je m'appelle Amélie. Cette année,c'est celle de mes 18 ans. je vais vous raconter comment je suis passé de princesse des océans à reine.

Commençons par le début...Ma mère,la reine, est une sirène.Comparé à ce que l'on croit,les sirènes ressemblent plus à des humain qu'à des femme mi humaine mi poisson.Mon père quand à lui est un des deux princes de la famille dragon.

Mon père a rencontrer ma mère,ils sont tomber amoureux et on eu un gosse,moi. Jusque là,rien de bien méchants.Mais l'Union d'une sirène et d'un homme étais interdite dans les deux royaumes.leur enfants était donc torturer puis brûler, vif pour certain,mort pour d'autres.

C'est ce qu'il y a à savoir.Il y a les sirènes,les humains,les autres créature et les gens comme moi.on nous nomme les hybride.

Grâce à mon apparence humaine, j'ai vécu sans aucun soucis.je regarder les Disney,c'était un classique dans les années 2056.Mes préféré était le roi lion et Mary Poppins. J'allais à l'école comme les autres enfants humains et apprenait ce que j'avais besoin de savoir comme nager ou respirer sous l'eau avec les sirènes.La vie était des plus simple.

je m'appelle Amélie,et je vais vous conter mon histoire.

Je vivais près de Marseille.Toute l'Europe détestait les sirènes mais c'est l'endroit où il y en a le plus.Je ne sais pourquoi.J'habitait une villa luxueuse de mes fantastique compétence en tant qu'apprenti infirmière. Très souvent,le Jeudi,j'allais près de la falaise,sautais et me transformait avant d'arriver dans l'eau.c'est ce qui me fit défaut.Un bateau de chasse au sirène me vit me transformer.J'avais pour habitude de sortir la tête de l'eau pour mettre mon diadème. Encore une autre source de problème pour moi.On me captura et l'on m'emmena la oú l'on emmenait les hybride. L'on ne me mit pas dans la même sale que les autres.Je me retrouvais nez à nez face à un scientifique et un médecin.

Le scientifique était grand,âgée et portait des lunette ronde.il avait un nez crochu et des mains squelettique.Il tremblais et semblais sur le point de tomber.

À côté de lui se trouvait un jeune et grand médecin.il était blond et musclé.Il parlait avec une voix ensorcelente.j'en oublia le vieux scientifique qui parlais si bas que l'on entendais rien.j'étudiais chacun des trait du visage du jeune homme.Une peau parfaite,une bouche ni trop grande ni trop petite,des yeux bleu océan...

Tout chez cette homme était attirant.Il s'approcha de moi et pris mes mains.Il les regarda attentivement avant d'aller prendre un bandage pour l'une de mes mains.j'etais blessé. je profita de la proximité entre nous pour lui demander son nom.Il me répondit à ma plus agréable des surprises.

"Carlisle". C'était son nom. Il s'excusa.Au début,je ne compris pas pourquoi.Je m'écroulais d'un coup. De la morphine... Pourtant,je ne lui en voulais pas.J'étais même reconnaissante.Je sentait ses main agripper mon corps pour m'empêcher de me dire mal.

Je ne me souviens pas de la suite.J'etais sûrement endormi.

Je me réveilla dans une sorte de cage,au milieu d'une salle. À l'extérieur de la cage,il y avait une pièce qui ressemblait à un salon.Ma cage faisait pile ma taille et j'avais la place pour m'asseoir en tailleur.Je mis du temps avant de voir que la cage n'était pas fermé à clef.Je sortit, dans le plus grand des silences, de ma cage et me dirigea vers la porte. Soudain, j'entendis une voix.Je la reconnaissait. C'était celle du médecin.

"-Je serais toi,je n'oserait pas essayer.

-Pourquoi donc?

-La porte est casse.

-Oh.

-tu t'appelle comment?

-Amélie.

-ton VRAIE nom.

-Amelie."

Il me regarda,je voyais qu'il ne s'attendait pas à ce que le prénom que j'utilise soit le même que mon vraie prénom.

"-Où est-ce-que je suis?

-Chez moi.Viens,je vais te montrer où tu vas dormir...ensuite je te donnerait des vêtements et tu pourras aller prendre une douche.je te monterait le reste après."

Sa voix était rassurante.Il m'amena dans une grande chambre.Les murs était d'un bleu turquoise magnifique,les meubles était bleu et avait des détail doré. au fond de la chambre se trouvait un lit à baldaquin. Il y avait des rideau bleu et de la literie d'une couleur bleu Prusse magnifique.

