S'il vous plaît, dites moi ce qui m'arrive. Je n'arrive pas à détourner le regard lorsque je le vois. Je crois que je suis amoureux de lui depuis le jour où je l'avais vu pour la première fois.

Il n'est pas si beau que ça ni aussi attrayant avec un beau corps à en faire tomber plus d'une. Lui il est plutôt mince et ayant une beauté passe partout.

Genre comme celui qui se fera accepter par tous le monde.

Mais ce qui est bizarre c'est que moi je le trouve trop beau, je trouve son corps parfaitement sculpté même s'il n'y a pas les attributs que nous voyons avec les mecs des réseaux.

Est-ce que c'est ça le véritable amour ? Aimer quelqu'un sans rien attendre de lui ?

Le problème qui se pose c'est que lui et moi ne nous parlions pas auparavant. Donc il était difficile pour moi pour exprimer mon attirance envers sa personne. Mais j'avais aussi peur qu'il me repousse et qu'il vende la mèche à tout le quartier, car oui je suis un homme comme lui. Il faut dire que ce genre de relation est très proscrite dans notre société en plein XXIème siècle. Dire à un mec que tu es attiré par lui sans t'être assuré qu'il est aussi dans le " milieu " pourrai te valoir un exile du quartier ou même de ta famille.

Vous imaginer mon inquiétude, je ne pouvais pas lui dire que je l'aimais et que je voulais plus de sa personne.

J'aimais l'observer, en cachette ou parfois même lorsque je me déplaçais dans le quartier. Je crois qu'il avait déjà remarqué mon regard, car il aimait se placer dans mon champ de vision pour que je l'observe, en faisant des mouvements en attrapant son sexe.

Me faisait-il des signaux ? Je ne savais guère.

Je nourrissait un gros fantasme sur lui, je me sentais mal à l'aise lorsque je passait à côté de lui sans le saluer, je voulais que pendant la nuit, le moment où il s'apprête à aller se coucher, on se voit rapidement et qu'il m'assène un long baiser avant que j'aille rejoindre mon lit car je sentais que je n'allais pas bien dormir. Les histoires que je lisais sur wattpad n'arrangeait pas encore mon cas. Je voulais tellement sauter le cap comme dans les histoires mais ma conscience me rappelais toujours à l'ordre, je ne devrais pas me faire prendre par tous le quartier, sinon imaginer vous même le désastre sur ma personne.

Ce qui me tuait c'est le fait que lui aussi ne voulais pas me parler, c'était comme un concours d'endurance, la personne qui allait céder à parler à l'autre, j'en pouvais plus, je voulais tellement me sentir contre lui, sentir sa peau contre ma peau, sa bouche contre ma bouche et son Dagober dans ma main.

J'avais du mal à imaginer la taille de son Dagober car c'est mon petit frère en âge. Oui je suis désolé mais je suis amoureux de mon petit voisin. Est-ce mal ? Je ne savais pas, ce que je voulais c'était goûter à son fruit comme Adam a goûter à celui de Eve.

Il me regardais, comme pour m'envoûter d'avantage avec son regard dormant. J'avais envie, envie de lui.

Pourquoi le désir est si intense lorsqu'il s'agit d'une relation qui défit les interdictions ?

Ce n'est pas les filles qui me manquent, je pense que je suis bisexuel, j'ai déjà réussi à supporter à plusieurs tentations, à plusieurs mecs qui voulaient de moi mais là c'est trop fort. Je dois me faire défoncer par ce petit. C'est comme un élastique qu'on a trop étiré, je ne vais pas tarder à me le prendre de plein fouet si je n'assouvie par cette envie pressente.

Mais pas où commencer ?

Je me demandais comment faire, comment l'emmener à m'aborder. C'est vrai c'est facile pour les garçons mais moi j'aime pas faire ce premier pas. C'est à cause de ça que depuis je ne parle a personne dans ce quartier. Eux aussi ils ne font aucun effort, c'est épuisant. Je n'arrivais pas à être dehors sans regarder vers sa maison, pour l'apercevoir de loin ne serait-ce que deux fois dans la journée.

