Chapitre 1 : Le commencent se résume à beaucoup de choses.

Hey, voici le 1er chapitre, il n’y a pas vraiment d’événements importants, juste un petit chapitre pour vous faire rentrer dans le grand bain. N’hésitez pas à donner votre avis.

Juste avant de commencer une petite info qui peut-être utile :

Prénom OC : Chisumu

Nom OC : Takato

Bonne Lecture 🙌.

(N’oubliez pas de voter, ça prends 3 secondes et ça fait plaisir🥸).

                                                        PDV Chisumu :

Je suis une personne totalement banale, ou bien je suis sûrement encore pire.

Je ne sais pas ce que j’aime ni ce que je veux faire. Même à mes 8 ans je me posais des questions interminables sur tout, mais on me stressait sans arrêt, « qu’est-ce que tu vas faire plus tard ?, j’espère que tu seras aussi compétente que ton père », « ne devient pas une bonne à rien qui passe ses journées à la maison, sert à quelque chose ! », « tu n'en as pas marre d’être aussi mauvaise, tu me fais honte!! ». Voilà ce qu’on me dit à longueur de temps, c’est vrai 8 ans, c'est encore tôt, en tout cas cette règle ne s’applique pas chez moi. Même quand je n’avais que 5 ans, on commençait déjà à parler de mon avenir.

 Depuis ce jour, j’ai toujours été une marionnette qui suit tous les ordres sans rétorquer.

Pendant des années, ma vie se résumait à suivre les exigences des autres.

Un jour, a l’âge de mes 10 ans, une remarque était partie de trop, sous le coup de la colère, pour la première fois de ma vie, je me suis rebellée. Je suis partie de chez moi, je n’avais aucune idée d'où j’allais aller, après tout c’était la première fois que je sortais.

J’ai juste couru, couru, jusqu’à que je sois épuisé.

C’est là que devant moi, c’est tenu une scène qui pour le moins m’a permis de prendre conscience de beaucoup de choses.

Depuis ce jour, j’ai arrêté d’être un fantoche, et par la même occasion, j’ai pu commencer à aller à l’école. Ce n’était pas toujours joyeux , mais je préférais ces moments-là, entouré de gens qui ne m’aimait pas forcément, et pour être honnête, c'était déjà beaucoup mieux que chez moi.

Malgré les gens qui me dédaignaient, j’avais tout de même réussi à me faire des amis, aussi bien à l’extérieur ou à l’intérieur de mon collège.

Ma vie avait changé parce que j’avais enfin  pris par moi-même des décision par moi-même par exemple je sais enfin ce que je veux faire ! J’avoue cela n’est vraiment pas fameux dit comme ça, mais pour moi, cela se résumait à beaucoup plus que ça. Ce que je désirais faire plus tard était d’un cliché monumental dans ce monde, mais moi j’y croyais dure comme le roc ou bien le fer, en tout cas j’y croyais ! Et c’est toujours le cas aujourd’hui.

En ce jour, j’ai 15 ans et nous sommes actuellement en septembre, il reste actuellement 6 mois avant mon examen d’entrée à Yuei et oui j’ai postulé dans l’une des plus grandes écoles du Japon.

Avec mon statut, j’aurais pu sûrement rentré par recommandation, mais cette place, je voulais la gagner par mes propres moyens, et non parce que j’étais la fille du PDG multimilliardaire Patrick où Jean-Jacques.

Mes parents n’ont plus jamais décidé de quoi que ce soit, et c’était beaucoup mieux ainsi, je n’avais pas besoins de leur amour, à ces personnes qui n’ont pas prétendu être une fois mes parents , pour moi, leur amour n’a jamais compté , au début j’ai voulu commencer à faire plaisir à mes parents, mais je me suis vite rendue compte que c’était impossible, alors comme n’importe quel autre personne, j’ai abandonné.

