Ça fait trois mois que personne n’est venu au magasin.Si ça continue,je finir par devoir sauter non un repas mais deux .J’ai vingt deux ans et je m’appelle Suri .Je suis une artiste ,je fais de la peinture ,de la sculpture et quand j’en ai envie je travaille le verre . Mais je ne suis pas connue et je ne roule pas sur l’or .Dix-huit heur ,il temps de fermer la boutique. Je balaye du regard de toutes mes œuvres ,pour être honnête je les trouve plutôt belle et je ne comprends pas pourquoi personne ne prend le temps de au les regarder. Et c’est à moment précisément qu’il est renté,il a fait un pat vers moi et m’a lancée :

-Alors Suri ,ça fait longtemps, pas vrais ?

J’aurais étais prête à voir tout le monde sauf lui.

-Oui!c’est le moin qu’on puisse dire …

Il a contourné mon atelier, s’est assis sur une chaise ,comme si il était chez lui,puis il a repris :

-Comment vont les affaires ?

-Mieux que jamais, mentis-je ,mais sinon je pourrais savoir ce que tu fais ici ? Pourquoi tu t’installe comme ça ,comme si tu étais chez toi ? Et qu’est ce que tu fais dans cette ville ? Tu n’étais pas censé devenir homme d’affaire ou je ne sais pas quoi ?

Il ne pas répondu , je n’ai pas imaginé une seconde qu’il aurait pu échouer c’est pour ça que j’ai lancé cette question si méchamment .Mais si jamais il n’avait pas réussi, j’avais vraiment touché un point sensible et ça je ne voulais pas.

-Alors Théo ,répond moi ,repris- je plus doucement ?

-Eh bien … c’est comme sur des roulettes ,tous vas pour le mieux me répond -il avec un grand sourire.Mais tu sais mentir n’est pas bien .

Comment avait -il sut ?

-Je ne vois pas de quoi tu parle …

Je ne le vis pas venir :il avait ,en un éclair traversé la salle et avait mis ses mains sur mon visage . Je ne comprenais plus rien, mon esprit était en plein confusion .Mais je pouvais maintenant percer ses beau yeux d’un bleu canard . Son regard était intense. Ses main était froides sur ma peau chaude me procurer une agréable sensation.

-Si tu me le demande gentiment je ferais en sorte que tu sous la plus connue des artistes….

-Non

Il haussa les sourcil puis eu un petit rir et décida finalement lament de me lâcher .

-je me doutais que tu refuserais ma proposition. Tu n’as pas changer .Tu es tellement têtu mais bon c’est ce qui fait ton charme.

HEIN ,c’est ce qui fait mon charme!Qui est -il pour me dit ça ?

-Et toi tu prend toujours autant plaisir à séduire les femmes mais je ne t’ombrais pas deux fois dans le panneau.

-Tu m’en veux toujours…mais je t’ai dit que je regretté .Je t’aime et pas qu’un peu Suri .

Il avait encore lancé ce regard qui me séduisait tellement que je ne pouvais pas y résister mais non cette fois je ne pouvais pas céder à sa déclaration.

-Théo ,dis moi ,qu’est ce qui me garantie que ce qui c’est produit il y a cinq ans ?

il a baissé la tête son regard s’était attristé. Je ne voulais pas lui faire du mal parce que je l’aimais, j’étais amoureuse de lui .Mais il était hors de question que je lui dise aprés ce qu’il m’avait fait .Il leva sa tête,doucement me sourit tristement et me répondis

-Absolument rien ,mais je t’aime ,je suis amoureux de toi et plus fort que ce que toi tu ressen pour moi .

Comment osait -il ?et d’abord comment connaissait -il mes sentiments pour lui?

-Suri ?

-Oui ?

-S’il te plaît .

- D’abord dis moi comment est-ce que tu es au courant?

-Ça se voyait dans tes yeux mais si tu veux tout savoir je n’étais pas vraiment sûre de moi c’était 50 50 .Donc ? Ta réponse?

-Non

Et encore une fois il me lança ce regard de chien battu puis eu un bref rire .Ensuite je ne vis rien venir .Plus vite que la capacité de mes yeux à antitipé ,Théo avait collé ses lèvre sur les miennes.Elles avait le goût du bonnheur ,encore faut -il qui en ait un .Elles avait le goût de la liberté. À tout moment j’aurais pu me détacher de lui mais j’en avais pas envie, cette vague de chaleur me faisais plus de bien que de mal. Je le voyais venir il commencé à m’attaquer avec sa langue et même avec ses dents et moi je n’eu pas le courage de l’ignorer. Je commençais à manquer d’air . Comme un génie Théo détacha doucement ses lèvres des miennes puis mis sa main droite sur mon menton ,approcha sa bouche de mon oreille droite et me chuchota :

-Pour la dernière fois je t’aime

-Et alors ?«je t’aime »est une déclaration et non une demande .

-Dois -je prendre ça pour un oui?

