HENRI arriva à munich le dernier jour d'octobre 1939 , à 3heure du matin il prit le train de Berlin le deposa sur le quai .

Il marcha vers la sortie son etuis de violant a la main et sa valise . Il avait exactement 23ans le corps jeune, il etait grand sinon depassant la moyenne.1.85 environ , il etait français et avait imigrer en allemagne il avait de cela 18ans ,les cheveux chatin ,les yeux verts l'asimetrie de son visage et ces caracteristique susitaient une forte attention chez les jeune fille qui plus est, mais chez les il était plus un coureur de jupon , même si soyant franche il ne l'était guerre.

À l'extremité JEANNE SCOLT une femme tout en rendeur les cheuveux roux et court , les yeux vert n'etait autre que la mère du jeune scolt.

et une jeune fille d.environ 16,17ans qu'il n'avait jamais vue au paravant . Les cheuveux attacher dans un foulard , de grand yeux noir, un nez moyen une peau sombre et de magnifique lèvre pulpeuse, qui susitait l'attention du jeune homme.

ils prirent une voiture ,touts le long du chemins il n'arretait pas de fixer la jeune fille ui se sentait gener du regard d'henry .

-comment t'apelle tu ?

-JOY DOLWICK monsieur

joy etait venu au etat unie pour du travaille,elle travaillait pour un certain jeans wilfe (un celbre homme d'affaire, ayant deux femmes ,points d'enfant et dans la marchandisse etait point rentable).elle y avais demissionnner 3 semqine plus tard pour une Quelqconque raison. Ils arrivèrent dans le maison qui etait assez grande et qui erait munie d'un sublime jardin et d'un etang qui fesais la fierter de madame scol .

A l'interieure de celle ci flotait un agreable air de bon petit plat la jeune joy enfilla son tablier et alla serviere le thé.

- merci

dit henry a la jeune fille ,il eatit de politesse de ne point repondre et de faire une reverance.

Apres quelle fut sortie de la piece il demanda

-où la tu renconter maman

elle lui repondit quelle la rencontra 1 ans apres son depart pour l'université de berlin elle lui dit ainsi la raison de sa demission

-le croyer vous celui ci voulais dormir avec ...et aller plus loin

madame scolt rigolait

-tres bien .maman comment cela ce fais elle qu'elle parle aussi bien anglais pout sa couleur naigresse cela est du plis impressionnant

-mon fils cessé d'etre aussi vieux jeux l'esancielle est que nous nous compregnions ne pense tu pas? ...des amourettes à l'univeraité ?!…

il lui dit froidement qu'il n'y pensait nulement ,elle fut visiblement tres deçu de cette reponse , elle s'attendait surment a un 《oui oui maman trois me plaise deja》

-je vois comment vous regarder joy fils

il rigola et lui repondit

-maman vous avez bien remarquer en effet elle a l'air tres interesante

-est ce que vous eprouver un quelconque desire fils

-ne soyer pas bete mere on me tombe pas amoireux en un jours ... et tres personnelement je pense qu'avoir des amourrette avec quelle runeurais surment l' image qu'on les gens de notre famille

-vous me diriez qu'on vous serez près votre chambre l'est deja surment.

-bien maman j'y monte deposer mes affaires. dit-il

Il entra dans la chambre et ne remarqua pas dolwick qui lui preparait le lit, celle ci ne le remarqua pas n'en plus , cela était etonnant qu'ils ne se soit pas remarquer

henry alla ouvrir la fenêtre et salua le vieux NICOLA MILLER'S

- Bonjour mr. Miller's

(il accordait beaucoup de respait au viel homme)

- bonjour mr deja de retour

la jeune fille sursotta en entendant la voix elegante du jeune henry, il ferma la fenetre et sortie de son petit salon et entra dans la chambre et remarqua dolwick qui y sortais.Il retroussa les monche et lui dit

- dolwick avez vous de la famille a munich ?

- mr sans être mal poli...ces affaire ne vous conserne pas et puis...

il la coupa net

- ce n'est pas grave informer maman que je sortirais pour 10heure .

sur ce il se coucha , il était maintenant 9heure environons les 10heure ,henry etait deja en chemin pour rendre visite à son ami MARK MARCHELE qui avait repris l'entreperise ( de tissu) de son père a seulement 19ans il c'etait marier à EMILY COWARD Henry fit etonnee de voir son ami de ces 24ans ( marier, 3enfants , un jouant deja du piano) .

mark est un jeune homme très sur de lui le corps jeune ,les cheuveux blanc legèrement emduler, des yeux bleux , le menton ferme son aucun poile

Emily etait une femme assez timide sinon reserver ,de grand yeux verts un nez tous en finesse, les cheveux roux bouclé ,et des taches de rouseur qui parsemait son visage

le plus grand des enfants etaits agées de 5ans ,il l'avais donc eu la mêmê années de leur mariage. Les deux derniere avaient 2 ans et 3mois .