C'était la nuit, je revenais des cours. Et j'avais juste envie de prendre une douche et de me coucher tranquillement. Il était là, comme si il m'attendait. Je ne savais pas comment réagir face à lui, si je devais lui dire bonjour ou si je devais passer comme d'habitude.

Je ne sais pas ce qui se passe. Dans la tête j'ai envie de lui bonsoir mais ma bouche ne veut pas s'ouvrir. Qu'est-ce qui m'arrive ?

Je suis sur le point de passer et là il me retient par la main. Lorsque je sens sa main sur mon avant bras c'est comme une libération, comme pour dire ne me lâche pas, comme pour dire prend moi là sur la route. C'est certes mon petit frère, mais il a une bonne poigne.

__ A quoi tu joues ?

Me dit-il en me regardant droit dans les yeux, je ne peux m'empêcher de le regarder de prêt. Je suis comme une chose, sa chose, j'ai envie qu'il me domine. Oui je sais que c'est bizarre mais je ne sais pas si ce jeune homme m'a ensorcelé. Moi j'ai toujours dominer les femmes mais avec lui je veux qu'il me domine comme jamais.

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\~ Je vous souhaite la bienvenue dans mon histoire, j'espère qu'elle vous plaira. N'oubliez pas d'interagir dans les commentaires et à y laisser un vote. Un chapitre sera publié par jour \~

__ Tu ne parles pas ?

J'étais tellement absorbé par son visage que je n'avais pas remarqué que c'était à mon tour de parler.

__ Je ne joue a rien, pourquoi ?

J'avais pris sur moi pour paraître sérieux tout en regardant sa main sur mon avant bras.

__ Tu es sûr que tu ne joues a rien ?

Il continue de me fixer. Je ne sais pas si c'est ce à quoi je pense. Je n'ai pas envie de tomber dans le piège et de finir au bûcher du quartier.

__ Qu'est-ce que tu veux ?

__ Je vois comment tu me regardes.

__ Et ? C'est interdit de regarder quelqu'un ?

Je n'avais pas le choix, ma réputation est plus que tout, je ne peux pas la gâcher à cause d'une baise à l'improviste.

__ C'est juste que lorsque tu me regardes j'arrive pas à me concentrer,

__ Okay je vais arrêter.

Il ne lâche pas mon avant bras, au contraire, il accentue sa prise.

__ Toi tu joues à quoi ?

Je lui demande parce que je veux m'en aller, je suis fatigué,

__ J'aime quand tu me regardes !

Je savais ! Je crois que j'ai un don pour dénicher le faux et l'usage de faux. Mais que dois-je faire ? Me laisser tenter ? Et si c'était un piège ?

__ Qu'est-ce que tu veux ?

__ Te posseder, tu es partant ?

__ Tu as la posi ?

__ Regarde derrière toi !

Il voulait le faire dans cette maison inachevée. Pour une première expérience je ne m'attendais pas à un endroit aussi redibittoire. Mais comment refuser ? Je pense que je dois accepter sa proposition car j'ai plus envie que lui.

__ Okay allons-y.

Mon instinct ne m'avais pas menti dans mes fantasmes. Il embrasse très bien, je bande tel un cheval en rut. J'ai une envie soudaine de pénétrer alors que c'est lui qui est censé me dominer.

__ Domine moi !

Lui dis-je dans son oreille lorsque je suis quitter de l'étreinte de sa bouche.

__ Salle putte !

C'est ce que je voulais, être sa chose.

C'est donc ça un fantasme ?

Il me tourne violemment et me plaque contre le mur. C'est justement cette perte de contrôle que je cherchais en toi. Comme si mon envie t'avais trouvé.

Il descend doucement mon pantalon et mon boxer en même temps. Mes fesses sont à lui, je n'attendais que son Dagober en moi.

