Sur une île en Polynésie française à Tahiti, vivait une famille très unie.
TERII Vairea une jeune femme de 36 ans qui était autrefois très belle, de long cheveu noir,
la peau blanche et les yeux noisette a la limite jaune comme de l'or, qui avait il y a longtemps
le corps très mince et très élancée sportive de 1m78 et maintenant avec les deux grossesses
a sont actifs, elle n'était plus aussi mince et élancé qu'avant, elle était maintenant très ronde,
mais était toujours de nature aussi joyeuse à toute épreuve.
Ce jour-là, elle avait ces deux enfants auprès d'elle, un jeune et adorable petit garçon de 9 ans
et une jolie petite fille toute mignonne de 4 ans, tous les deux brun aux yeux noisette
vraiment très clair.
Son mari, un jeune homme du même âge, de nature agressif avec les étrangers,
réellement grand de 1,85 m des cheveux noir et des yeux marron foncé presque noir,
au corps bronzé, musclé et fort de sa force,
était au travail, bien entendu avec sa femme, c'était un vrai Nounours.
Tous les matins Vairea devait s'activer rapidement pour amener ces enfants au bord de la route
pour prendre le bus qui les amèneront à l'école.
Mais ce n'était pas une mince affaire.
Elle se levait toujours très tôt afin de préparer les vêtements de travail de son mari
et le petit déjeuner de ses enfants.
La partie la plus difficile était de réveiller les deux petits anges qui aiment traînasser
au lit et de leur faire prendre le petit déjeuner, l'autre difficulté était de descendre
le chemin juste à côté de la maison qui est très difficile pour un des deux enfants,
notamment la petite sœur de KAÏ, FREÏ qui est une petite fille vraiment maladroite
qui devait pour descendre le chemin accidenté en toute sécurité s'accrocher au
dos de sa mère.
Ce qui bien sûr, était le moment le plus joyeux de sa chère et tendre petite princesse.
Voilà, les enfants sont prêts pour aller à l'école et s'apprêtent à emprunter le seul et
unique chemin accidenté.
- KAÏ en s'avançons dit, maman, je descends en premier, tu me suis juste après,
d'accord maman ? Et fait attention, ne tombe pas.
- Oui ne t'en fait pas mon garçon avance doucement, je te suis juste derrière toi
avec ta sœur, dit sa mère.
- D'accord maman ,dit joyeusement KAÏ.
Quel enfant énergique ! Pensa VAIREA.
De la transpiration commença à apparaître sur son visage la trompant de la tête au bas ventre.
Eh bien ce n'est pas une mince affaire de faire la descente de ce chemin tous les jours
de la semaine pour l'école des enfants, je suis exténué.
- FREÏ ma chérie tous va bien ? Ne bouge pas trop, nous risquerions de tomber tous les deux,
c'est dangereux, dit sa mère en cherchant à reprendre son équilibre.
- Waouuuh waouuuf kyaaaaa zuu zuu ua ooo dododo diii dii daado dooo wouaaahhhh lui dit FREÏ surexciter.
- Mon Dieu, je vais y arriver, oui je vais y arriver, dit sa mère.
Une fois arrivé tout en bas, KAÏ était en train d'attendre dans le parking du scooter
de son papa sous un arbre assis sur un gros rocher plat que son père avait installé
pour eux afin d'attendre tranquillement sur une surface propre. Sa mère ne tarda pas à arriver.
Elle posa FREÏ au sol et tenons les mains de ces deux enfants, ils marchèrent en direction
de l'arrêt de bus qui se trouvait de l'autre côté de la route.
Se tenant face à la route et inspectons bien les voitures de gauche et de droite afin
de pouvoir traverser en toute sécurité.
La petite famille de trois commencèrent donc à traverser, une fois qu'il n'y eut plus une seule
voiture des deux côtés.
Après la traversée, ils attendirent à l'arrêt de bus. 2 minutes plus tard le bus de FREÏ apparut,
elle prit donc son bus qui l'amena à l'école maternelle.
Une fois que FREÏ et son bus eu disparu 7 minute plus tard celui de KAÏ arriva aussi.
En allons dans le bus, le petit KAÏ dit à sa mère, maman,
- je suis un grand garçon, maintenant ne vient pas me chercher au bord de la route,
je rentrerai avec mes cousins. Récupère juste ma petite sœur maman, tout ira bien.
