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La Vie D'Un Immortalus

Prologue & Chapitre 1

Beaucoup de mythes , de légendes, de rumeurs explorent les croyances de l’être humain de ces désirs. Or parfois, ces récits de folklores reflètent plus la vérité que l’imaginaire de l’humain et parfois on s’en rend compte trop tard.J’en ai fait les frais et ce malgré mon savoir, mon expérience et ma longue, misérable et éternelle existence. Je me présente, je m’appelle Galahad, je suis né dans un petit village perdu de la campagne de l’Alberta. Depuis ma plus jeune enfance, de mes tous premiers mots, j’ai toujours été obnubilé par les reliques que mon père ramenait de ses longs voyages d’affaires. Chaque fois, il me racontait de multiples contes tous plus intéressants les uns que les autres. Je grandis en gardant toujours cette passion qui envahissait ma vie et perception de ce merveilleux monde.Les années défilèrent sans crier gare que mes études étaient terminées et que je me retrouvais dans le métier qui me correspondait le plus archéologue. L’archéologue que j'étais fus reconnu à l’international pour mes découvertes et mes sites de fouille que j’ai décelés aux travers de mes nombreuses années. Un de mes sites favoris est celui d’une nouvelle civilisation que j’ai révélée à mes débuts de carrière.En ce lieu, Il y avait une énorme crevasse remplie de minerai et de réseaux de grotte on décida de s’y rendre et d’explorer. Les heures passèrent et on trouva de vieilles ruines. Je rentra et me m’y en marche  le premier et y découvre ce qui ressemble à un temple pour des sacrifices. 

J’errais au travers des ruines et je découvris un vieux coffre, je l’ouvris et vis une bague en or qui était superposée dedans, une plume noire ressemblant à une galaxie ornée de plusieurs roues d’engrenages qui lui donne un aspect mécanique et un vieux carnet maculés et détériorés par le sang et le temps. Je le pris, le cacha, puis disparu. Les années passèrent, je vieillis et parti de ce monde…

