu as parfaitement répondu je trouve, n'est-ce pas Junior ?

_Bien sûr, allez frangin !

J'arrive pas à le croire, cette voix, attends c'est bien sa voix ? Elle est grave mais pas trop, roque mais subtile, ce son, il m'apaise et me transporte à la fois. Je le regarde d'avantage de l'œil, son corps, il ne ressemblait pas à cela de loin, je peux mieux apercevoir chaque abdos, chaque veines là sur son bras gauche, et ses cuisses, si robustes, cette culotte met en évidence son pubis où je peut voir quelques poils sortir dirigeant les yeux vers son entrejambe qui a l'air si conséquent qu'il est gonflé. Non je dois arrêter, c'est le mec de Grâce.

_Pourquoi quand je t'appelle, tu me fais genre ? J'ai envie de discuter avec toi mais tu me repousses, je comprends pas. Même là si je n'avais pas dit à Grâce de faire ça pour moi tu n'allais pas être là.

_Bon je vais te dire la vérité, en fait le soucis est que tu en fais trop. Je sais que tu veux bien faire mais nous les filles ont aime quand c'est bien dosé. Pas quand sa tombe d'un coup, il n'y plus de saveur. Si tu me montres ça maintenant, que vas-tu me montrer plus tard ?

Je suis en train de rentrer dans le jeu, je ne peux que faire ça, Junior est là et ne cesse de me regarder, je ne connais pas la cause de ce regard si insistant que je peux ressentir sur ton mon corps. Je ne savais pas que ses yeux étaient si perçants, ils transpercent mon enveloppe physique, je peux les sentir s'insinuer dans les moindres de mes formes.

_Okay je comprends mais je suis comme ça en fait, quand une fille me plaît je fonce. Mais j'ai envie d'être avec toi Monica.

_Facilement comme ça ?

_Qu'est-ce que tu veux toi ?

_Qu'on apprenne d'abord à se connaître, je ne connais même pas si tu as une meuf dans le quartier donc, j'ai besoin de mener ma petite enquête.

_Non pour ça tu ne vas rien trouver car je suis célibataire, mais je comprends, j'accepte. Cette fois-ci ne me laisse pas en plant.

_Je ferai de mon mieux.

_Non s'il-te-plaît, pas ça...

Soudain, en même temps qu'il parle, je vois mon âme sœur au loin. Torse nue munie juste d'une culotte militaire. Je peux voir sa cuisse où il y a un tatouage sur la droite dont je ne peux voir l'inscription car je suis assez loin pour le lire mais que je peux apprécier cette beauté des Dieux. Il me regarde, esquisse un léger sourire, j'en reviens pas.

Comment un être humain peut être pareil, son teint légèrement clair fait ressortir encore plus sa beauté. Ses bras avec lesquels je l'imagine me serrer, son torse poilu dans lequel je me jette dans mes fantasmes, ses lèvres que je rêve d'embrasser, sans oublier son entrejambe que je rêve de tenir dans mes mains. Il est si conséquent que la bosse est très grosse. Je me perd dans cette océan de fantasme avant de revenir à la réalité. Cette entrevue n'avait durée que quelques secondes qu'il s'est déroulée comme un film au ralenti devant mes yeux. J'espère que celui qui me regarde n'a pas vu ces quelques secondes de rêveries...

Épisode 03

Trois jours se sont écoulés depuis la vue de ce corps béni des Dieux. Le désir de le faire devient de plus en plus insistant qu'il me pousse à fantasmer d'avantage. J'ai envi de le faire oui mais je suis inexpérimenté en ce domaine, Grâce elle pense que je suis une experte mais c'est faux, je ne l'ai jamais fait. J'ai envi de l'avouer pour qu'elle puisse me trouver une personne mais je risque de passer pour une mitho et j'ai bien envie de me passer de cette image qu'elle aura de moi. J'appréhende mal cette première fois avec mon voisin, car il a un énorme Dagober et je risque de ressentir plus de douleur que du plaisir. Il me faut quelqu'un pour me préparer, une personne qui possède un Dagober ni trop gros ni trop petit.

