"Le Rosey SummerCamps". Est le campus le plus huppé de toute l'Europe, il y accueille que des élèves les plus riche. Le Rosey compte deux campus. L'hiver se passe à Gstaad, où les élèves profitent de pistes de ski privées après les leçons du matin. Pour le printemps, toute l'école s'installe au château de Rosey, dans le village de Rolle, au bord du lac Léman. Au sein de ce domaine, une salle de concert de 1 000 places, un centre équestre, plusieurs terrains sportif et un yacht de 11 m.
C'est le campus le plus hyper de l'Europe.
En arrivant en classe ce matin je retrouvais Camélia en pleure.
-Encore en train de chialer ! Cest vraiment chiant ! S'exclama mauvaise Danielle
-Qu'est-ce que tu regardes comme ça ? demanda Cynthia à ces cotés
Je lui lançais un regard noir
-C'est toi qui as fait ça ? Demandais-je mauvaise
-Depuis quand les orphelins ont-ils le droit de se mêler de tout quand ça leur plait ? Sexclama Danielle
-Elle ne sait donc pas ou se situe sa place ? sourit Cynthia
Du calme ! Ignore-les, plus qu'une seule année à tenir.
Danielle et Cynthia partirent à leur place en discutant des derniers potins sur les élèves, je me dirigeais vers ma place puis posa mes affaires sur la table.
-Alors pourquoi est-ce que tu pleures cette fois ? Demandais-je à Camélia
-Aryety Je suis si bouleversée ! Ça me tue ! Dit-elle en pleurant
-Si le malheur tuait je serais morte depuis loooong temps. Souriais-je. Alors c'est quoi l'histoire ?
-Je... je me suis déclarée
-Oh à ce playboy ?
-NE L' APPELLE PAS COMME CA !!!! Sénerva-t-elle
-Très bien alors à ton « chériiii » Dis-je amusée. Qu'est-ce qu'il a dit ?
Elle secoua négativement la tête en larme.
-Donc il ta rejetée ? A-t-il dit pourquoi ? demandai-je
-IL... Il a dit que j'étais... snif... pathétique et ma dit de déguerpir hors de sa vue.
-IL A DIT QUOI !? S'IL NE T'AIMAIT PAS EN RETOUR, IL AURAIT PU TE DIRE NON TOUT SIMPLEMENT !! ALORS LA IL EST ALLE TROP LOIN. OU EST-CE QU'IL EST CET ABRUTI !!! Mécriai-je énervée
- Sur le toit...
C'est en serrant les poings que je courais vers le toit, j'ouvrais la porte avec fracas et le trouvais appuyé sur les barrières de sécurité.
-Alors comme ça c'est toi ! Comment peux-tu être aussi imbu de toi-même ? Demandais-je énervée
Ce dernier me scrutait en souriant
-Quoi ? Ça te fait rire ?
-Hey! Tu ne serais pas cette fille dingue ? Demanda-t-il
Fille Dingue ?
Le poing toujours serré je lui infligeais un coup de poing au visage. Le gars me regarda étonner.
-C'est toi qui es pathétique, connard ! Mexclamais-je
-Ce n'est pas lui ! Sexclama Camélia derrière moi. C'est pas le bon. Dit-elle choquée
Je la regardais sans comprendre.
-Aryety ! Tu dois avoir une sacrée envie de mourir pour t'en prendre à Djibril Torello ! Ria Danielle
-Aucun moyen que tu aies assez d'argent pour te sortir de ce guêpier ! Souffla Cynthia mauvaise
Ce n'était pas lui ? Mais alors c'est qui ce gars ? Djibril Torello ? Djibril Torello n'ai-je pas déjà entendu ce nom quelque part ?
-Putain de garce ! Tu dois avoir sacrément perdu l'esprit. S'exclama-t-il dans une colère noire
Je me souviens maintenant. Oh mon dieu. Ça fait à peine 1 mois que je suis dans cette école, et j'ai déjà frappé le très populaire « Prince des glaces » en plein visage. Je voulais juste vivre tranquillement sans ennuis juste 1 an de plus ! J'étais dépitée.
Ce dernier m'empoignait ma veste en se rapprochant.
-Ne crois pas une seconde que parce tu es une fille, je vais me retenir ! S'exclama-t-il énervé
-Euh... excuse-moi. Dit Camélia mal à l'aise
-Bordel ! Encore-toi ? Souffla le deuxième gars
-Tu la connais Noam ? Comment se fait-il que tu la connaisses ? Demanda Danielle à c'est coté
-Oh, mais je comprends maintenant. Après que j'ai rejeté cette fille insignifiante, elle est allée voir cette dingue pour qu'elle la défende. Expliqua-t-il
Je me dégageais de sa prise.