Je vis toujours chez eux, bien évidemment, mais je dois plus ou moins les croisés une fois par mois.

Comme tous les jours en ce mardi matin, je me prépare à aller au collège.

                                                                                 PDV omniscient : 

Élève 1 : Hé ! Regarde, c’est la bourge de Takato

Élève 2 : Qu’est-ce qu’elle fait dans un collège paumé comme le n’autre. D'une voie moqueuse.

Élève 1 : elle a sûrement dû se tromper quand elle a rempli sa fiche d’inscription, le mauvais bahut à ce que je vois. Il prononça ces paroles tous en rigolant.

Élève 2 : d’une voie assez forte pour que la plupart des personnes autour entendent il prononça ces quelques mots : « Hé ! La pigeonne repart d’où tu viens ! On n'en a pas besoin des gens comme T-O-I »

La plupart des élèves autour, commencèrent à rigoler et tous les regards furent braqués sur Chisumu.

Mais elle, Chisumu, est rentrée au collège comme si rien de tout ça n’était arrivé, et ne sais pas retourner une seule fois pour voir la tête des personnes qui tenaient ces propos. Après tout, elle en avait l’habitude, et même si elle aurait répondu, cela n’aurait eu aucun effet escompté et la situation aurait assurément empiré de plus belle.

Chisumu s’en fichait, car elle ne connaissait même pas leur prénom ou bien même d’où ils venaient, ce sera sûrement la dernière fois qu’elle entendra leur voix et entendre des paroles de purs inconnus ça ne la blessait pas, ce n’était même pas ses amis.

C’est ce qu’elle se disait au fond d’elle, mais en vérité, elle était infiniment blessée par les paroles que tenaient ces personnes, même si elle faisait comme si tout allez bien au fond, elle avait juste envie d’exprimer sa douleur de n’importe quelles façons.

En plus, elle n’avait aucune idée de comment les élèves auraient pu savoir qu’elle était friquée, ce n’est pas comme si elle le montrait de toute façon, et dans la vie de ses jeunes ados, leur plus grand loisir était de rigoler du malheur des autres.

Elle continua son chemin jusqu’à sa salle de classe, et par la suite, se dirigea vers son seul ami de tout l’établissement.

Elle s’avança d’un pas sûr et de vive voix, elle adressa ces quelques mots à son ami : « Je vous souhaite bien le bonjour mon jeune ami » gardant son sourire du début jusqu’à la fin.

Devant elle, se tenait un garçon de plutôt grande taille dont un visage plutôt attrayant qui ne passait pas inaperçu. Au coin de son visage, une partie d’entre celui-ci était brûlée, il possédait des yeux bicolores, dont une teinte de bleu ciel qui faisait rappeler les doux paysages enivrants de la campagne, ses cheveux étais, eux aussi, bicolore, l’un des côtés était d’un blanc éclatant dont même les anges pourraient remettre en question la couleur de leurs ailes en le voyant. En résumé si on l’apercevait on ne pouvait détourner le regard qu’après une bonne dizaine de minutes.

D’une voix un peu sèche, mais dont on pouvait apercevoir un petit sourire en coin, l’inconnu répondu « Salut. »

Malgré la réponse un peu froide de ce dernier, la jeune femme ne se sentait pas mécontente, au contraire.

La première fois que s’était rencontré les deux jeunes ados, c'était il y a de cela 4 ans, Chisumu se promenait et par mégarde elle tomba, et sa tête avait percuté les chaussures d’un enfant. Elle s’excusa un bon nombre de fois, mais le jeune enfant n’osait même pas lui adresser un regard, elle ne pourrait jamais l’expliquer, mais à ce moment-là une flamme la consuma, elle voulait absolument devenir ami avec la personne qui se tenait devant elle, sûrement pour je ne sais quelle raison elle avait trouvé qu’au premier coup d’œil, il devait sûrement se ressembler c’est bizarre dit comme ça, mais c’est ce qu’avait ressenti la jeune fille, lui, le jeune enfant contrairement à elle semblait complètement indifférent.

