Au milieu de l'après midi, une jeune femme très jolie de petite taille et mince, tout léger déambulait dans le jardin royal à petits pas découplés, portait une robe brodée de fleur d'iris, en regardant les oiseaux poser sur le palmier, se souvenait de quelque chose prenait le chemin vers son appartement accompagnée de ses servantes.

Arrivait sur le seuil de la porte fit sa surprise de le voir lui l'homme que tout le monde craindre Sa Majesté se trouvait au milieu de la pièce avec un perroquet dans les mains.

Il était grand et sec, son visage avait une expression d'une indifférence, le nez aquilin, les lèvres bien dessinées qui demandait à être embrassées, des yeux noirs comme de l'encre, en observant le regard dur des prunelles noires fait penser à un animal féroce et impitoyable, imposant dans son vêtement majestueux.

Les regards se croisaient et la femme restait sur place perdue dans sa pensée <>entendu t-elle crier,

sussauter, elle s'est mi a genoux en faisant coller sa tête au sol en signe d'accepter son erreur et près a être punie.Rien entendu elle prit le risque de lever la tête <> cria t-elle en voyant son animal se fait etrangler, elle continu <>

dit-elle en fondant en larmes.

Mais le roi n'était pas de cet avis, il tue les oiseaux et jetait le corps sans vie devant le Consort Zu

<>dit-il en la voyant si affliger

<< repondez !>>cria-t-il

- Bi- bien sûr, dit Zu tout tremblante

L'homme se mettre à rire d'un rire sans joie puis approcha de Zu à genoux se courba en prenant la tête du suppliant de sorte pour la regarda droit dans les yeux et prononça.

<< Il y a que moi qui peux te faire sentir tous les sentiments qui existent dans ce monde donc toute chose qui te l'apporte infime soit-elle je l'ai détruirai, est- ce que je me suis bien fait

comprendre ?>> en grinçant les dents.

- Oui votre majesté, en bessant la tête

-Mao, appellé l'empereur

Celui-ci entra dans la pièce, arrivà a cinq mètres du roi, joignant les mains devant tout en courbant l'échine et bessant la tête en signe de respect.

<>, dit le général

- La viande de perroquet doive avoir un goût exquis, tu ne penses pas ?, exprime-t-il d'un ton sans réplique tout en regardant Zu qui serrait l'oiseau contre elle et poursuit

- Consort Zu est triste, mais si elle mange la viande cela lui procurait de la joie n'est-ce pas ?, déclara le roi d'un sourire malicieux

- Votre majesté, dit Mao consort Zu n'aimes pas manger de volailles

- Vraiment ! Tout en jetant un regard noir vers celui-ci.

Le général s'est précipité d'agenouiller sur le fait, mais sa majesté ignorait son geste, en s'en alla,il prononçà a haute voix:

<< je veux que le consort cuise le perroquet pour moi sur la surveillance du général Mao >>sur ces mots quitta la pièce.

 Après le départ du roi, la servante de Zu entra, couru d'aider sa dame à s'élever :

 <

 -Laissez à madame le temps de se rafraîchir, vous ne voyez pas comment elle est désemparée, proposa la servante tout en soutenu Zu

 -C'est l'ordre de sa majesté, retoquait le général

 -Être vous sûr de cela général

 questionna Jun, ce que j'entendais sa majesté a ordonné à madame de cuire le perroquet pour lui donc son altesse peut prendre quelques minutes pour se reprendre

 -Insolente ! Criait Mao, son altesse comptait donner de la nourriture de mauvaise qualité au souverain>>

 La servante s'est mis à genoux sur le dire du général :

 <

 -Ça suffit ! Exclama Zu, le général a parfaitement raison>>

 Sur ces mots, son altesse quitta le palais Ruyi, l'animal toujours serrer contre lui, dirigea vers la cuisine suivit du général et ses servantes.

 Arriver Zu se tenu debout au milieu de la salle tout déconcerté, le temps passaient cinq minutes... dix minutes

 Le général regardait son altesse qui n'a pas bronché depuis qu'elle est entrée dans la cuisine. Il savait que c'étais

compliqué pour elle mais l'ordre de l,'empereur personne pouvait aller à l'encontre sous peine de mort.

  <> interpella Mao

 Elle a compris, déposa le corps sans vie sur la planche, ses yeux remplis de larmes, les mains toutes tremblantes qu'elle approcha la lame sur le

perroquet, a son contact Consort Zu ne peut contenu ses larmes...