-Excuse-moi. S'excusa Camélia
-Tu n'as pas à t'excuser. Tout ça c'est à cause de ce grossier bâtard insignifiant. Dis-je en pointant Noam
Je lui pris la main en l'emmenant vers la sortie.
-Pas si vite, nous n'avons pas encore terminé. Dit-il en s'interposait devant moi
-Pousse-toi de mon chemin !
-Oh, tu as envie de partir ? Sourit-il
-POUSSE-TOI ! Mécriai-je
-Si tu veux partir tranquillement, alors met-toi à genou et demande pardon. Dit-il
-Aryety qu'est-ce qu'on fait ? Demanda Camélia apeurée
Je gardais le silence, en le regardant droit dans les yeux.
-C'est toi qui devrais t'excusé.
Je le contournais et emmena Camélia vers la sortie.
-Si tu t'en vas sans t'excuser je te promets que tu le regretteras. Déclara Djibril
-Fait ce que tu veux pauvre con ! Dis-je en partant
Dans l'après-midi cette histoire avait fait le tour du lycée.
-C'est elle ! C'est la fille ! Murmura une élève
-J'ai entendu dire que Djibril l'avait dans la ligne de mire. Murmura une autre
-Si elle est dans le collimateur de Djibril, alors elle est seule. Souffla un élève
-Mais à quoi est-ce qu'elle pensait ? S'interrogeait d'autres
-On raconte que c'est une orpheline. Répondit une notre
-Non c'est vrai !
Camélia était vraiment mal à l'aise de toute cette histoire.
-Aryety, les autres élèves...
-Tu devrais peut-être aller déjeuner ailleurs. Dis-je indifférente
-QQuoi ? Mais pourquoi ? Demanda-t-elle
-Parce qu'ils ne vont pas arrêter de raconter des conneries sur moi, et par conséquence ça pourrait te retomber dessus.
-Tu es en train de me dire de te mettre à l'écart pour sauver ma peau ? Comment peux-tu dire un truc pareil ? Demanda-t-elle Ahurie. Nous sommes amies, non ? Qu'importe ce qui peut nous arriver, que ce soit à toi ou à moi, nous devons rester solidaires !
-Justement c'est parce que nous sommes amies! Que je ne veux pas que tu aies des ennuis.
-Je vais bien maintenant, alors arrête de dires des trucs comme ça !
-Merci tu es une bonne amie. Souriais-je
-Toi, contente-toi de manger, ça va te redonner des forces ! En poussant son plateau devant moi
-Aww, comme cest mignon. L' orpheline est trop pauvre pour s'offrir à manger, alors elles partagent. Tu veux ma bouffe aussi ? Sexclama fortement Danielle
-J'ai une constitution délicate et je ne tolère, réellement pas l'odeur terrible qui émane de toi, tu ne pourrais pas aller voir ailleurs ? Demandais-je en soupirant
-Mais pour qui est-ce que tu te prends ! S'exclama outrée Cynthia
Enervée Danielle renversa son plateau sur moi, Cynthia jeta le siens sur Camélia, elles partirent en riant, quand je leur fis un croche patte à Cynthia qui était la première à partir, elles s'étalaient tous les deux parterres sonnés.
-Elle ne vient pas de leur faire un croche-pied là ? Demanda une fille à coté
-A-t-elle dit qu'elle permettrait leurs conneries sans rien dire ? Demanda un autre
-De toute façon ces filles doivent se sentir tellement humiliées. Déclara en riant un élève
-Ne venez pas me chercher c'est exactement comme vous l'avez dit tout à l'heure « Je ne connais pas ou est ma place » et je n'accepte pas ce genre de connerie venant de personnes comme vous. Affirmais-je debout devant elles
-TU NE VAS PAS T'EN SORTIR COMME CA ! Cria Danielle toujours parterre. Attends de voir un peu Aryety je vais te faire vivre un enfer !
Nous marchions toute les deux en souriant.
-C'était super ce que tu as fait pour moi tout à l'heure j'ai vraiment apprécié. Sexclama Camélia
-Merci
-Maintenant allons voir Kay ! Il doit attendre, même s'il est dans la même école, nous n'avons pas beaucoup eu l'occasion de le voir. S'excita-t-elle
-On n'y peut rien. Le cours spécial pour les E.D (C'est pour les élèves qui ont quelque souci d'ordre mental ou autre.) ne suit pas le même emploi du temps.