Henry lui dit en rigolons.

-tu l'aime vraiment coward

-vois le par toi mêmê henry ...quelle est donc cette manie d'appeler les gens par leur non henry te sentirais allese qu'apres des années d'amitier je t'appele scotl

-je ne sais pas je t'appele bien MARCHELE ...si et pour ton nous sommes bon ami

- tu as rencontrer joy votre il y parrais quel fais de superbe service ...je voudrais bien quelle travaille chez moi

-oui je l'ai rencontrer

dit il

-tu as eu le travaille que tu esperais ?

-oui et non

-comment cela ce fais il?

-je veux etre violoniste j'ai ete pris dans une universite a berlin

-ah c'est correcte alors c'est celle que tu voulais

-non je voulais aller à celle de paris

-tu voulais allez si loin ,...je suis desoler pour toi

-ne le sois pas je m'y plais bien la bas mais pour l'instant je verais si j'y retournerais.

silence

Emily lui demanda s'il eu trouver chaussure à son pied ,avans de dire quoi que ce spit il pris une gorger du thé que sue une domestique de cette famille fit .

-je lui posait la mêmê question cherie alors Henry?

-non je vous le dirais quand cela arrivera

-je m'attendais à ce que tu me dise 《oui j'en est trouver 6 ou 7 j'ai passer la nuit avec les 4 et pour les 3 il reste à voir》

ils se mirent tous à rigoler non pas cette plainsenterie mais par l'archarnement avec laquelle celui ci imitait HENRI scolt .

Henry lui repondit et donna ainsi un conseille a emilie

-il faut ce mefier de ce qui pense ainsi deja l'heure marier !

sur ce je m'envais .

il serra la main de son amie et embrassa la nain d'emilie .

il se trouvait 3h de sa retrouvaille avec MARCHELE. Il etait donc 14heure et quelque ,quand celui ci ayant terminer les visites qu'il eu fait ,il rentra chez lui et se dirigea vers le bureau de mr scolt (son pere qu'il n'apellait pas papa ou pere mais bien mr scolt)

il frappa à la porte personne me repondit une femme de menage wendy grenville sorta de celle ci

-bonjour monsieur scolt

-bonjour grenville

j'en deduit que mr scolt est bien là

-euh oui biensure monsieur scolt ...monsieur scolt est bien là .

cette fois ci il ne frappa pas et ouvris la porte

scolt juniit que faites vpus dans mes appartements cela vous aurrais turr d'attendre le diner !

- monsieur scolt ils se tint que lorsque votre fils et unique reviens d'un voyage que l'on vous a informer 1 mois apres votre retour pour la coré du nord et bien que je sois partie aussi loin de munich ...

-epargnier moi vos debat pueril scolt junior

l'université de paris vous plait elle ?

- je n'y est pas été accepter monsieur scoolt je me suis donc rendu a celle de berlin ...mais dites moi pour un journaliste vous n'etes pas des plus informer

- vous me vous me décevez encore plus... au diable! vos rêves de violoniste et devenez donc détective comme moi je ne suis point reporter je suis détective.

monsieur Scott et un homme fort au corps massif aux yeux noirs et aux cheveux chatins comme son fils les yeux noirs de celui-ci dégager une quelconque détermination, monsieur Scott fit fortune dans un journal ,puis il fit l'armée durant la guerre de Sécession et Première Guerre mondiale puis devenu reporter et ensuite detective ,son est le Morning News.

- oh que le ciel m'aide pas encore cette histoire mr scolt

- quand prendrier vous enfin des decisions fils !

-mr scolt je guerre envie de finir ma vie à courir derrière des meurtre et passer des nuit blanche pour le scop.,dit il son aucune honte a son père

- qui vous parle de cela filston vous pouriez reprendre le morning news repndit il a son henry qui visiblement n'etait pas interreser

ils finirent cette discution par une disputes ,cela n'etonna pas madame scolt qui etait visiblement habituer a un temps de la giscution fut lourde et nocade .

il etait environ 9h du soir le diner prit plutot ,la plupart des gens dormaient(monsieur scotl, madame scotl,monsieur Miller's,wendy grenville) à l'exeption de deux femmes l'une etant joy au travaille et toujours d'une grande beauté et l'autre etait Becca Murphy

( femme curieuse et feneante, dans la nature n'avait pas conblé) celle ci refilait touts son travailles a la jeune fille,malgré les sousie de la vie joy dolwick aimait tres fort cette famille et voulais lui servir du plus au monde.