- Tu es sur mon petit cœur ? Ça ira ? S'inquiéta VAIREA.
- Mais oui maman aller j'y vais, a plus tard, maman, je t'aime ? Cria KAÏ, Et le bus partie
lui aussi vers l'école primaire.
Une fois les deux petites parties à l'école.
Vairea rentra chez elle et commença à s'occuper de ses poissons et de ses chats.
Elle avait une passion, celui de s'occuper et d'aimer les animaux, chez elle y avait 7 chiens,
5 chats, et des centaines et des centaines de poissons de différente race.
Entre temps son mari est au travaille et répare les moteurs de bateau des thoniers,
des bateaux de plaisance etc..
- ouf après une bonne journée bien remplie place a une bonne dose de lecture ?
Hum, il est 2 h il me reste donc une heure pour lire tranquillement, ensuite je vais
chercher les enfants, se dit-elle à elle-même.
Elle passa ainsi 1 h à lire son roman préférer.
L'alarme de l'horloge la prévient à temps d'aller chercher les enfants.
C'est parti, les enfants arrivent.
Toute guillerette, la tahitien se dépêcha de se rendre au bord de la route afin de récupérer ces petits.
Tous se passait très bien jusqu'à cet instant quelque minute après où tous bascula de travers, la jolie maman
qui attendait que ses enfants arrive vit enfin le bus de ces deux petits,
l'ainé descendit d'abord puis la cadette.
Les deux bus partis au moment où les deux enfants se tinrent à ses côtés
du coin de l'œil, VAIREA vit un scooter arriver droit sur ces bébés à toute vitesse
et ne trouva rien d'autre a faire que de les attraper et de pivoté sont corps afin de
les projeter le plus loin possible dans le chemin qui mène à leur maison.
Elle ne fut donc pas surprise de sentir le choc dans tous sont corps et de se voir
projeter en l'air près de ces enfants qui sous le choc s'agenouillèrent près d'elle
et t'entèrent de la sauver même s'ils ne savaient pas comment faire et la secouer
doucement avec espoir en hurlant les yeux gonflé de larme.
Du sang s'était projeté vers le sol
et les tenues des enfants,
un peu de sang, c'était posé sur
le visage de FREÏ qui ne comprenait
pas ce qui se passait, mais pleurait
de voir sa mère au sol encore vaguement consciente et KAÏ qui lui avait tous
compris a peur de perdre sa mère.
- snif snif snif, maman ! Maman ! Dit la voix enrouer de larme de KAÏ, je t'en prie
maman, lève-toi, rentrons à la maison te soigner, brrr snif snif bouuuuuhh snif
ssssrouppp sssrouppp maman ! Maman ! Tu perds trop de sang ou ai ton téléphone
je dois appeler papa, maman!!!!! ouin mama!!!haaaa mama!!!! ouinnnn ouinnnn
- haiiiiiii mama! mama! beuuhh eubeuhh mama!!!, hurlait la petite FREÏ en pleurant à
chaude larme.
KAÏ trouva enfin le téléphone de sa mère qui avait atterrie derrière sa sœur, fit le code
schématique et cliqua sur le nom de son papa dans le menu d'appel.
Première sonnerie :
Dring!!! dring!!! dring!!!
Le téléphone d'Opeta sonne tout d'abord dans le vide.
Personne ne répond
KAÏ en larme qui murmure :
- Papa, s'il te plaît répond!!?!!
Le téléphone se remet à sonner:
Dring!! dring!! dring!! dring!! dring!!
Dring!! dring!! dring!! dring!! dring!!
Toujours personne.
Messagerie vocale :
Votre correspondant vous rappellera plus tard.
Veuillez laisser un message après le bip sonore.
Bip.
La voix de KAÏ remplis de larme,
- PAPA!! PAPA!! MAMA!!!!
MAMAN!! OUINNNN!! MAMAN!!
sniff sniff MAMAN!! A EU UN ACCIDENT!! OUINNN!!
PAPA!! PAPA!! VIENT VITE!! PAPA!! MAMAN!!
ONT A BESOIN DE TOI OUIINNNN!!!
Hurle le petit KAÏ, essoufflé
il souffle un dernier, vite papa.
Bip, fin de la discussion.
KAÏ le regard hébéter et fixer intensément sur
le téléphone, le vit vibré et sonner.
Dring Dring
KAÏ décrocha rapidement
C'était grand-mère ELVI TAU
la mère de sa maman.
