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Avertissement ! Ce chapitre comporte une scène contenant des caractères qui peuvent choqué certains ! Sinon bonne lecture à tous !]
C'est dure...fut la première penser avant d'ouvrir les yeux, j'étais coucher sur le sol, alors que je voulais me redresser j'entends des bruits de chaîne bougeant au sol. Je suis attachés c'est quoi ce délire !
Je me redresse paniquer, mais je me calme un peu pour regarder ce qui m'entoure. Il avait un matelas qui n'était pas de première qualité, devant moi des barres de métal, comme celle d'une cellules de prison. Je pouvais distinguer de la lumière, des flambeaux qui éclair le couloir en face de ma cellules, je voulu m'approcher mais je m'arrête à quelques centimètres des barreaux, la chaîne m'empêche d'aller plus loin.
Je m'assois alors sur le sol, un coude un de mes genoux. Tout à coup j'entends des bruits de pas venant dans ma direction. Une silhouette apparaît alors dans mon champs de vision.
Alors qu'il s'approche de ma cellules je recule, un reflex de peur sans doute...
Alors que je touche le mur dans un dernier mouvement de recule, il entra dans la cellules, je lève alors ma tête pour le regarder, il avait le visage à moitié éclairer par la lumière des torche.
-Pourquoi m'avoir emmener ici !? Dit-je en le regardant, le regards brûlant de colère.
Il s'approche alors de moi, je peux d'ailleurs distingué un petit sourire.
- Dit moi ton nom. Dit-il en prenant mon visage avec sa main.
- Keira et vous ? Dit je en le regardant.
- Je suis Sayo. Bien maintenant que les présentation sont faite, je vais t'expliquer pourquoi tu es ici. Tu es dorénavant mon exclave, tu dois être un bon chien, si tu es sage tu auras des récompense.
- Vous pensez que j'allais vraiment accepter ça ?!
-Dit a dit que tu avais le choix.
Je senti une main sur mon cou, cette main commence à me serrer le cou, je senti alors mon corps décoller du sol, il me projete alors sur le matelas comme si j'étais une boule de papier dans une poubelle. Puis se mit au dessus de moi, j'essaye de me débattre laissant entendre des <
Il me retourne, me prit les poignets puis me les attaches dans le dos avec des menottes, me retourne de nouveau.
Je suis une crêpe ? Mais qu'est-ce qui va pas chez moi a plaisanté dans un moment pareil !
Il commence alors à passer ses mains sous mon t-shirts, je bouge mon corps, cri, mais il ne s'arrête pas. Mais j'eus tout à coup des gémissements, il caresse mes petits bout de chair.
- Détend toi, on est que tout les deux...
Dit-il en continuant de balader ses mains sur mon corps.
Alors qu'il descend plus bas, un boule commence à apparaître, ses caresses commence a m'exciter,il l'a très bien compris, il enlève mon pantalon, il m'enleva une jambe qui n'avais pas la chaine et laissa l'autre, il fut pareil avec mon boxer, mon membre était à moitié dresser... Si j'aurais pu je me serais cacher dans un trou de souris.
Mais je n'ai pas le temps de penser à autre chose que j'entends la barquette de son pantalon descendre.
Il rapproche mon bassin de son membre qui à vue semble dure.
- S'il vous plaît ! Là mettait pas ! Je vous en....
Je nus pas le temps de finir ma phrase que se que je redoutes ce produits, je le sens venir en moi, je cris de douleur à m'en briser la voix, des larmes coules le long de mes joues.
Il bouge en moi comme une brute, c'est tellement brutal, je n'ai aucun plaisir à l'avoir en moi...au bout de plusieurs minutes je le sens qu'il s'est vider en moi, je me sens sale, briser...mais alors qu'il se retire je sens mon esprit partir...mes yeux se ferme....
- J'avais raison... Tu es bon. Je serais plus doux la prochaine fois. Dit Soya en déposant un baiser sur les lèvres de Keira puis quitta la cellule, ordonnant à des hommes de le monter dans la chambre prévu pour lui.
J'ai mal...je sens plus mon cul...Ce mec la prochaine fois que je le vois je lui fais regretter de m'avoir prit mon cul comme ça ! Je me vengerai.
Bon maintenant faut que j'ouvre les yeux...
J'ouvre alors les yeux, mais je suis vite aveuglé par la luminosité très présente dans la pièce, je colle ma tête alors dans l'oreiller. Après avoir trouver la force d'affronter la lumière j'ouvre les yeux puis commence à m'habituer à cette lumière.
Je regarde alors autour de moi mon nouvel environnement. Il a des meubles de luxe sobre, un lit confortable, une fenêtre...une chambre banale mais au goût de luxe.
Je me lève et remarque que je suis habillé en tenue de tout les jour, je suis rassurer de pas me sentir nu.
Je m'approche de la fenêtre, je dois être au premier étage, ce n'est pas très haut. Je l'ouvre alors puis commence à faire passer mes jambes sur une petite poutre, je respire vite et fort.
Pas de panique ça va aller.
Je regarde au sol, il a de nombreux buissons, dans le pire des cas je me fais mal à la jambe non ?
Je prends une grande bouffée d'air puis me jette en avant laissant mon corps tomber. Cela n'a pas durer longtemps mais je me sentais libre...s'était bizarre mais bon pas le temps d'y penser. Je venais d'atterrir sur des buissons se qui a rendu ma chute plus facile.
Je me relève puis regarde autour de moi, il avait un grand domaine, il a un grand jardin à ma droite, puis une forêt a gauche.
Je veux sortir...alors on va essayer la forêt, il doit bien y avoir une sortie...
-J'ai mal au pied...
Depuis deux heures environ que je marche dans cette forêt pourtant j'ai l'impression de pas avancer...
J'avance malgré tout encore une bonne dizaine de mètre, c'est alors que je vois un portail, miracle ! Enfin je vais retourner à la maison !
Alors que je m'approche du portail, puis m'apprête à l'escalader, j'entends de nombreux pas ainsi qu'une voix qui me fige automatiquement.
- Tu ne peux partir...Tu es mon esclave désormais. Dit-t-il en s'approchant doucement de moi accompagner de ses gardes.
- M'approche pas ! Je ne suis pas ton esclave combien de fois faut te le dire !
J'essaie de vite escalader mais je sens qu'on m'attrape les chevilles, on me force brutalement a descendre sans que je puisse faire quoique ce soit.
Des bras viennent alors se poser sur moi pour me faire agenouillé au sol, la tête levé vers cet homme qui a prit mon corps pour un jeu... Il me dégoute, je sens sa main sur ma joue, je tourne immédiatement le visage, il affiche un sourire satisfait.
- Tu es mignon quand tu es comme ça. Emmener le dans ma chambre, une chaîne autour de son pied.
Je n'ai même pas la force de contester. Je me laisse alors retourner dans la maison de mon maître, dans l'espoir d'un jour franchir ce portail.
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