Il y a de cela bien longtemps la mère de Trilor fut morte par une maladie, et de cela, le père ne pouvant plus voir la tristesse qu'éprouve son fils lorsqu'il le laisse seul à la maison. Trilor était certes déjà capable de s'occuper de lui, il avait déjà 16 ans lors. Son père faisait toujours des voyages d'affaires, c'était un homme très occupé par ces travaux, ne voulant plus laisser son fils seul à la maison, il décida de trouver une femme et de se marier. Lors d'un voyage. il eu l'occasion de rencontrer une femme nommée Laïzy Mirande, qui après une année de connaissance, décidèrent de se marier ensemble. Miss Laïzy avait déjà deux enfants une fille nommée Daïzy Mirande et un fils du nom Christian Salvadores Mirande et tous aussi capricieux et arrogant que leur mère. Ils ne manquèrent pas de temps pour qu'ils viennent s'installer dans l'habitat. Tout ce passait bien avec la famille, mais sauf qu'un jour, un homme apparu devant leur porte avec une bien mauvaise nouvelle, malheureusement, un jour de voyage le père Trilor a eu un bien fâcheux accident, il n'a pas survécu. Trilor était bien plus que bouleversé. Et c'est que, depuis ce jour, la belle-mère n'a aucun égard, a le maltraité lui donnant toutes tâches de la maison. Trilor était maintenant réduit à une vie de bonne de maison bien qu'il soit un garçon, abandonnant sa chambre et tous ces merveilleux habit à son beau-frère, il s'installa dans le grenier de sa maison ne pouvant rien dire ni faire et c'est ici que commence notre histoire :
^^^Avant tout : _ *** :*** <\=parler, pensée\=> (*** ), *....*<\=action ^ ^^^^
Miss Laïzy : TRILOR !
_ J'arrive belle-mère ! * prend les tasses de thé *
Daïzy : depuis tout ce temps ! Si jamais, il est froid je ne le boirai pas.
Christian : arrêtes de jouer la diva, avec tes cheveux on dirai des poils chat en attaque.
Daïzy : toi la fermes avec ton nez qu'on dirai une pique tordu !
Christian : mon nez ?
Miss Laïzy : les enfants ! Nous sommes à table à présent !
_ * dépose les tasses sur la tables *
Christian : Mmm... Tu en pestes le cochon de bou !
_ ... veuillez m'excuser !
Miss Laïzy : débarrasses moi le plancher !
_ ... *s'en va *
Christian : prend aussi une douche tant que tu y es !
Daïzy : pff iihhihh
_ ... * prend un saut et sort de la maison *
Vu qu'il s'est installé dans le grenier, Trilor n'avait plus de douche où il pourrait prendre son bain. Alors chaque matin, il dirigeait vers une rivière non loin du village, qui se situe dans une petite forêt.
_ Mmm ?
Alors heu ^ ^ pour définir, Trilor a les cheveux blonds et très longs puisqu'il n'a pas pu les couper pendant environ 2 ans après la mort de son père, il a des yeux bleus aquatique et mesure 1,62 m. Merci :
_ oh ! pauvre petite grenouille... le serpent veut le manger et il ne peut pas s'enfuir ! * attrape un bout de bois * ... *donne un coup de boit au serpent * et voilà, tu peux t'en aller sain y sauve petite grenouille ! ^ ^
_ cwoaa cwoooaa
_ ahhahhh ! J'accepte tes remerciements, aller vas !
La grenouille fut partie tant dis que Trilor reste à la rivière, afin de se baigner et d'apporter un seau d'eau à la maison. Il y a autre par des personnes qui n'ont pas ce genre de vie là, leur vie à eux sont du genre plus luxueux.
Majeur d'homme : * toc * Mon prince ?
_ vous pouvez rentrer Wedley.
Majeur d'homme : * ouvre la porte et rentre * je vous apporte le petit déjeuner.
_ Très bien déposé le sur ma table de nuit.
Majeur d'homme : * le dépose * Et aussi, votre père souhaiterait vous voir.
_ Mmm... très bien j'irai après avoir fini de manger, vous pouvez disposer !
Majeur d'homme : * s'incline et part *
_ * soupir * quoi encore cette fois ?
C'est le prince Victor Grisfor Safogua, il a des cheveux noir et des yeux rouge sang comme sa mère. Il mesure dans les 1,82 m. Merci :
^^^Quelque minute plus tard après le petit déjeuner :^^^
Le roi : fils ! Je voie que t'as encore manqué le petit déjeuner !
_ je ne suis pas d'humeur à prendre, un petit déjeuner en famille.
