-Gaïa ! Dépêche-toi nous n'avons plus le temps.
-Isaac, je t'en supplie nous pouvons trouver une autre solution.
-ma chère épouse tu le sais bien nous n'avons pas le choix, tu dois le faire !
Les portes du château essaient de s'ouvrir. Derrière ses portes des soldats du feu essaie de rentrer dans la salle où Gaïa et Isaac se sont enfermés avec leur petite fille Maura âgée à peine d'un mois, le temps leur est compté.
- Les portes vont bientôt céder Gaïa, fait ce que tu as à faire.
-Laisse-moi le temps de lui dire au revoir Isaac.
La mère prit sa fille dans ses bras et la serra bien fort. Les larmes aux yeux, elle lui glissa dans son drap de soie dans lequel la petite était enroulé un pendentif.
- Ma petite fille, ta venue était si inattendue, le temps passé avec toi était court, mais a rempli ton père et moi d'une joie qu'on aurait jamais pu imaginer.
-Gaïa, nous n'avons pas le choix, il faut la protéger. Fait ce que tu as à faire pour la sauver.
- Je le sais Isaac ! Laisse-moi le temps d'endormir ses pouvoirs afin qu'il ne la trouve jamais.
- Jusqu'à ce qu'elle doive accomplir sa destinée.... ,souffla Isaac.
Dans les bras de sa maman Maura, paisible et tellement innocente ne comprend rien de ce qui se passe autour d'elle. Elle dort paisiblement. Sa mère la serra bien fort dans ses bras, dans le creux de son oreille, elle entonna des paroles inaudibles. Une lueur d'un bleu si éclatant, si pur entoura la petite avant de se rétracter en elle. À ce moment la Maura disparus.
En une fraction de temps les portes cédèrent, une horde de créatures rentra dans la pièce et les encercla.
-Où est l'enfant ?
Une créature très grande, à la peau écaillée et d'un rouge maussade entra dans la salle. De ses ailes d'un noir satin et de ses cornes toutes aussi noir, il traversa la salle en direction de Gaïa et d'Isaac.
- Je répète où est l'enfant ?
-Quel enfant ? Répondit Gaïa
- L'enfant que t'a été soufflé afin que tu le mettes au monde, toi femme infertile. L'enfant qui selon la prophétie me ramènera à ma perte, qui m'arrachera de mon trône.
- L'enfant n'est plus de ce monde Isfri, si tu ne me crois pas regarde dans le berceau, souffla Isaac tout en regardant son épouse dans les yeux.
Celui-ci se dirigea vers le berceau et vie un nouveau-né, immobile, sa poitrine ne faisait pas de va-et-vient, son teint était très blanc. Un petit être sans vie.
- Le cœur de notre enfant n'a jamais émis le moindre son battement depuis que je l'ai mise au monde, pleura la mère.
Gaïa et Isaac se regardaient avec tristesse et tendresse et venant l'un à l'autre afin de se serrer une dernière fois dans les bras. Ils le savaient la fin était proche, mais la seule chose qui leur donnerait du bonheur avant de mourir était de savoir que leur petite fille était sauvée et en sécurité, et que tous la croyaient morte.
- Et bien, cela aura été plus simple que je ne le croyais. Voyez-vous cela mes amies, l'enfant destiné à me détruire n'a même pas été capable de survivre une journée, dit-il en ricanant fasse à toute son armée de créatures qui se mit à rire aussi.
Il se tourna vers Gaïa et Isaac, et Isfri leur dit :
- Bon pour vous, je vais être Clémant. Et je vous invite à rejoindre votre enfant afin que vous soyez à nouveau réuni.
De ses paroles un énorme nuage rougeâtre et noirâtre se mis à tournoyer autour de Gaïa et d'Isaac.
Ses deux âmes sœur se serra fort, et se regardèrent dans les yeux durant leur derniers baisers.
Le nuage devient feu et se retirant de là, Isfri et son horde laissa derrière eux que flamme immense qui ne laissa que cendre une fois consumé.
Ouiiinnn, ouinnnn
- Paolio, entends-tu ce bruit ?
- J'entends, je vais allez voir, je suis sûr que c'est encore ce satané renard qui est encore en train d'essayer de me voler une poule.
Paolio sorti de son lit vêtu de son pyjama blanc rayé vert, pris au passage sa carabine accroché au-dessus de la cheminée et ouvrit la porte brusquement.