__ Chienne, j'espère que tu encaisses bien !

Me disait-il de derrière mon oreille.

__ Ne t'inquiètes pas...

Il me coupe en appuyant ma tête contre le mur et en forçant l'entrée de son Dagober dans mon troue. Je sentais que la tête était de taille normale, il l'avait lubrifié avec sa salive. Il rentre doucement, ma tête toujours collé essayant de faire le moindre bruit possible.

__ Tu n'as pas intérêt à ouvrir ta bouche, sinon...

__ J'ai compris, maintenant défonce moi...

J'avais juste envie de ça, pas de beaucoup tergiverser. Baise moi !

Je dois vous dire, j'aimais ça, surtout lorsqu'il se collait à moi en tournant ses reins, j'ai failli crier car je voulais gémir. Mais je me suis rappelé de son ordre de ne pas ouvrir la bouche. Je n'avais pas mal, au contraire, rien du tout, peut-être parce que ce n'était pas si gros.

__ Soulève ton cul !

Je ne me fais pas prier pour exécuter sa requête. Je copie les gestes de ma petite amie, je l'offre mon cul en pâture.

Il s'était retiré pour bien se dévêtir et ainsi se donner à fond.

Je ne savais pas que cette position était aussi difficile à maintenir, j'ai mal au bas ventre. C'est étrange à dire mais j'ai mal au bas ventre. Il tellement violent que j'ai envie de fuir. Je comprends mieux pourquoi les autres disent que la taille ne compte pas. Ces vas être viens son vigoureux et très viril, c'est bien un homme, un vrai.

Il me martèle le cul que je commence à sentir une sorte de chaleur, qu'est-ce que c'est ?

__ Ne bouge pas !

Il me commande. Je n'ai même pas le droit à faire un geste, qu'elle tristesse.

Il fait passer ses mains devant mes épaules avant de les coincer derrière ma tête. Cette position, j'y crois pas, il ne va pas me ménager.

Je serrais les dents, pour ne pas défaillir à l'ordre de mon dominant. Il est à fond donc j'ai pas envie de le mettre en colère.

Ma verge est en feu, elle chauffe. Lui aussi depuis qui ne jouie pas, c'est une machine ?

__ T'as un bon cul toi !

Tu penses que tu as à faire à qui ? Il me prend pour ces plans cul de rien du tout là ou quoi ?

J'étais conquis par sa manière de me baiser. C'est exactement ce que je voulais de lui.

__ Met toi à cheval !

Cette fameuse botte que tous les hommes aiment, moi même j'aime prendre ma meuf par cette position.

Il l'a fait d'une traite, j'ai poussé un crie,

__ Qu'est-ce que je t'ai dit salope ?

Je ne répond pas, je sais que j'ai désobéis à mon maître.

__ Je...

Il me coupe en mettant sa main sur ma bouche et en me martelant plus fort et plus vite. Là j'ai mal, cette position est très étrange, et lui qui pose ses mains directement sur mon dos ce qui me force à me cambrer d'avantage lui offrant mon cul qui surplombait la pièce. Il me laboure tellement bien et fort que j'entre en extase, je ne peux m'empêcher de gémir.

__ Tu ne comprends donc rien ? Je vais devoir te punir !

Il me tourne, je suis à genoux et lui est debout.

__ Ouvre la bouche !

Je ne me fais pas prier. Il se masturbe et fait rentrer son Dagober dans ma bouche. Il se contracte et là je sens son liquide chaud dans ma bouche s'insinuer dans ma gorge. C'est tiède.

__ Maintenant dégage !

Il jouait son rôle à la perfection. Je ne pouvais imaginer mieux. Il m'a totalement dominé moi son grand frère. Les petits d'aujourd'hui ne sont plus ce qu'ils étaient d'antan.

La nuit fut belle, j'ai fait de beaux rêves. Mais tu m'étonnes, je me suis taper mon voisin, je ne rêvais pas mieux comme situation.

