NovelToon NovelToon

Reclus

Chapitre 1

Reclu sur une ile au milieu de l'océan, le peuple d'Armentis, vis sans aucune technologies, ils apprennent aux enfants que cette pratique peut etre très dangereuse. Ils vivent comme des gens normaux à l'exeption qu'ils cachent quelque chose, une chose énorme don ils ne peuvent mettre les enfants au courant qu'à leurs 21ans, début de l'âge adulte sur cette île. Les gens la-bas vivent de l'agriculture, à la main. Et de l'élevage de bétail. Sur cette île il y a très peu d'école. Tout le monde peut y accéder. Dans cette archipel, l'argent n'existe pas, c'est plutôt un principe d'échange.

Je m'appel Kinsy j'ais quinze ans et, en ce moment, je suis en train de me faire verser l'integralité d'une cruche d'eau sur la tête. Je continus de marcher comme si de rien n'était, de toute évidence une grosse erreur : je n'avais pas fait cinq pas que je m'écrasais, suite au croche patte de Tibot, un gars massif, beau et ,par dessus le marché, premier de la classe. Il avait donc tout le soutien des filles et des professeurs. Je regardais mon plateau effectuer une chute, puis l'assiette de petits pois se retourner, comme au ralenti , répendant un jus vert sur le carrelage blanc de la cantine. Je pestais à voie basse. Tibot et toute sa bande se mirent à ricaner quand je me relevais, couvert du jus des petit pois et les cheveux maculés de l'eau croupis que la petite bande m'avait verser sur la tête.

- bah alors, tu tiens pas debout? Erwan me prit la tête dans sa main et m'obligea à le regarder dans les yeux. Or chaque fois, que quelqu'un me regardait en face, je ne pouvais m'empêcher de répliquer.

- Tibot m'a fait un croche pa.... Je fut coupé net par un direct au ventre, je me pliais en deux, essayant, en vain, de repredre mon souffle. Je m'écroulais en les regardant se rassembler autour de moi.

-Tu réponds maintenant? Quel insolence!! S'exlama Raoul en me décochant un coup de pied au ventre. Raoul était celui que je haissais par dessus tout, avant on était ami, puis Tibot lui avait demandé de me tourner en ridicule, il avait accepter et c'était à partir de ce moment précis que ma vie était devenue un véritable enfer. De plus Raoul était lâche et ne me frappait qu'après que je sois au sol, et incapable de me relever. Je serrais les dents en fixant toute la bande, droit dans les yeux.

- T'as pas honte? Sérieux, il n'en vaut pas le peine les gars aller c'est finis pour aujourd'hui, sale démon. La voie de Tibot respirait le dégout. Je fermais les yeux tandis qu'ils s'en allaient. Je restais vautré dans mes petits pois le temps de reprendre mon souffle. Puis je me relevais comme si rien ne s'était passé. Le démon, ils me surnommaient comme ça à cause mes yeux vairons, l'un vert et l'autre, violet. Je ne sais pas si vous imaginez, c'est un cauchemard. C'était pour cette raison que je portais toujours ma frange du côté de cet oeil étrange. Je m'enfermais dans les toilette et enlevais mon T-shirt taché, je le changeais contre un vieux débardeur blanc, que je couvrait par un pull léger. Puis j'essuie mes cheveux avec une serviette qui trainait dans mon sac. J'allais surement avoit un bleu de plus sur l'abdomen. Je soupirais puis retournais en cours.

Quand je rentrais chez moi je pris un rapide gouter, puis filais faire mes devoirs et ceux de la bande la cantine. Je finis vers 21h, je pris une douche, soupais, puis me jetais sur mon lit, un livre à la main. Et d'un coup, sans prévenir, une douleur sans nom me coupa le souffle. Je me recrocvillais en essayant de reprendre mon souffle. Ces crises se produisaient de plus en plus souvent, la douleur ce concentrait au niveau de mon ventre, là ou la bande me "calinait" en général. Je m'y étais abituer, au fur et a mesure, mais ça me faisais toujours un mal de chien. Je m'endormis vers 22h 30 en pensant au lendemain, qui ne serait pas différent de tous les autres jours de l'année.

-Arretes de te lamenter pauvre minable... Je me parlais souvent à moi même étant donné que je n'avais plus aucuns amis, je me sentais moins seul.