Le roi : qu'est-ce-qui te tracasse tant... Peut-être est_ce l'absence d'amour Mmm
_ Ah! non! Pas encore, tu ne vas pas recommencer avec ce sujet stupide ?
Le roi : ce n'est pas un sujet stupide, il est temps que tu te maris, t'as bientôt 20 ans et tu n'as encore aucune personne dans ta vie.
_ (-_-*) Seriez-vous des objets par hasard ?
Le roi : Mon fils... Tu ne comprends rien à rien. Il est temps pour toi de te trouver une fiancée, et de te marier, ta mère et moi commençons à nous faire vieux.
_ ... *soupir *
Le roi : la princesse Venuela va venir aujourd'hui, espérons que vous pourrez vous approchez !
_ oh ! non ! Tout mais, pas elle.
Le roi : quoi ?
_ Elle est, iper collante, si jamais elle me voie elle ne me lâchera pas d'une seconde.
La reine : Nous essayons de te rendre service! Si ça ne te plaît pas, trouve toi une fiancée toi-même !
Majeur d'homme : VOICI LA PRINCESSE VENUELA DE CHARMISTE !
_ Good bye father and goodbye Mother !
Le roi : Prince Victor, reviens ici !
_ nop
Le roi : cet enfant, nom de Dieu va finir par me rendre chèvre !
La reine : courage mon chère, il comprendra un de ces jours.
P. Venuela : Mon roi, Ma reine ! * s'incline *
La reine : Princesse Venuela ! Quel plaisir de te voir ! * va embrasser la p.*
P. Venuela : Moi aussi ma reine je suis contente de te voir.
La reine : * embrasse la p. * cela fait longtemps ?
P. Venuela : oui, beaucoup trop longtemps... où se trouve P. Victor, il n'est pas venu m'accueillir à l'entrée !
La reine : il doit être dans sa chambre, tu peux aller lui faire un petit coucou si tu veux.
P. Venuela : Merci, ma reine * s'incline et part *
La reine : elle a de bonnes principe, qu'est-ce-que t'en dis ?
Le roi : Bonne principe ou pas, c'est pas comme ça que notre fils l'aimera.
La reine : ... * sourit *
Le roi : quoi ?
La reine : rien, juste que je me souviens, que lorsqu'on était jeune, t'étais exactement comme lui à l'époque.
Le roi : moi ?
Le reine : Ne fais pas genre que ce n'est pas vrai, tu refusais d'épouser qui que soit, à moins que ce soit moi ! N'ais je pas raison, mon roi ?
Le roi : au moins moi, j'avais quelqu'un dans mon cœur.
La reine : tu voulais même la guerre à ton père, parce qu'il voulait te marier avec, la puissante et belle Catherine de Privigane !
Le roi : jamais de la vie, trop capricieuse, arrogante et... trop collante.
La reine : ah! tu vois ?
Le roi : ...
Voici tout le monde, notre roi bien aimer ^ ^
P. Venuela : p. Victor ! * toc * p. Victor ?
_ ( il n'y a qu'un seul moyen et qu'une seul sortie pour ça ) * soupir * ... La fenêtre.
^^^●●●^^^
Reprenons l'histoire :
_ * saute du balcon *
P. Venuela : Prince Victor !
_ * atterrit *
P. Venuela : Prince Victor ? Êtes-vous là ?
_ Où vais-je maintenant ?
P. Venuela : ... il doit être absent !
_ ... * marche sur la terrasse *
P. Venuela : * revient dans la salle du trône *
Le Prince Victor n'a pas toujours apprécié la compagnie de la princesse Venuela, car d'après lui elle ne faisait que parler encore et encore d'elle. À chaque fois qu'elle venait le Prince s'arrangeait pour ne pas qu'elle le voit. Sa mère et son père comme toujours, cherchent un moyen de les rapprocher afin de les unir et de fonder un royaume à laquelle ils uniront le royaume de charmiste et la leur. Les parents de la princesse Venuela aussi y sont en partis dans cette histoire, depuis leur 11 ans, le prince et la princesse sont le plus souvent ensemble au point qu'on pourrait dire qu'ils sont amis, mais dans le cas de notre prince je ne croie pas que ça soit ça :
p. Venuela : je n'arrive pas à trouver le prince Victor ma reine !
La reine : encore ? * soupir *
Le roi : ... une seule explication !
La reine : ?
P. Venuela : ?
Le roi : bas quoi ? (\=_\=) c'est tout à fait possible qu'il ait déjà quelqu'un !
La reine : ... il ne sort presque jamais du château et toi tu tu (ò ó)
P. Venuela : * sert les dents * veuillez m'excuser mon roi et ma reine * part *
La reine : non mais, je te jure.
