Lorsque mon coach de boxing me montre une action, il s’approchait de moi en me disant, « Normalement les gens ne t’approche jamais comme ça, ce qui peut être si approché de toi, c’est que ton petit-ami. » Au sujet de cette action « tout approché », je me suis dit, c’est vrai, j’ai jamais eu un homme qui s’était si approché de moi. Mon coach, n’a pas l’air désagréable. Mais bref, je le méfie, tout naturellement. Comme on est obligé de « se toucher » physiquement pendant les scéances. Comme j’ai jamais eu de petit-ami.

Lorsque mon coach me disait « Ce qui peut être si approché de toi, c’est que ton petit-ami », je sentais je frisson. J’aimerais vraiment avoir un homme qui s’approche de moi autant, je veux une relation si intime. Je veux qu’un homme me caresse, me serre dans ses bras, m’embrasse, se tienne dans une position exclusive, le plus approchée de moi, comme s’il avait tout le droit.

Lorsque mon coach me disait « Ce qui peut être si approché de toi, c’est que ton petit-ami », il l’a dit sans hésitation, comme si une fille comme moi avait eu absolument quelques petit-amis. Mais est-ce si simple que ça ? J’ai jamais eu une telle rencontre. Ce qui est tout naturel pour les autres me paraît tellement quelque chose de luxueux.

« Ce qui peut être si approché de toi, c’est que ton petit-ami ». Ah ! Qu’est-ce que je veux la chaleur et l’approche d’un homme !

« Ce qui peut être si approché de toi, c’est que ton petit-ami ». A quoi ça ressemble, une relation intime ? Qu’est-ce que je veux la découvrir !

« Ce qui peut être si approché de toi, c’est que ton petit-ami ». Hé, il aurait le droit, un petit-ami ?

« Ce qui peut être si approché de toi, c’est que ton petit-ami ». Ha, tous les hommes médiocres comme ce coach, ils n’ont jamais leur propre avis sur rien, ils ne savent que répéter les points de vue des autres. Ils ne comprennent jamais l’unicité de certaines individualités qui sont belles et fière de soi, qui font des explosions sur soi-même. Il ne comprend pas.

Sois joyeuse. Que je désire ce que j’ai pas, que j’aime un homme, le plus important, c’est que je dois être joyeuse, digne. Avant que je t’aime réellement, tu ne me serait pas indispensable.

Ce qui compte dans ma vie, c’est que mon ressentis.

...Comme s’il y avait que la chose-là qui rend tout d’être en vie intéressant...

Peut-être que l’on aie pas besoin de le faire, comme ça sera moins intéressant après l’avoir fait.

« C’est bon, tu ne pourra pas toucher ma part-là. » Mon coach me dit.

Je me rapelle de la phrase encore et encore.

Ah ! Que je rougis ! (en me rappelant)

Je voudrais toucher la part-là d’un homme.

« Tu ne ne pourra pas toucher ma part-là. » Tu es sûr ?

« Tu ne pourra pas toucher ma part-là. » (En se parlant toute seule) C’est embarrassant ! Dieu, j’ai jamais vu la part-là d’un homme ! S’il te plaît, ne le considère pas comme quelque chose de naturel de parler de la part-là.

« Tu ne pourra pas toucher ma part-là. » (Lors je suis toute seule) Je me replie les bras où je me cache le visage !

« Tu ne pourra pas toucher ma part-là. » La part-là ? A quoi elle se ressemble, est-elle douce ? J’aimerais bien le ressentir.

(Mais tu n’aime que la chose-là, c’est que la sexualité qui t’a prise. C’est beaucoup plus difficile d’avoir une relation avec quelqu’un.)

Une certaines personnes. Des idiots (je suis désolée). Il jugent les gens qu’ils rencontrent avec une point de vue sur « les gens ». Ils ne comprennent pas que chaque individualité soit différente que les autres.