Chapitre 2 :

Sérieux? Juste pour ça? La jeune fille dans sa cellule, retournais sans cesse ces questions dans sa tête. Elle allait être jugée dans moins d'une demi heure, mais elle n'en pouvait plus de rester enfermée. Elle appela le garde et demanda à aller faire un tour, il lui répondit négativement. Dix minutes plus tard, elle se prélassait au soleil, tout sourire. À l'heure de son procès elle entra dans la salle, et s'assit devant le juge pour enfant avec désinvolture. En son for intérieur le juge était consterné, comment cette jeune fille pouvait-elle etre aussi impassible? Mais son côté professionnel avait le dessus et sur son visage on ne pouvait lire aucunes émotions.

-Je déclare le procès de mademoiselle Elya

Haorau, ouvert. La jeune fille fit tout pour cacher son anxiéter et son exitation. D'abord le juge devait lui posé des questions.

-Elya? Tu te rends comte de ce que tu as fait? Bien sur qu'elle savait ce qu'elle avait fait. Elle n'était pas débile tout de même, sa l'insuportait cette manie qu'avait les adultes à considerer les enfants comme inférieur.

-Oui. Je me suis défendue, c'est tout. Elle avait, malgré elle, prononcée sa phrase avec agressivité. Le juge secoua la tête face à l'entêtement de l'adolescente.

-Bon, Elya, nous écoutons ta version des fait. Elya savait que le juge lui donnais la possibilité de se justifier. Elle saisit cette chance en racontant comment elle était arrivé ici.

-Ben, depuis mes six ans je fais du karaté et jusque là je ne m'en étais jamais servi. En fait c'était après les cours, trois gars de ma classe me suivaient, ils m'ont isolé dans une ruelle je ne sais pas ce qu'il voulait me faire mais je leurs fis face et leurs demandais ce qu'ils voulaient. Ils me répondaient pas alors je m'apprêtais à repartir quand l'un d'eux me plaqua au mur. J'ais compris qu'ils n'étais pas là pour jouer à la dinnette, alors j'ais répliquée. Après je suis rentré, j'ais pris une douche, j'ais mangée. Et après je suis aller me coucher. Voilà c'est tout, en vrai, je me suis juste défendue, ils avaient qu'à pas me chercher. Dans l'assistance une femme d'âge moyen se leva.

-Tu insinus que mon fils et ses copains auraient attaquer une jeune fille?!! Arretes donc de mentir! La fille leva les yeux au ciel avant de dire, en regardant la femme droit dans les yeux.

-Ce n'est pas ma fautes si ton fils et ses potes sont complètement débiles...j'y peux rien moi. La mère du garçon ouvrit la bouche comme pour répliquer mais la familiarité de la jeune femme lui coupa les pattes. Elle se rassit rouge de colère mais incapable de prononcer un mot de plus. Le juge repris, en adressant un regard d'excuse à l'asistance.

-Bon... vous règlerez ça plus tard...Elya..tu t'es juste défendus hein..Ce n'était pas une question mais plutot une phrase dit avec un fond de lassitude. Pourtant Elya y répondit, tenant à garder sa position.

-Oui. Je me suis juste défendue.

-Dit moi juste, quel est ta définition de "défense"? Demanda le juge.

-Ben...c'est quand quelqu'un t'enmer...t'embetes, tu réplique pour ne pas etre blesser. Non? Le juge hocha la tête.

-Et tu blesses le ou les agresseurs? A ton avis. La jeune fille avait l'impression que le juge jouait avec elle.

- Ça dépends mais la plupart du temps faut faire passer le message quoi. Sinon ils reviennent. Le juge secoua la tête.

-Justement si tu peux t'enfuir sans blesser personne tu t'en vas. Et si ils reviennent tu en parles à tes parents...

-ils sont mort. Les yeux du juge s'equarqillèrent, cette jeune fille restait de marbre, alors qu'elle venait d'annoncer la mort de ses parents.

-Je...je suis désolé, je ne savais pas. Chuchota Julien. Son métier de juge le mettait rarement dans ce genre de situation alors, il ne savait pas trop comment réagir.

-Oh, c'est pas grave... Julien savait que derriere cet air impassible, Elya était triste. Mais il ne pouvait se lamenter sur le sort de cette orphelinne. Il reprit donc le procès.