Chapitre 1

Une première vie mouvementée

Je suis née en 1986 dans un petit village près de Mcleod Valley. J’y vécu une douce et paisible enfance, je m’amusais à grimper au arbre, aller à l’école, déterrer des trésors que mon père avait cachés dans le jardin, explorer de nouveaux paysages, voltiger dans mon imagination des histoires de civilisations antiques et de leurs gloires passées, j’ai eu une enfance passionné. Puis ce fut la fin de l’été de mes 17 ans. Comme chaque premier septembre je me rendais à l’école, mais aujourd’hui je commençais ma nouvelle entrée dans mon cégep. J'étais tellement excité et stressé par cette nouvelle page de mon histoire qui se tourne que je ne dormi quasiment pas de la nuit. J’entre pour la première fois dans mon nouvel établissement où je vais y passer les trois prochaines années. Mon programme est très diversifié, il porte sur l’histoire de plusieurs civilisations et la culture. Durant mes années, je voyagea un peu partout dans le monde: Argentine, Égypte, Allemagne et beaucoup d'autres pays. Je m’émerveillais devant chaque site, chaque relique qui racontait un petit bout de vie des civilisations. Le dernier site de fouille qu’on avait visité était le plus extraordinaire, il m’avait bouche bée devant les secrets de la civilisation égyptienne: Les pyramides, les temples, les rites, le savoir des égyptiens étaient toujours aussi impressionnant, malgré les nombreux livre et articles que j’avais lu sur le sujet. Ce qui fut le plus impressionnant étaient les énormes pyramides de Gizeh. L’intérieur de cette volumineuse sépulture, m’obnubilais devant sa complexité et sa grandeur m’impressionnais plus que tout. Les hiéroglyphes m'éblouissaient, je voulais découvrir chaque message que renfermait ces dessins âgée de plusieurs longs et précieux millénaires. Je voulais découvrir chaque secret caché de la planète, de tous les océans, de chaque parcelle de terre ou il y avait un secret, un mystère enfoui, une rumeur à résoudre. Une fois mon diplôme reçu je me dirigeais vers l’université la plus proche de chez moi. Comme pour mon dernier institut d’apprentissage, je suis époustouflé devant cette immense et merveilleuse architecture qui se trouve devant moi. Je me préparais pour ce qui allait être les sept meilleures années de ma vie, avant de pouvoir vivre mon rêve de devenir un chercheur chevronné. J’entre dans l'amphithéâtre, qui servait de salle de cours, je montai tranquillement les escaliers en regardant chaque détail, chaque inestimable secondes, mon regard se posait sur un autre particularités inattendues. Je m'assois près des escaliers à côté d’un étrange personnage. Il avait à ses côtés un long et gros sac verdâtre qui ressemblait à un sac de couchage de l’armée. Je lui ai demandé où il avait pu trouver ce sac, car il est très difficile de s’en procurer.Il me regarda avec un regard dégoûté et compréhensif devant ma question qui pouvait lui paraître plus étrange vu que je ne le connaissais point, puis il détourna le regard sans aucun signe et dépourvu de paroles. La porte de la salle retentit dans un fort et sec claquement. On vit un homme aux allures de géant monta et s’installa sur un petit marchepied qui se trouvait au milieu de la pièce. Il prit une grande respiration, empoigna le micro qui était sur la petite table près de lui et le cours commença. Un silence absolu régnait dans la pièce et sans m’en apercevoir je fut appelé à l’avant. Surpris, je regardai autour de moi pour voir les réactions, tout le monde me regardait. Je pris mon courage à deux mains , moi qui est très timide, et descendis marche par marche l’escalier qui me guidait vers le centre. Le stresse me parcourait les os jusqu'à la moelle, le regard insistant des gens me faisait tourner la tête, les lumières de la salle me brûlait le regard, mais j’y arriva le professeur me donna le micro et me demanda ce qu’est la vie selon moi. Je réfléchis longuement et je me m’y à exprimer ce sentiment qui m'envahit. Je débita un très long et captivant discours sur le sens de vivre et d’exister. Je respirais longuement, chacun de mes poumons absorbait de l’air, il était si frais que je pouvais le sentir, chaque seconde me calme un peu plus, j’ouvris les yeux pour caresser du regard mon auditoire qui me fixait, sans un mot, en retour. L'homme qui m’avait concédé le microphone me regarda sans voix. En remontant tranquillement l’escalier qui menait à ma place m’installa et vit le jeune homme avec le sac se retourner vers moi, pour le décrire je me serais dit qu’il avait revu son jugement et avait décidé de me parler. Il m'aggraphit son regard dans mes yeux et me dit à quel point ma pensée sur l'existence même était profonde. Je m’assit et ne répliquai rien. Le cours continua et plusieurs personnes furent appelées en avant pour avoir plusieurs points de vue sur la vie, la mort et la vraie raison d'exister. Les quelques heures de ce cours s'écoulèrent et la fin se fesa ressentir par un grand bruit sourd de cloche. J’empoignai mon sac et part aussitôt vers mon appartement. Une dizaine de minutes plus tard, je parvins à rejoindre la gare qui permettait de me rendre dans mon quartier. J’arrête devant le guichetier et lui paye mon ticket. Le vieil homme à l’allure plus que douteuse, aux cheveux