C'était un après-midi d'été ; un été tout à fait ordinaire. Personne ne se serait douté qu'après cet été plus rien n'allait être normal.
On était dans le parc avec ma sœur jumelle et mes parents ; à l'époque, on avait quatorze ans ; on était plusieurs famille dans ce parc. Vous voyez le tableau : des enfants qui courent, des parents qui leurs courent après, des cris, des pleurs etc... Inaya et moi, on était allongée sur la grande nappe à rayures que papa avait préparé pour ce fameux jour ; on était allongée sur le dos et on regardais le ciel bleu mais surtout un nuage qu'avait pointé Inaya du doigt.
- C'est amusant, on dirait un cœur. disait elle.
- Il a une drôle de tête ton nuage. j'ai répondu.
- C'est ce que je dis, c'est '' amusant ''.
- Ça ne ressemble pas à un cœur mais plutôt à une pomme de terre avec une bosse.
C'était la seule fois où maman avait ricanée depuis notre départ de la maison et la seule fois depuis ce jour. Inaya aussi avait ricanée.
D'ailleurs, je suis née deux heures avant ma sœur, mais c'est un autre détail.
Je n'aimais pas souvent le fait qu'Inaya est une autre vision de la mienne. Inaya était douée pour sa créativité mais moi je ne faisais que voir ce que je vois. J'étais le contraire de ma sœur et le contraire de la créativité c'est le réalisme.
C'est à ce moment là que j'ai fermé les yeux pour profiter du soleil. Mon apaisement n'a durée que quelques minutes et c'est là que tout à déraper.
J'avais encore les yeux fermer quand un bruit sourd est apparu de nul part et qu'une ombre s'est posée sur moi.
J'ai ouvert les yeux et j'étais surprise de constater que tout le parc était recouverte de cette même ombre à faire froid dans le dos. Juste le fait que le soleil est disparu avait fait taire tout le monde. Ils regardaient tous dans une direction et je les ai imiter. Le soleil ne s'était pas cacher derrière le nuage d'Inaya mais derrière une immense sphère geante. On est tous restés béat devant cette chose mi violette mi bleu turquoise. On est resté comme ça jusqu'à ce qu'un vielle homme pencher sur sa canne se mette à crier de sa voix rauque :
- Les ovnis ! Les ovnis sont revenus !
Les ovnis ? Vraiment ? Je pensais que ces choses n'existaient que dans les films.
Je n'ai pas eu le temps de débattre le vrai du faux que papa m'avait déjà attrapé la main, à moi et ma sœur, jusqu'à la voiture avant d'aller aider maman à ramasser nos affaires. Et ce fût notre dernier goûter en famille.
Cette chose est restée planté au même endroit pendant plus d'un mois. A cause de cette sphère, on a pas eu droit au soleil pendant des jours et on est resté à la maison jusqu'à ce qu'il n'y est pas que la présence de cette chose qui inquiétait la population. Pendant plusieurs jours, des disparitions soudaine d'enfants se faisait souvent entendre au infos. Des jumelles se ressemblant comme deux gouttes d'eau était portée disparu toutes les semaines. Des enfants entre treize et dix-sept ans se volatilisaient même dans leurs lit. Ça s'est produit dans tout un tas de pays different au quatre coin du monde et même dans notre ville. C'était toujours l'une qui disparaissait avant l'autre.
Les écoles ont fermés jusqu'à la fin de l'année et plus personne ne traînait dans les rues.
Et un beau matin, plus rien. Seul un épais brouillard planait derrière nos fenêtres clos. Mais même ce brouillard était étrange, on pouvait voir le soleil à travers mais il nous était impossible de voir la route qui n'était même pas à plus de deux mètres de notre porte d'entrée et, malgré la chaleur que peux provoquer l'été, le brouillard provoquait une épaisse couche de buée sur nos vitres. Nos parents n'osaient pas sortir par peur que ce soit une attaque de la sphère disparu. Le brouillard est restée là toute la journée avant de disparaître comme la sphère le lendemain.
Les disparitions étaient devenu de moins en moins fréquentes mais les brouillards, eux, revenaient sans cesse.
A mes seize ans, le brouillard était réapparu mais moins épais que d'habitude et je jure avoir vu quelque chose marcher en travers du brouillard sur la route d'en face.
Des ovnis ? Vraiment ? En tout cas, ces choses se promènent parmi nous à la recherche de quelque chose donc personne ne connaît sûrement pas l'existence.
Je n'ai jamais parlé à qui que ce soit de ce j'ai vu ce matin là. Les parents m'auraient cru et la dernière chose que je voulais c'était déménager. C'était déjà trop risquer de rester dans cette ville avec tous ce qu'il s'y passe mais je voulais savoir ce que voulais ces choses il était donc impossible de partir.
