géré

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Scène – L'emploi du temps

Maëlys sortit un carnet à spirale, recouvert de petits autocollants en forme de couronnes et de croix rouges.

— Voici ton emploi du temps, dit-elle d’un ton sérieux. J’y ai réfléchi toute la nuit.

Elle tourna lentement les pages, comme si chaque minute qu’elle avait planifiée était un trésor.

— De huit heures à neuf heures, tu te prépares. Tu te laves, tu te coiffes, tu t’habilles. Toujours en blanc. Jamais de noir, sauf si je te l’ordonne.

Éliane hocha la tête en tremblant elle était trempée en bas mais il fallait qu'elle garde le vibro en elle ne savait pas les conséquences et ne voulait pas le savoir

— Ensuite, de neuf heures à dix heures, tu me regardes déjeuner. C’est important d’apprendre les bonnes manières.

— Oui, Maîtresse.

— À dix heures, on lit. Ensemble. Pas n’importe quoi. Pas des livres pour enfants.

Elle prit un volume relié posé sur sa table de nuit et le tendit à Éliane. La couverture était noire, le titre en lettres dorées : Les fondements du pouvoir mental.

— Tu liras à haute voix. Je t’interromprai si tu bégayes.

Éliane acquiesça doucement ses joues rouges et ses yeux larmoyants, presque impressionnée.

— Et après.... la..... lecture ?

Maëlys sourit.

— Si tu lis bien… je te laisserai t’asseoir à mes pieds pendant que je peins.

— Mer.....ci, .....Maîtres..se.

— Et si tu lis mal tu copieras cinquante fois la définition du mot "soumission".

Éliane sourit elle était essoufflée tout aussi rouge .

Maëlys ferma son carnet avec un petit "clac", puis tendit la main.

— bien , se vibro semble toujours a l'intérieur

Éliane n'arrivait plus a se contrôler ni a gardé le vibro a l'intérieur il était sorti

— maîtresse s'il… vous plaît… Soyez indulgente.

Maëlys sourit sans un mot.

Elle s'avança vers une commode elle en sortit un fouet et bandana

--- voyons voir si ce genre de punition pourra me satisfaire,

Sans un mot de plus elle attacha le bandana autour des yeux, en lui caressant les seins,

Le premier coup de fouet claqua sur la peau d'Éliane ne lui laissant qu'un bleu assez prononcé

--- 30 coups en gardant le vibro à l'intérieur de toi,

Le fouet continua de claquer sur sa peau, elle gémissait à là fois de plaisir et de douleur, en s'efforçant de garder le vibro a l'intérieur d'elle,

Chaque seconde était un calvaire physiquement excitant et douloureux

Quelques minutes après que sa maîtresse l'eut détachée et autorisée à retirer le vibro, elle était larmoyante

Maëlys la regardait avec cette expression souriante et perverse, elle adorait ce qu'elle voyait, Éliane se jeta dans les bras de sa maîtresse en larme

--- la ,la sa va mon adorable chaton c'est fini, ne soit plus une vilaine et obéit à ta maîtresse d'accord

---- oui, mai....tres....se

---- maintenant laisse-moi te rhabiller, il faut que tu sois bien habillé des invités viennent nous voir aujourd'hui

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