-C'est vrai ? Demanda-t-elle
J'hochais la tête pour lui confirmer.
-Allons-y quand même Humm oh, il est là-bas! Hey Kay!!!
-Ne l'appelle pas !
La classe de Kay participait à un cours de tennis.
-Pourquoi ?
-Cest juste qu'il faut qu'il s'habitue à se débrouiller seul. Expliquais-je
-Cest vrai, c'est important de le laisser être indépendant on dirait qu'aujourd'hui il s'amuse bien.
-Oui. Souriais-je. Allez retournes en cours je te rejoins après.
J'observais un moment Kay puis fit demi-tour, j'accélérais le pas en passant par le parking, quand soudain je percutais accidentellement une moto, je regardais de plus près s'il y avait des dommages mais heureusement aucune en vue juste quelque légère trace.
-Tu veux un coup de main ? Demanda quelqu'un derrière moi
Je sursautais puis me retournais. Bon sang parmi toutes les personnes il fallait que ce soit lui !
-Qu'est-ce que tu veux ? Demandais-je méfiante
-Rien je te demande si tu veux un coup de main. Dit-il simplement
-Ne te fout pas de moi. Si tu as quelque chose à dire, alors dit le maintenant. M'énervais-je
Djibril me regarda en souriant, puis se tourna vers sa moto.
-Paie pour les dommages.
Je le regardais ahurie.
-Quoi ? Y'a à peine une trace !
-Tu es aveugle ? Regarde de plus prés. Dit-il en agitant les clés
Il s'avança vers la moto et y fit une énorme rayure.
-Hey! Mais t'es malade ou quoi ?!! Sécria choquer Noam
-Il ya une éraflure là. Tu la vois maintenant ? Alors ? Qu'est-ce que tu vas faire ? Demanda-t-il
-C'est ton problème pas le mien ! Pauvre taré ! Déclarais-je
-Tu es en train de dire que tu ne comptes pas payer pour les réparations ?
Djibril me lança un sourire en coin fière de lui
-T'es sourd ou quoi ? Je m'en fiche fais ce que tu veux ! Dis-je en partant
-Mais pourquoi est-ce que tu as fait ça ? Ta moto ! S'exclama Noam
-Hey ! Tu étais sérieux tout à l'heure de lui faire payer les réparations ? Demanda Mehdi
-Tout ça pour une blague, ta rayé une si belle moto juste pour t'embrouiller avec cette fille. Pleurnicha-t-il
Mehdi lui lança un regard en soupirant
-Désespérant. Dit-il
-C'est maintenant que ça devient intéressant. Souri Djibril
Chap 2
Je songeai encore à ma rencontre avec Djibril,
- Camélia… à propos de crétin … il est si important que ça ? Demandais-je
- Qui ça ? Demanda-t-elle en retour
- JE TE PARLE DE CE CONNARD DE DJIBRIL TORELLO ! M’exclamais-je
- Q-QUOI !? S’écria choquée Camélia, Tais-toi pas si fort !
- Bah quoi je suis juste curieuse… Il se comporte toujours comme s’il était toujours important, je pensais qu’il avait des relations importante un truc comme ça. Dis-je
- Bien sûr que oui même les profs doivent faire attention à la façon dont il le traitre à cause de son statut. Son père est l’administrateur en chef de l’école. As-tu entendu parler de la compagnie Torello ? Et bien sa famille en sont les propriétaires. Expliqua-t-elle
- Ah ouais ?
- En plus il est tellement canon ! C’est pour ça qu’il autant populaire, bien qu’il est des problèmes de personnalité, mais ça se n’ai qu’un détail. Rêva-t-elle
Aïe ! Je vais avoir de grave de problème si ça continue. Pensais-je
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À la fin des cou, jeje me dirigeais vers la salle de dessin.
- Bonjour.
- Tu as l’air complétement fatiguée aujourd’hui. Tu es souffrante ? Demanda le professeur
- Non, je vais bien. Dis-je avec un sourire forcé
A l’exception de cette horrible migraine. Mais ça on ne peut rien n’y faire.
- Mademoiselle ? Mademoiselle Anderson ? M’appelle le prof
- Ah oui ? Désolée j’étais dans mes pensée !
