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This Voice That I Forgot

chapitre 1 : de plus en plus difficile à gérer

Bonjour, je m'appelle Stacy et voici ma vie :

Je suis française et j'ai deux sœurs qui se nomment Elsa et Maria, ainsi qu'un frère qui s'appelle Marvin.

Avec ma famille, nous avions une vie heureuse mais nous manquions quand même de quelque chose ; notre paternel. Il est parti à la naissance de Marvin, j'ai beau essayer de le contacter plusieurs fois mais jamais il ne m'a répondue. Ma mère se débrouille toute seule afin que nous ne manquions de rien et que nous soyons heureux tous les quatre. Malheureusement, ma vie parfaite sans père a très vite tourné au cauchemar. Quand ma mère est tombée gravement malade, j'ai dû faire face à des responsabilités. Cette terrible nouvelle m'a surtout atteinte physiquement et mentalement mais j'essaye de le cacher, surtout à mes proches. Ma mère est partie en centre de repos hospitalier, alors je dois surveiller les petits. Les filles sont infernales et Marvin, lui au contraire, est calme. Je ne l'entend jamais. Il me pose souvent des questions du genre « qui est notre père ? Où vit il ? ». J'essaie d'être la plus honnête possible avec lui mais c'est très difficile d'expliquer ça à un enfant de six ans que son « père » nous a abandonnés à sa naissance et qu'on ne le reverrait peut-être jamais . Ce soir j'ai couché les petits de bonne heure car j'ai reçu un appel de ma mère qui voudrait qu'on lui rende visite demain, à partir de neuf heures du matin. Je sens que cette journée va être superbe.

*bip bip*

Ce matin je me suis réveillée à six heures, j'étais heureuse de rendre visite à ma mère. Il ne fallait pas que je traîne car j'avais encore tellement de choses à faire. Il est alors huit heures et quart, il faut que l'on se dépêche. Les filles étaient tellement pressées, tandis que Marvin lui affichait un joli sourire sur son visage : cela me rendait heureuse. Ça faisait tellement longtemps que je ne l'avais plus vu comme ceci. Nous partions de la maison et nous faisions à peine cinq cents mètres que les voisins de notre quartier nous regardaient tous avec des airs de jugement. C'est à cette instant qu'une vieille femme nous arrête : « Excuse-moi jeune fille, je me demandais où étaient passés tes parents et pourquoi tu es seule avec tes sœurs et ton petit frère ? »

Je la regarde d'un air agacé et pressé mais elle renchérit :

— Oh excuse-moi peut-être es-tu en retard ?

— Excusez-moi madame Hartman, mais cela ne vous regarde pas et oui je suis en retard ! lui répondis-je.

Après cela, je repris ma route. J'avais un peu peur de l'avoir blessée elle qui était de base si gentille avec nous, alors je me dit que j'irai m'excuser une fois rentrée de la visite rendue à ma mère .

On arrive au centre hospitalier, on passe à l'accueil et on se présente en tant qu'enfants de Madame Samantha Addison. L'hôtesse d'accueil veut me parler seule alors je dis aux petits que je n'en ai pas pour longtemps. Je rajoute qu'ils peuvent patienter en salle d'attente et que s'il y a quoi que ce soit, qu'ils reviennent aussitôt vers moi .

La femme me dit ceci : 

— Je suis désolée madame, pour ce qui arrive à votre maman. Mais il ne lui reste pas beaucoup de temps à vivre alors je suis navrée.

Alors je lui réponds d'un air triste et angoissée à la fois :

— Mais ce n'est pas possible, hier je l'ai eue au téléphone elle m'a dit que tout allait bien... Elle n'aurait pas osé me mentir...

Quelques minutes après, nous retournons dans la salle d'attente. L'hôtesse d'accueil me dit alors : « C'est la chambre deux cent trois ».

Je récupère les petits et aussitôt, nous arrivons jusqu'à la chambre de ma mère. J'entends alors sa voix qui me donne chaud au cœur dire :

— Mes enfants vous m'avez tellement manquée.

Je lui fais un faux sourire avec les larmes aux yeux.

Elle me regarde et comprend tout de suite que j'ai été mise au courant de tout, pendant cette journée qui devait être si spéciale. Un blanc se forme entre elle et moi. Je ne savais pas quoi lui dire ni comment aborder le sujet qui pourrait la tuer encore plus. Quand tout à coup les enfants partent jouer et qu'il ne reste plus qu'elle et moi . Alors je dis :

— Bon écoute maman, je sais que tu es malade et que c'est plus grave que ce que tu me disais. Mais pourquoi m'avoir menti alors qu'il a quatre-vingt-dix pourcent de chance que tu ne survives pas ?

