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Chapitre 4 :
Isadora n’était pas une femme qu’on manipule. Pas sans conséquences.
Le lendemain, elle entra dans le QG des Moretti sans prévenir. Elle était seule, en talons aiguilles, manteau long de cuir noir qui claquait à chaque pas.
Les gardes n’osèrent même pas lever leur arme.
La panthère était entrée dans la tanière du loup. Et elle n’avait pas peur. Elle était la peur.
Elle poussa la porte du bureau de Silas sans frapper.
Il était là, debout, en train de lire un rapport. Il leva les yeux, impassible.
— Tu n’as pas changé le code d’entrée. C’est presque décevant, dit-elle.
— Tu me fascines trop pour que je te verrouille dehors.
Elle s’approcha, lança quelque chose sur son bureau. Le mouchoir de soie taché de son sang. Il l’avait gardé, elle aussi.
— Assez de jeux, Silas. Tu veux que je vienne ? Me voilà.
Il referma calmement son dossier, sans se lever.
— Je ne t’ai jamais demandée. J’ai provoqué la reine. Pas l’amante.
Elle rit, un rire sec, dangereux.
— Tu ne peux pas avoir l’une sans l’autre. Avec moi, c’est un pacte de feu ou rien du tout.
Elle s’approcha du fauteuil, s’assit sans y être invitée. Croisa les jambes. Elle sentait qu’il la regardait, et elle adorait ça.
— Tu penses que je vais tomber dans ton piège ? Qu’un peu de tension, quelques mots suaves, vont faire plier Velenza ?
— Non. Je pense que tu es déjà à moitié penchée, souffla-t-il en s’approchant.
Il se plaça derrière elle, ses doigts frôlant la nuque dégagée par sa coiffure relevée. Elle frissonna. Mais elle ne se détourna pas.
— Tu veux savoir ce que ça fait, Silas ? D’être en bas. De ne pas tout contrôler.
Elle se leva d’un bond, se retourna, et le plaqua contre la bibliothèque.
Il ne résista pas. Il sourit même.
— Voilà ce que je veux, souffla-t-il. Une reine qui mord.
— Tu n’as encore rien vu.
Elle se hissa sur la pointe des pieds, ses lèvres tout près des siennes… sans les toucher. Il ne bougea pas. Il attendait qu’elle cède.
Alors elle recula.
Juste assez pour que l’air entre eux devienne brûlant.
— Tu veux jouer, Silas ? Je vais te faire supplier à genoux. Et pas pour du sexe.
Elle quitta la pièce comme une tempête, laissant son parfum et sa menace derrière elle.
Il resta seul, le souffle lent… mais les yeux brillants.
> Elle venait de déclarer la guerre.
Et il n’attendait que ça.
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Pekdusj diduzid djdjdis djdudi bsjdud sksud djdudi kzkdidi jsueid djdjd djdudi djdjdi jsjduzbdjdjdu dndkdjsndj djdjdis sjdjdu djduzk jsjdu akskdu dkdjdils kdjdidm kdjdjdid nsksos djdudi djdjd sudjdi sjsisjd djdjdi sndkdoam jdjdkdb jdjdid kaid de bdjdjd bdjdjjK jqjsjd sksisi qnqjs qksjd ksusu qksjsb sjsisjd sjsjsi sjsjsjs qksusis jsjsus sjsjsi qnsjsj
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Comments
juglin
Elle aime son regard même ohhh/Hey//Hey//Hey/
2025-06-03
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Mimi 😘😘😘😍😍
c'est la guerre😾😾😾
2025-06-03
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