Par la suite, elle s’est renseignée sur le jeune garçon, et a appris qui il était et à essayer de le croiser le plus souvent qu’elle le pouvait, le garçon un peu naïf ne voyait ça que comme des coïncidences et finit par s’ouvrir à la jeune fille, qui elle, était très contente par l’évolution de leur relation, alors même si ce bonjour peut paraitre un peu froid sur les bords, elle, elle ne le voyait pas du tout comme ça, et en plus de ça, c'était son premier vrai ami.

Après s’être remémoré certains de ses souvenirs comportant son ami Shoto et elle,

La sonnerie retentit annonçant les débuts des cours.

Pendant une bonne partie du cours, Chisumu, s’amusait à faire tourner son stylo,

ce qui n’échappa à ses camarades de classe présomptueux, qui par la même occasion ne se sont pas gênés pour la balancer au prof.

(Petite précision les élèves 1, 2 etc ne sont pas forcément les élèves qu’on a vu au début de l’histoire)

Élève 1 : Monsieur, je crois que Takato est beaucoup trop concentré sur son stylo et que depuis elle ne vous écoute même pas.

Élève 2 : Oui monsieur je crois bien, je l’ai entendu dire que votre cours était aussi ennuyant que vous

Élève 1 : En rigolant : elle se prend pour chez pas qui juste par ce qu’elle est friquée, mais elle doit être bête comme ses pieds

Professeur : Est-ce vrai Takato ce que racontent tes camardes de classe.

Chisumu : Je vous l’assure monsieur j’étais bien en train d’écouter votre cours et il n’a été à aucun moment ennuyant, ils ont seulement du confondre leur parole, je pense que c’est plutôt eux qui le trouver ennuyant, la preuve, j’ai cru apercevoir le téléphone de Azuka (Élève 1) dans sa trousse vous devriez lui posez la question.

Professeur : Merci pour ta franchise Takato, Azuka cela ne pose aucun problème si je cherche dans ta trousse pour voir si éventuellement les paroles de Takato s’avèrent justes ?

Élève 1 (Azuka) : Monsieur ! Vous allez vraiment la croire ! Je suis l’une des meilleurs élèves ! Pourquoi voudriez vous fouillez dans ma trousse!!.

Chisumu : Vois-tu ma chère Azuka, tu viens d’avouer indirectement que mes dires étaient justes, si ce que j’aurais dit aurait été faux tu n’aurais pas commencé à stresser bien sûr cela ne veut rien indiquer, mais vu ton caractère qui semble aussi bête que tes pieds, tu as foncé dans le tas sans réfléchir.

*Chisumu se leva et prit le téléphone de Azuka qui se trouvait dans sa trousse*

Chisumu : Tenez Monsieur, je pense que c’était cet objet qui l’empêchant d’écouter votre cours.

Professeur : Merci Takato, Azuka tu resteras dans la classe quand ça aura sonné, j’aurais à te parler en vue de ton comportement indécent envers ta camarde de classe qui elle contrairement à toi à l’air d’écouter mon cours.

*Quelques élèves se mirent à rigoler*

Azuka : *En marmonnant* tu me le paieras…

Shoto, lui était impressionné par la scène qui venait de se passer devant ses yeux même si cela n’était pas la première fois il était toujours aussi impressionné par le franc parlé de son amie.

Il était actuellement 15 h 50, ce qui annonçait la fin des cours pour les deux jeunes adolescents, ils prirent la décision d’aller se promenaient et de ne pas rentraient immédiatement.

Shoto : je t’admire vraiment, surtout ta façon de parler, j’aimerais bien moi aussi être capable de répondre comme ça à mon père et de ne plus avoir froid aux yeux.