Ce qui est sûr c'est que cette sphère, le brouillard et les choses que j'ai vu dehors ont un lien avec tous ce qu'il nous arrive dernièrement.
Hello tout le monde, j'espère que vous allez bien.
Excusez mon dernier chapitre un peu précipité (et bancal) dans l'espoir que mon imagination et mon passe-temps préférés vous aura quand même plû...
J'espère que vous êtes immunisé contre les fautes d'orthographes parce qu'il y en aura beaucoup 🤣
L'œuvre '' l' I.A.M 2.0 '' ne contiendra malheureusement 20 chapitres (voire moins) 🤷🏻♀️ ; peut-être plus mais je ne vous promet rien...
N'hésitez pas à laisser en commentaire les chapitres qui vous paraîtront flou, je me ferai un plaisir de corriger ou de vous expliquer de mes mots.
(C'est la première histoire que je publie, s'il vous plaît soyez, indulgent)
A part ça je vais passé aux présentations afin que vous voyez au moins à quoi ressemble les personnages (je vais quand même vous laissé découvrir leur fonctionnalités à travers l'œuvre)😉. Passez une bonnes journée et à bientôt pour un nouveau chapitre de l' I.A.M 2.0.😁
Inaya et Inès
Colin
Mme Tadier
Ellie
Ash
Viki
...****************...
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A part le brouillard et la sphère qui se déplaçait d'un endroit à un autre chaque mois ; une énorme inflation sur la nourriture avait fait fureurs dans les infos. Effectivement, puisque plus personne ne pouvait sortir c'était difficile pour nos marchands de faire commerce.
En premier temps, la sphère qui s'était présentée du jour au lendemain et les brouillards qui revenaient comme un boomerang tout les deux semaines était source de préoccupations pour le voisinage tout comme nos mystérieuses disparitions ; ensuite, dès que tout nous paraissait sans danger, les gens n'hésitaient pas à se précipité dans les magasins en emportant tout avec eux sans se souciés des autres ce qui provoquait des ruptures de stock asser régulier.
On se retrouvait donc à manger en boîte de conserve des raviolis bon marché.
Inaya et moi, on n'était pas déranger par la situation.
Ma sœur le prenait comme une nouvelle aventure et riait dès que papa fouillait les placards à la recherche d'un paquet quelquonque qu'on aurait oublié et grimaçait parqu'il ne trouvait que des boîtes de conserve.
Je ne me plaignais pas non plus de notre situation. Au contraire, ça me plaisais bien d'avoir ma propre boîte de conserve à réchauffer, puisque je ne faisais que tout partager avec ma sœur, un peu de nouveauté n'étais jamais de refus. Je ne mangeais pas le matin, je préférais mangé le soir pour ne pas dormir le ventre vide ou alors on s'arrangeait pour manger tous ensemble mais j'avais toujours une boîte qui m'étais destiné.
Contrairement à moi ou Inaya, cet histoire chagrinait énormément maman. Elle disait souvent être désolée que la situation ne s'améliore pas comme si c'était de sa faute. Je veux bien croire que c'est de sa responsabilité de s'occuper de nous mais elle n'a jamais demandé à ce tous cela nous arrive.
Papa se plaignait de ne plus pouvoir travailler, de ne plus pouvoir sortir ou manger correctement mais se plaignait surtout parce que les scientifiques n'avancaient pas dans leurs recherches.
Seul nos journalistes étaient plus courageux.
Moi, je ne m'ennuyais pas et Inaya non plus. Je faisais mes exercices en ligne et Inaya lisait de plus en plus souvent. Mais plus ça durait, plus ça devenait pesant. Même les fenêtres restaient close, elles étaient ouverte seulement quand il faisait beau.
Jouer au Monopoly devenait ennuyeux et le Scrabble prenait poussière.
Pour vous dire à quel point ça devenait barbant de faire la même chose tout les jours.
Je n'arrêtais pas de me demander ce que ces choses voulaient.
Avant je m'en moquais mais maintenant que je les ai vus je voulais savoir ce qu'ils voulaient.
Puisqu'ils ne s'intéressaient qu' aux jumelles (d'où les disparitions) peut être que c'est pour ça qu'ils traînaient à proximité de la maison, peut-être que c'est parce qu'ils savent que des jumelles de leurs critères y logeait et qu'ils voulaient nous enlever comme toutes les autres.
*je ne voulais pas en parler à mes parents et surtout pas à ma soeur de ce que j'en avait conclu.
Je ne voulais pas les effrayé ou les inquiété. Je mettais toujours ma sœur sur un piédestal parce que c'est ma sœur mais, cette fois, je voulais des réponses et mes parents étaient de loin la dernière auquel je pensais.
Alors j'ai tout gardé pour moi mais c'était une mauvaise idée*
A 17 ans, ma sœur et moi avions compris qu'il était inutile d'aller à l'université, que c'était impossible. C'était déjà assez compliqué avec le lycée, d'ailleurs je ne comprenais pas pourquoi on devait quand même aller à l'école.