- Ce n’est rien ! Cependant y’a ton petit-ami qui est venu te voir. Dit en souriant
- Petit-ami !? …. Mais j’ai personne dans ma vie. M’exclamais-je en rougissant
- Mais ce garçon là, ça fait un moment qu’il t’observe ! Dit-il en pointant la véranda
Je me tournais vers la véranda en question et aperçu Djibril de l’autre côté me regardant.
- Je ne le connais pas ! Dis-je en me retournant
- Bah portant vu le regard qu’il te lance, on dirait qu’il y’a plus entre vous deux. Dit-il en souriant
Je lui lançais un regard désespérant et retournais à mon dessin.
- Bon, il faut que je parte de bonne heure aujourd’hui. Je te fais confiance comme d’habitude pour fermer derrière toi. Dit-il en partant
- Je le ferais ! Lui criais-je
Je me retrouvais seule dans la pièce, mais sentais toujours le regard de Djibril dans mon dos, je lui lançais un regard torve vers lui, ce dernier me lança un sourire en coin avant de partir à son tour. « Espèce d’enfoiré ».
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Sur le parking du campus Djibril retrouva Noam assis sur la moto.
- Mehdi n’est pas avec toi ? Demanda Djibril
- Non il ne se sentais pas bien il est rentré à l’internat. Expliqua-t-il. Ou veux tu ….
- Enfile ça et tais-toi ! Ordonna-t-il en lui filant son casque de moto. Je vais faire un tour sur le campus.
- Le campus ? Qu’est ce qu’il y a voir ?
- Tu savais qu’il y avait une salle dessin sous une véranda dans cette école ?
- Une… salle dessin ?
- Accélère et monte. Dit-il déjà sur la moto
- Hey ! Tu ne devrais pas mettre un casque ? Demanda Noam
- Non … garde-le. Dit-il
- Tu sais si on a un accident, tu mourras probablement.
- Ça me va, comme ça ! Souffla-t-il
- Comment ça, ça te va ! Je pourrais mourir moi aussi ! S’écria-t-il
- Comme ça je ne mourrais pas seul ! Répondit Djibril en souriant
- QUOI !? Mais t’es dingue ? Je veux continuer à vivre jusqu’à ce que je sois devenu un vieux sénile !!! Cria-t-il affoler quand Djibril accéléra
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- Kay ! C’est l’heure de manger. Lui dis-je
Kay regarda tristement son assiette presque vide, puis fronça les sourcils en colère.
- Des œufs !! Je veux des œufs !! Dit-il en colère
- Nous n’en avons plus mais je t’en ferais demain d’accord ? Lui dis-je en souriant
- Vraiment ?
- Oui, mais si tu ne manges pas maintenant, il n’y aura pas œuf demain c’est clair ?
Il bouda en silence avant d’attaquer son repas.
- Demain, j’ai envie de manger une omelette avec du riz et un bon gros steak. Dit-il
- Ah oui un gros steak et un gros comment ?
- Gros comme ça ! Dit-il en écartant les bras exagérément
J’éclatais de rire, à ça bêtise.
- Mange lentement sinon tu auras mal au ventre !
« Plus que n’importe qui ça me rendrais heureuse de pouvoir acheter autant de la nourriture pour Kay » Pensais-je tristement
- Grand-sœur mange ! Mange si sa va devenir tout froid ! Me dit-il
- Désolée… aller bon appétit.
- C’est trop bon ! La cuisine de grand-sœur c’est la meilleure ! T’es génial ! Dit-il heureux
- Evidemment ! Dis-je fièrement avant d’éclater de rire
« Plus qu’un an et tout ira bien… encore un an » Pensais-je
Le lendemain devant l’entrée du campus, je donnais mes dernières instructions à mon frère.
- Je te verrai après les cours d’accord. Travaille bien aujourd’hui ok ?
- Oui, je ferais de mon mieux c’est promis ! Dit-il en souriant
- Areyty ! Areyty ! C’est une catastrophe ! Dit-il affolé
- Monsieur ? Que se passe-t-il ? Demandais-je
- Dans la véranda…
- Attendez ! Juste un instant. Je me tournai vers Kay. Va en cours, je te verrais plus tard.
- Bye, Bye ! Dit-il en partant
- Je vous écoute que ce passe-t-il à la véranda ? Demandais-je
- Suis-moi, tu verrais de t’es propres yeux. Dit-il en faisant demi-tour
On arriva à la véranda de la salle et vue avec horreur la salle saccagée, tout était détruit et à moitié brulé
- Je n’arrive pas à croire que quelqu’un ai pu faire une chose pareille ! J’ai déjà déposé plainte auprès de l’administration, pour retrouver les coupables. Répondit le prof
Je sorti de la salle en courant à la recherche de cet enfoiré, au détour d’un couloir je l’aperçu enfin se diriger vers la salle de musique. J’ouvrir férocement la porte de la salle et marchai vers lui énervée.