Sur le lit reposait des sous vêtements à ma taille et une robe blanche avec un Ruban bleu en dentelle.

Il me montra où se trouvait la salle de bain et je pris une douche. Sur le meuble ou j'avais pose mes vêtements reposait une brosse à cheveux que je connaissait bien car j'avais la même à la maison. Celle-ci était neuf.

j'enfila les sous-vêtements que l'on m'avais donné puis la robe.À ma plus grande surprise,la robe m'allait à la perfection. Chaque partie de mon corps étais mis en valeur par ce doux tissu. Je repris mon collier. Ma mère me l'avait donné à mes 16 ans.

Il apparut,derrière moi,et me mit mon collier.

"Au fait,appelle moi par mon prénom."

cette phrase rèssonait dans ma tête pendant 10 bonnes minutes.

"Oui, Carlisle."

Qu'elle bonheur de prononcer son nom,un pure plaisir.

Il rattacha mon collier. Il me regarda pendant de longues minutes.

il rapprocha sa bouche de mon oreille tout en me tenant les épaules.

Il murmura à mon oreille "bienvenue chez moi!J'ai hâte d'apprendre à te connaître !"

Ma mère m'avait toujours dit que je devais me battre pour ce que je voulais. Jusqu'ici, je ne savais pas ce que je voulais. Aujourd'hui,je le sais.

Je le veux.Lui et personne d'autres.Il sera mien,il n'a pas le choix.Je me battrais pour l'avoir.IT WILL ME MINE. HE WON'T HAVE A CHOISE.

Carlisle.

Cela faisait une semaine que je me trouvais dans cette maison. Je n'étudiais plus, j'en étais interdit. Je vivais, prisonnière de ce charmant homme. La cage avait été enlever.

Un jour, je me décidai à briser le silence dans laquelle on vivait :

-tu as une petite amie ?

-Non

-une famille alors ?

-Non

-des animaux de compagnie ?

-j'ai l'air d'en avoir ?

Je l'agaçai, je le voyais bien. Ne pas réussir à briser cette distance connaissance me tuer, non, ce n'était pas une relation connaissance, c'était une relation scientifique cobaye, j'étais dans chacun des cas que je voyais, la fille qui meurt.

Je devais à tout pris m'échapper de cette relation sans queue ni tête, ou du moins la faire évoluer.

C'était le soir, l'heure d'aller se coucher. J'avais pris mes habitudes et je me mis au lit. Je m'endormis et me laissa tomber dans les bras du seigneur des rêves.

Nous étions dans un labyrinthe, lui et moi nous courrions pour échapper à quelques choses, d'un coup, nous fîmes attraper, la créature le broya. Je hurlais.

D'un coup,, on me secoua pour me réveiller, j'entendais cette voix que j'aimais tant , celle de ma mère, me dire de me réveiller. Je me réveillai d'un coup, Carlisle était assis, sur le lit avec un verre d'eau à la main.

-Ça, ça va ?

-Oui, j'ai fait un cauchemar

-Tu veux dormir avec moi ?

Je répondis oui, il me prit dans ces bras et me coucha dans son lit puis il se coucha à son tour. Toute la nuit, je restai collé à lui. Vers 1 heure du matin, il se mit sur le côté et m'enlaça. La chaleur de sa peau était si agréable...

Je me levai avant lui. Je m'habille et pris les clés de sa maison avec la liste de courses précise qu'il avait fait et l'argent. Depuis quelque temps, il l'a donné à ces amis pour pouvoir me surveiller.

Je fis les courses en suivant la liste, mais avant de rentrer(car oui je pouvais m'échapper, mais je ne le fairais pas), je demandai à Amandine de me ramener mon opaline. Elle ne mit que 5 secondes à le faire puis je rentrai reposa les clés à leur place et mis les courses sur la table.

Il était midi. Je fis à manger, rangea les courses et mis la table. Puis je réveillai Carlisle. Il se réveilla et vérifia ce qu'il portait. Je lui demandai gentillement de s'habiller et de venir à table pour manger. Il arriva dans sa tenue de travaille. Je lui expliquai ce que j'avais fait ce matin et il m'écoutait.

Je sentais qu'hier soir, on avait dépassé un statut de notre relation, il me dit qu'il m'emmènera et que si les patiens me demande qui je suis, il fallait que je mens et que ce soit crédible...

Je savais déjà exactement ce que je dirais, j'avais eu raison de demander à Amandine de m'apporter mon opaline qui se trouvait sur une bague...

je sentait très fort qu'il me maudirait à la fin de la journée.