tout commença Lorsque j'interrompt le programme de tout les chaines de télévision et des écrans géants de la ville pour anoncer que j'avais posé des bombes dans l'un des plus grands immeubles de la ville et sans tarder j'eus à présenter les preuves de ce que j'avançais.je lance le compte à rebours des bombes qui étaient de 10 minutes et la ville était en alerte maximale pour point, les policiers ce chargeur d'évacuer le maximum de personnes de personnes et un quatre trois deux un 0 boom c'était l'explosion de la bombe à l'hôtel crystal Palace. de leur côté, la police qui faisait de tout leur possible pour sauver plus de personnes qu'il pouvait, les journalistes les mettait sous pression pour avoir des informations à propos des avancées du sauvetage des personnes.aux environs de 15h50 les journalistes avaient pu avoir le nombre de personnes qui était de 110 mille personnes en tout et le nombre de blessés qui étaient de 2000 personnes et dans les loges de plusieurs chaînes de télévision,l'étonnement était immense car ils avaient été piraté par moi et après ma diffusion en live et après tout était de redevenu à leur état initiale ce qui était à l'origine de leur étonnement.dans tous Les chaînes de télés ,comme une traîner de poudre dispersée dans l'air, l'information du nouveau phénomène circulaire et les avancées de sauveteur.à la maison dans mon sous-sol après le spectacle qui a été monté de toutes pièces par mois, jemettez dirigé vers la chambre de ma mère qui était dans le coma depuis la mort de mon père. je lui avais fait part de mes plans de vengeance et à ce moment je me souvenu du mal qui ont été mené contre tout ma famille surtout à mon père. lors de la conférence de presse. journalistes 1 : cher Monsieur le député vous avez été relu avec 99 % de voix de vote, qu'est-ce que vous avez à dire a ce là ? mon père : et bah je n'ai pas beaucoup de choses à dire mais je voudrais juste dire un grand merci à tous ceux qui ont voté pour moi et un grand merci à toute la population de Yaoundé pour leur confiance envers moi. journaliste 2: monsieur le député qu'est-ce que vous avez à dire à propos des accusations porté contre vous ? mon père : quoi, mais je n'ai jamais fait de détournement qu'est-ce que vous dites là ? journaliste 3: mais monsieur le député fait sont là avec les preuves à l'appui. mon père était stupéfait par les accusations portées contre lui et en plus des preuves de montrer à l'appui. fin du flashback. j'étais là, les deux main dans celuide ma mère les deux genoux amène le sol prononçant ce qui s'était passé le jour où mon père a été injustement traîné directement à la prison centrale. flashback 2. les policiers devant la porte de notre maison qui cognait pour qu'on ouvre. policier 1: monsieur le député ouvrez cette porte sinon on sera obligé de l'enfoncé de force. nous qui étions à l'intérieur de la maison. Moi : papa qu'est-ce qu'on va faire ? mon père : monter immédiatement dans ta chambre et Annie amène ma femme dans sa chambre aussi. Annie qui était la servante de la maison. année : oui monsieur tout de suite allons-y maintenant madame. moi : non papa je veux rester avec toi. maman qui était souffrant d'une maladie cardiaque. ma mère : mon chéri je pense que mon petit cœur ne va pas supporter tous ces harcèlement. mon père : ne t'inquiète pas ma chérie tout ira bien monte dans la chambre je vais régler tout ça d'accord. ma mère : OK. les policiers avaient fini par défoncer la porte pour entrer . dès qu'ils sont entre, il arrêtait mon père sur le champs. policier 1 :monsieur le député vous êtes en état d'arrestation pour détournement de fonds public. moi: non non c'est mon père il n'a rien fait, il est innocent. policier 2: calmez-vous ou nous serons obligés de vous calmer par force. mon père : arrête Mustapha laisse ses policiers faire leur travail. moi : mais papa... je ne pu terminer ma phrase que mon père m'interrompit. mon père : je vais m'occuper de tout ça d'accord ? je ne répondis pas et il l'amenait. fin du flashback
j'étais là, toujours dans la même position, relatant ce qui c'était passé le jour où on n'a annoncé la mort de mon père a ma mère,ce jour là c'était comme si le ciel lui tombait sur la tête. flashback 03. ma mère était assis dans le grand salon de la maison avec Annie qui était à son chevet lorsque le téléphone sonna d'un coup. ma mère : Annie passe moi le téléphone s'il te plait. Annie : d'accord madame. ma mère et Annie étaient à l'écoute du téléphone car cette appel semblait important. le gardien de la prison: allô madame, c'est vous la femme de l'ancien député ? ma mère : oui c'est moi, qu'est-ce qu'il y a ? le gardien : mes sincères condoléances madame, votre mari à été poignardé lors d'une bagarre entre les prisonniers. Et la c'était direct la cerise cardiaque pour ma mère.moi qui descendait