- TOI ! DEBOUT ! M’écriais-je
- Va te faire foutre. Dit-il tout simplement
- J’AI DIT DEBOUT ! En lui donnant un coup de poing dans le ventre
Il se plia en deux à cause de la douleur.
- Tu t’imagines que tu peux tout foutre en l’air parce que tu domines dans cette école ? Dis-je en colère
- Putain, mais de quoi tu parles ? S’énerva-t-il à son tour
- Connard ! Tu avais si peur de m’affronter en face ? T’as donc si peur que tu peux seulement t’en prendre à une salle. Continuais-je
- Je vais te le dire gentiment et une seule fois : Fous le camp ! Dit-il calmement
- Tu crois que j’ai peur de toi !
Se levant il se rapprocha de plus en plus de moi, on se regarda droit dans les yeux en silence. D’un geste vif Djibril me colla contre le mur la main serrant mon cou.
- Alors ? Qu’est-ce qui te donne le cran d’être aussi casse couille ? Vas-y dis-moi ? Pourquoi es-tu si silencieuse tout à coup ? C’est parce que tu as peur ?
« Il est sérieux !? Je n’arrive même pas à parler et il croit que c’est parce que j’ai peur ! ». Il serra de plus en plus que ma vue se brouillais.
- C’est d’un ennuie. Dit-il en me lâchant. Tu aurais au moins pu m’insulter ou éclater en sanglot et me supplier que je t’épargne. Mais tout ce que tu as fait c’est de rester là en silence. T’es trop conne. Souri Djibril
Au moment ou il se tourna vers moi, il reçu la gifle du siècle. La rage qu’il vit dans mon regard l’arrêta dans son monologue.
- PLUS. JAMAIS ! PLUS JAMAIS CA ! ESPECE DE PSYCHOPATHE ! Hurlais-je folle de rage
Je la salle toujours aussi énervée.
- Ça devient très intéressant. Dit-il en souriant
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De retour dans la classe, je fulminais toujours contre ce gros con.
- Qu’est-ce qui t’es arrivé au cou ?
- Hien !?
Camélia me passa son miroir, en le plaçant vers mon cou je pu effectivement bien voir les traces violacées qui entourait mon cou les empreintes de doigt de cet enfoiré était très visible.
A la pause de cour Camélia me redemanda la cause de ces marques.
- Ce n’est rien d’important ! Soufflais-je pour la énième fois
- Un « rien » ne marque pas à ce point-là. Dit-elle
- Eh bien, regardez-moi qui c’est ! S’exclama une voix niaise
- Allez viens j’entend des moustiques dans le coin que sa siffle trop fort ! Dis-je en prenant la main de mon amie
- Qui est-ce que tu traites de moustique ? S’exclama Danielle
- Si tu te sens visé ce n’est pas mon problème. Idiote.
- Allez viens on s’en va Aryety ! Annonça Camélia
Arriver aux distributeurs Camélia toujours silencieuse se lança.
- C’est elle n’est-ce pas ? Les marques, c’est Danielle qui te les a faites ?
J’éclatais de rire en la regardant.
- Tu crois sincèrement que cette pauvre fille arriverait à me faire des marques pareilles ? Riais-je
- Bon d’accord … ok !
Après avoir grignoter des gâteaux on retourna en classe, sur le chemin nous tombions encore sur Danielle et Cynthia.
- Toi, la garce. Tu devrais réellement apprendre à connaitre ou se trouve ta place. A l’évidence, tu imagine que cette école t’appartient. S’exclama-t-elle
Je continuais mon chemin sans lui adresser la parole.
- Aux faites, tu as aimé la nouvelle déco de ta salle ? Demanda-t-elle fière d’elle
- QUOI !?
- Je peux voir à ta tête que tu as adorée ! Ria-t-elle
- C’était toi ? Sifflais-je
- J’ai vue que Djibril te regardait, alors je me suis dit que je devais lui éviter cette peine, alors je m’en suis chargée. Expliqua-t-elle
- Moi aussi, j’ai aidé. S’exclama fièrement Cynthia
- Tu es tellement pathétique. Dis-je
- Arrête donc de faire semblant d’être forte. Tu n’as toujours pas compris. TU N’ES PERSONNE !! Cria-t-elle
- Tout ce que j’ai entendu c’est que tu à brulé et détruite quelque feuille de papier et des murs ? Whoua… et alors quoi ? Tu veux une médaille peut-être ?... Vous autres vous êtes vraiment sans espoir ! Dis-je blasée
Certains élèves qui c’étaient arrêter éclatèrent de rire.