Elle me répond avec une voix de détresse :

— Je suis désolée Stacy, je pensais pouvoir m'en sortir et j'espère que tu me pardonneras des actes que j'ai faits. Je suis désolée d'être tombée malade si rapidement et de ne pas profiter de chaque moment avec vous. Mais en réalité, si je vous ai fait venir tous les quatre ici, aujourd'hui, c'est pour vous faire un dernier au revoir car je vais mourir. Il me reste à peine deux semaines à vivre.

Quand j'écoute ce que ma mère me raconte, cela me déchire le cœur. Cette phrase résonne dans ma tête toute la journée, je ne montre pas mon mal-être. Je propose alors de faire plein de photos de famille. Il est seize heures quand je vais acheter des glaces pour tout le monde. Nous étions en train de nous amuser quand ma mère ne se sentait pas très bien. Il est dix-sept heure quand le médecin vient en fin de journée pour nous annoncer que les visites familiales étaient finies. Je lui dis un dernier au revoir . Quant aux filles et à Marvin, c'est la dernière fois qu'ils la verraient. Sur le chemin du retour je me pose mille et une question. En rentrant à la maison, je monte dans ma chambre puis je me mis à pleurer durant une heure sans m'arrêter avant de m'endormir jusqu'au petit matin. Quand je me suis réveillée ce matin, je n'entendis aucun bruit. Je vais voir dans la chambre des filles personne, dans la chambre de Marvin également personne. Prise d'inquiétude, je décide de me précipiter dans les escaliers quand tout à coup, je les vois assis tous les trois sur le canapé. Alors je leur dis ceci :

— Que faîtes-vous levés aussi tôt ? Quand j'entends une voix inconnu dire :

— Vous êtes Stacy Addison ?

— Oui... répondis-je d'un air inquiet.

— Madame, nous sommes les services sociaux et nous venons d'apprendre que votre maman est malheureusement décédée. Nous devons prendre en charge vos sœurs ainsi que votre frère. Je vous présente toutes mes condoléances.

Tout à coup, je tombe dans les pommes et on me réveille deux minutes après les mauvaises nouvelles. Quand j'entends la sonnette de la maison retentir, Marvin va ouvrir. Lorsque je reconnais une voix que j'avais oubliée...

*A suivre chapitre 2

(J'espère que ce chapitre vous aura plus n'hésitez pas à vous abonner, un laissez un j'aime ou un commentaire ,

A me donner des avis positif pour avancer à bientôt pour un nouvel épisode prenez soin de vous :)*

Chapitre 2 : Retour dans le passé

Qu'est ce que tu fou là ? tu n'as pas d'autres enfants ? c'est interdit de revenir après tout ce que tu as fait ! Dégage de chez nous

et oui vous avez bien compris c'est mon père !

- Je sais que je t'ai abandonnées mais vous êtes tout de même mes enfants . Alors je lui répondis avec un aire haineux et de dégout : "Bravo Einstein t'as trouvé ça tout seul ! "

- Arrête Stacy , je sais que je t'ai fait du mal et puis le décès de Marie te touche beaucoup mais je suis sur que tu ne le pense pas vraiment

- Toi arrête de parlé de maman comme si tu regretter qu'elle sois morte alors que tout ça c'est de ta faute , alors non ! Tu n'a pas le droit de te pointé après six ans d'absence et de dire mes enfant car il me semble que tu n'étais pas là quand Marvin à commençais à parler ou que Elsa est rentré en primaire ou encore même quand je suis rentré au lycée !

- Mais Stacy comprend moi il fallait que je parte

- Ah oui et quand tout à coup j'entends une voix qu'il nous dit

-Calmez-vous ! Stacy c'est qui ce monsieur ?

-Marvin je te présente le monsieur qui t'a abandonner à ta naissance

à ce moment là les service sociaux prennent la parole

-je pris a tout le monde de ce calmés ici , Madame Addison vous n'avez pas encore dix huit ans donc nous ne pouvons pas vous laissez la garde des petits et comme le seul responsables légal qui reste maintenant nous n'avons pas le choix que de donner la garde des filles ainsi que Marvin a votre père !

mon sois disant père devais avoir la garde des petits alors qu'il n'a jamais était là pour eux , je ne pouvais pas y croire ni laissé passer ça

- Vous n'avez pas le droit de m'interdire ce droit , il n'a jamais été là pour eux et faudrait que ce soit lui qui l'ai aient , je ne suis pas d'accord avec ça de plus nous ne savons vraiment pas grand choses sur lui ..