Le roi : l'explication est là, s'il n'apprécie plus la princesse Venuela, c'est qu'il en a trouvé une meilleure voilà.
La reine : une meilleure ? ... si c'est le cas je serai bien contente de la voir, cette meilleure !
Le roi : (\=_\=')c'est juste une proposition de ce qui se passe dans la situation actuelle.
La reine : Mmm…
...----------------...
P. Venuela : une autre ?...
p. Venuela : ( ... donc ce n'était pas vrai ) PRINCE VICTOR !
_ ! ! et puis me***e !
P. Venuela : Prince Victor ! attendez-moi ! * cours vers lui *
_ ( seigneur ? )
P. Venuela : ...Bonjour, mon cher prince.
_ ("'_ _) tout le plaisir est pour moi princesse Venuela !
P. Venuela : j'étais tout d'abord passer à votre chambre mais, je ne vous ai pas trouver. Semblerait il que vous étiez déjà dehors !
_ ... mouais, je voulais prendre un peu d'air frais.
P. Venuela : c'est vrai que c'est agréable. À charmiste on a une place publique spéciale pour, vous le saviez ?
_ évidemment que non, cher princesse vous savez aussi bien que moi que je ne sors que très rarement du château !
P. Venuela : ... ( évidemment que je le sais, heureusement sinon, tu pourrais trouver une autre fille que moi ) et bien... pourquoi ne pas venir avec moi demain après-midi je vous ferez visiter et par l'occasion...
_ ... ?
P. Venuela : nous pourrions passer un peu de temps ensemble !
_ ... Désolé princesse, demain après-midi j'avais prévu de faire une petite randonner à cheval.
P. Venuela : ah! ... dommage !
_ ( ouf sauvé ! )
P. Venuela : ... Dougi ! je croyais t'avoir dit de rester dans la chambre, comment t'as fait pour sortir ?
Dougi : waf waaaf
P. Venuela : gentille... gentilleee voilà
Dougi : waf !
_ ! ( oh la pauvre )
p. Venuela : aï vilaine chienne ( sal*** )
_ ! ...
Dougi : * va vers le prince *
_ ...
Dougi : * fait le tour du prince et s'assit *
_ * s'accroupie, lui caresse la tête *bien.
Dougi : Mmm... * se tient sur deux pattes *
P. Venuela : on m'a dit que vous aimez beaucoup les animaux ! Désolée si celle là est un peu sauvage.
_ pas du tout, elle est plutôt gentille je trouve * continue à lui caresser la tête *
P. Venuela : *souri maladroitement * ah bon !
Majeur d'homme : Prince, princesse désolé de vous déranger mais, ma reine m'a demandé de vous dire que le repas est prêt !
_ on arrive dans un instant !
P. Venuela : ...
Dougi : waf
_ on dirait que t'as beaucoup fin !
P. Venuela : on y va !
_ ... oui
^^^Arriver à la salle pour le repas :^^^
La reine : où étais-tu donc aller Victor ?
_ nul par maman, j'étais sur la cour en train de me promener rien de plus.
Le roi : Mmm...
P. Venuela : Bonne appétit à vous !
Le roi : Bonne appétit !
La reine : Bonne appétit !
_ ... Bonne appétit !
Le repas était d'un calme profond, personne ne parlait ou autre, le repas était presque terminé lorsque le roi leva la parole :
Le roi : Comment donc est votre père cher princesse ?
P. Venuela : Tout va pour le mieux, il est toujours aussi concentré sur son travail. Il n'a jamais de temps pour lui !
Le roi : Ah! Ce bon vieux roi Yédard, il ne changera donc jamais !
P. Venuela : * souri * je le crains fort, qu'il change un jour !
Pendant ce temps Victor n'entendit rien de tout ça, il était plongé dans ces pensées. Il fesait allusion à comment serait la fête cet année. Chaque année le sixièmes mois, on organise une fête en l'honneur d'une année de joie et de paix pour les habitants. Chaque année les habitants prépare une fête au centre de la ville où chaque personne de la ville apportera des plats ou boissons, selon ce qu'il peut apporter ou donner afin de former un grand buffet pour tout le monde, sans exception.
La reine : Victor !
_ ...
La reine : Victor !
_ ! Désolé, vous disiez ?
La reine : ... À quoi pensais-tu autant pour ne pas entendre quand je t'appelle ?
_ Rien mère, je pensais juste à la fête de demain soir !
La reine : Ah! j'avais presque oublié la fête moi même, quelle reine tête en l'air je suis !