Chisumu : Allez Shoto (NDA : oui elle l’appelle par son prénom, logique ils se connaissent depuis longtemps) ne te morfonds pas sur ton sort et en plus je te l’ai déjà dit je suis sûr que tu en seras capable, c’est juste que tu n’as pas fait le point avec toi-même, et un jour quand tu l’auras fait, tu te sentiras libre ! Comme un oiseau !

                                                  PDV Shoto :

Bonjour la référence….

Shoto : Comment ça faire le point avec moi-même ?

Chisumu : le jour où tu te seras accepté comme tu es et que tu ne dénigras plus et que tu penseras plus simplement parce que sérieux la situation est simple, mais tu te compliques trop la vie !

Shoto : Alors si c’est aussi simple pourquoi tu ne me l’as dit pas ?

Chisumu : Sinon ça deviendrait trop facile ! Et surtout que toi tu es toi et que c’est juste toi qui peux trouver cette réponse ! Mais si après 20 ans tu n’y arrives pas à ce moment je te la révélerai !

Shoto : 20 ans… c’est long….

Chisumu : Allez ne démoralise pas ! Allez tu viens, on y va !

Shoto : j’arrive.

                                                                   PDV Chisumu :

Je ne sais vraiment pas comment fait Shoto….

Pourtant, la réponse est à porter de mains, mais malgré ça je n’ai pas envie de lui dire. Cette réponse, il doit la trouver par lui-même, sinon il restera toujours au même point dans son plus grand désarroi. J’espère réellement qu’il y arrivera…

Même s'il a énormément changé depuis, il lui manque juste un pas pour être complètement en accord avec lui-même.

Après tout je le comprends ça ne doit pas être facile vu tous ses problèmes…

Et si je lui d’emblème ce que je penses je ne penses pas que ça l’aideras…

Chisumu : en parlant de ça, tu as été pris sur recommandation à Yuei ! Non ?

Shoto : Oui, et d’ailleurs je ne comprends pas pourquoi tu n’as pas fait la même chose.

Chisumu : je te l’ai déjà dit, tu as vraiment une mémoire de poisson rouge…. Je te l’ai dit que je voulais obtenir cette place toute seule et non à l’aide de mon statut social.

Shoto : Ta décision n’est pas très fameuse, mais je ne peux m’empêcher de t’admirais, c’est bizarre déclaré comme ça, mais Chisumu t’es comme un Astre dès qu’on a commencé à te voir après on ne peut plus détourner le regard et je te l’assure je ne suis pas du genre à complimenter qui ce se soit, surtout toi d’ailleurs mais disons que aujourd’hui je suis de bonne humeur.

Chisumu : Eh bah je ne savais pas que tu étais devenu poète ! C’est vrai tu es de bonne humeur en plus de ça! Alors c’est mon jour de chance j’ai réussi un compliment de l’illustre Shoto Todoroki ! Ouais Incroyable!

Mais tu sais… J’ai peut-être l’air extraordinaire pour toi, mais je te l’assure tu l’es encore plus que moi, tu n'as vraiment pas besoin de me complimenter comme ça….

Shoto : Si tu le dis.

Chisumu : Bon allait on y va ! Actuellement, là, j’ai hyper faim !

Shoto : Tu as si faim que ça…

Chisumu : Bien sûr ! Tu n'entends pas mon estomac, il n'arrête pas de me dire qu’il doit absolument être nourrie

Shoto : *Avec un sourire en coin* T’es vraiment pas croyable \, ce n'est pas possible.

Chisumu : Rectification, je suis incroyable et j’ai faim.

Shoto : Allez viens on y va.

PDV OMNISCIENT :

C’est sur ces rires que la journée se termina, une journée dès plus banale comme ça a priori, mais pour eux, qui n’avaient connues que le cahot, ce calme était d’un réconfort qu’on ne pouvait que rêver.