-Madame Addison calmez-vous je vous pris nous avons compris que vous ne vouliez pas que votre père pourrai-je dire mais je regrette vous n'avez pas dix huit ans !

mon père se cacher derrière un narquois et là ça à était plus fort que moi je lui dit alors ceci

_ ça te fait peut être sourire cette situation mais tu veux que je leur révèle ce que tu a fait subir à maman pendant dix longue années hein ?

- Stacy je t'en pris c'est le passé , tu n'oserais tout de même pas ruiné mes chances d'avoir tes soeurs et ton frère ?

Quand tout à coup j'entends une voix qui nous dit

"si vous voulez réglé vos problèmes vous allez dehors car les petits n'ont pas besoins d'écouter ceci..."

je m'adresse alors aux service sociaux en leur disant

-Vous ne pouvais vraiment pas me les laissés , dans une semaine je suis majeur s'il vous plaît , vous n'avez pas le droit de lui donner la garde alors qu'il n'a jamais était là pour eux .

- je suis désoler Madame Addison mais non ! Si vous voulez vraiment les garde , il faut passer par un avocat et être majeur , nous sommes vraiment navré de votre situation ...

Quand cette personne me dit ça cette phrase me trotte dans la tête j'avais envie d'exploser mais je devais faire mine de rien , c'est vraiment très dur de supporté tout ça , je reste forte malgré tout .

- Maman te faisais confiance et toi tu la détruite plus d'une fois , quand tu rentré chaque soirs alcoolisés hein , je suis sur que c'est toujours le cas ! tu la battais tu lui infligés tout ta haine sur elle et malgré ça tu as encore le culot de te pointé aujourd'hui le jour ou elle est décédé pour dire "Mes enfants " je crois pas non !

Quand je le regarde dans les yeux je vois qu'il essaie de nié tous ce que je dit mais ne le fait pas... Alors je ne comprends pas trop mais ne le lâche quand même pas du regard .

- Je comprends tout à fait ce que tu ressent Stacy mais à tu des preuves de ce que tu avances ? je ne pense pas ! alors pourquoi tu te prend la tête ?

- Pour une fois je croyais que tu étais sincère dans ton regard mais enfaite juste tu me dégoûte , tous ce que tu as toujours voulu c'est d'être parfait mais enfaîte tu es tout le contraire .

Quand les mots que j'ai employés j'ai ressentis qu'il l'avais était blesser mais après tout il avais bien chercher .

-Je cherche toujours la sincérité dans tes yeux mais difficile de la trouver après tout ce temps d'absence !

les services sociaux me demande alors de faire les valises pour les petits et faire la mienne car comme je n'avais pas encore la majorité et il fallait que j'y aille , en pensant que mon anniversaire est le neuf août et que on était le deux . Alors je réfléchis longtemps , pourtant j'obéis sans un bruit ... Une fois qu'ils ont tous ce qu'ils veulent ils m'en mène dans un centre pour "mineur" et je réfléchis au passé que j'ai eu avec le peu de souvenir qu'il me reste de lui et c'est la que ça m'est revenu.

*A suivre chapitre 3

(J'espère que ce chapitre vous aura plus n'hésitez pas à vous abonner, un laissez un j'aime ou un commentaire ,

A me donner des avis positif pour avancer à bientôt pour un nouvel épisode prenez soin de vous :)*

Chapitre 3 : Les souvenirs reviennent

Je compose alors le numéro de la maison de mes voisins qui sont là depuis ma naissance, et bien avant, ils doivent bien savoir quelque chose sur lui ! Il ne peut pas s'en sortir juste avec la garde, c'est impossible.

En attendant, pour éviter de me tourner les pouces, je cherche du travail. Je ne peux pas rester là sans rien faire. Je décide donc de faire plein de CV et je pars en silence pour ne pas me faire prendre par les éducateurs. Je fais le tour de ma ville et je dépose mon CV dans toutes les entreprises possibles...

Je marche toujours dans la rue quand à cet instant, je réalise que je n'ai plus personne qui est là pour moi et en cet instant-là, je m'écroule par terre en pleurant. Je n'arrivais plus à respirer... Et là je me retrouve dans un lit d'hôpital à côté d'un garçon que je ne connais pas… Il me regarde avec un regard inquiet comme s’il tenait beaucoup à moi… Je lui dis donc :

Salut je peux savoir qui tu es ?