-sulever chere amie ,dit elle en rigolant tres bruament .

-sulever chere amie je vais vous faire moi que je suis forte moi ,dit elle dans sa langue maternelle.

le chemin jusqua l'avant de la maison etait grand elle penait a avancer avec c'est trois enormes recipions d'eau ,elle se repossa un moment vers la fenetre de la chambre de henry ,celui ci l'observait en silence depui deja 3minutes . silence,et enfin il pensa

《que fait elle a une heure pareille c'est de la folie》

henty est un homme qui avait bien l'abitude de ne jamais travailler ,il ne savait meme pas comment en cassait des oeufs.

de sa fenetre il entendait la jeune fille froferer des insulte et autre au pres de becca .il deçendit il viens lui surprendre.

elle s'ecria:《monsieur vous...》

-votre vocabulaire est particulierement en richi dolwick

-monsieur henry vous devrier evitez de faire peure ainsi ,mais en en tint que c'est un bonne solution pour donner à un personne une crise

il la regarda intriger,elle aussi touts d'abord de bas en hauy et finir par se perdre dans le regard de l'un et de l'autre.

un long silence ce prolengeait ,elle essaya de defaire le silence par des :《m..m.. je》 et enfin il dit

-a mon avis dolwick vous etes boen trop jeune pour en avoir une!

-Q'AUTAIS JE ?

-une crise dolwick quel age avez vous?

son doux visage qui eblouissait henry scolt ce fonça tres vite et elle ne repondit pas

-allons dites donc

-je ne vous demande pas le votre ,monsieur je n'ais nul envie de vous le dire, qu'en feriez vous?

- vous n'avez as commie de delit dolwick ,mais s'achez qur si vous ne repondez pas vous serez virer d'ici midi ou 8h par la ,enfin ça depondra de leur ou manan se reveillera .

elle le regarda et dit

-j'ai 16ans monsieur...

elle le regardait avec un regard qui fit mal au cleur a celui ci et sur l'effet du chantage demanda

- pour qui travailler vous avant?

il le savait deja

-monsieur wilfe pourquoi c'est question ?

-vous n'avait pas besoins de le savoir!

henry n'avait aucune raison de posser c'est question personnelle.

-quel age avait il exactement!

- etes vous inspecteur comme votre pere ... monsieur je vous en prit c'est information son personnelle...

-si cela etait un un interogatoire vous me donnerier vos donné

-surment pas les plus importante ,croyer vous vraiment que qui conque donnerai de vrai information monsieur henry?

dit elle avec une voix sarcastique.

-ne jouet par la fiere et dite moi ce que vous s'avez

-il a 45 ans exactement est marier à 2femme elodie et caren wilfe

elodie wilfe

caren wilfe

-avez vous eu des amourettes... avez vous meme dormi ?

- oui j'en est eu des tonnes mais fidele à moi je ne veux etre maitresse de personne ,et pour dormir cela son mes affaire je suis desoler monsieur

-si vous aviez dormi vous me le direz ?

-NON monsieur ...pas a vous vous etes bien trop...

-il est vrai que vous etes charmente et vous avez un corp touts à fait develipper pour votre age ,le caractere serait a coriger une femme bavarde ne plait pas toujours. pas etonnant qu'ils est essayer de dormir en votre compagnie

-qui est ce qui vois la dit ...je suposse que c'est madame...

elle lui sonna une voler au visage ,il lui sesi la main tres fortement et la fit tomber dans les par terre de madame scotl(par terre qu'elle cherissait comme un nouveaux née)

- les par terres de madame...

elle vouleu verser des larmes mais elle se retient,la douleur au coeur lui reviens

elle lui hurlait desormais deçu ce qui fit disparetre se pincement

MAINTENANT QUE JE VAIS ME FAIRE LICENCIER DE MON TRAVAILLE ...ALLER REGARDER MOI DONT

elle se releva redressa sa robe et lui tint le monton et lui forçais à la regarder

et se relacha de l'emprisse de la jeune et lui dit:

-ne ME PARLER plus AINSI DOLWICK !

il s'agenouilla et lui rendit sa voler et lui souhaita une agrable fin de soirer

-bonne soirer dolwick

elle lui regarda son rien dite