gris et gras était dans la petite boîte qui lui servait de lieu de travail. Après que je lui ai donné les quelques dollars qui me fallait pour avoir mon ticket, il me remis le fameux papier blanc avec les rayures bleutées. Je pris le bout de papier et le mis dans la poche de mon petit manteau. J'avance vers le quai pour y attendre et accueillir le train. Une, deux, trois petites minutes s’écoulèrent, puis un un bruit strident se fit entendre. Je me mis à regarder le chemin ferré et vit un majestueux train qui arrivait à toute allure, il était resplendissant de mille couleurs et une couleur refléter sur sa carrosserie pouvait émerveiller n’importe qui. Le bruit des freins qui résonnait à travers toute la gare me fracassait les oreilles, un mal se propageait intensément dans ma tête et comme à chaque fois que je le prenais. Une fois arrêtées, les portes coulissantes du train s'ouvraient, alors telle un filou, je me faufilais au travers des passagers, puis quand je vis une place de libre je me mis en direction pour m’y asseoir. Un fois installé sur la petite banquette bleue, je sorti un des mes ouvrages préférés sur l’archéologie, un livre sur les anciennes civilisations de l' ge de bronze, au temps moderne. Une fois plongé dans le merveilleux monde des reliques et ossements en tous genres.Je crû devenir un égyptien, un mésopotatimien, vivre les grandes guerres d’antans qui arborait la Terre, depuis des millénaires. Une seconde plus tard, j’eus une petite seconde de déconcentration, je regardai au alentours de mon banc et puis retourna à ma lecture. Ce bref moment d'inattention m'a permis de remarquer qu’il y avait un jeune garçon, qui assis sur les jambes de sa mère regardait avec des étoiles dans les yeux ma revue sur les différentes civilisations que je feuilletais depuis le début du départ du train. On se fixa un petit moment puis je fît signe à la mère de prendre ma revue.Qui sait, il deviendra peut-être un brave chercheur comme ce que je voulais devenir? Je le regarda en souriant pendant qu’il s'émerveille devant le livret qui dévorait du regard. Un trentaine de minutes plus tard, le train refit son bruit signature, le cri des freins se fit retentir, le train se paralysa et les portes s'ouvrirent, je débarqua, dit au revoir à la mère et son fils, puis me dirigea vers mon appartement.Je marcha pas à pas, de ruelle en ruelle, de trottoir en trottoir vers le lieu où je résidais pour mes quelques années d’université qui me restait. Après quelques kilomètres de marche de me dirigea vers les escaliers de ma modeste demeure.Mon appartement était un généreux quatre pièces que je payais guère plus cher que les autres, mais il y régnait une jolie et chaleureuse ambiance de confort. On s’y sent comme chez soi. J'ai pris la clé, l'ai mise dans la serrure et ouvert mon havre de paix. J’avança de quelque pas et déposa mon sac, accrocha mon manteau de laine qui me recouvrait de tout son long et me rendis à mon salon pour m’y relaxer en dégustant un bon thé noir et en lisant un oeuvre de Shakespeare, la pièce Roméo et Juliette. Ma lecture me plongea dans la pièce et je m'endormis rêvant que j’étais le Montaigu devenant amoureux de la Capulet. La nuit se passa et je dormis comme un bébé et me réveilla frais et disponible pour la matinée. Comme chaque jour, je fais la même routine et répète le même récit chaque jour sauf aujourd'hui. Samedi je me dirige vers ma librairie préférée. Ce milieu qui referme mon bonheur et une de mes passions favorites sont les livres. Je feuillette quelques romans pour mon plaisir personnel, me dirige vers la section histoire après avoir fini la lecture du roman qui avait attisé mes yeux et pris quelques nouvelles revue que je vis en me penchant. Je quittai la librairie avec mes achats sous les bras et rentrai chez moi pour découvrir les nouveaux mystères que les chercheurs ont pu déterrer. Je les lis et m’endormis. Plusieurs jours suivirent après que je me suis rendu à cette librairie. Je remarquai qu’on me suivait depuis une dizaine de jours et me décida de confronter l’individu qui me retraçait chaque soir. Je continue ma journée d'étudiant lambda tout en restant sur mes gardes. Le soir venu je me rendis à la gare et décida d’attendre le dernier train pour avoir plus de chance de s’entre croiser le regard, du chasseur et de moi sa proie. Je m’assis sur un banc non loin d’un distributeur automatique et attendit longuement. Les gens disparaissent de plus en plus juste qu’à ce qu’il reste moins d’une dizaine de personnes. Maintenant, débarrasser des gens la liste des suspects était devenue très courte et plus facile à explorer. Le train grinça de plus belle et s’arrêta devant le ponton qui permettait d’embarquer les usagers quotidiens. La nuit faisait apparaître son règne et sa terreur, mais je décida d’embarquer dans le wagon de me rendre à ma demeure et voir ce qu’il allait en résulter. Une fois arrivée devant ma porte je commençais à tourner la clé pour déverrouiller l’accès qui me menait à l’intérieur et me retourna pour voir qui me suivait. Je regarda autour et vit une ombre près de la lumière de mon portique, je me dirigea vers elle et vit une jeune femme cachée derrière un mur. On se plongea chacun dans l'abîme infini de nos yeux et puis une