Enfin bref, comme d'habitude j'ai commencé par le ménage ensuite je me suis fait un petit déjeuner avant de commencer la lessive. Je veux la faire plus tard car je ne me sens pas bien ce matin, j'ai pas bien dormi la veille.

La seule tâche de mon petit frère dans la maison est de remplir les récipients, tout le reste, même son linge c'est moi qui le lave, et sa me fatigue énormément, il faut que je retourne et vite.

Je dois maintenant me rendre à la supérette pour récupérer la lessive pour la machine, j'ai pas envi de laver à la main aujourd'hui.

      J'y suis presque, je peux déjà apercevoir le magasin de loin. Et Merde, il y a un attroupement de garçon, tout ce que je voulais éviter. Je porte juste une culotte et un teeshirt qui laissent voir mes formes, je dois être prêt à me faire accoster. A vrai dire j'aime pas quand les garçons le font, je me sens dénudée, quand il me matte de dos, tous ces yeux qui me regardent , qui me convoitent, c'est bizarre à vivre.

Ah j'ai oublié de vous le dire, la voisine me donne de temps en temps ces vêtements et celui de son mari pour que je les lave en échange d'une rémunération. Il faut dire que cette alternative m'avait enchanté car j'avais besoin de gagner de l'argent et c'était  une aubaine à ne pas manquer. J'étais encore plus enjoué lorsqu'il s'agissait de laver aussi les vêtements de son mari, que dis-je de mon mari.

Heureusement que Jean était là. Ces gens n'avaient pas émis de commentaires déplacés, les garçons avec des habitudes bizarres.

_Je t'apporte aussi pour moi ?

_Quoi ? Et pourquoi ?

_Mais on sort ensemble, tu es sensé me laver le linge. Ou bien ?

_Ah bon ? Et déjà on est pas encore vraiment en couple, j'ai dit qu'on s'observe d'abord.

_Mais c'est pareil.

_Non c'est pas pareil Jean.

_Allez, c'est juste quelques tenues s'il-te-plaît s'il-te-plaît bb.

J'ai envi de refuser. Pourquoi laver son linge alors que celui de mon voisin m'attend ?

_Y a combien de tenues ?

_Allons directement tu vas voir.

_On pars où ?

_Chez moi.

_Tu viens me les donner directement chez moi c'est mieux.

_Mais et si je me rend compte qu'il en y a plus ? C'est mieux que tu viennes toi même hein s'il-te-plaît.

_Okay.

Comment dire non ? J'ai envi d'approfondir ma relation avec lui, plus le connaître, savoir plus de chose, il est sympa comme tout. Je suis sûr qu'il fera un bon petit ami.

   

Non mais je rêve, ce n'est pas seulement quelques tenues mais tout un panier à linge. Je me suis fait avoir.

_C'est une blague ? Parce que moi je suis pas venu ici pour blaguer hein.

_Comment ça ? C'est à cause de ça que je t'ai dit de venir. Sinon moi je serai venu avec tout directement.

_En tous cas. Choisi et donne je vais partir.

_Mais on ne peut pas parler avant ?

_Parler ? De quoi ?

Soudain il se rapproche de moi et me prend par la taille. Sa main est si robuste que j'ai envi de le laisser continuer.

_Qu'est-ce... qu'est-ce que tu fait ?

Sort de ma bouche avec beaucoup de mal. J'ai envi mais pas de lui. Dois-je le laisser faire ? Que faire dans ce cas ? Fuir ? L'embrasser ? Le giflé ? Plein de questions me trottent dans la tête. Pendant ce temps lui il se rapproche de plus en plus, sa main droite descend maintenant sur mes fesses. J'en reviens pas, c'est donc ça le plaisir ? Sa main gauche emprisonne mon sein droit. Il appuie simultanément ce qui me donne une sensation bizarre. Je n'ai pas envi qu'il arrête.