- Comment elle les a envoyées boulet avec respect ! Alors là je dis chapeaux. Répondit une élève
- Hey !! C’est pas terminé ! Hurla Danielle en me sautant dessus
Les coups pleuvaient sur moi avec Cynthia, elles se déchainaient.
- Pour qui tu te prends !? Cria Cynthia
- Tu as eu ta bourse d’étude juste parce que tu es orpheline ! Tu devrais t’incliner sur le sol là ou est ta place. Continua Danielle
« Et alors je suis une orpheline ! Vous croyez que c’est ma faute ? Que c’est mon choix ? »
En esquivant le prochain coup je repris rapidement le dessus sur les deux pétasses.
- Tu te prends pour qui pour me dire ça ? Hein !? Qu’est-ce qui te fais penser que tu as le droit de me traiter comme ça. En lui faisant une balayette
Elle s’étala fortement parterre en sang. Je me tournais ensuite vers sa copine qui me regardait avec peur.
- Je suis orpheline et alors ? Moi au moins j’ai le respect pour les autres, j’ai eu ma bourse car je l’ai méritée parce que je suis intelligente, contrairement à vous qui avait dû payer une fortune pour y être intégrée. Répondis-je énervée en poussant Cynthia contre le mur
- MAIS QUE CE PASSE-T-IL ICI ? Hurla quelqu’un
- Professeur ! AAAAAAAAAAAH ! Cria Cynthia en pleurant
- Relâche-la sur le champ ! Mais qu’est-ce qui ne va pas chez toi ? Suis- moi dans le bureau tout de suite ! Ordonna le professeur
- Mais ce n’est pas moi qui ai commencé.
- Tu oses me répondre en plus ? Je t’ai vu frapper cette jeune fille de mes propres yeux ! S’énerva-t-il
- Et alors vous n’avez vu que la fin de l’histoire et non le tout commencement.
Il leva sa main prête à me gifler à mon tour.
- Faite très attention professeur. Vous ne m’avez jamais aimé et vous me l’avez bien fait savoir, et moi non plus je ne vous aime parce que je suis une orpheline vous me prenez pour votre bouc émissaire, mais je vous préviens si cette main me touche je porte plainte pour harcèlement psychologique sur élève et agression c’est clair ! Sifflais-je hors de moi
- Monsieur Aryety dit la vérité ! Ce n’est pas elle qui à commencé Danielle et Cynthia l’ont agressée verbalement et physiquement. S’exclama Camélia
Je la regardai surprise de son intervention.
- Vraiment ? Demanda-t-il
- Oui j’ai tout vu. Ce sont les filles qui ont commencé. Insista-t-elle
- Très bien. Si c’est ça je laisserai passer pour cette fois. Mais si jamais je te reprends à te battre, tu auras de sérieux problème. Me dit-il
- Si vos le dites. Et elles alors vous ne leur direz rien je présume ? Comme toujours.
« Le sarcasme que j’infligeait à ce prof le mettez toujours hors de lui. »
- Aryety va à l’infirmerie tu saigne ! Ordonna mon amie
Le truc dans la serre.
- Tu vois c’est marque sur mon coup ? On appelle ça « une tentative de meurtre »
- Réalises-tu même à quel point tu es fière ?
- Pourquoi est-ce que tu n’es pas encore parti ?
Il me regarda en souriant puis fit demi-tour. L’infirmière arriva a son tour pour me soigner.
- J’ai fini avec ton frère. Viens et assied –toi. C’est ton tour.
- Je peux me soigner toute seule.
- Tu crois que je suis uniquement là pour la décoration ? Dit-elle sarcastiquement
- Non madame…
- Hey comment tu connais … ! Commença Djibril
- Qui ?
Je n’eus aucune réponse car il sortit de la pièce.
Après les soins fait. Je pris Enzo par la main et sortîmes, en ouvrant la porte je tombais sur Arturo juste en face.
- Merci pour tout à l’heure.
- Est-ce que tu essaies de te la jouer gentille ?
- Hein !
- Tu as dit que tu ne me reconnaissais pas ! Serais-tu donc l’une de ces filles ? Insista-t-il
- Je ne vois pas du tout de quoi tu parler.