fois que le temps repris dans nos esprits et elle essaya de s’enfuir. J'attrapai son bras et la tira vers moi, elle me regarda en pleurant, son visage était sale,remplie de boue et trempé de larmes. Je lui demandai pourquoi elle me suivait, mais elle ne répondit rien, aucun mot sortie de sa bouche sauf ses larmes qui coulaient de plus en plus.Je l’emmena dans mon appartement lui dit de prendre un bain et de passer la nuit ici. Elle me regarda avec beaucoup d’incompréhension et méfiance, mais elle accepta.Une fois quel a pris son bain et que je lui ai donné une chemise elle vit me voir me me demanda ou elle dormait, je lui pointa ma chambre et que je dormirai dans mon petit salon pour cette nuit.Avant qu’elle est se coucher je lui demanda son nom. Elle se figea quelques secondes et me le dit, elle s’appelait Ashley. Je lui fit un petit sourire et lui montra sa chambre, elle s’installa dedans, je ferma la lumière et alla me coucher. Le lendemain, je fut réveillé par une douce odeur de pain de mie chauffé, de bacon cuit et d'œuf au plat qui venait se loger dans mon nez. En me levant, je constata que la sublime jeune femme préparait le petit déjeuner et avait l’air heureuse. J’enfila mon pantalon que j'avais mis la veille et me dirigea vers Ashley. En me rapprochant d’elle, je regardai par-dessus son épaule pour lui faire une petite frayeur. C'est moi qui fut surpris quand elle se tourna vers moi et m'embrassa sur la joue, Je recula brusquement et puis réalisa ce qui venait de ce passé. En me voyant reculer aussi brusquement je remarqua qu’elle avait eu une triste mine et je vis dans ses yeux qu’elle était déçue de mon réflexe. La voyant ainsi, je me recolla a elle et lui chuchota quelques mots doux. Elle mit les assiettes sur la table et on attaqua. On discuta de tout et de rien à la fois, puis on partit en direction de l’université. Les années passèrent, et mon rêve était devenu réalité, je suis devenu chercheur et je m'adonne maintenant à plusieurs sites à l’internationale avec Ashley, qui est devenu ma femme. Un avait particulièrement attirée mon attention de par la complexité de ses infrastructures. J'ai reçu une lettre indiquant que je devais m’y rendre car il avait de la nouveautés. Aussitôt après avoir pris connaissance de cette missive, je me dépêcha de préparer mes bagages et ceux de mon épouse, puis réserva nos billets d’avion pour le lendemain. Rendu à l'aéroport, je fis la même routine, les mêmes contrôles et partit dans l’avion. Le temps du vol passa, on atterrit et se rendit à l’hôtel. Tôt dans la matinée on loua une belle voiture noir et tout terrain pour se rendre sur les lieux. Un des jeunes chercheurs accouru vers moi et me dit qu’il avait découvert une grande faille qui s’étendait très loin vers le nord en direction des temples. Intrigué par cette trouvaille, j’allai chercher le matériel qui me fallait pour descendre harnais, pioche, câble tout y passa. Une fois équipé et près, je commençai la descente. Petit à petit, je me suis rendu vers la petite passerelle précaire que la civilisation avait laissée. Une fois les deux pieds arrivée sur le ponton, je me dirigea vers l’immense porte façonnée dans la roche et ornée de gargantuesque joyaux qui servaient d'œil au visage qui était imagée dans cette pierre. Je criai à plusieurs de mes hommes de descendre pour m'aider à ouvrir, pour avoir accès à la grotte qui était cachée. Après plusieurs heures à pousser, et forcer la porte, nous fûmes épuisés et décida de prendre une petite pose. Plusieurs de mes gars s’installèrent sur le sol et s'adossèrent contre la porte. Tout à coup, un bruit sourd et intense de glissement s'ébruit dans la caverne. Quelques-uns des jeunes de mon équipe tombèrent au sol quand les portes s'ouvrirent. Impressionnés, on se releva et s’introduit dans la grotte. Un pas devant l’autre, on se dirigea vers le centre du tombeau. Il faisait très sombre, plusieurs stalagmites avaient recouvert le sol et les parois. On avait parcouru une très longue distance et vit une petite lumière aveugle qui nous guida jusqu’à un tombeau. Le sarcophage devait appartenir à un homme très précieux pour le peuple selon mon hypothèse dû à la richesse quel contenait. Joyaux, or, colliers, bijoux, tout y passait. On avança rapidement vers les grands coffres qui étaient empilés un par dessus l’autre débordant d’or de chaque côté. On regarda l’or, en n’en devenir avare, et mon attention se fixa sur un petit écrin ouvert contenant une belle bague dorée ornée d’un crâne noir. À côté de ce coffret, il y avait un beau livre fait de papyrus superposée d’une plume noir comme une voix lactée décoré d’engrenages fait de pyrite de fer, aussi appelés, aussi appellé l’or des fous. Envoûté par la beauté de ces objets, je mis la plume et le carnet dans mon sac de jute et enfila la bague. Je regardais aux alentours, mais personne ne me vit. Je décrète à mon équipe qu’il était le temps de remonter et de retourner au campement.On reprit les harnais qu’on avait déposés à l'entrée, s’installa les cordes et je les fit monter les premiers. Une fois tout le monde remonté je m'agrippe et commence à monter. Un frisson de peur me pris et puis la corde lacha. Je tombe rapidement, effrayée et déboussolée. Je vais mourir c’est une certitude.