P. Venuela : Ce n'est rien, une personne peut-être capable d'oublier quelque chose de temps en temps.
La reine : ahh ! * ri * Dites moi, quand partirez-vous !
P. Venuela : Demain après-midi ma reine.
La reine : oh ! Je pensais que vous pourriez rester fêter avec nous demain soir !
P. Venuela : ! Si ça vous fait plaisir je pourrai rester, j'irai le lendemain matin.
La reine : merveilleux !... Peut-être que tu pourrais accompagner la princesse, Victor.
_ ... ( l'occasion de se rapprocher. Tu parles ! D'un rapprochement ) Avec plaisir mère... Je n'ai plus faim veuillez m'excuser.
P. Venuela : ...
La reine : ...
Le roi : mais, où vas-tu avec ce plat !
_ Dans ma chambre.
Le roi : ...
p. Venuela : ... ai-je dis quelque chose de mal ! ...
^^^Cependant :^^^
_ Dougi ?
Dougi : ! * va vers lui *
_ * lui tend le plat *
Dougi : !
_ Tu peux manger t'inquiète !
Dougi : *S'approche du plat... commence à manger *
_ ... On dirait que ta maîtresse ne t'as pas songer une second !
Dougi : * mange *
_ mange au tant que tu le veux, je te donnerai de l'eau après. * lui caresse la tête *
Dougi : * mange *
_ ( J'ai envie de faire un long sommeil ! ) Je vais faire une petite lecture à la place. Je vais tout d'abord te chercher de l'eau pour ne pas être déranger.
Dougi : * mange *
_ * sort pour aller dans la cuisine *
^^^Après 6 mn de plus :^^^
_ Tu as l'air tout maigre !
Dougi : * boit l'eau *
_ bon ! ma lecture.
^^^●●●^^^
Miss Laïzy : TRILOR ! Où est-ce qu'il est encore passé se vaux rien ?
_ * cours vers la cuisine * Me voici belle-mère.
Miss Laïzy : viens par ici.
_ * s'approche *
Miss Laïzy : * lui renverse la soupe * non mais ça ne va pas de servir quelque chose pareil, c'est trop fade.
_ Désolé, mais hier vous m'aviez dit qu'elle était trop salée, j'ai cru
Miss Laïzy : Quoi ?
_ ... Rien
Miss Laïzy : Débarrasse-moi ça
_ * prend l'assiette *
Miss Laïzy : Et plus vite que ça !
_ ... * prend les autres assiettes *
Daïzy : Pff ahh
_ ...
Miss Laïzy : Quand tu sortiras dit à Christian que je l'appelle.
_ oui belle-mère.
Et du coup il s'en va tout en emportant avec lui en saut comme à chaque fois qu'il va à la rivière pour se baigner.
_ Christian !
Christian : Qu'est-ce que tu me veux ?
_ Il y a ta mère qui t'appelle.
Sabrina : c'est qui ça ?
Christian : t'inquiètes, juste quelqu'un de la maison.
Sabrina : il travaille chez toi ?
Christian : mouais, c'est en quelque sorte notre bonne.
_ * part *
Christian : * l'embrasse * il faut que j'y aille ma mère m'appelle, à demain ma belle.
Sabrina : byeeeee
^^^Arriver à la rivière :^^^
_ * en train de plaindre le saut * Raaa
_ Vous êtes énervant à la fin ! Il n'y a pas moyen que vous restez à votre place, stupide mèche
Grenouille : cwoaa
_ hein ? * tourne la tête *... * sourit * salut toi comment ça va ?
Grenouille : cwoaa cwoooaa
_ merci, je vais bien.
Après qu'il eut fini de prendre son bain, il alla directement chez lui afin de ne pas contrarier Miss Laïzy.
_ hein ? Mais qu'est ce qui * se tient derrière un arbre *
Sabrina : Ça fait trois jours que tu es parti.
Robert : mais, je suis là maintenant non ?
Sabrina : tu m'as beaucoup trop manqué *l'embrasse *
_ ... je crois que notre cher Christian se fait tromper. C'est son meilleur ami si je capte bien ?
Robert : Toi aussi ma belle. Comment va notre cher Christian ?
Sabrina : Toujours accrocher au jupon de sa mère.
Robert : ahhhhahh
Sabrina : ahhh
_ ... Bon j'ai pas le temps pour ce genre de chose il faut que je rentre, et même si je le dit à Christian il ne me croira pas. Il finira par le découvrir lui même.
Trilor passa à côté d'eux sans faire attention et continua sa route pour rentrer chez lui.