Après un pas, il s'arrêta net, sa femme Maria derrière lui, se tenant à l'encadrement de la porte le regardant en ne comprenant pas ce qui avait pu faire stopper son mari comme ça.
Sans aucune parole, Paolio posa son fusil par terre et s'agenouilla à un mètre de la porte juste après les marches de la maison. Interloquée sa femme ne comprenait pas ce qui se passait. Elle le regardait s'agenouille sans un mot.
- Seigneur dieu, nos prières ont été entendues Maria. Tout en prononçant ses paroles, Paolio se redressa et se retourna fasse à sa femme.
-Oh non de non, Maria était ébahie. Son mari se tenant en face d'elle, tenait dans ses bras enveloppés dans un magnifique tissu de soie rouge quelques choses qu'elle ne peut identifier jusqu'au moment où une petite main sortie de la couverture.
- entre vite Paolio, le bébé dois avoir froid met toi auprès de la cheminée.
S'embrassant de rentrée, le mari exécuta le conseille sa femme et s'assit sur son fauteuil près des flammes.
D'où sort cette enfant ? S'étonna Paolio.
En se retournant il vit les larmes couler sur les joues de Maria, des larmes certes, mais pas celle qu'elle avait pu verser durant des années après la perte de plusieurs grossesses., mais des larmes de joie.
- Un cadeau du ciel Paolio, un cadeau du ciel. Tout en prononçant ses mots, elle prit l'enfant des bras de son mari. Elle se mit à l'examiner et tout en enlevant la couverture dans laquelle l'enfant était enveloppé, elle découvrit un pendentif bien étrange à ses yeux. Une petite chaîne en or très fine sur laquelle était suspendu un petit arbre avec 5 branches, sur chaque branche une lettre était inscrite. T-A-V-E-F. À l'arrière de cet arbre une inscription écrit si petit, mais pas impossible l'à lire pour Maria.
À Maura, notre fille bien aimée, que les anges te guide dans ta quête.
-Maura. Je pense que cela doit être ton prénom , ma chère petite fille je
Maria et Paolio, se regardèrent pour eux, cela fut une évidence, cette petite n'était pas arrivée ici par hasard, mais bien un cadeau du ciel.
- Petite Maura, notre miracle, jamais tu ne manqueras de rien, à partir d'aujourd'hui nous t'élèveront comme notre fille.
-Maria, que va ton dire aux gens du village quand ils nous verront avec cet enfant ?
- La vérité ! Que nos prières ont été entendues, qu'on nous l'a amené à nous, rétorqua Maria
- Ma chérie soit responsable ! Nous ne pouvons leur dire la vérité. Personne ne nous croira et des rumeurs vont se mettre à courir sur nous.
- Comme quoi Paolio? Dit Maria en fonçant les sourcils.
- Connaissant les Dimitral, nos chers voisins, il ne leur faudra pas plus de deux jours pour répandre dans tout le village que nous avons enlevé cette enfant ailleurs, car nous n'arrivons pas à en avoir.
- Demain, tu dois allez à Asteria? Demanda Maria.
- oui, je dois allez chercher les planches pour rafraîchir la grange et ramener du blé au moulin.
- Dans ce cas, j'irai avec toi, quand il nous verra revenir avec la petite dans nos bras, nous dirons que nous sommes allés à l'orphelinat l'adopter.
- Entendu cela me semble plus raisonnable de dire cela.
D'un regard empli de joie Maria et Paolio, se regardèrent longtemps et souriant avant de baisser les yeux pour regarder cette enfant.
- Maura, notre petite fille chantonna Maria.
Salut, je suis Maura dans quelques jours je fêterai mon 18ème anniversaire.