_Je fais ce que les personnes qui sont en couple font.

_Mais...

Il me coupe directement en posant ses lèvres sur les miennes. Cette sensation, elle est magnifique. C'est décidé, c'est lui qui va me préparer à accueillir mon militaire.

Je me prête au jeu, mais dommage que je ne connaisse pas comment faire. Embrasser semble être un jeu d'enfant mais une fois sur le pied d'œuvre je suis comme un littéraire en train de faire des maths, j'y comprend rien. Mais cette pratique est différente que les maths, en elle je me peut me laisser porter par l'interlocuteur et c'est ce que je fait.

Je prend enfin une minute pour respirer.

_C'est ta première fois ?

_Pourquoi ?

_Parceque...

_On continue ou tu veux arrêter ?

Sous ces mots que je lui dit il se jette sur moi. Notre étreinte nous emmène à nous balader dans toute la chambre enlacer tel des serpents en pleine reproduction. Je comprends mieux pourquoi les premiers hommes n'ont pas pu résister à ce plaisir de la chair, on a envi de s'arrêter que quand chacun aura atteint le paroxysme.

Je me retrouve toute nue face à son Dagober. Il a la taille que je cherchais , ni trop gros ni trop large. C'est juste sa longueur qui me fait peur. Je ne sais que faire, je n'ai jamais pratiqué de fellation de ma vie. Il s'impatiente. Alors je m'exécute.

C'est comme nager en pleine mer en s'étant persuadé qu'on connaissait mais qu'on avait jamais nagé de notre vie.

Je sens que je suis maladroite, que je fait des gestes qu'il ne faut pas mais je ne peut rien.

Le souvenir de Grâce me reviens à l'esprit. « Moi je l'enfonce dans ma gorge » et si j'essayais ?

Je prend alors son Dagober et je fais comme Grâce.

Terminé, c'est le moment de passé au chose sérieuse.

Tous c'est passé dans la douleur mais avec quelques pointes de plaisir. J'étais fier de cette première fois car elle me permettait de me rapprocher encore plus de celui que je désire tant, mon voisin.

    Il m'a remis un sac avec quelques vêtements que devrait laver. J'ai pris la direction de chez moi après mettre débarbouiller. J'en reviens toujours pas de ce je viens de vivre. Pourquoi ce plaisir est-il tant redouté ici bas chez les humains ? Même si j'avais mal je sais que ce mal engendrera un plus grand plaisir.

_Eh Imen apporte tes habits et vite !

_Ils sont dans ta chambre sur le sol.

_C'est là-bas que je fait la lessive ? Passe me les récupérer et amène les dans la buanderie. Sinon tu vas les laver toi-même.

Je vous jure. Il me prend trop pour sa bonne. Tout ça c'est à cause des parents. Si c'est rien que moi lui-même il fera sa propre lessive.

_C'est pas trop tôt, apporte le linge que Sandra est venue déposer aussi.

_Elle a dit d'aller chercher chez elle, son mari est là-bas.

Je pensais que c'était une blague de mon frère à croire que non. Je dois me rendre chez elle, prendre les vêtements et croiser son euh mon mari ? Tout d'un coup je regarde mon accoutrement et je vois qu'il convient parfaitement. Je quitte alors la buanderie quand soudain mon téléphone sonne.

_Allo ?

_Oui Monica ?

_Hum ?

_S'il-te-plaît tu peux me récupérer mon pull chez Junior ? Je l'ai oublié la dernière fois.

_Okay pas de soucis, mais tu es où pour ne pas venir le récupérer toi-même ?

_Je suis quelques part je vais tout te raconter à mon retour bisous.

_Okay bye...

Je me dirige alors à l'arrière de la maison chez ce fameux Junior. Je ne sait pas mais j'ai un pressentiment étrange, je ne sait pas comment l'interpréter. Je continue à avancer un pas après l'autre, cette sensation s'intensifie. Mais qu'est-ce donc ? Qu'est-ce qui m'attend dans cette maison ?