Bonjour, je m'appelle Samuel et toi tu es ?

Oh euh je m'appelle Stacy ! Mais comment je suis arrivée là ?

Je t'ai vu pleurer dans la rue et d'un coup tu as perdu connaissance. Donc j'ai appelé les secours, mais maintenant que tu vas mieux, je peux te laisser... J'étais inquiet !

Non attends, Samuel c'est ça ? Tu peux rester un peu avec moi s'il te plaît ? Je viens de perdre ma mère, mon père que je déteste vient de prendre la garde de mes sœurs et de mon frère et pire que ça : je me suis évadée de mon foyer car je voulais absolument trouver du travail. Je suis désolée je te raconte ma vie alors que tu ne me connais pas et que je t'ennuie. Tu peux y aller si tu veux.

Il me répond avec un sourire imbécile :

Waouh du calme. Je vais rester prêt de toi ne t'inquiète pas, si tu veux me parler je suis là. Ne t'en fais pas. Tout d'abord mes condoléances pour ta mère ensuite, je suis désolé de ce qu’il t'arrive en ce moment. Ça doit être très dur à gérer mais je comprends, ne t'en fait pas. Je vais t'aider !

Mais pourquoi tu ferais ça pour moi ? Tu ne me connais même pas !

Soudain, un silence apparaît dans la pièce durant une minute environ puis il reprend la parole avec un :

Hum bon... Tu veux qu'on commence par quoi ?

Je lui réponds avec un sourire ému :

- Avant que je ne me retrouve ici, je mettais des CV dans les grandes entreprises de la ville.

Il me regarde avec ses yeux si bleus et cette intensité qu'il pourrait presque me faire craquer. Mais c'est le genre de mec à avoir eu un tas de conquêtes et que là, il me fixe comme une proie… Mais jamais je ne me laisserai m'avoir !

*toc toc*

D'un seul coup, une infirmière rentre et me dit :

Oh vous êtes réveillée ! Et ce jeune homme a veillé sur vous, vous avez un copain adorable Mademoiselle. Certaines personnes n'ont pas tous cette chance. Enfin bon...

Il faut que je signe des papiers pour sortir ?

Oui ! Il faut signer cette décharge et payer les frais d'hospitalisation et vous serez libre !

D'accord. Donnez-moi la décharge et je paie !

Je vais chercher ça de suite.

Pendant que l'infirmière va chercher les documents, je parle avec Samuel :

Tu sais je t'ai pas dit mais je viens du même foyer que toi. Hier je t'ai vu arriver et je t'ai trouvée super mignonne. Alors ce matin, quand je t'ai vu partir, du coup je t'ai suivie et quand je t'ai vu pleurer ça m’a brisé le cœur. Et en plus t'es mignonne, ce serait dommage de gaspiller ton maquillage.

C'est un peu psychopathe mais j'accepte.

Et si on rentrait maintenant ?

D'accord...

En rentrant et, sur le chemin, je me posais mille et une questions concernant Samuel. J'étais perturbée je n'arrivais à le discerner alors que j'arrivais à voir tout le monde en deux minutes. Lui c'était plus compliqué. Peut-être que c'est mieux ainsi, puis il se mit à me parler :

Et sinon, tu as un copain ?

Euh comment te dire... je suis plus du genre à être seule tu vois...

Ah je vois.

Et toi hmm... tu as une petite copine ?

Ah vrai dire oui mais c'est compliqué enfin bref... j'ai pas trop envie d'en parler...

Je vois !

Bien, nous sommes arrivés.

J'entends une voix qui me dit :

Eh rends-moi mon copain toi là !

Samuel me regarde et me dit :

Je te présente ma copine... Elle s'appelle Yuki Kùran.

Plus je la regarde, plus je vois qu'elle a beaucoup souffert dans son passé et qu'elle n'a toujours pas confiance en elle malgré sa beauté. Elle a la peau bronzée, les yeux bleus tels que les fonds marins et les cheveux aussi noirs que l'ombre de la nuit. Bref le contraire de moi, mais il ne faut pas que je m'égare de ma mission.

J'appelle donc mes voisins.

Allô Madame Andrew ? C'est Stacy. Je vous appelle par rapport à ma famille.

Oui bonjour Stacy. Tout d'abord je suis désolée de la situation dans laquelle tu es alors vas-y, dis-moi tout je t'écoute. Que veux-tu savoir ?