Le lycée ouvrait une semaine sur deux, on était moins de dix dans chaque classe, on était toujours en retour sur le programme et il était pas facile de comprendre les cours qu'on nous donnais puisque qu'on ne savait pas quand on allait revoir les professeurs et que le temps était compté.
Par la suite ce sont les profs qui ne sont pas venu en cours, en plein milieux du premier trimestre, à cause de la peur.
De plus ma sœur et moi n'allions jamais toutes les deux en cours. On ne pouvais faire confiance à personne (du moins, on se méfiait des autres). Puisque les disparitions n'avaient pas cessé alors on n'y allait chacune notre tour en veillant à ce qu'on se ressemblent parfaitement et qu'on détail le moindre amélioration pour ne pas se perdre.
Ça n'a durée qu'un certain temps, ensuite ma sœur et moi sommes restés à la maison à la vue de tous.
N'empêche qu'on sortait quand même une heure ou deux.
C'est deux mois après que nous avions eu notre premier coupure. Inaya et moi n'avions jamais eu affaire à des coupures avant.
Plus de téléphone, plus de télévision, plus de lumière, plus de jeux vidéos, plus d'internet, plus de livraisons, plus de devoir en ligne,... enfin bref on n'était complètement coupé du reste du monde mais au moins nous avions l'eau courante.
On n'était, donc, obligé de ressortir les vielles bougies, le Scrabble et le Monopoly.
Inaya et moi n'avions jamais eu aussi de temps pour faire la sieste. Je me réveillais parfois en pleine nuit après avoir dormi plus de cinq heures (je remercierais jamais assez cette coupure pour les courbatures que j'ai eu)
Un soir, je remontais dans ma chambre après avoir pris un verre de lait en pleine nuit (suite à une grosse envie), j'ai retrouvé ma sœur débout devant notre seule fenêtre entre nos deux lit. C'était assez flippant sur le coup ; surtout que j'étais sûr que ma sœur dormais quand j'ai quitté la chambre.
La lune éclairait le visage de ma soeur et la chambre avec. C'était flippant et beau à la fois.
Après un certain moment, ma sœur était toujours de dos et regardais avec ardeur le croissant de lune (digne d'un film d'horreur). Elle était comme hypnotisée. J'ai même pensé que la fenêtre était ouverte. Alors je me suis rapproché et j'ai dit :
- Inaya ?
Elle a presque sursauté et elle s'est légèrement tourné vers moi me montrant alors un visage totalement neutre, il n'y avait que dans ses yeux que je voyais de la fatigue.
- Tout va bien ? ai-je continué.
Ses long cheveux marrons lui cachait le bout des yeux. Ce soir-là, avec ses cheveux chatin un peu en pagaille elle ressemblait à une petite fille affamée.
Elle m'a fait un petit sourire et s'est de nouveau tourné vers la fenêtre.
- Quand est-ce ça s'arrête ? avait - elle dit d'une voix totalement neutre.
- Je n'en sait rien. La coupure est là depuis longtemps maintenant, ça ne devrait pas tarder à prendre fin.
- Je ne parlais pas de ça mais de tout ce qu'il nous ai arrivé depuis trois ans.
Une vague de frissons m'a parcours le corps, la voix de ma sœur n'a jamais été
aussi neutre, froide.
- Je ne sais pas non plus mais j'espère retrouver une vie normale après tout ça.
Elle n'a donné aucune réponse.
- Tu n'as pas à avoir peur, je suis sûr que c'est bientôt la fin de ce calvaire.
Cette fois, elle a accouru vers moi pour qu'elle me prenne dans ses bras.
- Je n'arrive pas à dormir, je peux dormir avec toi ?
- Oui bien sûr.
Dix minutes après, ma sœur avait réussi à dormir mais moi je n'arrivais à fermer les yeux.
Je n'arrivais pas à comprendre ce qu'il venait de se passer ma sœur ne s'était jamais comporté de façon aussi étrange dernièrement mais gardais toujours le même comportement. Est-ce que ce n'était que cette nuit qu'elle allait se comporter de cette façon ou ça allait recommencer ?
À mon réveil, ma sœur dormait encore alors je suis descendu prendre mon petit déjeuner c'est ensuite que ma sœur nous a rejoint, les parents et moi, mais n'avait aucun souvenir de ce qu'il s'était passé la nuit dernière ; elle était même surprise de se réveiller sur mon lit.
Je ne savais pas comment réagir à ce moment-là. Est-ce que c'est un début de somnambulisme ? Mais ça n'y ressemblait pas.
Elle a continué à se comporter de façon normale tout le reste de la journée.
Qu'est-ce que je devais penser, ce jour-là?
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