Je toque, il ouvre.

_Je t'attendais.

_Elle t'a dit que je viendrai ?

_Oui, je m'apprêtais à aller à la douche comme tu peux le constater.

Comment ne pas le constater ? J'ai en face de moi un magnifique corps qui est juste muni d'une culotte et d'une serviette sur l'épaule, culotte à travers laquelle son Dagober se fait voir. Je suis obnubilée, je n'ai plus envie de retourner, je veux rester là à l'observer.

_Okay, passe moi le pull.

_Un soucis ?

Et merde, je suis restée trop le regard fixer sur sa culotte, que va-t-il penser de moi ? Mais c'est de sa faute, je crois qu'il a fait exprès ou peut-être que je suis venue au mauvais moment, j'aurais dû partir d'abord chez mon voisin.

_Non non, le pull stp.

_Il est dans la chambre viens le chercher.

Je le suis,

_Tu peux aussi prendre pour moi, comme tu vois j'ai beaucoup de linge sale.

_Je ne suis pas ta copine Junior, tu devrais demander ça à Grâce.

_Et si tu devenais ma copine ?

Je ricane...

_Arrête de blaguer je suis pas ce genre de fille. Désolé mais je dois partir.

_Je suis sérieux je ne blague pas.

_Et tu me dis ça comme ça, et si je le dis à Grâce ?

_Je sais que tu ne le dira pas.

_Et pourquoi ça ?

_Toi même tu sais.

_Tchuipppssss

Je récupère le pull et lui tourne les talons, mais pour qui il se prend ?

Je suis déjà au couloir et je continue mon avancée.

_Attend.

Je me retourne. Il est tout nu.

Il s'avance vers moi, je ne peux rien faire, je suis comme paralysé par ce corps. Il s'approche de plus en plus. Son Dagober est à l'affût, droit. Je me demande comment une personne peut avoir un engin aussi énorme et long, j'ai peur.

Il est maintenant face à moi, à quelques centimètres.

_Tu vois que toi et moi on est fait l'un pour l'autre. Je l'ai su quand tu me regardais la dernière fois.

_Qu'est-ce....

Je perd mes mots.

_Parle doucement, respire.

J'y crois pas, je perd mes mots face à une personne que je ne désire même pas. Mais pourquoi ?

Le désir, le pire sentiment qui soit. Désirer quelqu'un qui ne te désire pas en retour est la pire des souffrances. Il s'abat sur nous en nous demandant rien et s'installe dans nos vies. Au début tout va bien on pense gérer mais plus le temps passe et plus il nous montre que nous sommes impuissants. Et tout comme il est apparu il disparaît et ce fait remplacer par un autre. Ce que j'ignorais à ce moment-là c'est que je ne désirais plus autant mon voisin, mais maintenant ce sentiment était partagé avec celui qui se trouve en face de moi.

_On est pas fait l'un pour l'autre, laisse moi m'en aller.

_Je ne t'ai pas attaché, tu sais très bien pourquoi tu es encore là. Et si nous partions dans ma chambre ? Tu as oublié ma culotte.

J'ai envi de lui tourner les talons, mon cœur s'accélère. Et s'il avait raison ? Pourquoi ne suis-je pas parti quand je l'ai vu tout nu ?  Et si ? Non je ne peux pas ressentir un tel sentiment pour ce genre de personne. Mais j'ai un objectif à atteindre. Et je viens de le faire en plus, je crois que c'est pas recommandé d'enchaîner deux rapports sexuel. Que dis-je non, je ne peux pas le faire un point c'est tout !

Je me retourne, il me saisit par la taille et me retourne vers lui, je sens son Dagober sur mes cuisses, il es si chaud. Je comprends mieux pourquoi Grâce n'avait pas pu résister la dernière fois. Je me rapproche vers lui et je l'embrasse...

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