Je ne savais pas comment je devrais réagir ce matin de si bonne heure. Si je devais le saluer ou si lui il allait me saluer. Je ne sais pas si c'est de la fierté ou pas mais je voulais qu'il ouvre la conversation.

Je ne me suis pas dépêché car j'ai ma grâce matinée à faire, aujourd'hui y a pas cours et je voudrais me reposer après ce qui s'est passé hier.

C'est dans les environs de 10 heures que je daigne sortir de mon hibernation car même si je suis à la maison je dois bosser sur mes cours. J'aime passer à la douche avant d'aller dans le salon, histoire de ne pas faire trop de va et viens, j'ai trop la flemme.

Une fois terminé mon bain et mon brossage de dents, je m'affale sur le sofa, il y a personne à la maison, aujourd'hui c'est journée libre pour moi. Et si je l'invitait ?

J'avais faim, une grosse faim. J'étais prêt à manger un ogre ce jour là.

Avant d'aller acheter un truc à me mettre sous la dent je suis passer dans la penderie pour m' habiller. J'étais face à mon miroir et je m'observais.

Miroir mon beau miroir, dit moi si mon voisin a aimé me défoncer hier soir et qu'il en redemande !

Rien qu'en sortant, je le vois qui m'observe, je ne sais pas comment interpréter ce regard. D'ailleurs je n'ai jamais su. S'il était content ou pas, juste un regard qui donne envie de se jeter sur lui. Je ne savais pas si j'allais lui faire un signe de la main, dans ma tête mon cerveau me hurle de le faire mais les influx nerveux semble bloquer quelques part. Je détourne le regard car je commence à me sentir bizarre avec ce jeu si insistant, on se croirait à qui détourne le regard en premier.

Vous connaissez cette impression ?

Celle que tous le monde est au courant de ce que vous aviez fait, comme s’ils savaient ce qui c’était passé. Une impression que je ne pensais ne jamais ressentir un jour. Mais peu importe, je sais qu’il s’agit là de mon imagination. Je suis la discrétion se faisant chair, personne ne pourra imaginer qu’à part ma petite amie, je fricote aussi avec mon voisin.

J’étais passé devant lui, il ne m’avait pas adressé le moindre mot, juste son regard que je ressentais dans mon dos après l’avoir dépassé.

Il voulait que je lui dise bonjour ?

__ Jestian ?

C’est une blague ? Comment connaît-il mon prénom ?

Il était derrière moi, je venais à peine de sortir de la boutique et je n’avais pas remarqué qu’il m’avait suivi. Je n’ai pas envie de répondre, dans ce quartier je ne voudrais pas nouer des liens, on sait ce qui se passe, plus tu parles à un inconnu, plus la personne se sentira à l’aise et le manque de respect s’installera. Je préfère être ainsi, comme ça on se respecte et il n y a pas de ragots.

__ Je te parle ! Arrête toi !

Il croit que nous sommes où là pour me donner des ordres ? Nous sommes dans un lieu public, c’est pas l’endroit ni le moment. Tu as déjà eu ton pied donc laisse moi filer. Je suis ton grand frère je te signale.

__ Si tu ne t’arrêtes pas je balance tout !

Quoi ? Dite moi que je rêve ! Il plaisante ou c’est du sérieux ? Qu’est-ce que je fais ? Je m’arrête ouu ? Mais, et si il vendait la mèche sur moi ? Je le sais bien, c’est celui qui se fait défoncer qui en prend chair. Apparemment c’est rabaissant.

Je n’ai pas envie de tenter le diable, il a peut-être pris son pied mais je ne suis sûr de rien.

__ Qu’est-ce que tu m’veux ?

__ Suis moi !

Il me dépasse comme si il ne m’avait pas adressé la parole. Peut-être que lui avait peur.

Je ne me suis pas fait prier pour exécuter sa requête. Je ne le connais pas personnellement, juste que mon radar m’a dirigé vers lui pour une partie de jambe en l’air. On marchait déjà depuis quelques minutes, il m’emmenait dans un endroit à l’abri des regards.