- Quoi maintenant que tu t’es fait chopée. Tu joues les idiotes ? Serais-tu embarrassée ? Maintenant je paris que tu prévois de chialer et de jurer que tu ne savais rien.
Je sentais mon frère paniquer derrière moi, je lui serrais la main en signe de réconfort, toujours en train de regarder Arturo. En plus je ne savais vraiment pas de quoi il parlait.
- Pense ce que tu veux.
- JE HAIS LES FILLES COMME TOI ! Cria-t-il
- HEY ! JE NE T’AI JAMAIS DEMANDE DE M’AIMER, NI MEME DE M’AIDER ! C‘EST CLAIR ALORS LAISSE-MOI TRANQUILLE ! Criais-je à mon tour.
Non mais je rêve ! Il se prend pour qui cet abruti, la main toujours serrer j’avançais avec Enzo dans les couloirs du lycée jusqu’à sa classe. Arriver Enzo s’arrêta devant la porte, je le regardais en silence pendant un moment.
- Pourquoi tu n’entre pas ?... As-tu peur que ces abrutis te fassent encore du mal ? Ne t’en fait pas. S’il t embêtent encore je ne les laisserais pas faire. Le rassurais-je
- Mais … grande sœur tu viens de te faire botter les fesses, tout à l’heure.
- Oui … c’est vrai ! Mais ce n’est pas ce que … je n’ai … je n’avais pas manger. Mais promis ça ne se reproduira plus. La prochaine fois c’est moi qui gagnerais.
Enzo me regarda les larmes aux yeux.
- Je te promets que je ferais tout pour te protéger, même si je dois aller en prison. Tu me crois n’est-ce pas ?
- Oui grande-sœur je te crois. Mais … pourquoi ce garçon était-il fâché contre toi ? Qui c’était ? Demanda-t-il
- Ne fait pas attention à lui c’est personne, tu n’as pas à t’en soucier !
- Mais en tout cas il était comme superman ! Sourit-il
Superman ? Mon pauvre Enzo, pour nous il n’existe personne de près ou de loin qui ressemble à Superman ! Dès qu’il fut rentré en classe je me dirigeais vers le toit, comme je savais que personne n’y serait j’y serais tranquille.
Appuyer sur la balustrade je lâchais un soupir, Enzo n’arrêtait pas de demander pourquoi nous n’avions pas de parent. Je regardais le médaillon qu’avais offert papa à maman avant sa mort, c’était une photo de nous 3, Enzo était encore dans le ventre de cette femme. Je ne pouvais pas lui raconter. Si c’était pour nous abandonner à ce genre de vie, où tout le monde nous méprise… pourquoi nous avoir mis au monde ? Je sentais mes larmes couler. Des larmes de colère.
- Quelle chance ! Est-ce l’un de t’es talents personnel de te la jouer mélodrame ? Demanda Djibril
Je sursautais de peur ! Mais j’avais oublié un détaille c’est que j’étais appuyer sur la balustrade, je me sentais tomber en arrière. Je fus attrapée fermement par le poignet et tirer vers quelque chose. En me relevant je m’aperçus de notre position très intimes.
- Merci. Chuchotais-je choquée
- Waouh ! Elle sait dire merci ! C’est la 1ère fois que je l’entends.
- Ta gueule. Je sais dire merci quand c’est nécessaire.
- ****** ! Pauvre *****, je viens juste de te sauver le *** ! Tu aurais pu tomber et mourir et tu oses me dire « ta gueule » ! S’énerva-t-il
- Et la faute a qui ?
- Ou diable as-tu appris un langage pareil ?
- C’est fort venant de toi ! Traiter les gens de « sale ***** » à tout va ! m’énervais-je
- Parce que tu ES une sale ***** ! Insista Djibril
- Pourquoi est-ce que tu …non pourquoi toi et Arturo vous me traiter comme ça ? Quoi qu’il en soit ma situation est peut-être différente de la vôtre mais ça ne veut pas dire que je suis une sorte de jouet avec lequel vous pouvez divertir à votre convenance.
- Ta triste situation ? Le jouet d’autre personne ? A quel point une personne peut-elle s’apitoyer sur elle-même ? Demanda-t-il
- S’apitoyer ? j’imagine que c’est comme ça que tous les gens comme toi peuvent le voir.
- Que veux-tu dire par « Les gens comme toi ? »
- Des gamins qui ont tout eu sur un plateau d’argent depuis le jour de leur naissance. Vous avez toujours eu tout ce que vous voulez. Alors vous vous imaginez que le monde tourne autour de vous.