- Allo ? Ma chérie, comment vas-tu ?
Que fait...
KAÏ lui coupe la parole,
- MÉMÉ!! OUINN!! MÉMÉ!! VIENT VITE
MAMAN!! MAMAN A BESOIN
D'AIDE!! ONT AI AU DÉBUT DE NOTRE SERVITUDE MAMAN A EU
UN ACCIDENT!!! VITE
À l'autre bout du fil, les mains
tremblante, la peur au ventre et les larmes sillonnant ses joues
rouge, d'émotion, ELVI TAU appela ces 3 autres enfants,
les frères et sœur de VAIREA elle leur fit
part rapidement de la situation et se prépara à partir à toute
vitesse rejoindre ses petits enfants et sa fille.
KAÏ qui avait réussi à avoir sa grand-mère au
bout du fil tenta tant bien que mal de rassuré sa maman
ainsi que sa petite sœur. Avec des gestes vibrantes d'émotion
le petit pris un de ces t-shirts dans son sac d'école et essuya
le visage de sa mère.
Vairea dont le sang coulait sans discontinuité, toussa
et crachat des caillots de sang bien rouge. Malgré ce
grave accident, elle ne ressentait nulle douleur à part celui
venant de son cœur de maman pour ces chères petits trésors.
La petite maman commençait à avoir très froid et ses beaux
yeux dorés commencèrent à se fermer malgré les appels
de son fils et les hurlements de sa fille.
Mon Dieu mes chéries, pensa VAIREA, je veux rester
éveiller être pour toujours auprès de vous. Des larmes de douleur
et de tristesse, coulures de ses magnifiques yeux pour disparaître
dans ces cheveux emmêlés et ensanglanter.
Juste avant que VAIREA ne puisse se retenir plus longtemps
de garder les yeux ouverts, un vrombissement se fit entendre.
ELVI TAU arriva juste devant l'entrée de la servitude ou ses petits
enfants et sa fille se trouvaient.
Les enfants qui virent leur grand-mère arriver l'interpellèrent.
Une fois la voiture éteinte et les feux de détresse allumer, ELVI
descendit rapidement et jeta un regard rapide en direction
des enfants.
Quand elle vit l'état dans lequel se trouvait sa fille son
sang ne fit qu'un tour et manqua plusieurs battements.
- Non!! Non!! Non!! Ce n'est pas vrai ! Non ! Seigneur dieu ! Non !
S'il vous plaît laisser mon rayon de soleil à nos côtés, nous avons
tout besoin d'elle, murmura ELVI avec des larmes qui
coulure à flot et elle sentit son cœur se déchirer de douleur,
- Ma fille, ma chérie, reste éveiller, dit-elle d'une voix tremblotante.
Elle prit le téléphone de sa fille entre les mains de KAÏ et composa
le numéro des pompiers.
Le téléphone sonne chez les pompiers,
Dring! dring! dring! dring! dring! dring!
Une dame décroche.
- Oui allo ?
- Bonjour c'est une urgence ma fille a eu un accident
il faut venir, la chercher, sinon elle mourra, nous avons besoin d'aide vite,
dit sourdement ELVI.
- Tout de suite madame, nous quittons la caserne, pouvons-nous savoir
où a eu lieu l'accident, et sur quel numéro appeler ? dit la dame au bout du fil.
- Oui, madame, nous sommes à paea, servitude TETAVAHI, l'accident a eu
lieu devant la servitude de chez ma fille et appeler sur le téléphone de ma fille
au 893367510, expliqua la mère de VAIREA.
- Merci madame, nous arrivons, dit la dame de la réception,
la voiture s'apprête à quitter maintenant.
- D'accord, merci dit ELVI nerveusement.
Dès qu'ELVI s'agenouilla près de sa fille, ces deux petits enfants
n'hésitèrent pas à se jeter dans ses bras, en pleure.
- Mémé maman va mal, elle vient de fermer ces yeux
et je n'arrive pas à la réveiller, dit KAÏ se sentant impuissant.
- KAÏ raconte-moi ce qui sait passer, dit ELVI en tenant
fermement FREÏ dans ces bras. Et de l'autre main tentant de
réveiller sa fille.
- Mémé, un scooter lui a foncé dessus, maman à essayer de nous
sauvé sinon le scooter nous aurait écrasées ma sœur et moi,
mais il est parti et n'a pas aidé maman.