Hey voilà le premier chapitre, la suite prendra du temps à sortir n’hésitez pas à donner votre qu’il soit positif ou négatif ça m’aide vachement en espérant que ça vous a plu 🤨🐥

PDV Chisumu :

En ce jour, nous sommes le 23 février et il est actuellement 14:00 soit trois jours avant l’examen d’entrée à Yuei, je m’étais dit que ce n’était rien et qu’il ne fallait pas que je stresse, mais soudainement il y a quelques jours, je me suis remis à paniquer….

En plus je n’ai aucune idée comment se déroulera l’examen pratique…

Et voilà je recommence à stresser…

Pour me calmer je décide d’appeler Shoto et voir s'il peut s’entraîner avec moi

APPEL SHOTO - CHISUMU :

Shoto : Allo ?

Chisumu : Salut… *dis-je d’une voix d’espéré* est-ce que tu penses que tu pourrais venir t’entraîner avec moi ?

Shoto : Hum… Oui aucun souci. On se retrouve où ?

Chisumu : A l’endroit habituel

Shoto : D’accord. J’y serais dans à peu près 10 min.

Chisumu : À toute…

Shoto : Salut

FIN APPEL SHOTO - CHISUMU

Piouf… Heureusement qu’il a accepté je me voyais mal m’entraîner seule.

Je m’habillai d’un simple jogging et d’un pull qui m’arrivait au niveau de mon bassin.

J’emportai avec moi un sac avec de quoi m’hydrater et au cas où une veste.

J’enfilai rapidement mes chaussures de sport et me rendis de toute hâte à l’endroit

prévu.

*7 mins plus tard*

Après avoir couru aussi vite que je le pouvais, j’étais enfin arrivé.

Cet endroit était un peu comme un havre de paix. Un lieu où le silence régnait et si on pouvait tout de même apercevoir ne serais se qu’un seul son, ce serait sûrement le bruit des feuilles mortes qui venaient chatouiller nos orteils. Un endroit rien qu’à nous, à Shoto et Moi, le lieu le plus tranquille que je connaisse. Enfin bref. Je posai mon sac vers un tronc d’arbre.

Après 5 minutes d’attente, je pus apercevoir Shoto au loin.

Chisumu : Rappelle-moi tu avais bien dit 10 minutes ? *Déclarais-je d’un sourire narquois*

Shoto : Désolé j’ai fait au plus vite *Dit-il tout essoufflé*

Chisumu : Je rigolais… L’humour et toi, tu le connais ?

Shoto : Hein depuis quand l’humour est une personne ? *Dit-il en toute sincérité*

Chisumu *Je m’empêchais de rire pour ne pas plus le blesser puis je soupirai* Ouah ! Tu es vraiment un cas à part\, j'abandonne sérieux.

Shoto : Fais comme tu veux *Dit-il en haussant les épaules\, l’air nonchalant*

Chisumu : Tu viens ?

Shoto : Hum….

On s’était avancés vers un endroit où la végétation était moins présente pour éviter les dégâts superflus.

Shoto : T’es si stressé que ça pour t’être décidée à m’appeler ?

Chisumu : Qui c’est ? Peut-être ?

Shoto : Pourtant avec ton alter ça va sûrement être un jeu d’enfant peu importe la situation…

Chisumu : Justement si je suis stressé je n’arrive pas à l’enclencher.

Shoto : Bon tu sais quoi, est-ce que tu es encore stressé actuellement ?

Chisumu : Moins que tout à l’heure….

Shoto : Alors essaye de te remettre dans le même état de stress de tout à l’heure et essaye d’enclencher ton alter.

Chisumu : Ok, je vais essayer.