Je voulais savoir si, par hasard, vous savez si mon père battait ma mère, s’il l’a violée ou si vous aviez vu quoi que ce soit. C'est important, il faut que je sache car mes sœurs et mon frère sont en danger et j'en suis persuadée !

Bien c'est vrai que maintenant que tu le dis, il y a bien des soirs ou je les entendais crier, il se pourrait que ta mère se faisait violenter ma-

Est-ce que vous pourriez le prouver si jamais on vous le demandait ?

Bien sûr. Je peux même demander aux autres voisins s’ils peuvent le prouver.

Parfait, cette enflure va payer pour tout le mal qu’il nous a fait. Ah oui aussi Madame Andrew, est-ce que vous saviez s’il ramenait de jeunes femmes chez lui ou un truc comme ça ?

Et bien il m'arrivait de voir ton père avec de jeunes femmes. Une fois il s'en est vanté devant mon mari. Il a dit qu'elles venaient du lycée Louis Pasquet, elles avaient entre seize et vingt ans.

Aussi jeunes... Il pensait à quoi en faisant ça ? J'espère trouver des femmes à qui il a fait du mal ou à qui il aurait forcé à faire quelque chose. Et là bim, je l'aurai coincé ce fils de pute !

Merci beaucoup Madame Andrew, je vous souhaite de passer une bonne fin de journée. Je viendrai bientôt vous voir, en attendant prenez soin de vous.

En attendant, je contacte ma seule personne de confiance : Simon. En plus, il travaille à la police.

Salut Simon, ça va ? Dis-moi, j'ai besoin que tu me rendes un service. Est-ce que tu peux faire des recherches sur mon père et le lycée Louis Pasquet ? Apparemment il ramenait des filles entre seize et vingt ans chez moi, quand ma mère était enceinte de moi. Il paraît aussi qu'il l'a frappée...

Salut Stacy, oui pas de problème mais tu me paieras un McDo alors !

Je te remercie Simon. Et bien sûr compte sur moi ! À plus tard.

Bien, maintenant je vais dormir. Demain je réessaierai de sortir.

*toc toc*

Qui peut bien frapper à cette heure ?

Oui ? Qui est-ce ?

C'est Yuki la petite copine de Samuel.

Oh rentre vas-y.

Je voulais te parler de Samuel. En fait, j'ai vu comment il te regarde et jamais il m'a regardée comme ça. Je pense que tu l'intéresses, tu en penses quoi toi ?

Bah désolée mais moi il ne m'intéresse pas du tout, puis sur le retour du chemin il me parlait que de toi donc bon...

Ohlala elle ne va pas arrêter de m'emmerder celle-ci.

Ah c'est bizarre, on a rompu ce soir.

Bon écoute Yuki, t'es bien gentille mais j'ai pas que ça à penser. Donc vos petites histoires de couple ne me regardent pas et j'en ai strictement rien à faire de ce que tu peux penser ou ce que Samuel t’as fait. Maintenant si tu pouvais me laisser tranquille ça m'arrangerait merci.

*sourire narquois* 

Tu te prends pour qui ? Tu es nouvelle alors je vais être gentille avec toi pour cette fois mais un conseil : méfie-toi de moi. Je te rappelle que tu es dans mon établissement donc on redescend !

Ouah tu m'impressionnes mille excuses princesse. Je voulais pas blesser ton énorme égo, mais tu m'excuseras encore faudrait-il que tes menaces me touchent. Or, j'en ai rien à foutre donc maintenant votre majesté, sortez de ma chambre.

Comment oses-tu me parler comme ça sale ingrate ?

*lève sa main sur elle*

*PAFF*

Tu voulais vraiment essayer de me frapper ou je rêve ?

*je la sors de la chambre et lui claque la porte au nez*

Alors que je suis seule assise dans le noir, je repense à tous ces récents événements et je me mets à pleurer. Et mais j'y pense, j'ai oublié de faire ma lettre pour le juge des enfants mais je ne peux pas la faire pour le moment car on n’a pas encore les preuves concrètes. Merde ! Cette sale garce m'a fait perdre mon temps alors que je voulais faire des recherches !

*À suivre chapitre 4*

(J'espère que ce chapitre vous aura plus n'hésitez pas à vous abonner, laissez un j'aime ou un commentaire,

À me donner des avis positifs pour avancer à bientôt pour un nouvel épisode, prenez soin de vous :)*

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