- Non, comment a t-il put faire ça, murmura ELVI avec
colère et ressentiment, le regard implacable, je ferais tout pour le retrouver
il paiera cher pour ma fille.
Posant sa main douce sur sa fille, elle essaya de sentir son cœur
soulager de ressentir de faibles battements.
À cet instant, un appel se fit entendre du téléphone de sa fille.
Bonjour, ici les pompiers, nous arrivons, pouvez-vous, vous mettre au
bord de la route pour vous trouver plus facilement ? Dit un homme.
- Oui, tout de suite, je suis habillé en blanc, dit ELVI.
Elle retourna à sa voiture après avoir vérifié que
les enfants ne la suivront pas, soulager
de les voir absorbé par leur maman.
ELVI repositionna sa voiture afin de laisser de la place pour les pompiers.
Puis, elle ressortit du véhicule et couru se tenir au bord de la route,
au son des pompiers la grand-mère fit de grands gestes des bras pour
les attirés à elle.
- Ok madame, nous vous voyons, dit le pompier.
Les pompier arriva donc et ils constatèrent qu'ils ne pouvaient pas
faire rentrer l'ambulance dans le chemin, des plots de signalisation fut
donc installer sur la route afin de pouvoir aider la file de voiture à circuler
et à mettre le véhicule dans la meilleure position pour
transporter la personne accidentée dans le véhicule.
Vairea fatigué ne pouvait plus ouvrir les yeux, mais ces oreilles arrivèrent encore à entendre tout ce qui se passait autour d'elle.
Ainsi, elle sut que ses enfants allaient monter dans la voiture de sa mère.
Les pompiers préparèrent le nécessaire de survie et la portèrent pour l'installer
sur le brancard.
Elle entendait le bip de la machine qui surveillait les pulsations de son pouls et
la discutions des deux pompiers en rapport avec son accident d'après le rapport
déposer par sa mère.
Ils ai maintenant 4:30, heure à laquelle ils quittèrent paea pour l'hôpital taaone,
Au même instant, OPETA le mari de VAIREA finit son travail à 4:30,
il prit sa douche et comme a son habitude attrapant son téléphone dans son sac
À dos de travail.
Il vérifia les appels et découvrit que sa femme l'avait appelée plusieurs fois de suite.
Il composa la messagerie vocale, afin d'écouter les demandes de sa femme,
mais à la place de la douce voix de son épouse, les pleurs criarde de ses deux enfants retentissent, laissant place à la panique, mais il put distinguer très clairement ce que sont fils essayer de lui dire.
Sous le choc, OPETA se précipita pour terminer de se vêtir, ramassa
son sac et composa le numéro de téléphone de sa femme dès la première sonnerie,
une voix lui répondit nerveusement,
- OPETA!!! Nous nous rendons à l'hôpital de taone aux urgences,
rejoint nous là-bas. Les enfants sont avec moi.
- J'arrive tout de suite, je ne suis pas loin, dit-il rapidement.
Dans la tête d'OPETA, plusieurs scénarios possible tous aussi horrible,
fit son chemin et augmenta considérablement sont stress, sa peur,
les sueurs froides, les frissons qui faisaient trembler sont corps d'effroi À l'idée de ce qu'il va découvrir en arrivant aux urgences.
Enfourchant en toute hâte son scooter longdja 50 cm³ 4 temps, OPETA se
rendit directement aux urgences,
slalomant entre les véhicules afin d'arriver
le plus rapidement possible.
À l'instant même où il arriva, les pompiers arrivèrent aussi ainsi que la voiture de sa belle-mère et ses enfants.
Il courut vers eux en pleine panique, pris ces
petits dans ces bras et dit :
- Mam où ai ma femme ? Où est-elle ? Le visage assombri par la peur de découvrir l'état de sa femme.
- Mon fils suit moi, dit sa belle-mère toute fébrile et les yeux enflés d'avoir trop pleuré, elle est ici dans la voiture des pompiers, ils sont en train de la sortir pour la poussée aux urgences.
OPETA suivit sa belle-mère les enfants dans ses bras une fois arrivé près du brancard de sa femme, il remit ses Petits à leur grand-mère.
Et se rapprocha encore plus prés pour voir l'état
dans lequel était actuellement sa femme.
Au moment où ses yeux se posèrent sur le visage de sa femme dont les yeux était fermé une immense douleur parcourut tous sont corps qui lui fit perdre l'équilibre, le visage fiévreux et haletant, il tendit la main pour dégager des mèches de cheveux ensanglantées, la vue du sang appartenant à sa femme lui fit perdre la tête et il perdit connaissance.