Chapitre 2

Chapitre 2

Une réincarnation  

Je me réveille, sans douleur, en voyant un jeune femme pleurant en me tenant dans les bras. J’essayai de parler, mais aucune paroles ne sortit juste quelques pleurs. En essayant de me départir des bras de ma mère, je me vis dans un miroir accroché au dessus du lit, où la femme se reposait. je vis un jeune bébé enroulé dans une couverture de satin blanc et noir

Je me suis rendu compte que je m'étais réincarné dans un autre monde. Je grandit rapidement, mes parents très aimants et stricts m'enseignèrent l’art de l’épée de la magie. Ma mère, qui devait être une magicienne de talents selon moi, voir la meilleur de toutes, m’apprit à canaliser ma magie par la respiration, quelques sorts dont la prononciation ressemble au vieux français utilisé au moyen âge, l’utilisation et les valeurs à défendre lors de la pratique de cette dernière. Quant à mon père, je découvre rapidement qu’il était un soldat de la garde rapprochée du souverain, qui régnait en maître sur le royaume ou on vivait. Il m’apprit le maniement de l’épée et quelques compétences de survie. Pour mes dix ans il m’offrit ma première épée faite d’acier, qui était beaucoup plus lourde que je l'imaginais. Après de dur années d'entraînement à suer sang et eau, le jour tant attendu arriva. Je suis prêt pour passer mon examen final. Je devais surpasser mes parents, ceux dont à mon regard, avaient un talent impossible à surpasser voir à égaler. L’examen commençait par un regard intensif de mes aïeux qui me demandaient une répétition de sort qui en regroupe plusieurs types: de diversion, d’analyse, de défense et d’attaque. Une fois les multiples répétitions effectuées je m’arrêta et fixai mes parents qui restèrent silencieux durant un long moment qui me parut une éternité. Un instant après, je vis un énorme sourire sur leur visage, ils me prennent dans leurs bras et me félicitèrent. Ensuite, le  sérieux revient et la deuxième partie du test commença, je devais affronter mon père en duel à l’épée. On s’installa dans une plaine près de la maison,sortit chacun notre épée de nos fourreaux et le duel commença. On se rapprocha et le premier coup retentit, le bruit métallique des lames brisa le silence, le frottement et les vibrations m'ont fait frissonner, j'adorais la sensation. La tension augmenta et les coups devinrent de plus en plus vif et rapide, je pris l'ascendant sur mon père et lui fit quelques revers d’épée et il tomba. Une fois ma lame sous sa gorge je la déposa au sol, l’aida à se relever puis remit mon arme dans sa gaine en cuir. Le moment était venu pour mes parents de décider s’y j'avais réussi l’examen ou non. La délibération était terminée et j’avais très bien réussi. Ma mère me décida alors de m’inscrire à la plus prestigieuses des écoles de l’armée, L’école de Hermsteing dans la capitale du royaume. L’inscription dans l’école débute à chaque fin d’été et la rentrée est au début de l’automne. Le lendemain, on prépara nos valises et on se prépare à se diriger vers la capitale royale. La calèche est prête et tous les bagages sont à l’intérieur. Les chevaux se tiennent près et le cocher leur fait démarrer leur course. Nous quittâmes notre manoir et sortîmes de notre région en direction de Hermsteing. Le trajet allait être d’une durée de trois jours, donc nous devions trouver un moyen de nous divertir. Ma mère amena quelques livres sur différent sujet tels que: l’herboristerie, la magie d’illusion, une liste de spectacles qui allait être jouer sur la grand' place et ses environs, puis un livre noir de notre paroisse décrivant une partie de l’histoire de notre religion. Plusieurs heures défilèrent et le temps du dîner était venu, le cocher détacha les chevaux et les laissa voguer près de nous, il commença la préparation du repas. Au menu, un bon petit bol