à tout vitesse pour venir voir ce qui ce passait avec l'état de ma mère. moi : maman qu'est-ce qui c'ést passé pour que ma mère soit dans cette état. Annie : je ne c'est pas monsieur, elle a reçu un appel et je ne sais pas ce qu'on lui a dit mais je pense que c'est à cause de sa. je pris le téléphone en demandant a Annie de s'occuper de ma mère. moi: allô qui est-ce ? le gardien : je suis désolée de cette nouvelle mais c'est la vérité. moi: mais de quoi vous parlez et c'est qui a l'appareil ? Le gardien : monsieur je suppose que vous êtes le fils du défunt ? bon je suis désolée de vous annoncé sa mais votre père est mort. moi: quoi ? fin du flashback. moi qui était au chemin de ma mère est , j'entendis ma petit ami qui était déjà devant la porte. je descends pour l'accueillir et nous entamons une discussion. moi: salut ma chérie Amira comment tu vas? Amira : je vais bien et toi ? moi: bien. Amira : tu as entendu ce qui est passé à l'hôtel kristal palace ? moi: non, qu'est-ce qui c'ést passé ? Amira : et bah un mystérieux personnage à poser des bombes je ne sais ou dans l'immeuble et quand ça explosée et à fait plus de 110000 mort et 2000 personnes blessées. moi: quoi, c'est vraiment malheureux ce qui s'est passé. Amiens à deux points ah mais bref as-tu mangé ? moi: en fait non pas encore. Amira : mais vraiment tu es incroyable tu rentres du lycée et tu ne t'accordes même pas une seconde pour te préparer à manger, bon je vais te préparer quelque chose à manger. moi : merci ma chérie. Amira : ouais c'est ça et comment va maman ? moi: elle est dans sa chambre en train de dormir comme d'habitude. après qu'on ait manger, on a discuter un peu et elle est rentrée chez eux.le lendemain, elle est revenue à la maison. j'étais sur le point de sortie alors je lui ai dit de m'attendre et que j'allais pas tarder, mais elle n'était pas content mais elle accepte finalement de me laisser partir pour quelques minutes. j'ai pris la route pour me rendre au poste de police car j'avais un exposé à faire, même si c'était juste un l'heure.arrivée là-bas, je partir directement à la rencontre de mon oncle qui éteint mon guide au poste pour m'expliquer tout ce qui avait à savoir.après qu'il a fait, sans supérieur appelant pour la Réunion pour qu'il planifie un plan pour ne plus être surpris par moi et je demande à mon oncle que je voulais assister à la réunion. il en parle à son supérieur,résultat mais fini par accepter car mon oncle était son meilleur ami. il était tous là en train de en train d'écouter le plan mise j'en ouvre un supérieur alors qu'il était en train de dévoiler le plan devant le problème ennemi qui était moins .àprès la réunion,mon oncle m'accompagnant à la sortie et dès mon départ, le chef de la police s'approcha de mon oncle pour lui parler. le chef de la police : dis-moi souleyman c'était pas le fils de l'ancien dmon oncle : oui c'est bien lui. il était là pour faire son exposé sur la police. le capitaine de la police : c'était vraiment malheureux c'est qui lui est arrivé lui et sa famille je n'ai jamais cru ce qu'on disait à propos de son père. mon oncle : je suis du même avis. mon frère n'a jamais fait de mal à personne encore moins faire un détournement de fonds publics. le capitaine de la police : alors l'ancien député était ton frère ? mon : oncle oui le capitaine de la police : en tout cas je peux dire que son fils est plutôt un bon garçons. il était 12h50 et j'étais de retour à la maison pour retrouver ma bien-aimée et ma mère . arrivé à la maison, je m'éteins préparer à manger et on c'était mis à table . en plein conversation, une voix familière m'interrompue et c'était mon cousin salif. Salif : bonjour la famille comment allez-vous ? moi: Salif ? Amira : c'est qui salif ? moi : c'est mon cousin . qu'est-ce que tu fais ici ? tu étais censé être au Canada . Salif : et ben je viens d'arriver et je pense que je vais m'installer ici. - moi: il n'est pas question que tu restes ici. Salif : pourquoi je ne peux pas rester ici ? moi : je ne veux pas un point c'est tout. Amira : calme-toi Mustapha tu devrais le laisser rester ici tu es seule dans cette grande maison toi et ta mère. moi : je ne veux pas je le dis. Amira : allez, accepte s'il te plaît. moi : bon d'accord. j'avais finalement accepté à ce que ma copine avait insisté. Salif : d'accord c'est parfait où est mon oncle et ma tante ? moi : tu es sérieux là, tu veux dire que tu ne sais pas que mon père est mortil y a de cela 7 ans ? Salif : quoi alors mon oncle est mort ? en tout cas je n'ai pas gardé de contact avec tout la famille c'est pour ça. Salif : alors ma tante elle aussi ? moi : non elle est dans le coma depuis la mort de mon père. Salif : je vais monter la voix dans la chambre , dans quelle chambre est-elle ? moi : elle est dans dans la troisième chambre à gauche du corridor.