- Aurais-tu un complexe d’infériorité ou un truc du genre ? Sourit Djibril. Cesse de te comporter comme si le monde entier était contre toi. Comme si tu étais la seule personne à souffrir. Ne sois pas imbue de toi-même.
- C’est l’hôpital qui se fout de la charité ! T’es sur que t’es sur que t’es inscrit dans ce campus pour ne pas avoir remarquer comment je suis traitée parce que je suis entrée avec une bourse. Qu’est-ce que tu en sais ? Tu as tout ! Qu’est-ce qui te donne le droit de me parler comme ça ? M’enervais-je en partant
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Dans les toilette je m’aspergeait d’eau et me calmer suite à ce tete a tete avec Djibril. J’inspirais fortement en fermant les yeux.
Ne laisse pas cet enfoiré t’avoir… Ignore le tout simplement !
- Quel con… ! Soufflais-je
A peine franchie le pas de la classe je sentais tous les regards sur moi, Camélia arriva vers moi inquiète.
- Pourquoi est-ce que tout le monde me regarde ?
- Djibril était là tout à l’heure ! Dit-elle
- OK … Et qu’est-ce que ça a voir avec moi ?
- Il te cherchait.
- Pourquoi donc ?
Elle se rapprocha et me chuchota à l’oreille.
- Il tenait ton pendentif !
Je sursautais choquer, je posais mes mains sur mon cou et cherchais aussi dans mes poches.
Il était plus là ! ***** il n’est plus là ! Je l’avais encore quand j’étais sur le toit.
Je me levais panique, prête à sortir quand Camélia m’attrapa le bras.
- Ou est-ce que tu vas le cours va bientôt commencer.
Je la regardai en silence, puis me rassit. Je suis vraiment bête.
De tous les objets, il fallait que ce soit celui-là qui soit entre les mains de ce gars.
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- Vous ne pensez pas qu’on devrait s’occuper d’elle ? Demanda Noam
- De qui est-ce que tu parles ? Demanda à son tours Isaac
Noam se pencha vers Isaac et lui chuchotant.
- Comment as-tu pu oublier ? Celle qui a frapper Djibril en plein visage !
- Je peux t’entendre tu sais. Sourit-il a distance
- Mais sérieusement… nous allons laisser cette ***** s’imaginer qu’elle peut s’en tirer comme ça ? C’est elle qui l’a voulu, à chercher des embrouilles aux mauvaises personnes ! S’énerva Noam
- Qu’elle rancœur ! Elle t’a eu toi aussi ? le nargua Isaac
- QUOI ? NON ! JE TE DIS JUSTE QUE JE N’AIME PAS LE FAIT QU’ELLE S’EN SORTE AUSSI FACILEMENT !
- Très bien si tu le dis ! Ria Isaac
- Djibril tu vas réellement la laisser faire ce qu’elle veut ? Demanda Noam en se tournant vers son ami.
- Hum… Je ne sais pas. Que devrais-je faire de toi, Aryety ? Dit en se tournant vers moi
Je ne sais pas comment il avait fait pour m’entendre alors que je n’avais pas fait de bruit.
- Bon sang qu’est-ce que tu fous là ? Tu veux qu’on te frappe ?
- Essaye pour voir ! Le narguais-je
- Elle me provoque celle-là !
- Tu la chercher aussi, laisse la tranquille. Répondit Isaac
Je passais devant eux et me rapprochais de leur chef en question.
- Rends-le-moi !
- Rendre quoi ?
- Mon pendentif.
- Et pourquoi je ferais ça. Dit en me regardant de haut en bas
- Parce qu’il est à moi ! Insistais-je
- Tu ne connais pas le diction ? Trouver c’est garder. Sourit-il
- Je ne suis pas d’humeur à écouter t’es conneries !
- Hey je ne raconte pas de conneries. Dit-il
En se retournant je vis mon pendentif sorti de sa poche, je me penchais pour l’attraper mais il m’esquiva en riant. Il le sorti et le tendit en l’air.
- Je t’ai dit de me le rendre !! En essayent de l’attraper
Noam et Isaac de l’autre coter regardaient la scène abasourdie.
- ****** qu’est-ce qu’ils font tous les deux ? Dit-il choqué
- Que… Djibril … ça l’amuse réellement…
- Bien il semblerait que tu tiennes affreusement à cette chose. Très bien. Dans ce cas donne-moi l’envie de te le rendre.
- Qu’est-ce que tu veux ? Demandais-je
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