 La cuisson terminée, Un l'apporta à sa majesté suivit de près par Mao

 <

 -Qu'est-ce qui vous amenez ici ? Questionnait sa majesté, sans lever les yeux sur son document

 -Le repas est servi votre majesté, dit Jun

 Sa majesté s'est levé la tête vers eux, et répondu :

 -Hmm je vois, soupira le roi, dépose la>>

 Sur un ton désinvolte l'empereur demanda :

 <

 -Madame ne se sens pas très bien, elle vous demande de lui pardonner son absence, expliqua Jun

 -Vas la chercher ? Ordonna le roi

 -Oui, dit simplement Jun

 -Votre majesté si vous n'avez rien à me dire...

 -Vous pouvez partir Mao, murmura le roi en lui coupa la parole >>

 Quelques minutes plus tard consort Zu est arrivée:

 <

 -Ma chère, ne restez pas debout, viens t'assoir, prononça le roi tout souriant

 -Regardez-moi cela, dit l'empereur, ça doit être délicieux, j'ai toujours su que tu étais douée en cuisine

 -Vous me flattez, força de sourire Zu, vous ne l'avez même pas goûter

 -Ai-je besoin de le faire ? l'odeur dans l'appartement le témoignait, rit le souverain >>

 Le roi pose sa main sur celle de sa femme et continu :

 <>et poursuivi :

 <

 -Votre majesté qu'est-ce que vous dites? tout ce que vous faites et dites, c'est pour notre bien, vous êtes celui qui nous guides, déclara Zu, mais dans son cœur était tout autre chose>>

 Le roi portait la main fine de Zu à sa poitrine, lui déclare :

<

-Votre majesté je...

-C'est bon manges, lui coupa le roi

-manges, répéta Zu incompréhensible

-Oui, je pense qu'il est temps pour l'incinération, dit le roi

-L'incinération, répéta Zu de nouveau

-Tu vas répéter tout ce que je dis ? Dit le roi exaspérer

- Je ne comprends pas votre majesté, expliqua Zu

-Bien ! Je veux que tu manges le contenu de ce bol>> gronda le roi

 La femme se mit à genoux pour supplier le roi:

<

-Votre majesté vous savez que j'ingère très mal les volailles, prononça son altesse

-Je sais, mais celui-là est un peu spécial, un membre de ta famille donc tu dois lui donner une funéraille digne de ce nom et la meilleure façon de le consumer est de le manger>>expliquait le souverain avec une tendresse démesuré en caressant la joue de sa femme >>

 Les larmes de Zu ne peut estomper :<<À quoi bon de discuter, il ne changera pas d'avis >>pensa Zu, essuie ses larmes, elle fixa le roi (les yeux dans les yeux) feignis un sourire et alla s'assoir :

<>pensa Zu fermement

 Elle prit les baguettes et prendre une bouchée, mâchait avec appétits sur le regard noir du souverain.

 Elle lui reste qu'un bout, ferment les yeux, souffle un peu, Zu entama l'autre...

 Sa majesté n'a pas détourné les yeux sur ses épouses même pas une seconde, au point il est fier de sa bravoure :

<

-En ce qui concerne la transformation tu n'as pas besoin de moi, à moins que tu veux la garder dans ton palais, répliqua le roi d'un sourire charmeur>>

 Il avança a un mètre d'elle, pencha et chuchota a l'oreille de dame Zu:

-n'oublie surtout pas de bien décoré l'endroit pour le faire >>

 Puis, il tourna le dos à son épouse :

<>ordonna l'empereur

 Sur son dire, Zu s'est incliné et quitta ce lieu presqu' en courant. Loin du

palais de monarque, Zu ne peut

 s'empêcher de courir en direction de son appartement en faisant abstraction à l'etiquette et toute autre chose.

Depuis que Zu est chez elle, sa tête baissée dans une cuvette à vomir tout ce qu'elle avait consommé.

 Sa servante savait que c'étais tout à fait normal , car l'estomac de sa dame ne digère pas ce type d'aliment, mais cela ne lui empêche pas d'être inquiète pour son altesse :

<

-Je n'ai plus rien, rien du tout, murmura Zu d'une voix à peine audible >>

 Zu affaiblie, elle se laisse glisser sur le rebord du lit.

<>

 Jun regarda ne sachant croire dire, elle va vers la carafe, verse du thé et l'apporta à sa dame :

<>

Tenant la tasse, elle demande de la laisser seule.

 Elle déposait le récipient, avança vers la fenêtre en se demandant comment elle en est arrivée là. Pensant à cette fille de la campagne aimant de sa famille, cultivait et jouait dans les champs avec ses frères et sœur, mais qu'est-ce qui a changé? Ou est passé ce jeune fille ?Zu soupire, Marcha dans cette grande chambre luxueuse comme ci l'apercevoir pour la première fois cet endroit qui lui rappelait que cette fille insouciante était morte depuis deux ans et faite place à cette orpheline qui est consort Zu l'une des femmes de l'empereur de Daxian.