Je joignis mes deux paumes légèrement tremblantes pour me concentrer, Je m’imaginai un point dans ma tête qui n’arrêtait pas de bouger dans tous les sens et je me concentre pour le bloquer après 4 minutes à essayer sans succès je vois que Shoto est toujours en train de m’observer sans rien dire. Je referme vite mes yeux et me refais la même image, mon corps tremblait encore, mais ça, c'était amélioré, je poussai un long soupir, et ne me concentrait que sur le point qui se trouvait dans ma tête. Je rouvris les yeux pour voir si ça avait marché. De mes yeux émeraude, j'observais ce qu’après d’innombrables tentatives, je n’avais pas réussi à faire, sauf que là si, j’y étais enfin arrivé. Le temps était bloqué. Les oiseaux à tout haut et tout bas ne se déplaçaient plus d’une aile. De même pour les feuilles qui s’apprêtaient à se poser sur le sol verdoyant. Je m’approchais de Shoto pour voir si lui était immobile. Je me rappelai qu’il ne fallait pas que je le touche trop sinon le temps risques de se réactiver. Alors je posai mon doigt sur sa cicatrice, il ne bougea pas d’un pouce. J'étais soulagée cela avait aussi marché sur lui. J’allumai mon portable pour voir quelle heure affichait-il. Actuellement, il était 15:45. Je me mis en tailleur et

je sortis un chronomètre de ma poche qui lui était n’étais pas sous l’effet de mon alter. Je l’activai et attendu patiemment jusqu’à que mon alter se dissipe.

Après exactement 19 minutes et 34 secondes mon alter se désactiva automatiquement et la vie reprit son cours je sortis mon portable et nota mon temps dans une note prévu à cet effet j’avais franchement progressé, il y a 6 ans je pouvais seulement bloquer le temps pendant 2 minutes et encore…

Shoto s’avança vers moi et s’assît juste à côté de moi.

Shoto : Alors as-tu réussi ?

Chisumu : Selon toi ?

Shoto : Je suppose

Chisumu : Je prends ça pour un oui !

Shoto : Tu veux continuer qu’on se fasse un combat au corps à corps ?

Chisumu : Ça me va, mais ne viens pas pleurer si tu perds, dis-je avec un sourire béant*

Shoto : Humm *me répondît-il avec un léger sourire qu’on pouvait à peine apercevoir*

Après environ 1:00 d’exercices farouches, nous arrêtâmes essoufflés.

Nous nous allongions tous les deux sur le sol frisquet et contemplions la lune qui venait de pointer le bon de son nez, mon portable affichait, il était 17:54.

Je m’avançai vers mon sac, sortis ma bouteille d’eau et bu d’une traite son contenue. Shoto me regardait avec de gros yeux me suppliant de lui en passer, sauf que trop tard j’avais déjà tout avalé… Ce qui ne lui avait pas échappé et me regardai toujours avec ses yeux. Je me résignai à remonter le temps de quelques minutes, j’étais juste revenu avant. Alors de ma voix sèche qui n’avait pas étais hydratée depuis bien longtemps « T’as soif… »

Shoto : Moi qui pensais que tu n’allais même pas penser à moi, tu m’étonnes

Chisumu : J’avoue, j’ai remonté le temps parce qu’il y a quelque minutes tu étais en train de me supplier.

Shoto : Ça ne m’étonne même pas… Merci pour ton eau *Dit-il en me prenant ma bouteille\, il vida 3/4 de ce qu’il contenait* Ah vraiment merci j’en avais besoin. Tu me sauves la vie Chisumu.

Chisumu : Tu as presque tout bu… *Indiquè-je en semi-boudant* T’as qu’à te créer des glaçons avec ton alter au lieu de chiper dans mon eau

Il ne répondit même pas et me foutu un vent. Ce qui ne m’avait pas vraiment choquée d’ailleurs. Alors je recommençai à lui parler de tous et n’importe quoi, mais il ne déniait pas m’adresser un seul regard ou une réponse. Quand j’ai enfin compris qu’un truc clochait il était déjà parti…

Ah super… il m’en fait voir de toutes les couleurs….

Je pris mon sac à toute vitesse et me pressa pour essayer de voir où il était parti.