-Dis le aux autorités alors... La jeune fille poussa un soupir.

-Les autorités, mouais... désolé mais je ne fais pas confiance aux autorités, pour tout dire, je les haies. Alala...en vrai je peux compter que sur moi. Le juge ce demanda qu'avait vécu Elya pour haïr les autorités. Mais il repris indifferent, en surface.

-Du coup... Tu as jugé bon de donné à ces trois garçons un "message".

-Oui, par contre j'y ais été un peu fort cette fois ci, désolé.

-Un peu fort?!!! Tu as envoyée mon fils et ses amis à l'hopital avec côtes, nez, genoux et coudes fracturés!!! Ils ont fallis y passer et tu y a été "UN PEU FORT"!!!? Espece de sale...la mere en furie fut évacuer de la salle, puis le juge reprit.

-Elya Haorau, tu es accusée d'avoir brisé 4 côtes, le nez et les deux genoux de David Switju. D'avoir cassé 6 côtes, le poignet et la cheville de Ryan Frimen et enfin d'avoir brisée l'intégralité des côtes, les deux poignets et les deux genoux de Simon Raftu. Ce dernier serait, celon tes dire celui qui aurait attaquer en premier et aussi celui qui "te cassais le plus les bonbons". Les parents des trois victimes ont porté plaintes. Qu'as tu as dire pour ta défense?

Elya savait que tout ça ne signifiait rien de très bon pour elle.

-C'était soit eux soit moi, et je me suis choisis. Voilà tout. Le juge fut, encore une fois, sidéré par la franchise de la jeune femme.

-C'est ton dernier mot? Si tu es reconnu comme coupable, tu iras en maison de redressement, sommes nous d'accord? Questionna Julien.

-Si vous voulez, même si je me serais fait le mur au bout de quoi...mmh...2 jours? Ouais grand max... Elya semblait passer un accord avec elle même en ignorant parfaitement tous les adultes autour d'elle qui ne savait vraiment plus ou se mettre.

-Nous te rappelerons tu peux disposer. Lança le juge. Il se croit au moyen âge, le vioc? Se demanda Elya en sortant de la salle d'audience. Ça faisait belle lurette que personne ne disait "disposer". Mais malgré tout, l'adolescente appréciait beaucoup le vieux monsieur qui avait présidé le procès. Elle se réfugia dans un arbre, après avoir fauchée un pancake et un jus de raisins. Elle s'assit sur la fourche tout en déballant son gouter.

Elle s'appellait Elya, orpheline depuis l age de 5ans, ses parents sont mort de causes inconnues. Elle a 15 ans les cheveux violet, personne n'a jamais si dire d'ou lui venait cette étrange couleur, elle avait un physique assez élancé et les bras, jambes musclé par son travail de tous les jours: elle aidait des déménageurs à charger puis décharger les paquets, pesant parfois plus de dix kilos. De plus les déménageurs, si ils ne l'empêchait pas de les aider refusaient de la laissée monter dans leur voiture, ainsi elle devait courir, à une vitesse constante de 20km/h, pendant parfois trois heures d affiler. elle était ainsi très rapide et maline. Elle avait, depuis toute petite, cachée une partie d'elle même, une partie qu'elle avait finis par oublier. A cause du traumatisme.

Chapitre 3 :

Elya se rendait à son travail quand le juge l'appela.

-Allô? Elya?

-Oui?

-reviens nous nous sommes décidés.

-Déjà?! s'exclama la jeune fille avant de marmoner dans sa barbe. C'est bien la premiere fois que les autorités se bougent le cul...

-Allez reviens vite, on t'attends. Sur ces mots le juge raccrocha, laissant l'adolescente seule face à son portable. Elle fit demi tour puis se mit à courrir.

-Mais quel timing de mer...rah!!! je détestes quand rien ne se passe comme prévus!! Pesta-t-elle. Elle se présenta devant le juge couverte de sueur: elle était aller à fond. Le juge la regarda avec, elle le devina, pitiée. Elle sera les dents mais ce contenu: personne n'avait le droit d'avoir pitiée d'elle! Elle ne devait faire confiance à personne, personne. La seule fois ou elle s'y était risqué, on l'avait trahis. Elle s'assit.