Miss Laïzy : Je ne vois pas ce que tu trouves à cette fille, tu pourrais trouver une autre fille qui elle n'a pas l'air d'une ruche.
Christian : ELLE N'A PAS L'AIR D'UNE RUCHE.
Miss Laïzy : Tu ne me crie pas dessus !
Christian : Je ne veux pas passer le reste de ma vie avec une fille que je n'aime pas, juste pour te faire plaisir.
Miss Laïzy : Tu seras exactement comme ton père vaux rien.
Christian : Tu blâmes toujours mon père parce qu'il a laissé sa fortune familiale pour toi, tu l'aimais pour ça ou quoi ?
Miss Laïzy : Un peu de respect jeune homme, il n'aurait pas dû.
Christian : Il n'aurait pas dû quoi ? Tout abandonné, tu ne l'aimais pas la seule qui chose t'intéressait était sa fortune, cela fait huit ans que tu te maries sans cesse avec des hommes d'affaires et jamais une seule fois l'un d'entre eux est resté plus de deux ans avec toi mort, divorce pas assé d'argent. Tu agis comme un adolescent sans principe, et tu ne sais même pas comment on fait un quelconque plat même le-
Miss Laïzy : * le gifle * Vas dans ta chambre tout de suite vaux rien.
Christian : ... je te déteste !
Miss Laïzy : pfff je m'en contre fiche.
Christian : *sort de la maison *
_ ... (je me sens mal pour lui le pauvre, il défend une fille qui n'est même pas celui qu'il pense être et sa mère non plus)
Après cela Christian n'est plus revenu dans la maison, il faisait nuit et c'était l'heure de se coucher. Au grand étonnement Miss Laïzy ne s'en souciait point elle monta dans sa chambre se coucher, on dirait qu'elle oubliait même que son fils n'est pas à la maison. Même Daïzy après avoir fini un quelconque soin de visage alla se coucher normalement sans dire un mot de la situation. Trilor lui, bien qu'on pourrait dire qu'il ne s'en soucierait pas est quand même allé le chercher dans le noir, sachant que d'habitude que son coin de recueillement est un arbre situé à quelque centimètres de la maison.
_ * prend une lampe et sort de la maison *
Christian : * assit sous l'arbre en comptant des étoiles *
_ Christian !
Christian : ! qu'est-ce que tu me veux encore ?
_ ... Il faut que tu rentres, il est l'heure de se coucher.
Christian : c'est ma mère qui t'envoie ?
_ ... Non, belle-mère est en train de dormir en ce moment.
Christian : Évidemment, vas t'en laisse moi.
_ ... mais, heuu
Christian : retourne à la maison, j'ai pas besoin de ton aide.
_ ... * s'assit à côté * ... t'es en colère ?
Christian : En colère ? *ri* non je suis contente pourquoi, tu voudrais te moquer de moi ?
_ Non non juste une question c'est tout. *regarde en sa direction *
Christian : Mmm
_ T'aimes les étoiles ?
Christian : Qu'est-ce que ça peut te faire.
_ tu viens souvent ici la nuit, je voulais juste savoir si tu...
Christian : Oui j'aime les étoiles et alors, c'est la seule chose qui me rappelle mon père.
_ ah! Désolé
Christian : ... Mon père venait souvent contempler la nuit les étoiles, il n'arrêtait pas de dire qu'il son magnifique.
_ moi aussi je les trouve magnifique, une fois ma mère en avait peint un tableau, c'était tout simplement magnifique.
Christian : ta mère savait peindre ?
_ oui c'était son passe temps préféré... Dommage que la maladie l'ai emporté. Qu'est-ce-qui est arrivé à vôtre père ?
Christian : ...
_ désolé je voulais pas-
Christian : Il est mort... après que ma mère l'ai quitté pour un homme d'affaire qui voulait l'épouser, elle a divorcé et a obtenu la garde mon père était si démoralisé à l'idée qu'il a fait une crise et on l'a retrouvé comme ça, par terre, mort !
_ Je suis désolé. Moi ma mère elle souffrait beaucoup je peux dire que c'est un soulagement pour elle et nous qu'elle repose en paix, mais à ce que mon père me quitte aussi !
Christian : * souri * on dirait qu'on est dans le même galère.
_ ouai on a perdu des personnes qui nous ai chères ! ... Bon on rentre ?
Christian : pour quoi faire ?
_ Bah dormir, surtout moi j'ai du travail sur la planche demain.
Christian : Mmm parfois je me demande comment tu fais pour pouvoir dormir la haut ?
_ chose que seul moi connais.
Et ainsi ils se levèrent pour rentrer se coucher et dormir, on peut dire que ça a été une soirée relaxante.
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