il monta dans la chambre mais nous étions toujours à la salle a manger en train de discuter lorsqu'il descenda des escaliers en courant. il était tout paniqué et nous demandant de monter avec lui tout de suite. en le voyant dans cet état, on pouvait imaginer que quelque chose de grave était arrivé alors on n'hésite pas à le rejoindre. en montant, ça Salif me demande si ma mère était encore en vie car il n'avait pas senti son cœur battre. là, j'accélère mes pas et en arrivant, j'alla immédiatement auprès de ma mère en essayant de sortir son poux, mon cœur battait à la chamade. j'essayais plusieurs fois de la réanimer mais toujours rien, sans savoir, les larmes voulais à flow sur ma joue et après 2,3 fois je me résigna à l'idée que je venais de perdre ma mère, Salif et amir a été là en train d'attendre le verdict de ma part. Salif qui me demandait. si elle était morte ou pas. Salif : Mustapha elle est morte ou pas ? Amira la suivi dans sa question et quelques minutes sans réponse de ma part, il avait compris que ma mère n'était plus de ce monde. ils m'avaient rejoint dans les pleurs. j'avais tellement mal que je m'eloigna de la chambre car je venais de perdre la deuxième personne la plus importante de ma vie. quelques heures passées et tout le monde de ma famille étaient là et quelques personnes que je ne connaissais pas . ils perdames pas de temps pour l'enterrer et après, mon oncle et les autres membres de la famille c'était réuni pour organiser les funérailles de ma mère défunte mère. durant la funérailles, mon oncle est ma tante avait put découvrir que leur fils était revenu du Canada. il eut une longue discussion entre eux qui fut la suivant . mon oncle qui était très en colère car Salif ne les avais pas prévenu de son arrivée. mon oncle : quand es-tu revenu au pays ? Salif : ça ne fait même pas 15h que je suis ici. mon oncle : et tu ne prends même pas la peine de nous prévenir que tu venais ? Salif qui essayait de se justifier. Salif : en fait je voulais vous faire une surprise. c'est pour ça que je vous ai pas prévenu de mon arrivée. mon oncle : si c'était vraiment une surprise que tu voulais nous faire, tu aurais au moins garder le contact avec nous pour pouvoir nous appeler de temps en temps. Salif : je le sais mais j'avais pas envie de le faire. Ma tante qui essayait de détendre l'atmosphère. ma tante : et arrêtez de vous discuter de la sorte, nous sommes quand même au funérailles de la mère de Mustapha. vous aurez le temps de vous discuter une fois après les funérailles. c'est fait la fin de la discussion entre mon oncle et Salif. 2 semaines après les funérailles. il était lundi précisément 09h00 du matin et mon oncle était sur le point de partir mais avant,il me demande si je ne voulais pas venir vivre avec eux mais j'ai dit non car j'avais des choses à faire . après son départ, je t'ai décidé car j'étais près pour lancer mes opérations en exécution, je descendra immédiatement au sous-sol et mon cousin qui m'avait vu descendre dans cet état de colère , il ce douta de quelque chose mais ne prétends pas attention car il allait chez mon oncle pour les rendre visite . arrivée, ils entamerent une discussion sans fin. Salif qui pris la parole en premier. Salif : salut maman salut papa. ma tante : salut mon fils chéri. mon oncle qui n'était pas content. mon oncle : tu as enfin pris la décision de rentrer à la maison ? Salif : non je venais juste pour vous rendre visite.tu m'en veux toujours d'être revenu sans vous prévenir à l'avance ? mon oncle: tu sais , ce n'est pas ça qui m'énerve, c'est le fait qu'apres ton arrivée au Canada, tu n'es plus faire signe de vie en nous contactant et quand tu décides de revenir du pays, tu décide de passer t'installer chez ton défunt. Salif qui essaie de prendre la parole. Salif : mais papa... mon oncle le coupa. mon oncle : tu n'as rien à dire écoute-moi bien j'accepte que tu vivre là-bas seulement parce que ton frère ne peux pas vivre maintenant tout seul. après avoir dit ses mots, Salif était devenu fou de colère car il pensait que son père ne l'aimait pas et qu'il l'aimait plus son cousin que lui. Salif : c'est ça, c'est çatu as toujours préféré Mustapha à moi. si tu avais la possibilité de me remplacer par mon frère Mustapha , tu l'aurais déjà fait. mon oncle donnait une gifle bien administré à mon cousin, il ne pue le supporter et sans alla et il avait en tête de maintenant de prouver à mon oncle que je suis pas si parfait qu'il le pensait.
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