-Elya suite aux évènements et aux actes que tu as commis, décris précédemment, tu es condamnée à 3 mois dans une prison pour mineure pour cause de violence execive contre plus faible que toi. Elle se leva d'un bond, devant le regard suffisant des parents des garçons qu'elle avait 'abimée'.

-Mais c'est n'importe quoi!!!!! C'est eux qui sont venus m'agresser!! Ils n'étaient pas faible à 3 contre une!!! Je me suis juste DÉFENDUE!!!!!!! Hurla t-elle. L'air jubilant des parents s'accentua.

-Tu l'as bien méritée, sale pimbêche! Tu as envoyer nos fils à l'hosto, c'est bien la moindre des chose, n'est-ce pas monsieur le juge? Le juge parut gêner durant un court instant.

-Oui c'est bien ça, cependant les autorités ont tenus compte de ton agression est on pour ça retirés un mois à ta peine ce qui t'amène, Elya, à 2 mois de prison.

-les autorités hein? Alors elles trouvent ça normal de punir une innocente?! Les autorités?!! Mon cul!! Vous savez ce que j'en penses des autorités moi? Que ce sont des putains d'hypocrites!!! Sur cette dernière phrase elle effectua un magnifique doigt d'honneur à l'assemblée. Le juge retient son souffle, en faisant signe à un policier. L'assemblée, quant-à elle, se taisait, attendant la suite des évènements.

-Désolé Elya... La jeune fille n'eut pas le temps de s'interroger sur les paroles du juge, car un coup la cueillit à la nuque. Elle retomba, inerte, dans les bras de l'officier qui observait un air coupable. Le juge se surprit à prier pour que la jeune femme puisses, après ces évènements, reprendre une vie normale. Il ferma les yeux tandis qu'Elya se faisait emporter vers la sortie, vers la prison. Vers sa cage, la cage ou l'on enferme un oiseau, un oiseau resplandissant de vie et d'assurance. Voilà l'image que ce faisait Julien d'Elya. Il la voyait comme le plus beau des oiseaux, elle arrivait à énnoncer son point de vue sans aucune gêne. Elle disait tout haut ce qu'elle pensait et il trouvait ça admirable, même si il pensait qu'elle allait trop loin. Il sourit tristement avant de se retirer.

Quand Elya se réveilla elle se trouvait dans une espece de chambre, avec du papier peint jaune canari. Preuve de très mauvais gout, surtout si on comptait le bureau et le tapis, d'un bleu éblouissant. Elle se leva et son premier réflexe fut d'aller voir si la porte était fermée, oui elle l'était. La jeune fille pesta puis s'aperçus que dans cet espace il n y avait aucunes fenêtres. C'est à ce moment là qu'elle se souvint.

-Mince! Je suis en prison alors? Sérieux! Elle s'approcha de la porte et se mit à tambouriner dessus de toutes ses forces.

-Laissez moi sortir!! J'ais rien fait de mal bordel!!! Faites moi sortir de ce trou!! Elle entendit alors des bruit de pas léger, juste avant que ne retentisse la voie.

-Qu'est-ce que tu veux la morveuse? La voie avait une sonorité très désagréable surtout pour l'ouie sur-développée d'Elya.

-Je veux sortir. Faites moi sortir.

-Rien que ça? Dit il avec un sourire. Et pourquoi je fairais ça?

-Mais j'ais rien fait!! Je ne devrait pas etre là! S'exclama t elle.

-Mais oui, bien sur... je penses que tu devrait laisser les adultes gérer tout ça. Si les autorités t on mise en prison c'est que tu en a besoin, voila tout. Elya entendit les pas s'éloigner, elle soupira puis se laissa tomber sur son lit. Elle réfléchissait à un moyen de sortir.

-Bon...résumons : je suis en prison, certainement du côté de Paris. A un moment les gardiens me laisseront voir les autres "pensionnaires", je pourrais peut etre m'allier avec eux? Mais avant ça je dois trouver un moyen de crocheter la porte. Hum...je vais dormir un peu. Sur ce elle ferma les yeux et, 5 minutes plus tard, elle dormait.

Veuillez télécharger l'application MangaToon pour plus d'opérations!

téléchargement PDF du roman
NovelToon
Ouvrir la porte d'un autre monde
Veuillez télécharger l'application MangaToon pour plus d'opérations!