Ma mère Maria et mon père Paolio so.t entrain de me préparer une surprise. Je les est surpris hier soir entrain de parler devant la cheminée. Ma mère est adorable, elle n'est pas très grande, un peu potelé, avec une chevelure à mi-épaules d'une couleur châtain qui comme à être dissimulé par une couleur argenté au fils du temps. Elle aime me faire plaisir, malgrés que nous ne roulons pas dans l'or, je n'ai jamais manqué de rien , elle me confectionnais de très belle robe elle-même, afin que je sois comme tout le monde, elle achetais du beau tissu mais comme nous n'avions pas les moyens de les faires par une couturière ma mère s'en chargeais seule. Elle pouvais y passer 3 jours et 3 nuits sans s'arrêter, tout cela pour faire mon sourire, comme elle me le dit souvent me faire sourire c'est le plus beau cadeau que je puisse lui faire. Papa, lui n'est pas très bavard, il est très grande et très maigre. Avec des cheveux court frisottés sur sa tête d'une couleur or , papa contrairement à maman ne semble pas avoir pris de l'âge. Maman n'arrête pas de me dire, qu'il n'a casiment pas changer depuis ses 20 ans apart les quelques rides qui apparaissent dans les coins des yeux quand il sourit. Il passe tout ses journée à travail dans les champs à entretenir nos poules, nos vaches, tout cela nous permet de manger convenablement et de vendre une autre partie. Papa travail si dur, mais tellement content de pouvoir offrir à maman les rubans ou le parfum pour lequel elle rêvait en secret. Mes parents sont juste les plus aimants du monde.
Quant à moi, j'ai une taille plutôt correct pour une fille, mais contrairement à mes parents ma chevelure est d'un noir corbeau très brillant et très légèrement ondulé m'arrivant jusqu'à la taille. Ma mère met un point d'honneur pour que j'en prenne soin d'ailleurs. Et ma peau est d'une blancheur, que j'évite le soleil pour ne pas être brûlé par les rayons du soleil par rapport à papa et maman qui eux ont une peau assez foncés. Et de même pour mes yeux qui sont d'un bleu océan et les leurs sont d'un marron si intense. Je ne leur ressemble pas du tout, et comme me le fais souvent remarqué la fille de monsieur et madame Dimitral. Une peste cette fille tous aussi méprisante et grande langue que ses parents. Les chiens ne fonts pas des chats comme le dit souvent maman. De toute façon tout cela ne m'atteint pas, papa me dit souvent ent que ressemblais à sa mère, malheureusement je ne l'ai jamais connu, elle est morte quelques mois avant ma naissance maman m'a raconté.
Aujourd'hui j'aide m'a mère au taché de la maison et des fois j'aide papa aussi dans ses tâches, je vois qu'ils n'ont plus autant d'énergie qu'avant. J'ai terminé mes étude il y à déjà 1 ans maintenant, mes parents tenais vraiment à ce que je sache lire, écrire, et avoir une très bonne culture sur le monde. Après avoir réussit mon certificat d'étude, je n'ai pas eut le cœur à les quitter pour pouvoir poursuivre ma connaissance du monde ailleurs auprès d'école spécialisé. Je ne regrette pas cela au contraire, je me sent plus utile auprès d'eux à les aider. Papa me dit tout le temps que j'ai la main verte, tous ce que je plante de mes mains, que tous ce que je fais poussez de mes mains deviens magnifique et trop fois plus beau que lui. D'ailleurs quand papa est dans les champs à cultiver nos légumes, je m'en sert d'excuse pour l'aider sans qu'il refuse.
Dans trois jours, c'est mon anniversaire je serai majeur, beaucoup attende cette âge là pour quitter leurs parents, mais moi je ne les quitterai pas pour le moindre du monde.
-Maura, petite marmotte il est déjà tard, voudrais bien tu te lever ma chérie, on doit partir en ville acheter quelques provisions toutes à l'heure, dit ma mère du bas des escaliers.
- oui, maman j'arrive.
Arrivant en bas des escaliers, mon bol de lait chaud m'attendais sur la table.
- désolé maman, j'ai veillé tard hier à cause du livre que papa m'a offert, l'histoire est tellement captivante que je n'ai pas vu la nuit tomber.
- Contente que ce livre te plaise ma fille, sa me fait plaisir : dit papa en souriant.
-Bon va vite faire ta toilette maintenant et t'habiller, nous partons d'ici pu à Asteria avec ton père.
Je remonte.ta les marches deux par deux, et me dépêcha, j'adore allez à asteria. Cette ville est tellement plus animée que notre petite campagne. Des marchés avec des vendeurs de légumes ambulant, de poisson, et même de potions miracle.
Papa u. Jour en avais àcheter croyant que cela empêcherait de vieillir comme lui avais vendu le marchant, mais comme on le sait bien cela n'est que de la poudre au yeux et maman n'a pas arrêter de rire et d'embêter papa avec cette histoire durant des jours. Et surtout à Asteria, nous trouvons la plus belle boutique de tissu et de vêtement si élégants que j'aime rester durant un certains temps à admirer ces robes d'une couleur si délicates avec de belle brodure sur toute la robe, elles sont tellement magnifique mais malheureusement seul les personne de la haute bourgeoisie peuvent se permettre d'acheter de telle robe.
