Une blessure qui n'efface rien

À New-York, une des villes les plus animés et dans la haute société, se trouvait la famille la plus riche et convoitée, dominant sur une grande partie du pays et étant très influent ailleurs également. Leur nom faisais la renommée et personne n'était ignorant de qui ils étaient ... La famille Heverton

Monsieur Louis Heverton , L'héritier de la famille, était un homme d'affaires très riche et intègre , il était grand de taille, avec les cheveux bruns et des yeux bleus, possédant plusieurs entreprises dans la ville et dans la majeure partie des pays, travaillant sur la biotechnologie, la cybersécurité et les réseaux industriels.

Louis Heverton était marié à Clarissa Novoa Heverton, une grande femme renommée dans le monde de la musique, elle était très belle et blonde avec des longs cheveux bouclés et des yeux verts. Elle était chanteuse et son instrument préférée était le violon, ils se rencontrèrent à Paris, tombèrent follement amoureux et se marièrent peu de temps après. Ils eurent 5 beaux garçons : " Rayan , Nolan , Matthew, Matthis, David et ils étaient heureux, jusqu'à ce qu'un drame arrive et coûte la vie à l'un d'entre eux

Louis Heverton était un très grand homme d'affaires qui dévoilait les fraudes et empêcher plusieurs détournement des fonds de plusieurs mafia, Louis Heverton aimait la justice et il était mondialement connu pour ça , mais bien-sûr les ennemis ne pouvait pas manquer autour de lui, et ils étaient prêts à le faire littéralement disparaitre , il y avait des attentats de meurtres , des accidents bien au delà des attentes et surtout très dangereux pour en déduire que cela était tout à fait normal . Cela se fit très souvent et devint de plus en plus fréquent . Sous cette atmosphère qui devenait de plus en plus dangereuse , Monsieur Heverton s'est décida dans l'immédiat, de prendre des mesures de sécurité et des précautions . Il engagea alors une cinquantaine de garde du corps pour assurer la sécurité de sa femme et celle de ses enfants . Mais malheureusement , il pouvait arriver qu'en une seule journée 3 ou 4 garde du corps se fassent abattre et tué.

Monsieur Heverton de plus en plus inquiet comment ça se demander s'il n'était pas mieux de quitter la ville, de tout abandonner et de recommencer à zéro là où il serait plus en sécurité avec sa famille .

Louis : je ne peux plus continuer ainsi, ça en ai de trop ( faisant les 100 pas dans son salon)

Clarissa : Louis tu peux au moins te calmer s'il te plaît, cela n'arrangera pas les choses

Louis : forcément oui, tout ça devait arriver, ils en ont tous après moi maintenant et je ne me sens plus en sécurité, et pas avec vous ici, le danger est bien trop grand ( s'assis sur le canapé)

Clarissa (soupira) : mon chéri ! tu ne peux pas quitter la viille ainsi, pas en laissant tout ce que tu as bâtit durant des années ici, c'est d'une certaine manière leur donner la victoire et ils prendront tout

Louis : ...... ( resta silencieux)

Clarissa (lui pris les deux mains ) : on aurait pu engagé des gardes du corps spécialisé et surentraîné , en avoir plein mais qui sont généralistes ne nous aidera pas du tout

Louis ( se leva irrité) : Clarissa peu importe ce que tu me diras, ma décision est déjà prise...

Clarissa ( se lève à son tour) : quelle décision enfin !?

Louis : Tu vas à Paris avec les garçons, apprête tes affaires et ceux des enfants, vous ne prendrez pas le vol normal, vous irez en jet privé, j'appelle directement le pilote ( prends son téléphone et tourne son dos pour partir)

Clarissa : mais tu ne peux pas faire ça Louis, tu prends des décisions sans mon accord et....

Louis ( l'arrêta directement) : écoute ! C'est pour votre bien tout ça, je me chargerai de la scolarité des enfants et une fois que les choses se seront vraiment calmées, vous pourrez revenir

Louis ( toujours avec le téléphone à l'oreille) 3 ou 4 ans environ, pour moi 5 ans serai même suffisamment

Clarissa : Mais Louis je .....

Louis ( l'arrêta encore) : Clarissa fin de la discussion

Clarissa : ..... ( soupira juste et s'assit sur le fauteuil)

Clarissa apprêta les affaires par contrainte car son mari ne voulais toujours pas changer d'avis. Le jet privé atterri sur leur immense pelouse, Clarissa, fit de son mieux pour cacher ses larmes, prit les valises et les mises à l'intérieur.

Ses fils qui était déjà bien âgés, comprirent la situation et montèrent sans dirent un mot.

Rayan , l'aîné, âgé de 19 ans , adressa un regard vide à son père, pendant quelques instants, puis monta à son tour dans le jet et 30 minutes après, le jet décolla , vers Paris, en espérant que tout s'arrange

Paul ( regardant le jet décoller) : Croyez moi ! C'est pour la bonne cause et c'est pour vous que je le fais.

Il se retourna et rentra dans sa résidence

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