Mais pour faire quoi ?

Je ne voulais pas le refaire aussitôt, j’ai encore les séquelles d’hier, je ne pense pas encaisser de nouveau, et de surcroît en pleine journée.

__ Pourquoi tu fais la meuf ?

__ De quoi tu parles ?

__ Tu m’as zappé, quoi tu n’as pas aimé ce qu’on a fait hier ?

Son regard est de plus en plus menaçant. A quoi il joue ?

__ Qu’est-ce que tu veux ? Qu’on marche main dans la main et qu’on se fasse des bisous devant les le monde ? Redescend sur terre.

__ Donc pour toi c’était juste un passe temps ? Un plan cul ?

Me dit-il en se rapprochant de mon visage. Il scrute chaque partie avant de s’attarder sur mes lèvres et de remonter.

__ Jordan il est temps que je rentre,

Je lui tourne les talons, je n’ai pas envie qu’on devienne trop proche, ça pourrai me causer des problèmes.

Il me retient en passant sa main autour de ma taille et me ramène en arrière. Je suis maintenant collé à lui, je sens qu’il a la barre.

__ Tu vois ce que tu m’as fait ? Je t’ordonne de ne pas partir ! Faisons le là où je dirai tout à mes potes une fois que aura franchi le pas de la porte.

Je rêve ou il me fait du chantage ? C’est mignon et tellement malsain en même temps. Je ne sais même pas comment réagir. Si c’est du pur bluff ou si c’est la vérité. On se trouve là dans une autre maison inachevée loin de nos habitations respectifs et bien loin des autres habitations. Mais je n’ai pas envie de le faire. Imagine si quelqu’un nous voit et nous filme, la phobie. Mais je dois prendre une décision.

__ C’est comme ça que tu veux être dominant ? En me menaçant ?

__ Tu ne me laisses pas le choix.

__ Dans ce cas laisse moi te dominer et tu apprendras.

__ Il en ait hors de question !

Me dit-il en resserrant sa prise et en poussant son bassin sur mes fesses. A vrai dire moi aussi je comme à avoir la barre.

__ Tu es ma femme ! Ajoute-t-il.

__ Je ne suis pas une femme. Je veux juste que tu me domines rien de plus.

__ Moi je veux que tu m’obéisses !

__ Déjà je suis ton grand frère…

Il m’empoigne le cou avec son autre main et ramène ma tête vers l’arrière,

__ Désormais tu me dois obéissance ! Comme tu veux, en privé tu serras ma putte.

Dans quoi je me suis embarqué putin ?Cette phrase m’a fait bander comme jamais. C’est donc ça un dominant ? C’est quoi ce sentiment étrange d’être sous sa tutelle ? L’envie qu’il me méprise et qu’il me violente comme il vient de la faire. Je crois que c’est trop tard pour faire machine arrière, ce que je dois faire c’est avancer sans que ça ne prenne une proportion que je ne pourrai gérer.

Cela faisait déjà plusieurs minutes que j’étais chez moi, il m’avait laissé partir en me disant qu’il me ferai signe pour la prochaine partie de cul, j’avais hâte car il avait promis ne pas me ménager. Mais le jour là je vais lui montrer qui domine qui.

La journée c’était passée à merveille malgré le petit accrochage bandant de ce matin. J’ai aimé sa domination mais quelques choses me disais que les proportions allait devenir trop énorme, mais je ne voulais pas m’arrêter là car je voulais découvrir plus sur lui. Ce qu’il m’avait montré m’a poussé à croire qu’il avait encore de l’huile sous le coude et je voulais le voir à fond.

Aujourd’hui c’est vendredi, un vendredi calme. Demain le début du week-end. J’ai hâte car ma petite amie sera là et j’ai envie de me venger sur elle. Si il pouvait assister à ce qui se passera demain il allait prendre un cours sur la domination.

Mais je savais que la prochaine fois il allait me faire jouir…