- Toujours devant cette robe Maura? me surprit ma mère.
- Désolé maman j'aime l'admirer, elle est si jolie avec toute ces bordures en dentelle sur le col qui descend jusqu'en bas de la robe, j'admire la beauté et aussi le travail qui a été fait dessus un travail d'orfèvre.
- Oui ma chérie, tu as raison, tu as l'œil dis donc! Me sourit ma mère .
- Bon ton père nous attend, rejoins le et dit lui que j'arrive il me manque juste une chose et j'arrive.
-d'accord maman, j'y vais de ce pas.
Cinq minutes plus tard nous repartions direction notre maison, notre campagne si paisible.
Le soir venue après le repas, je n'ai même pas eut le temps de me lever, que papa et maman son arrivée vers moi avec un beau gâteau fais pars les soins de maman.
- Merci papa, merci maman ! Celui au myrtille, mon préféré merci beaucoup.
- bonne anniversaire ma fille, aujourd'hui est un jour spécial, tu as 18 ans, me dit maman avec un ton ému.
- c'est pour cela que tout moment spécial,mérite un cadeau spécial, rétorqua papa en me tendant un magnifique paquet rectangulaire blanc tenu par un énorme ruban rouge.
Je le posa sur la table et enleva le ruban délicatement pour défaire le nœud.
Je resta sans voix. A l'intérieur de ce paquet renfermant cette robe. Cette robe que je ne pensais que pouvoir regarder de la vitrine, cette robe d'un bleu ciel satinée et dont la dentelle d'un blanc éclatant faisant le tour de lechacrurz du décolletée pour repartir telle un ruisseaux jusqu'à bas de la robe.
- Cela te plaise? M'interrogeais en cœur mère et père.
- papa, maman.
Aucun autre son pouvais sortir de ma bouche. Je courrier en leurs direction pour les serrer dans mes bras avec des larmes incontrôlable qui ruisselant sur mes joues.
En fin de soirée, après avoir essayer cette magnifique robe, qui avais été faite pour moi on aurait dis. De la taille à mes bras, même la longueur tout est parfait comme si elle avais été faites sur mesure, ainsi que la couleur bleu ciel allez très biens avec mes yeux.
Au moment de prendre congé et de monter dans ma chambre me reposer, papa assit devant la cheminée, me dit:
- Maura, viens t'asseoir à coter de moi ma fille.
Son ton était si grave et maman debout les mains sur ses épaules avais le même air si sérieux.
Je m'assois en face de lui.
- Maura, ta maman et moi, nous étions désespérés, il y a 18 ans. Et en faites... tu es arrivée comme par miracle à nous.
- Par miracle comment ça, je ne comprend pas.
- Une nuit, nous t'avons trouvée devant notre porte. Tu était si petite, tu n'avais même pas deux mois. Avec ta mère de ce faites nous avons décider de te garder et de telever comme notre fille.
- comment ça, je ne comprend pas, si vous m'avez trouvés, qui sont mes parents ? Qui m'a déposée ici? Pourquoi?
- nous ne savons rien du tout m'a tendre enfant la seule chose que qui était avec toi était ce pendentif avec ton nom ta date de naissance et un message.
Il tendit le pendentif à Maura, qui le scruta de tout ces angles.
- t'avais? Qu'est ce que cela signifie? Et quelles destinée ?
- Nous ne savons rien de plus ma fille, nous nous sommes renseigné pour savoir qui aurais pu te laisser, nous avons été voir les famille qui aurait donné naissance à cette date, mais malheureusement cela n'a rien donné. Je suis désolé Maura, nous n'avions pas eu le courage de t'avouer tout avant mais aujourd'hui tu est une femme tu as le droit de savoir la vérité.
Maura resta silence un moment, et releva la tête.
- Ne vous en voulez pas, vous êtes mon père et ma mère depuis ma plus tendre enfance vous m'avez tant chérie. Je ne vous en veux pas.
Maria et Paolio se regardèrent émues et soulager. Le bonheur ce lisais dans leurs yeux et un soulagement si intense.
- Merci beaucoup pour cette si belle journée, je vais me coucher à présent.
Après avoir salua ses parents , elle monta dans sa chambre et s'endormit instantanément.
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