de soupe voyagèrent, telle qu’on l’appelle dans notre famille. Elle est constituée de quatre ingrédients principaux: de l’eau en grande quantité, du sel, des herbes aromatiques et le secret de cette mixture, une pointe de miel pour le goût sucré. Après ce festin, on commença à se préparer pour la nuit. En sortant le bassin de la coche, on décida, ma mère et moi, d’aller chercher un point où trouver de l’eau. Je scrutais les alentours et je commençai à me mouvoir vers une petite colline  que je vis non loin. Elle n’était pas très haute, mais juste assez pour y apercevoir un petit ruisseau qui était caché par quelques buissons. Je fais un signe de la main à ma mère et je commence la descente. La pente devenait de plus en plus raide et difficile à s’y faufiler, les arbres, les racines, les roches qui se détachaient de la terre, tout devenait des obstacles à franchir sans tomber. Après ce parcours, j'ai réussi, j'étais devant la rivière. Ma mère me regarda du haut du petit monticule de terre et me jetta les seaux pour que je puisse mettre l’eau durement acquise. Je remplis quelques seilles en bois et décide de remonter. Je cherche et trouve rapidement une grosse et vieille branche qui devait être issue d’un des arbres. J'empoigne le bout, accroche mes récipients à la branche, puis la dépose sur mes épaules et commence la remonter. Une fois rentré au campement, je transvase les seaux dans le petit bassin et commence à me laver. Je me prépare à aller dormir, je rentre dans la calèche, pris mon oreiller et m’endormis. Un énorme bruit de combat m'a sorti de mon sommeil, je regardai par le petit vitrage qui entourait mon logis ambulant et vis des traces de sang partout. Une odeur ferreuse me titillait le nez, la craindrait et la peur me prit dans l’échine. Je voyais la vie en rouge, la cruauté du paysage me laissa perplexe et sans voix. Un élan de courage me vint dans le corps et l’esprit, je dégaina ma lame de son fourreau sorti et me faufile au travers de marres de sang et des cadavres démantibulés et dépouillés de toute vie. Un corps, en particulier, me fait frissonner de terreur. Le corps était celui d’une femme d’une trentaine d’années avec une jolie robe blanche tranchée et maintenant en lambeaux qui se reposait dans son propre sang. elle était inerte dans la nuit je regardai la dépouille d’un peu plus près et me repoussa en voyant que le corps était celui de ma mère. horrifié, je me dirige de nouveau vers les chevaux que je retiens après avoir brouté de l’herbe. je latella et m'enfuit en reprenant le chemin de la capitale. Encore sous le choc, je reprit mon souffle serrait les poings et je partit triste vers le prochain arrêt mon prochain arrêt. Les jours passèrent et j’errais de village en village pour enfin arriver aux énormes murs de Hermsteing.Me voilà devant le magnifique pont levis qui protège l'entrée du royaume. Un garde vient m'accoster pour que je lui donne quelque pièces pour payer la taxe d'entrée, puis le pont s'abaisse. Le garde me fit signe d’avancer et de me dépêcher. Je me croyais dans un rêve éveillé. Tout était magnifique. Les bâtiments étaient gargantuesques, l’odeur des restaurants se faisait sentir dès les quelques secondes et les premiers pas qu’on déposait à l’intérieur. La cuisine de rue me faisait saliver. Friture, poisson, viande tout émerveillait mes papilles de leurs saveurs. J'avance découvrant de nouvelles saveurs à chaque regard que je pose sur un lieu. Les bruits de la capitale la rendait magique, mouvementée et achalandée. du quartier commerçant on pouvait y voir le château du roi qui sublimait tout les alentours, voir les environs. Le palais était gigantesque d’un blanc malte il représentait la pureté de la capital et de l’honnêté de ces habitants.                     

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