Je m’étais faufilé dans la chambre du jardinier, à quelques mètres de la salle de la mère supérieure. Ce beau noir était d’un charisme froid. Du genre sombre et ténébreux, beau comme le diable. Depuis mon arrivée, il ne m’avait jamais adresser la parole et d’ailleurs je me tenais à bonne distance, connaissant la personnalité de cette autre qui habite mon corps. Et c’est ce côté mystérieux qui me fit tomber amoureuse de lui. J’exagère certainement, ce que je ressentais tenait plus de l’attirance que d’un sentiment plus fort ou plus construit. D’ailleurs je l’avoue, c’est la vue de son phallus du haut de ma chambre lorsqu’il le sortit pour se soulager qui acheva de me consumer de désir et me hanta jours et nuits. Mon désir avait réveillé Elektra, et devint plus fort que mon voeu de chasteté. Je perdit le combat contre elle, et je elle s’empara de moi. Elle décida de mettre un terme à cette torture et d’aller m’offrir à ce bel inconnu. Pendant la dernière prière de 22h, j’avais déjà le vagin en feu. Une fois les lumières éteintes, Elektra me dirigea au fond du jardin, où logeait mon fantasme. Elle toqua, il ouvrit, elle entra.

Ce soir, j’ai décidé de devenir ton fantasme le plus fou😈🤤 j’ai mis cet ensemble corsage et string Noir que je n’avais jamais essayé avant ce soir. J’y ai trouvé aussi des menottes, un gode tout aussi imposant que ta bite de cheval et un bon fouet. Je t’appartiens et je veux que tu me dresses maître. Je suis une esclave qui a été très vilaine, je mérite une bonne leçon , sois sans pitié maître. C’était tout Elektra, crue, impertinente, provocatrice.

Lui, avait cette assurance que seuls les tueurs en série possèdent. Il se servit un verre de whisky qu’il avala d’un coup. Il avait ce regard de braise qui fit mouiller ma entrejambes. Il se mit à s’avancer vers moi, torse nu, tel un gladiateur le fouet en main. Je m’approchai pour l’embrasser et il me reçut avec une claque qui me jeta au sol.

Il se baissa et m’attrapa par les cheveux en me traînant jusque dans la chambre. Là il me jeta sur le lit, ventre aplati, laissant mes fesses à sa merci. Je n’avais pas encore repris mes esprit que je sentis telle une décharge le premier coup de fouet : Slassschhh!

Putain, je le sentis me marquer la chair. Étrange, était ce le désir ou son air déterminé, bien que douloureux, ce qui s’échappa de ma bouche fut un gémissement.

Et pendant que mes idées essayaient de se faire une raison, Slasschh puis Slassshh, un deuxième, puis un troisième, de gauche à droite, mes gémissements remplirent la pièce.

Ohhh maître, encore, punissez moi, je suis une chienne, fouettez moi oh oui, ohhh oui, c’est bon , m’entendis je roucouler 🤤🤤🤤

Cette séquence le mit visiblement en appétit, sa bosse se formait dans son jogging. Il lâcha le fouet et me retourna brutalement. Dans mon regard, de l’excitation et de la peur. Il me saisit par les cheveux et me donna un baiser passionné tenant ma tête entre ses deux mains. Je voulus lui rendre son baiser, mais je reçus une autre gifle. Il dirigea ma tête jusqu’à hauteur de sa bite.

Je baissais son pantalon et sa bite monstrueuse se déploiya couvrant mon visage. Je la pris toute tremblotante entre mes mains, et je la mis dans ma bouche. Lui de ses mains, mit une pression sur ma tête pour l’engloutir complètement, gloup gloup gloup …je la sentais jusque dans ma gorge. « S’il te plaît sors là, je ne respire plus » essayais je d’articuler…

Quand il la sortit, j’étouffais, respirant à grands coups, je finis par m’affaler sur le sol… elle avait raidit, prête à me forer comme jamais 🤤🍆