Il s’éloigna de quelque pats , pris un verre que j’avais fabriqué ,penchât la tête sur le côté et attendu ma réponse .Sauf que moi je n’avais pas envie de répondre parce que oui évidemment que je le voulais que pour moi mais avais -je le droit de l’accepter après ce qu’il m’avait fait subir ?Etait-il fiable?

-je te l’achète lança-t-il une voix qui me fit sortir de mes pensées.

-Pardon?

-Je te l’achète répète a-t-il agacé .Donc le prix ?

-22€.

-C’est trop cher,si tu veux avoir de la clientèle il faut que tu baisse tes prix .

-QUi est tu pour me dire ce que je dois faire ?

-Ton petit ami .

Et encore une fois je n’eu ni l’envie,ni la force ni le courage de lui dire non

-Si tu accepte je pourrais t’aider , tu deviendra la plus célèbre des artiste .

-Comment pourrais-je être sur que tu ne vas pas me laisser tomber ?

-Rien .

C’était exactement la réponse que j’attendais.

-J’accepte mais il a des conditions.

Je vis souffre ironiquement.

-Premièrement ,je ne veux aucun viol ,deuxièmement tu ne rendra pas notre relation publique.Et pour finir Oh que je serai devenu assez célèbre pour vivre correctement je te quitterai et nous n’aurons plus jamais aucun lien , nous ne nous croiserons plus jamais.

Il baissa la tête tristement mais je savais qu’il avait un plans derrière la tête pour me garder près de lui . Mais non cette fois je ne tomberai pas dans le piège ,c’est moi qui le quitterais.

-tu te souviens de ce qu’il s’est passé il y a cinq ans ? lança t’il d’une voix sans émotions.

il a baissé la tête son regard s’était attristé. Je ne voulais pas lui faire du mal parce que je l’aimais, j’étais amoureuse de lui .Mais il était hors de question que je lui dise aprés ce qu’il m’avait fait .Il leva sa tête,doucement me sourit tristement et me répondis

-Absolument rien ,mais je t’aime ,je suis amoureux de toi et plus fort que ce que toi tu ressen pour moi .

Comment osait -il ?et d’abord comment connaissait -il mes sentiments pour lui?

-Suri ?

-Oui ?

-S’il te plaît .

- D’abord dis moi comment est-ce que tu es au courant?

-Ça se voyait dans tes yeux mais si tu veux tout savoir je n’étais pas vraiment sûre de moi c’était 50 50 .Donc ? Ta réponse?

-Non

Et encore une fois il me lança ce regard de chien battu puis eu un bref rire .Ensuite je ne vis rien venir .Plus vite que la capacité de mes yeux à antitipé ,Théo avait collé ses lèvre sur les miennes.Elles avait le goût du bonnheur ,encore faut -il qui en ait un .Elles avait le goût de la liberté. À tout moment j’aurais pu me détacher de lui mais j’en avais pas envie, cette vague de chaleur me faisais plus de bien que de mal. Je le voyais venir il commencé à m’attaquer avec sa langue et même avec ses dents et moi je n’eu pas le courage de l’ignorer. Je commençais à manquer d’air . Comme un génie Théo détacha doucement ses lèvres des miennes puis mis sa main droite sur mon menton ,approcha sa bouche de mon oreille droite et me chuchota :

-Pour la dernière fois je t’aime

-Et alors ?«je t’aime »est une déclaration et non une demande .

-Dois -je prendre ça pour un oui?

Il s’éloigna de quelque pats , pris un verre que j’avais fabriqué ,penchât la tête sur le côté et attendu ma réponse .Sauf que moi je n’avais pas envie de répondre parce que oui évidemment que je le voulais que pour moi mais avais -je le droit de l’accepter après ce qu’il m’avait fait subir ?Etait-il fiable?

-je te l’achète lança-t-il une voix qui me fit sortir de mes pensées.

-Pardon?

-Je te l’achète répète a-t-il agacé .Donc le prix ?

-22€.

-C’est trop cher,si tu veux avoir de la clientèle il faut que tu baisse tes prix .

-QUi est tu pour me dire ce que je dois faire ?

-Ton petit ami .

Et encore une fois je n’eu ni l’envie,ni la force ni le courage de lui dire non

-Si tu accepte je pourrais t’aider , tu deviendra la plus célèbre des artiste .

-Comment pourrais-je être sur que tu ne vas pas me laisser tomber ?

-Rien .

C’était exactement la réponse que j’attendais.

-J’accepte mais il a des conditions.

Je vis souffre ironiquement.

-Premièrement ,je ne veux aucun viol ,deuxièmement tu ne rendra pas notre relation publique.Et pour finir Oh que je serai devenu assez célèbre pour vivre correctement je te quitterai et nous n’aurons plus jamais aucun lien , nous ne nous croiserons plus jamais.

Il baissa la tête tristement mais je savais qu’il avait un plans derrière la tête pour me garder près de lui . Mais non cette fois je ne tomberai pas dans le piège ,c’est moi qui le quitterais.

-tu te souviens de ce qu’il s’est passé il y a cinq ans ? lança t’il d’une voix sans émotions.