*Minji, tu dois être le premier de ta classe.

*J'ai été le premier tout au long, de chacune de mes classe du primaire. *

**Minji, tu dois être le meilleur élève du lycé. *

*Même si c'était difficile et éprouvent, tellement que je ne m'étais plus fait d'amis depuis le collège, je continuais de m'éfforcer tout en espérant qu'ils seraient satisfaits un jour. *

*Minji, tu es maintenant à l'université tu ne dois pas nous décevoir tu dois devenir docteur comme ton père.

*C'est très drôle, comme si je vous avais déjà déçu une fois, je dois devenir docteur comme mon père qui se fiche totalement de moi en me donnant un nom féminin. *

*Minji, maintenant que tu es docteur, tu dois te trouver une copine digne de notre famille. 

Je me suis trouvé une actrice, et elle est assez connue ça aussi, je l'ai fait pour vous.

*Minji, tu dois déjà te marier avec ta copine et nous donnez des petits enfants.

Je me suis marié, mais par contre je n'ai pas pû vous donnez de petits enfants pas parce que je suis stérile mais... Parce que je refuse de toucher ma femme, je ne peux pas faire ça, suis-je devenu gay ?

Et n'en parlons pas de ma femme qui n'était presque jamais à la maison sûrement, elle devait s'amuser avec d'autre acteur pendant que moi j'étais abandonné à mon triste sort.

Et un jour un nouveau voisin vint habité à l'appartement d'en face, on se rencontrait souvent mais on ne parlait pas beaucoup, on s'échangeait juste de simple "bonjours" en passant, puis par hasard un jour, quand je travaillait, j'ai reçu un pacient et c'était lui.

Il s'était évanoui pendant une de ses séances photo, mais bien sûr ce n'était rien de grave, il n'avait rien mangé...

Bon, enfin, c'est ce que je croyais, avant qu'il ne me dise que...

*J'ai fait une séance photo, avec des femmes, pour une pub, et j'ai horreur qu'une femme s'approche de moi, ça me donne la nausée. J'ai rendu tout ce ce j'avais avalé.

Puis il s'approcha de moi et me dit à l'oreille d'une voix, je dirais sensuelle.

*Docteur, veux tu être mon nouveau dêjeuner ?

Je ne puis m'empêcher de rougir, face à ses propos.

Et je lui répondis en essayant de garder tout mon calme.

*Je...je ne vois pas de quoi vous parlez ?

Et lui me regarda en me souriant,, puis il me dit...

*Je vois, mon petit chat est encore timide, quand tu grandira, je t'apprendrai.

J'étais troublé, mais je ne savais pas de quoi, il pouvait parler.

Puis une semaine plus tard, quelqu'un toqua à la porte, quand j'ai ouvert la porte, j'ai vu mon épouse, elle était revenue d'un de ces voyages.

Je ne sais toujours pas si j'étais contente de la voir mais par contre, j'avais un mauvais pressentiment.

Auteure : Désolée, pour les fautes.