Après d’interminables minutes, je l'ai enfin retrouvé. J’accélère le pas pour le retrouver. Sauf qu’il s’avançait vers sa maison familiale et bam il était rentré avant que je ne pus faire quoi que ce soit. Je remarquai que les fenêtres n’étaient pas fermées et je pus entendre une conversion dès plus joyeuse…

PDV Omniscient :

Endeavor : Qu’est-ce que tu faisais dehors à cette heure-là!!! *En semi-hurlant*

Shoto : j’étais juste parti faire une course rien qui pourrait tacher ta réputation *en ayant un regard qui n’inspirer que de la haine*

Endeavor : Alors qu’est que tu as acheté parce que là JE NE VOIS RIEN

Shoto : Une bouteille d’eau, je l’ai déjà bu.

Shoto semblait agacer par les hurlements d’Endeavor qui résonnait dans la pièce.

Endeavor : C’est ça… Oui… n’oublie pas tu es ma réussite…. Mon chef-d’œuvre. NE FAIS RIEN QUI POURRAIS SOUILLER MON NOM !

Shoto : Oui… *dit-il agacer au plus au point*

Endeavor : Sur ce j’y vais et que je t’y reprenne plus

*Endeavor lança un regard noir à Shoto qu’il le lui rendra aussi tôt.

Chisumu était toujours là et avait tout écouté de cette conversation.

Elle se décida et parti vers la porte d’entrée et frappa chez les Todoroki.

La personne qui lui ouvrit la porte n’était autre que Shoto lui-même

Son regard était froid, ce qui n’échappa pas à la jeune fille.

Shoto : Qu’est-ce que tu veux Chisumu ?

Elle remarqua qu’il essayait tout de même de contenir sa colère m.

Chisumu tripota ses doigts et dit « Tu sais que si tu as un problème, tu pourras toujours me le dire je ne te jugerais jamais, on se l’avait promis pas vrai » dit-elle en souriant.

Le jeune homme soupira, soulagé, il enfila rapidement un manteau, la prit par le bras et la tira loin de cet enfer. Quand ils eurent fini de marcher il se posa dans un coin, avec toujours Chisumu à ses côtés.

Shoto : J’en ai marre\, j’ai l’impression que chaque jour\, il est de plus en plus détestable *De la haine était présente dans son regard*

Il n’avait pas eu besoin de nommer le Il a Chisumu sachant déjà de qui Shoto parlait.

Elle, elle l’écouta sans un bruit.

Shoto : Il me sort tous les jours les mêmes débilités…

« Tu es mon chef-d’œuvre »\, « N’entaches pas ma réputation » Toujours le même discours. *En marmonnant* Mais je lui prouverais que je serai le meilleur sans utiliser son fichu pouvoir.

Chisumu : Qu’est-ce que tu insinues par son fichu pouvoir ?

Shoto : Celui de mon père, je ne l’utilise jamais, l’aurais-tu oubliée ?

Chisumu : Mmhh… Son fichu pouvoir ? Il fait partie de ton corps pourtant donc c’est ton alter et seulement le tien.

Shoto : Hein ? Quoi…

Chisumu rien laisse tomber….

Voyant la détresse dans les yeux de son jeune ami. Elle le prit dans ses bras malgré la sacrée différence de taille. Et lui tapa légèrement le dos.

Chisumu : Tout va bien… D’accord ? On sera toujours ensemble *Dit-elle en lui souriant et lui tendant son petit doigt*

Shoto : Mmhh. * Il joignit son petit doigt à celui de sa meilleure amie.

Shoto : Merci… Vraiment *Dit-il pensif’

Chisumu ne répondu rien du tout et le sera un peu plus.

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Deuxième Chapitre, si vous avez des suggestions n’hésitez pas.

En espérant qu’il vous a plu *\~*

Je ne sais pas qu’en sortira la suite.