Sa femme sentie les doigts tant aimer de son mari accompagner d'un bruit sourde ne sentant plus la présence de son mari près d'elle,
une pensée lui traversa l'esprit,
oh mon très cher mari a dû, voire
Énormément de mon sang surtout
quand il s'agit de mon sang mon mari est toujours très sensible.
Il ne supporte pas la vue de mon propre sang cela le met toujours dans un état second voir il s'évanouissait.
OPETA fut porté par les pompiers et installer dans un lit d'hôpital à cause de son évanouissement.
ELVI qui avait assisté à toute la scène était très inquiètes, mais ne pouvait pas faire grand-chose avec les petits accrocher à elle.
30 minute plus tard elle entendit les voix de ses 3 autres enfants.
Dès qu'elle les virent arriver, une partie de la pression ressentie seul commença à retomber.
- Maman ? Appela QUEEN inquiète, la sœur cadette, ou ai VAIREA? Comment a-t-elle eu un accident ?
- Maman comment va-t-elle ? Dit KEEN soucieux, le cadet.
- Est-ce que tout ai prêt pour ma sœur maman ? Dit à son tour SINE posément, l'aîné.
Ne sachant pas réellement dans quel situation se trouvait leur sœur, les trois frères et sœur ne se sentait pour le moment pas aussi toucher par la nouvelle, mais ils tenaient à être auprès de leur mère pour la soutenir.
- Votre sœur vient d'entrée avec son
mari en salle de soin, dit leur mère très soucieuse
qui se remit a pleuré.
- Viens t'asseoir maman, laisse nous nous occuper des enfants et repose-toi.
ELVI suivît docilement ses enfants qui la firent asseoir sur un banc d'attente et
ils s'occupèrent des enfants en attendant
d'avoir des nouvelles de leur sœur.
KAÏ qui avait gardé les lèvres fermées
s'adressa à sa tante QUEEN,
- Tatie maman va très mal, elle avait pleine de sang partout sur elle, partout sous
elle, sa voix se brisa et il se remit
à pleurer. sniff sniff maman nous a sauvées ouinn!! ouinn!! maman!!
Je veux que ma maman aille bien tatie ouinn!! ouinn!!
QUEEN prit le petit dans ses bras et lui donna du réconfort, elle attendit que KAÏ
se calme pour lui demander de lui
raconter ce qui était arrivé à leur mère.
- Tatie, dit doucement KAÏ, maman à vu un scooter nous foncer dessus pour nous sauver, elle sait sacrifier en nous attrapons et nous a balancé suffisamment loin du danger, mais, mais maman a reçu le scooter en pleine face qui arrivait très vite. C'est notre faute si maman ai blessé, si nous n'étions plus là à ce moment la maman ne serait pas blessée.
- Petit coeur ce n'est pas de votre faute si ta maman a eu un accident c'est la faute de la personne qui la tamponner et qui
a pris la fuite pour ne pas avoir a prendre ces responsabilités.
Ne t'inquiète pas tout ira bien.
- D'accord tatie, murmura KAÏ les yeux lourds transporter dans les bras de morphée.
FREÏ s'était déjà endormit dans les bras de sont tonton SINE.
Les 2 enfants furent installer dans la voiture de leur grand mère, a l'arrière dans la benne, une belle ranger.
Tous attendit 6h, jusqu'à ce qu'un médecin vienne les voir et leur annonce que VAIREA ne passera pas la nuit et qu'ils devaient tous se rendre à son chevet pour lui dire adieu tant que les médicaments la maintiennent éveiller.
ELVI demanda des nouvelles de sont beau fils, le médecin alla voir s'il était réveiller et le decouvrit entrain de poser des questions sur sa femme.
Il le rejoignit et lui indiqua le chemin a prendre jusqu'a la chambre de son épouse qui attendait éveiller dans sont lit. Ne sachant pas encore les nouvelles concernant sa femme il rejoignit sa femme plein de joie.
Entre temps le médecin alla prévenir le reste de la famille et les guidas vers la chambre de la blésser les enfants étant réveiller, ils partirent plein d'energie auprès de leur mère.
La mère des enfants ayant été mis au courant de la situation, elle acceuillit sa famille et ses enfants avec sont plus beau sourire
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